Récits
Rencontre avec une nympho
il y a 5 ans

Les confessions érotiques d’un policier appelé pour des agissements suspects

Dès que j’arrivais près de la maison, j’entendis les notes d’une mélodie au piano qui s’en échappaient. Je me demandais si c’était une des habitantes qui en jouait. Je secouai la tête, me reprenant ; je ne devais pas avoir d’a priori. En face, la mer était calme. Cette maison près de la plage était très isolée. Une mère y vivait avec sa fille. Nous avions reçu un appel d’un homme – le plus proche voisin, à plus d’un kilomètre – lançant des allégations étranges, accusant, etc. Le topo habituel. Mais cet homme avait l’air effrayé. Vraiment. On ne pouvait donc pas rien y faire, paraissait-il. Voila pourquoi on m’avait envoyé, juste en vérif'. L’entrée de la maison se trouvait face à la plage. Je m’avançai, et cherchai une sonnette… en vain. Mal à l’aise, je toquai alors au chambranle de la porte. Une silhouette arriva dans mon champ de vision, à travers la porte-moustiquaire. C’était une jeune fille, la vingtaine, vêtue simplement d’un mini-short rouge et d’un haut rose. Je portai mon...
Blandine au confessionnal
il y a 5 ans

Une histoire érotique très coquines avec un curé très pervers

"Blandine courait, courait vers l’église, elle avait fauté, péché, oh mon Dieu , ces mots jouaient la sarabande dans sa tête. À peine 18 ans, et voilà que les conseils de Monsieur le curé étaient passés à la trappe. Elle avait couché comme on disait. Le curé la regardait s’approcher, du porche de son église. Elle courait, tout son corps de jeune femme en mouvement. Jambes galbées sous sa petite jupe qui laissait voir ses genoux ronds, hanches larges, mais bien proportionnées au-dessus dune paire de fesses qui ne pouvaient qu’attirer le regard ou les mains. Plus haut la poitrine, lourde, mais ferme se balançait au rythme de la course Le visage de Blandine reflétait dans son ovale encadré de cheveux roux, à la fois l’effort, la crainte, la perplexité mais aussi le caractère sensuel de la jeune femme : lèvres charnues, bouche ouverte, yeux brillants et expressifs, perle de sueur aux tempes et au front. Elle déboula dans la nef, sans même voir l’homme d’église qui s’était reculé au m...
Un jeu dangereux qui change une vie
il y a 5 ans

Du fantasme à la réalité

Damien est un adepte d'Internet et tout particulièrement des sites pour adultes depuis une nuit mémorable d'orage et de tonnerre qui n'en finissait pas. C'était ce soir là, alors, une très mauvaise idée que de brancher un ordinateur, mais il le fit néanmoins pour tromper l'ennui qui commençait à le gagner. Étant à la fois angoissé par l'orage, qui, depuis sa plus tendre e n f a n c e lui laissait des sueurs froides et d'humeur coquine, il se mit donc en quête d'un site susceptible de combler ses ardeurs du moment. Après quelques minutes de recherche et quelques vidéos très explicites, un brin émoustillé, il tomba sur un lien proposant de ravissantes playmates, sexy à souhait, qui seraient, selon la publicité, prêtes à répondre à ses plus grands fantasmes. Or il se trouvait que depuis un certain temps, il pensait à un scénario qui serait à la fois coquin, sadique et haut en couleurs. Voir même dangereux. Les photos de ces dames étaient plus que prometteuses, allant des blondes extra-...
Un jeu dangereux qui change une vie suite
il y a 5 ans

La réalité peut être cruelle

Dans sa folie du moment, il n'avait pas pensé aux conséquences. Ni aux effets réels que cela occasionnerait. Et c'est seulement là, malheureusement, qu'il se rendait compte de son erreur. Comme il tardait, Lizzy lui repiqua les glandes avec une énième épingle et lui enjoignit de sucer prestement les 2 manches bien durs qui se présentaient à sa bouche et de masturber les deux autres, sinon elle reprendrait les insertions dans ses parties génitales. Alors, il décida malgré le profond dégoût qui le rongeait, de s'exécuter. Il suça, lécha, et branla des queues pendant plus d'une heure. Les partenaires changeaient, gonflaient dans sa bouche et repartaient s'astiquer tous seuls en attendant le feu vert de la maîtresse de cérémonie. Elle passa entre les gays pour se refaire polir la fente et sucer son petit clito qu'elle s'était touché, alanguie sur son sofa en matant tous ces hommes, divinement beaux et affriolants. Et quand elle n'était pas satisfaite de son jeu de langue, elle lui...
La découverte de mon cocufiage
il y a 5 ans

