L’histoire érotique d’une bourgeoise entraînée malgré elle dans la soumission sexuelle totalement involontaire. C’est seulement en fin d’après-midi qu’elle quitte la petite plage peu fréquentée où elle aime venir se baigner. Seule en vacances, son mari en voyage d’affaires à l’étranger, elle goûte ces journées sans emploi du temps précis et dont elle peux disposer à sa guise. À 50 ans, exerçant un travail lucratif dans une grande banque, épouse d’un mari attentionné, Nathalie mène une vie tranquille de bourgeoise qui profite des privilèges matériels liés à son statut. Son seul "vice" est la fréquentation de sites de littérature érotique, et le fantasme qui la conduit régulièrement à se masturber et à jouir comme une folle : dans une zone, dans une cave, dans un parking souterrain, une bande de voyous la poursuivent, la malmènent, la f o r c e nt, la v i o l ent. La plage est maintenant déserte, sauf ces quatre jeunes, deux Arabes et deux autres du genre voyous de banlieue, qu’...

L'histoire que je vais vous raconter s'est vraiment déroulée il y a peut être 2 ou 3 mois. Franchement séparé, je me préparais une soirée ennuyeuse seul à la maison, quand je décidais d'aller sur un site de rencontre afin de voir si je ne pourrai pas y faire une belle découverte pour, qui sait, passer le restant de la soirée, ou au moins celle du lendemain. J'y allais donc en étant sûr de moi et de pouvoir arriver à rencontrer quelqu'un facilement. J'ai environ 40 ans, brun pas très grand, mais d'après ce que l'on me dit plutôt mignon et surtout avec du charme. Donc, comme il m'était déjà arrivé quelques fois, je me dis qu'après un moment de discussion, cela devrait se faire. Je tombe sur cette femme de 30 ans, s'appelant Isabelle. D'après sa fiche elle est plutôt mignonne malgré quelques formes, mais rien de choquant. Nous commençons à discuter de tout et de rien, comme d'habitude, puis bien évidement, la discussion dér a p e sur l'intime. Elle me dit aimer jouer, chose à laquelle j...

Une fois n’est pas coutume, c’est moi qui vous demande une petite séance de fouet. Cela me fait bizarre, c’est rare que ce soit moi qui propose ce genre de séance. Mais j’en ai envie et vous me répondez oui. Je retire ma robe et me mets sous l’anneau. Je vous demande si je mets les bracelets et vous me laissez le choix. Mon esprit stoppe sur cette information et se demande si c’est un test. Je m’enlève cette idée de la tête et pose mes mains sur l’anneau. Vous me souriez et récupérez vos martinets. Vous commencez à me tourner autour, avec dans les yeux, une lueur de jeu et d’autre chose. Vous me chauffez doucement et je vous souris. Vous reposez les martinets et vous prenez deux fouets. Mon corps se tend quelques centièmes de secondes avant que les fouets me touchent pour la première fois. C’est un réflexe, je sais qu’il n’y aura aucune douleur réelle. Puis, vous commencez à danser avec les fouets. Vous passez de deux, puis à quatre, puis à six. Enfermée dans notre bulle, je monte...

Le doigt de Malaurie resta un instant en suspens au-dessus de la touche ‘ENTR’ de son ordinateur. Sur l’écran, les termes de son annonce dansaient devant ses yeux : Si vous êtes une dominatrice mature (+ de quarante ans), non fumeuse, lesbienne, dominatrice et extrêmement sévère, adepte des moyens de coercition les plus variés, rencontrons-nous. Je suis une jeune fille de dix-huit ans (depuis trois jours), soumise, très docile, très disponible, à la recherche de quelqu’un qui saura faire de moi sa chose, son objet. Comme je l’ai dit plus haut, j’ai dix-huit ans, je mesure un mètre soixante-sept et je pèse cinquante-six kilos. Mes mensurations sont quatre-vingt-quinze D, soixante-cinq, quatre-vingt-quinze. (Photos jointes) A bientôt, j’espère, belle inconnue. Les deux photos illustrant cette annonce lui avaient paru adaptées. Sur l’une, elle était debout, en soutien-gorge balconnet et string blanc, tête baissée, jambes très écartées, mains derrière la nuque. Sur la deuxiè...

