Récits
Au clair de la lune chez les Africains
il y a 5 ans

Une nuit de bonheur

##### Après l’après-midi racontée dans « En jockstrap chez les Africains », suivit un bain de minuit avec, outre « mes » trois Africains et mon cousin, deux couples invités, un homme et trois femmes. Autour de la piscine, par un lumineux clair de lune, tous étaient nus, moi en jockstrap, totalement épilé, acceptant tout ce qui avait été convenu pendant le dîner : lécher tous les culs et les chattes, boire leur pisse, recevoir des giclées de sperme dans la bouche et sur le visage, me faire ramoner et fister le trou du cul à volonté, me faire étirer le paquet bite-couilles, me faire planter des pointes dans la peau des couilles et des aiguilles médicales dans les couilles, toutes pratiques dont je suis friand, j’aime que l’on s’occupe de mon corps. J’avais mis une condition préalable : me faire planter dans chaque fesse au moins cent épingles à tête ronde avec aiguille de 25 mm, j’en avais apporté davantage. Pour moi c’est une jouissance, hélas trop rarement réalisable, mes parten...
Naissance d’une Esclave
il y a 5 ans

Une histoire érotique de féminisation et transformation imposées

J'ai envie de vous raconter ce que j'ai vécu ces derniers mois. J'ai 24 ans et au printemps dernier, j'étais encore un gigolo. A l'époque j'allais souvent au théâtre. J'y allais par goût mais aussi parce que j'y rencontrais souvent des femmes d'un certain âge assez sophistiquées qui aiment s'offrir le luxe d'une nuit avec un homme très jeune. C'est ainsi que j'arrondissais mes fins de mois d'une façon très substantielle. Mais ce soir là, ma vie a basculé. A l'entracte, comme d'habitude au foyer je laissais traîner mon regard au hasard dans l'espoir de croiser celui de celle qui ferait de moi son amant pour la nuit. Comme souvent, une femme qui paraissait avoir entre quarante et quarante-cinq ans, me fixait. C'était une brune sophistiquée son visage qui, s'il n'avait plus la fraîcheur de celui d'une fille de vingt ans, montrait par contre une personnalité avec beaucoup de caractère. Je lui ai souri puis tranquillement je me suis assis à sa table. Nous avons commencé par échanger des ba...
La fête foraine
il y a 5 ans

Une très jolie histoire érotique avec du bondage et des contraintes en tout genre

Une très jolie histoire érotique avec du bondage et des contraintes en tout genre Seule dans l’obscurité Gwen regarde les écrans de télévision sur lesquels sa sœur et ses deux amies circulent librement, insouciantes et inconscientes de la menace qui pèse sur elles. Ces images sont insupportables mais la seule façon de ne pas les voir est de regarder les autres écrans de télévision et ce qui est montré lui est encore plus insupportable. Il s’agit d’elle bâillonnée, ligotée sur cette chaise fixée au sol, impossible à renverser. D’autres écrans affichent des gros plans de son visage et de sa bouche couverte par l’horrible bâillon. Et aussi de ses bras, de ses poignets, de ses cuisses et de son torse entourés de cordes qui pénètrent sa chair et la brûlent. Et enfin de ses yeux qui expriment l’effroi face au destin que lui ont promis ses ravisseuses. Pour peut-être la centième fois Gwen tire sur ses liens. En vain. Elle entend des visiteurs s’approcher de la roulotte où elle est empriso...
Retour chez les Africains
il y a 5 ans

Double fist

Au cours de l’été 2018, je m’étais livré en jockstrap aux grosses bites de trois jeunes Africains noirs, en vacances chez mon cousin Damien, je l’ai déjà raconté. Je suis revenu la semaine dernière, en fin d’après-midi, chez Damien où, comme l’an dernier, les trois mêmes Africains étaient de nouveau en vacances. M’ayant tout de suite reconnu, ils m’ont demandé : — T’es encore épilé comme une femme ? — Bien sûr. — T’as encore le jockstrap pour te faire enculer ? — Évidemment et je veux bien que vous me fassiez tout ce dont vous avez envie, mais vous devez d’abord, comme l’an dernier, me lécher le cul et gober mes couilles. Ils ont essayé de discuter, mais j’étais déjà à poil dans l’eau, nu comme un ver bien lisse, écartant les fesses à deux mains, ma position favorite ; la rondelle, bien offerte. — Si on te lèche qu’est-ce qu’on pourra faire en plus de t’enculer ? — Tout ce que vous voudrez avec l’accord de Damien, il connait mes limites. Bandant déjà bien...
Vicky
il y a 5 ans

