Récits
Sous ceinture de chasteté au sérail
il y a 6 ans

Sous ceinture de chasteté au sérail

Les ombres dansaient au gré des flammes brûlant dans le foyer, l’odeur du bois sec en feu répandant sa plaisante odeur dans la librairie personnelle de l’homme, assis à son bureau d’acajou massif. La lumière offerte par un soleil mourant n’était pas suffisante pour écrire, et la lueur du feu n’était pas assez forte. Un humain normal aurait requis la lumière d’une chandelle ou d’une lampe, mais Arkann pouvait aisément s’en passer. Il écrivait dans son manuscrit, comme il le faisait tous les soirs depuis son plus jeune âge, décrivant une journée sans histoire, sans lustre, sans succès ou désastre. Il en était à sa septième page, n’omettant aucun détail, car son expérience lui dictait qu’un rien en apparence signifiant pouvait parfois devenir la clef lui permettant de résoudre des mystères. Il prenait grand soin de sa calligraphie, écrivant en un code que lui seul pouvait décrypter, dans une langue depuis longtemps disparue. Le code changeait chaque année, et il n’utilisait jamais la mê...
Pause déjeuné
il y a 6 ans

Pause déjeuné

Pause déjeuné Ton téléphone vibre. Tu sursautes. C'est un SMS : "je t'appelle dans 5 minutes, sois dispo !". Aie, tu n'avais pas prévu que je t'appelles aujourd'hui. L’excitation se mêle à une certaine peur. Tu sais que je peux te demander n'importe quoi... Tu t'arranges pour être seule et tranquille. Ton téléphone sonne, tu décroches sans hésiter. - Bonjour toi, en forme ? - Oui, ça va, et toi. - Parfait. T'es habillé comment ? - (Petite voix) Jean, Tee-shirt, chaussures plates. - Aie. Ça va te coûter cher ! J'imagine que dessous c'est à l'avenant ? - Oui... - Et tu as mon rosebud ? - Oui dans mon sac. - Tu rigoles, tu crois que je te l'ai offert pour que tu l'enfouisses au fond de ton sac ? - ... - Alors écoutes moi : tu vas aller chercher ton rosebud, tu vas aller aux WC, tu te le mets, t'en profites pour enlever ta culotte et ton sous-tif. A midi je passe te prendre. - Oui - A tout à l'heure. Une fois raccrocher, tu retournes à ton bureau, tu prends ton sac, d...
Secrétaire particulière
il y a 6 ans

Secrétaire particulière

Secrétaire particulière Amélia entra dans le bureau de son supérieur. Elle déambulait élégamment du haut de ses talons aiguilles, sa jupe de tailleur remontait discrètement à chacun de ses pas. Amélia adorait bien paraître, elle était généralement sexy et détonnait avec les gens du bureau. Son tailleur noir s‚agençait bien avec la classe qu’exigeait son poste, mais son chemisier rose fuchsia témoignait bien de son originalité et de son refus de cadrer dans les règles. En entrant dans le bureau d’Alexandre, ses talons aiguilles claquaient sévèrement sur la céramique. Elle regardait d’un air dédaigneux la pièce ostentatoire ment décorée avec les fauteuils en cuir et le bureau massif foncé derrière lequel trônait son supérieur hiérarchique. Amélia lui trouvait quelque charme certes, mais son comportement hautain et arrogant le lui rendait insupportable. ˜ Voici le rapport et les règlements pour l’exportation au Royaume-Uni que vous m’avez demandés. — J’espère que ce rapport ne contien...
Ordalie
il y a 6 ans

Histoire érotique hard

Petite précision de vocabulaire issu de Wikipedia : L'ordalie consiste à faire passer à l'accusé une épreuve physique décidant de son sort. L'accusé était revêtu d'habits religieux pour se soumettre au « jugement de Dieu », l'épreuve se déroulant sous le regard de la divinité tutélaire de la justice, qui va sauver l'innocent et empêcher l'injustice. Le duel judiciaire est une ordalie bilatérale. Les épreuves y opposaient les personnes aux prétentions contradictoires. Les deux parties s'opposaient dans un duel à m o r t . Le vainqueur de l'épreuve prouvait par ce jugement divin le bien-fondé de sa prétention. Ce combat m o r t el, allant toujours à son terme, était courant pour les affaires de crimes. Le choix des armes se faisant selon la classe sociale, seuls les nobles pouvaient se battre à l'épée ou la lance. Se généralisant au XIe siècle, ce duel se poursuivra sous la dynastie capétienne , les institutions religieuses voulant l'interdire mais finalement le tolérant car la divini...
Marcher la nuit attaché dans la forêt
il y a 6 ans

