Récits
Humiliation pour Halloween
il y a 5 ans

Histoire érotique pour Halloween

Cindy se regarda une dernière fois dans le miroir -- elle était prête à fondre en larme de honte, mais elle écarta cette option immédiatement. Ne jamais pleurer. C'était l'une des règles drastiques que son Maître avait établies. Subir une nouvelle punition ne rendrait pas les choses plus faciles : à la fin, elle ferait ce qu'il avait décidé pour elle, elle savait ne pas avoir le choix. Ce qu'elle voyait dans le miroir n'était pas une élève de première année de l'Université de Miami. Ce qu'elle voyait était une écolière catholique en uniforme, sauf qu'aucune écolière catholique ne s'habillerait d'un uniforme aussi vulgaire : elle portait une jupe plissée à carreaux bleus et gris, bien trop courte pour être autorisée à l'intérieur de n'importe quel établissement scolaire. La jupe n'arrivait même pas à mi-cuisse. Elle avait aussi un chemisier blanc d'au moins une taille trop étroite, sa poitrine déjà ample semblait remplir le chemisier comme si ses seins essayaient de s'échapper d'une ca...
DRESSAGE
il y a 5 ans

Une histoire érotique BDSM Gay

Une histoire érotique BDSM Gay Je sonne à 20h à la grille de la maison. Elle s'ouvre, je traverse le jardin. Comme prévu, la porte est entrouverte, je rentre et me retrouve dans l'entrée. Mon nouveau Maître a imposé ses conditions : me mettre nu, à genou, mains derrière la nuque et l'attendre tête basse. Je m’exécute en tremblant, il avait tellement l'air sûr de lui au téléphone que je n'ai pas pu dire non. J'étais très excité et terrorisé à la fois. Au bout de dix minutes, il entre enfin. Dès que je tente de lever la tête vers lui, il me colle une gifle magistrale. — Tsss... Bouge pas la lope, tête baissée j'ai dit. Il me tourne autour, m'effleure avec une cravache. Toujours à genou, il se place debout avec juste son paquet son mon nez. Je le devine énorme sous un jeans serré, il est torse nu et semble très musclé. Il me bloque les poignets d'une main et m'écrase la figure contre lui, puis baisse son jeans et me fourre sa tige dans la bouche. Elle m'étouffe complètement car il impo...
Avec un vieux
il y a 5 ans

L’histoire érotique d’une étudiante qui couche avec son employeur

L’histoire érotique d’une étudiante qui couche avec son employeur L’an passé, pour payer mes études de lettres, j’ai été femme de ménage chez un couple de vieux bourgeois. Le salaire était bon et ça me laissait du temps pour réviser mes partiels. Charles, le mari du couple, devait avoir 65 ans. Sa femme, Esther, était à peine plus jeune. Et autant lui, avait de beaux restes, autant elle, faisait mégère desséchée. Pourtant, elle a réussi à se trouver un amant. C’est ce que m’a appris Charles, la voix tremblante un samedi après-midi. J’étais en train de nettoyer son bureau, vêtue de l’uniforme moche que l’on m’obligeait à porter quand je travaillais là-bas. Il ressemblait vraiment à un costume sexy d’Halloween… Mais ça faisait plaisir à Monsieur, qui me reluquait quand je me penchais pour faire la poussière. Sauf que ce jour-là, pas de reluquage, mais un Charles au bout du rouleau. Pourquoi m’a-t-il tout déballé ? Je ne sais pas. Sans doute étais-je la seule à qui il pouvait se confi...
Ma femme m’a sodomisé
il y a 5 ans

Ma femme m’a sodomisé

Une histoire érotique qui me fait rêver. Les débuts de notre couple remontent à une quinzaine d’années, de ce que je me souvienne vaguement. Nous étions alors étudiants tous les deux sur Amiens. Elle en BTS, moi à l’IUT. On se voyait de temps à autres dans les soirées étudiantes. Il y en avait tous les soirs à cette période, mais impossible de toutes les faire sous peine de doubler son année. Bref. On s’est rapproché petit à petit l’un de l’autre, elle cette belle jeune femme et moi, moins élégant mais pas repoussant non plus. Elle, c’est le genre de femme qui fait retourner les hommes sur son passage. Grande, rousse, sensuelle, la peau blanche, le corps parfait avec des hanches justes larges comme il faut pour souligner la féminité et aussi pour une bonne levrette. Des seins ronds et lourds mais pas trop gros non plus, juste ce qu’il faut. Quant à son visage, que dire, un ange, à mes yeux. Rond, gentil avec des taches de rousseur, des cheveux mi longs et bouclés à cette période. Au...
Les jeux et supplices sous Archeron
il y a 5 ans

L'esclavage avait un certain charme ...