Je m’appelle Nelly, j’ai 42 ans. Mariée depuis vingt-deux ans, je vis l’amour parfait avec mon homme. J’ai toujours été fidèle, sauf une fois, il y a quelques mois, au cours d’un déplacement professionnel… Cette aventure a changé ma vie sexuelle. En effet, l’homme avec qui j’ai passé la nuit m’a ouvert les yeux sur les plaisirs interdits du sexe. Jusqu’à ce fameux soir, pour moi, ma vie intime était celle de Madame tout-le-monde. Mon mari tentait bien des extras (il m’a fait la surprise d’un sextoy, une fois…) et, de temps en temps, il essayait de me charmer l’anus avec son index. Quand j’étais excitée, je le laissais entrer. Mais il était impensable qu’il aille plus loin qu’un bout de doigt ! Revenons à ce fameux soir. Après le dîner avec mon chef qui me complimentait et me racontait sa vie, je n’ai rien vu venir quand les serveurs nous ont annoncé que le restaurant de l’hôtel fermait. Nous avons fini notre conversation dans ma chambre. À partir de là, tout est allé très vite. Je m...

Je suis Lucie, j’ai 28 ans. Je travaille et vis à Paris. J’aime mon petit boulot de vendeuse. Une de mes collègues, Odile a un faible pour moi. Je ne l’ai jamais rejetée: elle est sexy, me plait beaucoup à tel point que nous passons deux ou trois nuits par semaine ensemble. Elle aime quand nous faisons des 69, comme moi. Je les épice toujours par un ou deux doigts dans son cul. Je sais, je commence toujours trop fort, mais c’est la vérité: pourquoi la cacher, j’aime l’amour, même si je suis divorcée. Mon ex baisait tellement mal que j’en ai changé plusieurs fois. Je me suis tournée vers l’amour « libre ». Je pense par là que j’ai la liberté de choisir mes amants ou amantes. La semaine dernière j’ai rencontré un type à la piscine: je n’étais vêtue que d’un bikini ultra court. Je sais qu’on pouvait me voir la moitié au moins des seins dont les tétons, les curieux regardent toujours ce qui se passe, et de mes fesses: je suis un peu exhibitionniste, quand il m’a vue, il est passé sous m...

Rentrant pus tôt chez moi ,j'en profite pour me préparer a devenir cette créature qui est en moi depuis ma puberté. 10 ans après l'apparition de bourgeons mammaires et la prise d'hormones mes seins sont a présent bien formés. Au milieu de mes larges aréoles bien roses des tétons plus foncés se dressent suffisamment présents pour se faire remarquer. J'aime tellement ma poitrine en temps normal je me pose soutien-gorge en en 90 D ? mais depuis peu je ne porte plus que des soutiens gorge demi balconnets pour qu'ils reposent sur les mini bonnets bordés de dentelle ainsi je peux les voir et laisser passer mes tétons a l'extérieur. Les anneaux qui transpercent les tétons pendent dans le vide, ma verge est encagée, comme j'ai découpé celle ci suffisamment mon gland ressort totalement libre. Je me met un corset que je lace maintenant a fond pour que mes hanches se découpe sous ma taille réduite. C'est avec plaisir que j'agrafe mes 6 jarretelles a mes bas nylon............ cela commenc...

Cela faisait longtemps que j’avais envie de découvrir ce monde, qui pourtant, me faisait peur, que je ne comprenais pas. Comment peut-on aimer avoir mal par exemple ? Le paradoxe est que ce monde ne me laissait pas indifférente. Je fouinais de site en site à la recherche de témoignages qui ne soient pas fantasmagoriques. L’écrit c’est bien, on se fait ses propres images en s’imaginant être la victime consentante. L’envie de voir des images et vidéos m’a titillée bien sûr, cela a encore plus augmenté mon paradoxe : dégoût, peur, incompréhension et en même temps, une forme d’excitation perturbante. Un jour, ou plutôt une nuit après que les amis soient partis, j’ai osé créer un compte sur Fessestivites, le champagne que nous avions consommé sans modération devait y être pour quelque chose. Ce premier pas, je ne pensais pas le faire un jour, ce n’était que le premier d’une longue série de premiers pas. Le second premier pas, a été celui de contacter un Maître par la messagerie du site po...