Marcher la nuit attaché dans la forêt

Au dessus de chez moi il y a une grande forêt domaniale, avec une route forestière de plusieurs km sans passage la nuit. Je quitte mon domicile en début de nuit (23h) et je vais à l'extrémité de la route forestière. J'y dépose les clefs pour ouvrir ma voiture dans un endroit discret et identifiable (au pied d'une grosse pierre). Je repars vers l'autre extrémité de cette route. Je gare ma voiture en retrait. Je me mets en mini-jupe de cuir, collant clair et de belles bottes en cuir à hauts talons. Je me passe un collier, que je cadenasse et j'y fixe des menottes, qui pendent donc sous ma gorge. Je sors de la voiture en la fermant de l'intérieur, les clefs des cadenas et des menottes à l'intérieur. C'est fait, je vais faire plusieurs km pour aller chercher les clefs de la voiture et autant pour revenir. Je commence à marcher en mini et talons. Je suis m o r t de trouille en guettant les bruit des voitures qui pourraient arriver ou pire des cyclistes ou des marcheurs que l'on n'ente...
Au cinéma ce soir
il y a 6 ans

Au cinéma ce soir

Mon maître m’emmenait au cinéma. Comme toujours, c’est lui qui avait choisi ma tenue, et je l’avais enfilée. Une jupe moulante rouge qui m’arrivait à mi-cuisses, en coton assez lourd, avec bas à couture et porte-jarretelles. Un soutien-gorge ouvert sous un chemisier rouge assez léger, mais pas transparent, et une des chaussures à talon assez hautes. Plus mon collier, et un Rosebud décoré d’une pierre rouge. Mon maître sait que me faire marcher avec ça, surtout en talons, est un bon moyen de m’exciter. Donc, de me faire pointer les seins. De son côté, il emporta un sac messager. Je savais d’expérience qu’il pouvait avoir tout et n’importe quoi dedans. Et aussi que cela me vaudrait des surprises. Une fois au cinéma, il acheta nos tickets et choisit les places. Je ne saurais plus vous dire de quel film il s’agissait, un polar je crois. Les bandes-annonces passèrent, puis les pubs, puis le film commença. J’étais un peu trop électrisée pour me concentrer, nous étions venus à pied – vingt...
Rosebud et moto avec des bisexuels
il y a 6 ans

Rosebud et moto avec des bisexuels

Nous sommes vendredi et avec Laure nous rentrons à l’appartement après avoir fait les soldes, chacune les bras chargées de nos achats nous sommes heureuses. Laure s’est achetée un ensemble veste et pantalon qui lui va à ravir qu’elle à complétée d’une petite robe assortie, en plus elle a dénichée deux corsages magnifiques et une paire d’escarpins à hauts talons, pour ma part j’ai trouvée deux mini-jupes et une jupe mi longue fendue, une paire de bottines et un top à dos nu. Nous sommes épuisées et décidons de nous détendre dans un bon bain. Une heure plus tard nous sommes installées nues au salon devant un verre de pur malt en écoutant de la musique douce. Après avoir bues un deuxième verre, Laure me dit : - Que dirais-tu d’une petite sortie ce soir. Je ne vois pas d’objections si nous ne rentrons pas trop tard, lui dis-je. - Tu sais bien que nous savons quand nous sortons mais jamais quand nous rentrons, me dit Laure. - C’est vrai, dis-je, comment vois-tu la soirée. Nous nous...
Talons féminins masculins
il y a 6 ans

Talons féminins masculins

Clic, clac, clic, clac… la rue est quasi déserte en cette matinée de printemps et il me semble qu'on entend qu'eux. Je suis rue de l'Université à Paris, présentement chaussé de souliers rouges et noirs à talons hauts et je me dirige vers la musée d'Orsay. La rue longe l'arrière de l'Assemblée nationale et je vais devoir passer devant les sentinelles de la Garde républicaine de faction à l'entrée du bâtiment. Je songe à changer de trottoir mais je me dis que ce serait une reculade et que ce mouvement illogique attirerait peut-être même l'attention. Clic, clac, clic, clac… j'avance le regard droit devant moi, isolé dans ma bulle de soumission. Le garde ne peut pas ne pas remarquer cet homme habillé normalement mais dont la démarche est particulière et résonne sur le trottoir. Je suis cet homme et j'obéis à ma Maîtresse Niva qui m'a prescrit une virée parisienne en talons hauts. Retour en arrière. Je me revois à Montréal trois mois plus tôt. Avec ma Maîtresse qui conduit, nous roulons p...
La fessée de l'intérimaire
il y a 6 ans