- Votre Bain est prêt, Maître. Archeron leva les yeux du rapport qu'il lisait alors, lequel présentait différents mages suspectés par le Magisteriam de mener diverses activités subversives dans les Marches, ou encore de faire partie de groupuscules indépendantistes, soit de réseaux criminels. On avait demandé à Archeron si il voulait bien s'occuper discrètement d'un ou deux de ces personnages jugés dangereux pour l'Empire. Mais ce soir, cette lecture lui semblait bien inintéressante et la tâche proposée peu digne de son intérêt. Maëlle, l'une de ses esclaves, était à genoux devant lui, cuisses écartées, dos bien droit, mains sur les genoux, tête baissée. Elle était une des trois esclaves achetées il y a quelques semaines par Archeron à la Duchesse Ethanie de Lermian. Dès le début, elle avait montré une certaine tendance à l'indiscipline, affectant un peu d'impertinence, ce qui avait conduit Archeron à la punir durement trois jours auparavant. La scène avait duré longtemps...
Les jeux et supplices sous Archeron 2
il y a 5 ans

Les divertissements douloureux

- Accordé, ma chère, répondit-il. Lyvonie se leva, prit sur la commode deux éponges douces et un cube de savon parfumé à la lavande. Elle s'assit à genoux dans l'eau, devant son Maître, pratiquement en dessous de Siniène. Elle trempa une éponge dans l'eau et y frotta le savon. Puis délicatement, elle passa l'éponge imprégnée de savon sur le visage de son Maître, nettoyant sa peau par des gestes doux et attentionnés. Archeron se laissa faire, tendit ses bras, tandis que Lyvonie y passait l'éponge. Puis se fut le tour de son torse et de ses épaules. Lyvonie s'acquittait de sa tâche avec douceur, humilité et habileté. Elle avait pleinement conscience du privilège que lui accordait son Maître et savait que si elle faisait la moindre maladresse, elle serait punie sans pitié aucune, et pire encore, pourrait perdre son statut envié de Favorite. Comme l'eau lui arrivait bien au dessus de la ceinture, elle baissa la tête et demanda d'une petite voix si il voulait bien se lever, ce qu'...
La leçon de violon
il y a 5 ans

La leçon de violon

Les sons que produit son violon sont comme le chant des sirènes. Je l’écoute, je me perds en eux. Ils font vibrer tout mon être, tous mes sens. Elle a fait tellement de progrès depuis le premier cours, il y a plus d’un an. Il ne me reste plus grand-chose à enseigner à cette belle et douce Lizzie. Une ou deux techniques encore et elle me quittera pour aller au conservatoire. Il ne me reste pas grand temps pour lui dire ce que je ressens. Depuis quelques semaines, j’ai l’impression que mon corps la demande, que mon esprit la désire plus que tout. Ma conscience me rappelle sans cesse que c’est mon élève et qu’il y a une barrière à ne pas franchir. Ça ne serait pas bien. Ça serait mal vu. Un professeur et son élève ayant des relations intimes. Pourtant, j’ai l’impression que c’est réciproque et qu’elle se dit la même chose. Lorsqu’elle joue et qu’elle me regarde dans les yeux, ce n’est pas seulement mes félicitations qu’elle attend. Elle m’envoie un message que tous mes nerfs perçoivent....
Éternelle jouissance de la branlette
il y a 5 ans

Des poils ont poussé au bas de mon ventre

Au cours de ma douzième année, des poils ont poussé au bas de mon ventre, sur ma bite et mes couilles et je me suis mis à bander ; mais personne ne m’avait parlé du phénomène et mes sages lectures ne m’avaient pas appris la possibilité de m’astiquer la bite. Habitant la campagne je portais, sans slip, ce que l'on appelait alors une culotte, intermédiaire entre le short et le bermuda ; lorsque je bandais, si je n'y faisais pas attention, ma bite sortait la tête par la jambe de la culotte. Tous les soirs j'allais chercher du lait dans une ferme à quelques centaines de mètres de la maison. En hiver il faisait nuit et je me triturais la bite en marchant. Un soir, étant encore sur la route principale, j'ai enlevé ma culotte et continué à marcher cul nu. C'était jouissif, je venais de découvrir tout seul, à 12 ans, le plaisir de m’exhiber dans le froid, les fesses et la bite à l’air ; également la jouissance du risque d'être surpris ainsi exhibé, risque minime car, à l’époque, il passait...
Dans les ruines hitlériennes
il y a 5 ans