Vicky

Devenir esclave l'a libérée Je suis assise au bureau de réception. Aucun visiteur n'attend et seulement quelques rares techniciens sont au travail aujourd'hui. Le téléphone est désespérément silencieux. Je n'ai aucune demande d'information dans ma boite de réception. Même ma boite de courriel est vide, je n'ai que quelques pourriels à éliminer. Je suis seule avec ma détresse sans rien pour me changer les idées. Je sens la noirceur du désespoir m'envahir. Je me remémore sans cesse la soirée d'hier. La réception était un baume sur ma vie brisée. Je ne me souviens plus la dernière fois où je suis allée au restaurant. Cela devait faire des années que je ne m'étais pas fait servir. Et puis le vin était bon. J'en ai peut-être pris un peu trop, mais je sais que je n'ai pas été déplacée. J'ai dansé avec quelques confrères après le repas. À minuit, nous avons eu droit à un morceau de tiramisu avec du champagne. C'était la première fois que je mangeais du tiramisu, c'était magique. Puis la so...
Vicky 2
il y a 5 ans

Vicky 2

Je sens tout à coup mes muscles pelviens se contracter et pendant que ma maîtresse jouit, je sens une vague me frapper. Je ferme les yeux. Le gode qui est profondément en Natasha me transmet les vibrations des muscles de ma maîtresse, de mon amoureuse. Je garde mes bras croisés. Je sens que mon corps est couvert de sueur. Je suis dans l'expectative. Après plusieurs longues secondes à attendre, délicatement, Natasha me fait reculer la tête et sortir doucement le godemiché d'elle. Je réalise qu'elle a couvert mon nez, mes lèvres et mon menton de sa mouille. Une fois le gode hors d'elle, Natasha me maintient la tête un instant. Je la regarde, elle reprend ses sens. Je la trouve tellement sensuelle. Elle lâche ma tête et porte la main à ma bouche. Elle y attr a p e fermement le godemiché, le retire de ma bouche et le lance vers la porte de la salle d'eau. « Viens, nous allons nous doucher et je vais te nourrir. Tu l'as bien mérité. » Il est onze heures quand nous sortons de la douche....
Je suis devenue une femelle exploitée
il y a 5 ans

Confidences érotiques d’une femme ayant vécu le BDSM au delà de l’extrême

Confidences érotiques d’une femme ayant vécu le BDSM au delà de l’extrême. Une histoire érotique hard. Le congrès débute en début de soirée par une session inaugurale précédée d'un cocktail de bienvenue. Je suis à l'accueil où je décline mon identité afin de recevoir mon badge, la petite pochette offerte à tous les congressistes et la clé de ma chambre. Alors que je viens de récupérer le matériel, je me rapproche du buffet. Je vois un homme s'approcher de moi en souriant. -Bonjour, je suis Monsieur Moreau, directeur de l'établissement, je vous souhaite la bienvenue pour votre congrès. Il doit avoir dans les cinquante ans, élégant, le regard intense, la voix suave. Son charme est indéniable. Sa sensualité évidente. Je ne me prive pas d'apprécier ce moment parce que je ne suis pas contre le plaisir des yeux. Je me dis que ce congrès commence bien. -Si vous avez le moindre souci, n'hésitez pas à venir me voir, je prendrai infiniment de plaisir à vous être agréable, me dit-il e...
Chronique de la vie quotidienne
il y a 5 ans

Les confessions érotiques d’une femme transformant son mari en esclave

Je m'en vais donc vous raconter ce qu'il en est réellement chez moi, et ce que je suis arrivée à bâtir après 17 années de mariage, mais surtout depuis 10 ans. J'avais autrefois souscrit au mariage d'une façon naturelle et harmonieuse. L'habitude nous jouant des tours, mon « futur esclave », qui pour l'instant n'était que mon mari, prit l'initiative de vouloir me dominer. J'appris très vite qu'il ne saurait en être question. Aussi, rapidement et pour notre plus grand bonheur, les rôles se sont inversés. N'ayant aucune expérience, Internet n'existait pas, plusieurs lectures firent mon éducation, ainsi qu'une Maîtresse X. Mes premiers pas furent nonchalants et peu assurés. Malgré tout un soir, je le pris au dépourvu: rentrant de son travail, je lui demandai de se déshabiller et de rester là à m'attendre devant la porte d'entrée du jardin nu comme un ver. Décidé à jouer le jeu, il ne dit rien, trop content de supposer la suite. Il resta là plus de deux heures, à éviter les quelques voi...
Kenza et l'alien
il y a 5 ans