La fessée de l'intérimaire

La fessée de l'intérimaire Un soir de juillet mon chef me téléphone pour m'informer qu'au mois d'août, je ferai équipe avec une nouvelle intérimaire, car mon collègue habituel ne peut être présent le mois prochain. Très bien lui dis-je aucun problème particulier, tu sais au contraire faire équipe avec une femme ça me changera, et personnellement je préfère travailler avec une femme qu'avec un homme. Je travaille en effet depuis plusieurs années, dans une société immobilière à Paris. Je suis affecté au service de la direction informatique. Je m'occupe en particulier de l'impression des quittances de loyers, et de la mise sous plis de celles-ci. Arrivé à la date fixée le mois précédant, je fais la connaissance de ma nouvelle coéquipière, qui est une très jeune fille qui vient d'avoir ses dix-huit ans le mois dernier. Elle est très sympathique et elle se prénomme Laura. Elle travaille un mois pendant ses vacances pour se faire un peu d'argent de poche. Pendant le reste de l'année elle su...
La soubrette devient son jouet
il y a 6 ans

La soubrette devient son jouet

Depuis quelques semaines, je me rendais de façon hebdomadaire chez une Maîtresse du Nord de la France que j'avais rencontré via Internet. Elle avait 24 ans, était étudiante mais louait un bel appartement et était très mignonne. D'un commun accord, nous avions décidé que je serai sa soubrette. Chaque fois, le rituel était le même : à mon arrivée, et sans prononcer un mot, elle me montrait un grand sac où était rangé tout le matériel. Elle avait été elle-même m'acheter mes fringues en m'affirmant que pour tout ce que j'allais faire, ce n'était pas cher payé. Je revêtais alors ma tenue : une minijupe noire avec deux bandes de dentelle blanche et un petit tablier blanc (photo ci-contre), un porte-jarretelles avec des bas noirs assortis, un string noir en satin, des escarpins en vinyl (taille 42!), et un bustier rose à lacets, rembourré aux seins. Elle me maquillait ensuite légèrement et me mettait une perruque de longs cheveux châtains pour parfaire l'aspect. Cela fait, je devais alors...
A Machin, mon puceau qui ne l'est plus
il y a 6 ans

A Machin, mon puceau qui ne l'est plus

A Machin, mon puceau qui ne l'est plus Je fréquente toujours le sex-shop. J'y ai rencontré Michel, on est devenu intime, sûr l'un de l'autre, et on s'aime régulièrement, sans protection. Puis j'ai rencontré "Machin". Je ne sais pas son prénom. Il m'a sucé, et m'a dit que les mecs de sa cité l'appelait ainsi. Je lui ai donné rendez vous chez moi, et j'attends son arrivée avec impatience. J'ai connu pas mal de mecs, mais pour la plupart entre 40 et 70 ans. Alors un jeune de 22 ans est inespéré. Je sais déjà que j'aurais du mal à me retenir à son arrivée, et par précaution je me masturbe, me fais jouir plusieurs fois avant sa venue. Je referme la porte derrière lui, lui fais un gros bisou, et l'emmène au salon. Je lui propose de regarder une cassette pour se mettre dans l'ambiance, et vais chercher de quoi boire. Je reviens avec deux bières, le film a commencé. C'est un porno espagnol, où deux jeunes de 20 ans s'adonnent d'entrée à un 69 des plus torrides. Ils sont mignons, beaux, bie...
Chasteté confidences érotique d’une femme devenue Maîtresse
il y a 6 ans

Chasteté confidences érotique d’une femme devenue Maîtresse

Pour couper court aux langues de vipère, sachez que j'aime profondément mon mari malgré ce que vous allez lire. Il est le soleil de ma vie même si le mode de vie de notre couple n'est pas très orthodoxe. ................... Six mois après l'explosion de mon couple, je surfais sur www.fessestivite.com à la recherche de textes sympa pour me changer les idées (et m'amuser un peu) quand j'ai lu la phrase ci-dessus qui m'a perturbée. « Le moyen le plus rapide de contrôler le coeur d'un homme est de contrôler sa queue. Une fois que vous possédez sa bite vous pouvez facilement devenir le centre de son univers ». Les hommes ont vraiment une bite à la place du cerveau, pour tirer un coup, ils sont prêts à faire des folies et des conneries monumentales comme mon mari qui s'est barré pour une fille avec un beau cul. Elle lui a promis la lune et du SM, en guise de « lune » et de SM il s'est pris une raclé par le cocu. Quel con ! De fil en aiguille, de surf en surf, les « clics » m'ont condu...
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