Récits
Compte-rendu du week-end de rencontres ABDL en Camargue
il y a 6 ans

Compte-rendu du week-end de rencontres ABDL en Camargue

Ce fut un sublime week-end, pour ne pas dire un week-end de folie ! Le programme prévu (respecté à quelques détails près) + la dynamique de groupe exceptionnelle avec des membres volontaires, joueurs, taquins et respectueux ont fait que le temps est passé à une vitesse incroyable ! ! ! ! Le seul bémol porte sur les annulations. Voilà comment je gère la chose. Ceux qui ont prévenu par téléphone avec de bonnes raisons : Pas de souci, ce sont des choses qui arrivent à tous. Ceux qui n’ont même pas prévenu : Ce n’est pas la peine de tenter de vous réinscrire à un de mes week-ends, c’est non. Le minimum de respect à avoir c’est de prévenir. Positivons et avançons même si je l’ai mauvaise pour les annulations car j’ai refusé des gens qui auraient pu venir et s’éclater avec nous. UN GRAND MERCI A TOUS LES PARTICIPANTS POUR CE SUBLIME WEEK-END car ce qui a fait la richesse de cette rencontres, c’est vous avant tout. ......................................................... Je p...
Rencontre avec une jeune asiatique
il y a 6 ans

Rencontre avec une jeune asiatique

Rencontre avec une jeune asiatique Je me prénomme Cloelia, je suis une jeune femme de 21 ans. Je me suis installée dans mon nouvel appartement près du lieu de l'emploi que je viens de trouver, en fait je viens de finir mes études d'esthéticienne et je fais une formation par alternance. Au bout de trois semaines, je ne me sentais toujours pas à mon aise dans cette ville. J'avais dû abandonner mes amies pour m'installer ici, j'étais seule. Un week-end, ma meilleure amie, Alice, est venue me rendre visite à l'improviste. Très surprise, vue la distance qu'elle avait dû parcourir, je fus terriblement heureuse. Nous étions très proches, un peu comme des sœurs, alors pour fêter nos retrouvailles, nous avons décidé de sortir en boîte de nuit. Avant de partir, nous avons bu un peu, le prix des verres au « Bombai » est vraiment hors de nos moyens, on s'est enfilé un ou deux petits verres de Gin (j'adore ça ^^) histoire de papoter un peu. Donc nous partîmes vers 23h, afin d'arriver pendant que...
J'ai choisi le sexe Hard
il y a 6 ans

J'ai choisi le sexe Hard

J'ai choisi le sexe Hard Le sado-maso, c'est très mode en ce moment. On en parle a la télé, dans la presse et de plus en plus de couples s'essayent dans cette pratique a la recherche de nouvelles sensations. J'ai 34 ans, mais je n'ai pas attendu ce phénomène de mode pour offrir mon petit cul très sensible aux perversités d'un mâle dominateur. Je n'ai toujours joui qu'après une bonne fessée, quand mon derrière était bien rouge et brûlant. J'aime ça. J'adore me mette à quatre pattes, cambrer mes reins comme une vraie petite chienne et attendre qu'une main virile vienne me punir et me corriger. Perversion ? Peut-être .. Mais quel régal ! Attachée, c'est encore mieux. Même si je me laisse toujours faire, c'est encore plus excitant d'avoir cette sensation qu'on ne pourra rien refuser à celui ou a ceux qui sont avec vous. En ce moment, je rencontre régulièrement deux cadres supérieurs d'une grande entreprises. Ils ont la cinquantaine tous les deux et ils sont très experts dans ce domaine....
Le Moulin (Attention texte extrême)
il y a 6 ans

L'enfer dans un monde parallèle dans une société gynarchique où les femmes ont le pouvoir !

Dans un monde parallèle, une société ou les femmes ont le pouvoir ! Suite à un jugement inique, un domestique est placé dans un moulin ou règne des femmes despotiques ! Par ghose94 L’an 1536 en notre royaume de Goltémie la cour Royale de galindre rend le jugement suivant : -Moi Primie de ce tribunal spécial destiné aux cas de dépravations de la gente masculine, Lady Lucrèce, placée à la tête de ce tribunal déclare ; -Que le jour du 22 rosée de l’an 1536, condamnons le jeune Bastien à être détenu dès ce jour au centre de dressage N°12, et ce jusqu’à sa vente en place publique au grand marché aux esclaves de notre province. -Que ce dressage sera sans conteste possible, tous les recours effectué auprès de ce tribunal par son avocate, aucun recours n’étant admis. -Que la durée du dressage sera variable en fonction de la docilité du condamné. -Qu’à ce jour son nom soit effacé de nos registres et qu’il portera désormais le numéro d’esclave suivant 145B, que ce numéro ser...
Je jouis en grande fille et l’on me traite comme une gamine
il y a 6 ans