#### J'aime bien l'auto bondage, la self servitude et le plaisir sous la contrainte. Mon colocataire était parti voir ses parents à Paris. A cause des premières chaleurs, je me promenais nue dans l’appartement après avoir pris ma douche. Je joue parfois avec le jet de la douche orienté sur mon petit bouton magique. Comme il avait pris la sienne avant de partir, je n’ai pas pu aller au bout de mes envies, l’eau froide à cet endroit si sensible de mon anatomie aurait tendance à refroidir mes ardeurs coquines. Vautrée dans le canapé, l’envie de surfer sur Fessestivites, mon site préféré parce qu’il y a vraiment de tout comme histoires érotiques et vidéos, je me suis à nouveau enflammée les sens. Une vidéo de selfbondage m’avait donné des idées très perverses de bondage et de soumission puis de sexe. Ma caisse à jouets n’est pas très grande mais contient déjà de quoi faire pour satisfaire mes envies coquines. J’ai donc sorti un collier qui se cadenasse, des menottes, des cordes de...

Le 1 mai 2017 je surfais, un moyen comme les autres de combler ma solitude de fétichiste trop timide pour s’assumer. Cette timidité fait que je n’ai presque plus d’ongles tant je les ronge, elle est cruelle en tout point. Est-on timide de naissance ? Est-ce notre éducation qui nous rend timoré ou bien quelques événements traumatisants ? Je ne sais pas, mais j’ai tendance à être tendu, embarrassé pendant une interaction sociale, spécialement avec des gens non familiers que je croise et plus particulièrement les filles. J’ai bien essayé de faire des rencontres, mais elles provoquent en moi une augmentation de l’excitation physiologique, mon coeur s’accélère, j’ai des tremblements, pire encore, je transpire. Cette nervosité doit se sentir, faire peur, je la juge responsable de tous mes échecs. Comme je n’arrive pas à me soigner, je me suis muré dans ma solitude, mes contacts ne sont plus que virtuels. A la maison, je me suis totalement laissé aller à mes besoins de régression, une vale...

J’ignore comment j’ai fait pour me retrouver dans cette situation. A vos pieds, yeux bandés, mains attachées dans le dos, avec interdiction de parler, sauf en cas de soucis et pour répondre à vos questions. Me voilà privée d’un sens et de la possibilité de m’exprimer. Moi qui en général ne suis pas une grande bavarde, je me sens soudainement coupée de l’humanité. Ma notion du temps est totalement perturbée, j’ai l’impression que cela fait des heures que je suis ainsi. J’ose donc m’exprimer : « Je ne sais pas ce vous me reprochez Maître. Mais, si je puis me permettre, ce n’est pas en me laissant dans une telle situation que je comprendrais. » Je ne vois pas votre réaction mais je la ressens. L’atmosphère se refroidit. C’est comme si nous venions de perdre dix degrés. Votre voix est plus que glaciale quand vous me dîtes : « Comment oses-tu me parler sur ce ton ? Et encore plus sans avoir reçu la permission de parler ? ». Je suis uniquement capable de murmurer un « Pardon Maître » à pei...

J’ai trompé mon mari J’ai trouvé un job de secrétaire à mi temps. Enfin j'ai à nouveau une vie sociale après des années à rester chez moi à garder les gamins. Au niveau du sex avec mon mari c'est la routine. On baise quand il n'est pas fatigué ou quand je n'ai pas mal à la tête. Je suis une femme tout à fait normale voir un peu coincé du cul car pour faire l'amour je demandais toujours à mon mari d'éteindre la lumière ... Dès mon premier jour au boulot, mon patron me présente un peu tout le monde, ça veut dire tout ceux qui viennent boire le café. C'est une petite boite mais situé dans des bâtiments où plusieurs petites sociétés se côtoient. Tout ce petit monde prend à 10h00 le café en commun. Je suis la seule femme. Au départ les discussions vont de tout à rien puis au fil des semaines le coté Homme resort dans les discussions comme si j'étais aussi un homme. Chacun y va de ses exploits durant le weekend. Personnellement ça me fait marrer car je sais que les trois quart sont des i...