Les blockhaus offrent des refuges pour jouer

Hitler a fait construire un centre de commandement en France. En partie enfouis dans la végétation, des blockhaus et les restes du centre de communication sont encore accessibles de nos jours, à proximité de deux chemins où j’ai l’habitude de marcher nu avec un plug au cul pendant des heures, bien qu’ils soient fréquentés par des voitures et des vélos. Cinq entrées de blockhaus étant échelonnées à flanc de colline le long du chemin, j’ai eu envie, un jour d’été, de me photographier à poil devant l’une d’elles. Posant mon appareil sur pied d’un côté du chemin, j’ai armé le retardateur et suis allé poser de l’autre côté, devant une porte ; si quelqu’un venait, j’avais le temps de descendre quelques marches pour ne choquer personne. Après deux photos réussies j’ai, pour la troisième, exposé à l’objectif mes fesses bien écartées pour dégager mon oignon étoilé. Dans cette position, la tête basse et tournée vers le talus, je n’ai pas vu venir deux vététistes, un homme et une femme, la...
85 mm dans les fesses
il y a 5 ans

champiplugs

Afin de renouveler la jouissance que j’avais eue en m’enfilant, à douze ans, un stylo dans le trou du cul, j’ai utilisé des bougies, des godes imitant une bite, des manches d’outils et des légumes les plus variés, des boules dont j’ai parlé dans un autre de mes récits, des objets divers et des plugs de diamètre de plus en plus important : pour moi, en effet, l’essentiel de la jouissance vient de la dilatation du sphincter. Mon fondement étant, au fil des années, devenu de plus en plus souple, le seul passage d’un diamètre à un autre plus important dont je me souvienne est celui où, il y a longtemps, je me suis enfilé une boule de 85 mm. Le plus gros des godes avec lequel je me dilatais alors l’anus avait 76 mm de diamètre. J’avais envie de plus gros mais, malgré mes fréquentes visites à d’innombrables sex-shops où, en France et à l’étranger, j’allais toujours avec un pied à coulisse dans la poche, je n’avais trouvé que des « champiplugs » de 100 et 120 mm de diamètre maximal. Le gér...
Face au TGV
il y a 5 ans

Exhibition près des voies du TGV

Roulant dans la [campagne percheronne](https://www.google.com/search?q=campagne+percheronne&client=firefox-b&sxsrf=AOaemvJwhVyohM0x88M2gP5uWOcCJFRDjA%3A1633592747856&ei=q6VeYZ3TMobjUvuhrJAC&ved=0ahUKEwjd1MSb57fzAhWGsRQKHfsQCyIQ4dUDCA0&uact=5&oq=campagne+percheronne&gs_lcp=Cgdnd3Mtd2l6EAMyBQgAEIAEMgYIABAFEB46BwgAEEcQsAM6BwgjELACECc6BggAEAcQHjoKCC4QxwEQrwEQDToECAAQDToICAAQCBAHEB5KBAhBGABQlBpYiSdggy1oAXACeACAAb0BiAHNB5IBAzQuNZgBAKABAcgBCMABAQ&sclient=gws-wiz), un chaud jour de printemps, l’envie me prit de me mettre à poil à l’air libre pour une bonne branlette avec, dans le cul, le manche de la pelle que je transporte toujours dans mon coffre. Sortant de la grande route j’ai pris à droite un chemin communal bordé de haies, avançant lentement, cherchant l’entrée d’un champ où j’allais pouvoir me branler. Je ne me suis pas retrouvé dans un champ mais, le hasard faisant bien les choses, coincé entre une haie et la clôture du TGV. Vite à poil, le manche de pelle bien au fond du trou du cu...
En montagne
il y a 5 ans

Les refuges montagnards sont parfois des espaces libertins

##### J’avais déjà fait des randonnées de plusieurs jours en montagne, seul, en famille ou dans des groupes organisés, lorsque Jean, mon médecin, m’a proposé de me joindre à son groupe d’amis pour randonner autour de [l’Oisans](Oisans). À l’hôtel de Besse, où nous avions rendez-vous, j’ai retrouvé Thérèse, l’épouse de Jean ; Paul et sa femme Josiane ; Yves, et Catherine, lui fonctionnaire, elle médecin ; Claude et Jacqueline, lui dentiste et elle commerçante; tous entre trente-cinq et quarante-cinq ans. Nous avons accompli ce périple avec des étapes à la Grave, le Monetier, Ailefroide et le refuge du Glacier blanc ; chaque jour, environ 1 000 mètres de dénivelée à la montée, avec un imperturbable grand beau, chaud même. Tout le monde a sagement dormi dans sa chambre la première nuit mais, dès la halte de midi, près d’un torrent, le premier jour, les femmes ont pris prétexte de la chaleur pour bronzer torse nu et inviter les hommes à les imiter. Quelques langues égarées contre d’...
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