Je jouis en grande fille et l’on me traite comme une gamine

Paris, 1776. Quel bonheur ! Ma tante est venue la semaine dernière me chercher au couvent. Il paraît que je n’y retournerai plus. Je ne connaîtrai plus le fouet, les pensums, le cachot, les moqueries de mes camarades, la voix aigre des religieuses, et les devoirs qui empêchent de sortir par les beaux jours de soleil, et la cloche qui vous prive de sommeil le matin. Je n’ai plus maintenant qu’à me promener et à lire des histoires. Malheureusement celles qu’on me donne sont un peu plus morales que je ne le souhaiterais. À la place de ces ennuyeuses et sévères maîtresses d’autrefois, j’ai pour professeur un monsieur qui, ma foi, n’a point mauvaise tournure, et qui m’enseigne le chant et la danse. Je ne puis pourtant faire avec lui tout ce que je désirerais ; par exemple, je souhaiterais d’être seule avec lui, quand je prends mes leçons, mais ma tante ne me quitte pas des yeux tout le temps que le professeur est avec moi. Cela est ridicule et m’ennuie beaucoup. Est-ce que je ne suis pas...
Courtisée par le fils, par le père et par le Saint-Esprit
il y a 6 ans

Courtisée par le fils, par le père et par le Saint-Esprit

Courtisée par le fils, par le père et par le Saint-Esprit Ma tante, sur les conseils de monsieur le Curé, a résolu de me mener chaque matin à la messe, pour m’exciter, dit-elle, au travail et à la piété. Elle m’a dit, que pour aller à l’église, je devais revêtir une robe simple et négliger toute parure, mais le moyen de ne pas avoir quelque coquetterie quand on se sent regardée par tous les jeunes gens de l’endroit ! Je crois bien que ces visites à l’église n’auront point le résultat qu’elle espère. J’ai, au couvent, assez goûté de la religion pour en être à jamais rassasiée. Et puis ces vieilles bigotes ont tant de ridicules ! Valentine, dont le père est athée, m’a répété à ce sujet des paroles qu’elle avait entendues dans sa famille, et qui m’ont beaucoup donné à réfléchir. Comme beaucoup de bons esprits, aujourd’hui, monsieur Helvetius et monsieur de Voltaire, disait-il, jugent ainsi, je me passerais fort bien de la religion, des prêtres et des églises. Pour le moment, à la messe,...
Le cocu porte les dents de Kali en guise de cage de chasteté
il y a 6 ans

Le cocu porte les dents de Kali en guise de cage de chasteté

Jessica rayonne. Paul est son dernier amant en date, c’est un entrepreneur sur la toile, qui marche bien. Il est grand, élégant et financièrement à l’aise. Jessica l’a rencontré il y a quelques mois et s’est intéressée à lui de plus en plus, lentement mais sûrement. Jessica se demandait comment il prendrait notre manière inhabituelle d’être mariés, mais il l’a prise avec brio. Apparemment, il semble que la manière dont Jessica taquine et refuse, l’excite plutôt. Jessica annonce : « C’est le moment de mon bain ! » Avant que Jessica reçoive son amant, nous avons quelques rites pour préparer leur rencontre. J’aide Jessica à prendre son bain, je l’aide à s’habiller et, selon qu’elle me cocufiera dans notre chambre ou ailleurs, elle me prépare. Si elle me cocufie ici, dans notre maison, Jessica me fait en général revêtir quelque humiliante tenue. Jessica entre dans son bain. C’est évidemment un bain moussant. Elle me tend l’éponge. Ma responsabilité consiste à la laver. Je mets du savon...
Ma keyholder est vraiment une véritable garce sadique
il y a 6 ans

Ma keyholder est vraiment une véritable garce sadique

Ce soir, c’est le cinquième anniversaire de la dernière fois où Jessica m’a permis de jouir. Jessica m’avait parlé de cette soirée il y a environ un mois. Elle m’avait dit : « N’oublie pas que le 14 approche. Ce sera le cinquième anniversaire de la dernière fois où je t’ai autorisé à jouir. Nous allons le fêter. Ce sera une célébration que tu n’oublieras pas de sitôt ! » Je ne sais pas si Jessica voulait dire que j’aimerais ça ou si elle sous-entendait que ce serait douloureux. Bien que, compte tenu du fait qu’elle doit encore satisfaire notre accord de me laisser avoir des relations sexuelles avec elle depuis que nous sommes mariés, j’ai des doutes sur l’agrément que je vais pouvoir retirer de cette célébration d’anniversaire. Il est juste neuf heures du soir. Jessica m’enjoint de retirer tous mes vêtements et de m’asseoir sur notre lit. Je m’exécute, ne portant plus que ma cage. Jessica apparaît dans l’embrasure de la porte dans une tenue époustouflante. Elle est vêtue d’une tenue...
Mon apprentissage au service d'un couple dominateur
il y a 6 ans

Mi autobiographie, mi fiction, ce récit résume mes différentes expériences réellement vécues.