La rencontre avec un alien

Le diaphragme d'accès au conduit d'aération se referma dans un chuintement qui se répercuta sans discrétion sur les parois d'acier de celui-ci. Kenza retint sa respiration à grand peine ; elle tremblait de toute part, terrorisée, est-ce que ÇA l'avait entendu? Pendant de longues minutes, elle n'osa pas bouger, faisant de son mieux pour ne pas pleurer, pour ne pas émettre le moindre son et pour calmer ses tremblements. La jeune femme n'avait jamais été très pratiquante, mais elle se surprit à prier pour qu'Allah lui vienne en aide. Ismahen, Siham, Hazim, Chakib, Joumana, Yanis,... Tous, les uns après les autres, la créature les avaient eus. Même le dernier de ses compagnons de bloc, Djafar qui avait été si courageux. La créature lui avait transpercé le crâne avec son espèce de langue, répandant des morceaux de cervelle et d'os dans tout le couloir, alors qu'il tentait de verrouiller le sas pour permettre à la jeune femme d'échapper au monstre. Heureusement pour elle, son sacrifice lu...
Obligée de collaborer avec les chinois
il y a 5 ans

Obligée de collaborer avec les chinois

Je m'appelle Hilge, j'ai 27 ans et je suis suédoise. Je suis dans l'avion à destination de Pékin, car j'ai choisi de passer un mois de vacances en Chine pour découvrir une partie de ce très grand pays en pleine mutation. Initialement, je devais être accompagnée par Anna, ma meilleure amie, mais celle ci est tombée dans la rue et s'est cassée la jambe quelques jours avant le départ. J'ai hésité à partir seule, mais finalement je m'y suis résolue ne sachant pas quand nous pourrions repartir pour un tel voyage. L'avion vient d'atterrir, nous passons maintenant les formalités de douane. Les douaniers chinois sont très nombreux et semblent très tatillons. Je patiente avec les autres passagers de mon vol. Lorsque vient mon tour et à la lecture de mon passeport, le douanier passe un coup de fil et je vois apparaître deux autres douaniers qui me demandent de les suivre. Je suis un peu étonnée, mon visa étant à jour, mais je les suis de bonne grâce dans une pièce à l'intérieur de l'aéroport....
Combattre lui donne des envies de sexe
il y a 5 ans

Combattre lui donne des envies de sexe

Combattre lui donne des envies de sexe C’est comme une D r o g u e : lorsque je sors victorieuse comme ce soir d’un combat par KO, seul le sexe est capable d’apaiser la tension accumulée par la rage de la victoire, par les regards des spectateurs avidement posés sur mon corps luisant de sueur, attendant le coup de grâce donné par l’une d’entre nous, pour alors se lever, applaudir et hurler d’admiration, de joie et d’excitation. Je retire le protège dents qui me déforme le visage et descends lentement du ring, les mains levées vers le ciel, promenant sur la salle un regard de défi. Au pied de l’escalier, m’attend Patrick, mon manager et mari. En passant devant lui, je lui arrache brutalement des mains le peignoir qu’il me tend et me dirige à grands pas vers le couloir des vestiaires. Ce n’est qu’une fois passée la porte, que je me permets de me laisser un peu aller et que je m’arrête, encore essoufflée, dos au mur, les yeux fermés, la tête rejetée en arrière. Derrière mes paupières...
Le Boucher
il y a 5 ans

Une histoire érotique hard d’un autre monde

Une histoire érotique hard d’un autre monde et à ne pas mettre entre toutes les mains. La décapotable filait dans l'air dense et lourd de cette fin d'août, à travers les denses forêts de pins de l'Est. Sa robe de flanelle rouge battait dans le vent, qui ne faisait rien pour empêcher la sueur de la lui coller à la peau, mais cela restait somme toute agréable, son mari lui jetant de temps à autre un regard plus qu'appuyé, regardant sa silhouette svelte et souple épouser le tissu, et ses seins amples et généreux poindre au travers du tissu léger et fin. Deborah ne connaissait pas du tout ce pays, mais Jim en était positivement amoureux, et cet enthousiasme avait transpiré dans leur escapade, et si les trois dernières nuits passés dans les pittoresques hôtels de la région prouvaient quoi que ce soit, il n'y avait pas que le romantisme qui était revenu en f o r c e dans leur relation. L'air embaumait la résine, que l'humidité de l'air imprégnait au tissu de sa robe. Une riche odeur d'...
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