"Tout a commencé par des jeux de couple banal. Ma femme aimait me faire porter ma cage de chasteté sur quelques jours histoires de bien m'exciter et de faire gonfler mon désir pour elle. Puis au bout de 3, 4 jours voir une semaine, j'étais libéré pour devenir un bel amant. Nos rapports étaient plus forts, plus intenses plus puissants. Mais au bout de 6 mois d'un jeu devenu presque banal, elle a augmenté la durée du port de ma cage de chasteté sans me demander. Au début, je trouvais ça drôle mais elle est passée de 2 a 3 semaines puis au bout d'un an a 2 voir 3 mois, j'ai commencé a me poser des questions. un soir, je lui ai même posé la question "Je ne te manque pas sexuellement? toi qui a un gros appétit sexuel, ça doit te manquer de nous priver de câlins. - Ne t’inquiète pas mon chéri, ça va très bien pour moi. Et puis, tu es si mignon avec ta cage de chasteté, ça te vas si bien." J'en suis resté la sans me poser plus de questions. Mais 6 mois plus tard, j'étais a 4 mois dans ma...
Piège à l’école d’infirmière
il y a 5 ans

Une histoire érotique ABDL entre femmes

Admise en IFSI, débute ses trois années d’étude d’infirmière. Jade se sent prête pour cette aventure humaine semée d’embûches. Après 200 heures de cours magistraux et près de 180 de cours dirigés, elle est affectée à l’hôpital des Charrettes pour un stage de cinq semaines au service « Infectiologie hygiène ». Enfin du réel pense la jeune fille brûlant d’impatience d’aider les gens. Excitée comme une puce, haute comme trois pommes et pesant à peine 56 kilos, notre infirmière en herbe revêt son pantalon blanc et sa blouse blanche. Elle ne porte rien dessous hormis une petite culotte et un soutien-gorge blanc, et pour cause, il fait horriblement chaud cet été 2019. Malgré la climatisation de l’établissement, il fait vingt-six degrés dans les chambres des patients et les couloirs. En tant qu’étudiante en stage, elle assiste les infirmières et sert de petite main comme l’on dit. Affectée avec Eva au service de gérontologie pour les personnes en placement d’urgence, elle fait ses premi...
Au clair de la lune chez les Africains
il y a 5 ans

Une nuit de bonheur

##### Après l’après-midi racontée dans « En jockstrap chez les Africains », suivit un bain de minuit avec, outre « mes » trois Africains et mon cousin, deux couples invités, un homme et trois femmes. Autour de la piscine, par un lumineux clair de lune, tous étaient nus, moi en jockstrap, totalement épilé, acceptant tout ce qui avait été convenu pendant le dîner : lécher tous les culs et les chattes, boire leur pisse, recevoir des giclées de sperme dans la bouche et sur le visage, me faire ramoner et fister le trou du cul à volonté, me faire étirer le paquet bite-couilles, me faire planter des pointes dans la peau des couilles et des aiguilles médicales dans les couilles, toutes pratiques dont je suis friand, j’aime que l’on s’occupe de mon corps. J’avais mis une condition préalable : me faire planter dans chaque fesse au moins cent épingles à tête ronde avec aiguille de 25 mm, j’en avais apporté davantage. Pour moi c’est une jouissance, hélas trop rarement réalisable, mes parten...
Naissance d’une Esclave
il y a 5 ans

Une histoire érotique de féminisation et transformation imposées

J'ai envie de vous raconter ce que j'ai vécu ces derniers mois. J'ai 24 ans et au printemps dernier, j'étais encore un gigolo. A l'époque j'allais souvent au théâtre. J'y allais par goût mais aussi parce que j'y rencontrais souvent des femmes d'un certain âge assez sophistiquées qui aiment s'offrir le luxe d'une nuit avec un homme très jeune. C'est ainsi que j'arrondissais mes fins de mois d'une façon très substantielle. Mais ce soir là, ma vie a basculé. A l'entracte, comme d'habitude au foyer je laissais traîner mon regard au hasard dans l'espoir de croiser celui de celle qui ferait de moi son amant pour la nuit. Comme souvent, une femme qui paraissait avoir entre quarante et quarante-cinq ans, me fixait. C'était une brune sophistiquée son visage qui, s'il n'avait plus la fraîcheur de celui d'une fille de vingt ans, montrait par contre une personnalité avec beaucoup de caractère. Je lui ai souri puis tranquillement je me suis assis à sa table. Nous avons commencé par échanger des ba...
La fête foraine
il y a 5 ans