1 Première Rencontre : Après avoir répondu à de nombreuses annonces de couples dominateurs dans les revues spécialisées, j’ai enfin eu le bonheur d’obtenir la réponse positive d’un couple de Maîtres expérimentés; Celui-ci m’enjoignait de lui fournir un numéro de téléphone pour un premier contact préalable à une rencontre, prévue un vendredi soir de juin… Lors de ce premier contact téléphonique, l’avant-veille au soir, Maître Bernard m’avait fixé les conditions de cette première entrevue; Je devais me présenter chez mes Maîtres, dont la propriété est très isolée dans la campagne, à 21H00 précises, en ayant prévu d’apporter mon collier de chien ainsi que mon cock-ring, car ce serait ma seule tenue pour cette soirée dont je ne savais rien d’autre, sinon que si je ne faisais pas mes preuves je serais congédié le soir même, et qu’à l’inverse je devais prévoir de passer le week-end entier à leur service si mon pedigree leur convenait. Maître Bernard m’a seulement dit qu’ils entendaient...
Latex, plastique, pluie et bondage
il y a 6 ans

Latex, plastique, pluie et bondage

Aujourd’hui, jour de pluie, temps gris, rien à faire à part continuer de rechercher un nouveau travail. Pas très motivant comme activité depuis 7 mois, tant l’énergie à y mettre requière toutes mes f o r c e s. Lever tôt, à la même heure, comme si je partais travailler, comme si.. Continuer de faire comme si tous les jours. Terrasse du café avec les amis, discussion sur tout et rien. Lecture de la presse, des petits bobos du monde et les fesses à la Kardashian. Toujours seul, pas d’empathie ou de soutien des autres. Pas d’annonces, pas de proposition de job, rien, rien, encore le constat de devoir se remettre à l’ouvrage. Battre le fer, rappeler une énième fois les entreprises pour quémander des informations sur le cheminement de mes candidatures. Toujours la même réponse. C’est en cours, il faut attendre. Pour s’évader de cette tourmente, lire, peindre, sculpter, construire et façonner des objets…. et de temps en temps trouver encore le temps de fantasmer. Fantasmer, fanta...
Les punitions de la directrice sont très plaisantes
il y a 6 ans

Les punitions de la directrice sont très plaisantes

Cet entretien avec Aurore de Fontenoy, la directrice du collège privé de mon fils, m’ennuyait ferme. Curieusement, elle m’a reçu dans son appartement de fonction, au dernier étage du collège. Louis avait triché en classe et se voyait menacé de renvoi. En prime, c’était à moi qu’on faisait la leçon. Comme si c’était facile d’élever un gamin, seule ! Par ailleurs, j’avais un rendez-vous galant avec mon nouvel amant, à l’hôtel. Alors, les leçons de morale, j’avais hâte d’en finir ! Seulement, quand elle m’a accusée de mal élever mon fils, j’ai bondi : “Vous voulez peut-être que je vous fasse des lignes?” Elle a enchaîné: “Non, ce que vous mériteriez, c’est une bonne fessée déculottée, à l’ancienne. En plus, bien administrée, elle présente certains avantages…” J’ai vite compris à quoi elle voulait en venir. Cela faisait longtemps que je n’avais pas joué avec une femme. Et puis, elle était pas mal, madame la directrice… Au final, si je me débrouillais bien, j’évitais le renvoi à Louis. Je...
Une sacrée correction
il y a 6 ans

Une sacrée correction

Du temps où j'étais une chipie, j'avais un éducateur. Voici notre toute première rencontre. Août 2014. J’échangeais depuis quelques jours avec lui, Florent. Nous sommes passés au téléphone, et sa voix, déjà, m’a plu. De plus, il maniait l’humour avec facilité, sachant me rassurer tout en ne perdant pas le fil, si vous voyez ce que je veux dire. J’avais déjà reçu des fessées. Toujours pareil. On prend contact, on se rencontre, une fessée et ça s’arrêtait là. Je sentais que cela ne me suffisait pas. De plus, il était à Paris, moi dans le Sud, alors cela me freinait. Prendre le tgv pour une après-midi, ne me tentait pas du tout. C’est là, que j’ai osé proposer, alors que je ne le connaissais pas, de passer 2 jours chez lui. J’avais lu des récits, sur ces fameux « stages », et ce qu’il en ressortait me tentait vraiment. En même temps, c’était risqué. Je ne suis plus toute jeune, et la prise de risque n’est pas trop mon fort. Mais comme je l’ai dit plus haut, il avait su me rassurer. S...
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