Une très jolie histoire érotique avec du bondage et des contraintes en tout genre

Une très jolie histoire érotique avec du bondage et des contraintes en tout genre Seule dans l’obscurité Gwen regarde les écrans de télévision sur lesquels sa sœur et ses deux amies circulent librement, insouciantes et inconscientes de la menace qui pèse sur elles. Ces images sont insupportables mais la seule façon de ne pas les voir est de regarder les autres écrans de télévision et ce qui est montré lui est encore plus insupportable. Il s’agit d’elle bâillonnée, ligotée sur cette chaise fixée au sol, impossible à renverser. D’autres écrans affichent des gros plans de son visage et de sa bouche couverte par l’horrible bâillon. Et aussi de ses bras, de ses poignets, de ses cuisses et de son torse entourés de cordes qui pénètrent sa chair et la brûlent. Et enfin de ses yeux qui expriment l’effroi face au destin que lui ont promis ses ravisseuses. Pour peut-être la centième fois Gwen tire sur ses liens. En vain. Elle entend des visiteurs s’approcher de la roulotte où elle est empriso...
Retour chez les Africains
il y a 5 ans

Double fist

Au cours de l’été 2018, je m’étais livré en jockstrap aux grosses bites de trois jeunes Africains noirs, en vacances chez mon cousin Damien, je l’ai déjà raconté. Je suis revenu la semaine dernière, en fin d’après-midi, chez Damien où, comme l’an dernier, les trois mêmes Africains étaient de nouveau en vacances. M’ayant tout de suite reconnu, ils m’ont demandé : — T’es encore épilé comme une femme ? — Bien sûr. — T’as encore le jockstrap pour te faire enculer ? — Évidemment et je veux bien que vous me fassiez tout ce dont vous avez envie, mais vous devez d’abord, comme l’an dernier, me lécher le cul et gober mes couilles. Ils ont essayé de discuter, mais j’étais déjà à poil dans l’eau, nu comme un ver bien lisse, écartant les fesses à deux mains, ma position favorite ; la rondelle, bien offerte. — Si on te lèche qu’est-ce qu’on pourra faire en plus de t’enculer ? — Tout ce que vous voudrez avec l’accord de Damien, il connait mes limites. Bandant déjà bien...
Vicky
il y a 5 ans

Vicky

Devenir esclave l'a libérée Je suis assise au bureau de réception. Aucun visiteur n'attend et seulement quelques rares techniciens sont au travail aujourd'hui. Le téléphone est désespérément silencieux. Je n'ai aucune demande d'information dans ma boite de réception. Même ma boite de courriel est vide, je n'ai que quelques pourriels à éliminer. Je suis seule avec ma détresse sans rien pour me changer les idées. Je sens la noirceur du désespoir m'envahir. Je me remémore sans cesse la soirée d'hier. La réception était un baume sur ma vie brisée. Je ne me souviens plus la dernière fois où je suis allée au restaurant. Cela devait faire des années que je ne m'étais pas fait servir. Et puis le vin était bon. J'en ai peut-être pris un peu trop, mais je sais que je n'ai pas été déplacée. J'ai dansé avec quelques confrères après le repas. À minuit, nous avons eu droit à un morceau de tiramisu avec du champagne. C'était la première fois que je mangeais du tiramisu, c'était magique. Puis la so...
Vicky 2
il y a 5 ans

Vicky 2

Je sens tout à coup mes muscles pelviens se contracter et pendant que ma maîtresse jouit, je sens une vague me frapper. Je ferme les yeux. Le gode qui est profondément en Natasha me transmet les vibrations des muscles de ma maîtresse, de mon amoureuse. Je garde mes bras croisés. Je sens que mon corps est couvert de sueur. Je suis dans l'expectative. Après plusieurs longues secondes à attendre, délicatement, Natasha me fait reculer la tête et sortir doucement le godemiché d'elle. Je réalise qu'elle a couvert mon nez, mes lèvres et mon menton de sa mouille. Une fois le gode hors d'elle, Natasha me maintient la tête un instant. Je la regarde, elle reprend ses sens. Je la trouve tellement sensuelle. Elle lâche ma tête et porte la main à ma bouche. Elle y attr a p e fermement le godemiché, le retire de ma bouche et le lance vers la porte de la salle d'eau. « Viens, nous allons nous doucher et je vais te nourrir. Tu l'as bien mérité. » Il est onze heures quand nous sortons de la douche....
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