Récits
Le patron de mon père me fait fondre
il y a 8 ans

Le patron de mon père me fait fondre

Le patron de mon père me fait fondre -Bonjour, vous attendez M. Demetri ? Je me retourne vivement, surprise. - Oui, c’est mon père, vous savez où il est ? Je l’attends depuis maintenant dix minutes, et toujours rien. Je suis déjà persuadée qu’il a oublié et qu’il est rentré en métro, alors que je l’avais prévenu que je viendrais le chercher. Vu que je suis revenue à la maison depuis peu, pour prendre quelques vacances après mes concours et voir ma famille, je me propose souvent pour rendre service, mais visiblement, mon père est toujours aussi tête en l'air. L’homme qui vient d’ouvrir la porte du bureau semble réfléchir une minute puis annonce : - Je ne l’ai pas vu, il va peut-être arriver. Je vais aller voir si je le trouve, ajoute-t-il avec un clin d’œil. Je rougis un peu, étonnée, et acquiesce. Ce clin d’œil avait quelque chose de charmeur, comme le personnage d’ailleurs, dans ses vêtements élégants sans être trop classes, et puis avec cette chevelure gris poivre – allez savoi...
Accident de selfbondage
il y a 8 ans

Accident de selfbondage

Soumise Sandrine profite de l’absence de son Maître pour s’accorder quelques plaisirs. Rien que de mettre ses ballets boots noires et vernies avec des talons extrêmes l’excite. Poser son bâillon génère quelque chose entre ses jambes car le miroir lui renvoie l’image de sa soumission et de son abandon imposé, quand il l’attache pour lui faire des choses parfois très sexuelles. Comme elle sait pouvoir rejeter le bâillon, elle rajoute du gros scotch avant de poser son harnais de tête. L’excitation est à son comble lorsqu’elle entrave ses jambes et pose le cadenas aux anneaux reliant ses ballets boots. Lorsque sa main s’aventure sur son body noir très sexy, elle se gronde elle-même en se disant « non c’est trop tôt ». Elle se lève doucement et à très petits pas dans un équilibre précaire à cause des ballets boots, elle parvient au portique ayant servi à suspendre le sling avant hier soir et à l’obliger à se tenir droite maintenue par la tête hier soir pendant qu’il la fouettait. Elle mont...
EN CAGE depuis 6 mois
il y a 8 ans

VOILA je suis membre depuis longtemps je n'ai jamais jamais raconté ni posté une photo Mon histoire est très simple je ne connaissais pas la chasteté je l'ai découvert par hasard J'ai une maitresse qui est institutrice donc pour elle la cage et chasteté était ces ennemis on avait des relations classiques et normales. Ce jour le 8/03 mars cela fait 6 mois que je suis enfermé nous avons signé une charte elle me libère quand elle le décide me masturbe le plus souvent 30 sec maximum et puis me renferme Elle prend sont pied avec des jouets et maintenant cela la stimule à chaque fois Nous avons encore des relations complètes mais elle maitrise Elle adore et je prends mon pied je la respecte beaucoup plus qu'avant Pour ceux qui veulent franchir le cap je le conseile. Ludo
Visiteuse médicale en trio
il y a 8 ans

Visiteuse médicale en trio

Visiteuse médicale en trio En ce jour de juin, alors que l'été s'annonce, Mylène se retrouve dans une salle d'attente d'un cabinet de médecins, aux fins fonds d'une campagne comme beaucoup d'autres, parmi des malades reniflant et toussotant, probablement du fait du rhume des foins. Elle aura bien de la chance si elle sort intacte de ce nid à microbes. C'est l'un des gros inconvénients du métier de visiteuse médicale, qu'elle pratique depuis plus de vingt ans. Avec les kilomètres en voiture, les nuits à l'hôtel et les tablées solitaires au restaurant, à repousser les dragueurs lourds. Il faut dire que malgré ses 50 ans, Mylène en jette encore. Avec ses cheveux mi-longs blond vénitien, son corps mince et son élégance naturelle, elle fait facilement dix ans de moins. C'est en tout cas ce que les hommes lui disent. Surtout les médecins. Et même son patron : - Mylène, vous êtes notre meilleure publicité pour le Restor, lui dit-il parfois pour lui être aimable, car ça lui arrive, à cette p...
Rencontre saphique en avion
il y a 8 ans

Rencontre saphique en avion

Je m'étais offerte un voyage aux Etats-Unis l'été dernier. Je louais des voitures ou bien prenais l'avion. Dans ce pays on prend l'avion comme on prend un autobus. Au milieu de la cabine, il y avait trois fauteuils qui se faisait face. Je m'y installais le plus souvent possible, car ce système favorise la conversation et cela me permettait d'améliorer mon Anglais. Je me souviendrais toujours d'un certain vol qui dura deux heures. D'habitude, je voyageais toujours relax, en tee-shirt et jean, mais cette fois là j'étais sortie d'un restaurant en catastrophe et ne m'étais pas changée. Je portais donc un chemisier en soie légèrement transparent, une minijupe noir et des bas. Cette fois ci il y avait aussi que des filles qui m'entouraient. Elles discutaient au début entre elle me laissant de côté. Ma voisine de face semblait fascinée par mon chemisier. Elles étaient aussi belles les unes que les autres. La conversation prit fin et la blonde assise à ma droite commença à discuter avec moi....
Soumis par son coloc GAY
il y a 8 ans

Soumis par son coloc GAY

Soumis par son coloc GAY Jules et Florian étaient amis depuis leur e n f a n c e , ils avaient suivis la même branche et avaient été accepté dans la même école à Paris. Ils ont choisi de se mettre en colocation au vue des prix des logements de la capitale. Nos deux amis se retrouvèrent en colocations avec un 3e jeune homme, Sam mais il n'était pas souvent à l'appartement. Jules était un grand type de 19 ans, châtain, aux yeux marrons, très musclé mais assez fin, 1m90 pour 75-80kg. En plus d'être très beau il avait une bite très impressionnante… 25 cm de plaisirs. Jules était bogoss et il le savait !!! Macho pure et dur il ne crachait jamais sur une partie de jambe en l'air aussi bien avec des filles qu'avec des mecs. Il adorait que son partenaire voue un culte a son membre, il voulait un esclave pour satisfaire tous ses désirs et ceux de sa bite, mais ce genre de qualité était dur à trouver chez les filles c'est pour cette raison qu'il se tournait régulièrement chez les mecs. Floria...
Ma première épilation par un Maître
il y a 8 ans

Ma première épilation par un Maître

Cela faisait déjà quelque temps que nous discutions, Maître XXX et moi. Nous nous étions rencontrés une première fois dans un café. Nous avons longuement discutés. Puis, nous nous sommes revus pour une première séance ultra soft chez lui. Celle-ci s’étant très bien passée, j’avais accepté sa proposition de le revoir pour une séance un peu plus poussée. J’attendais cette nouvelle rencontre avec impatience. J’avais tout prévu. Séance d’épilation deux jours avant pour ma petite personne au complet sauf le maillot. Cela, je n’en avais pas eu le courage. J’avais prévu un rasage de près le midi même, histoire que tout soit parfait. Mais tout le monde le sait, rien ne se passe jamais comme prévu. Je dus quitter le travail plus tard que d’habitude et le rasage avait dû être oublié afin de ne pas louper mon bus. Je ne voulais pas arriver en retard. Pour moi, la ponctualité est la politesse des rois donc pas question d’être en retard. Bon si les transports s’y mettent je n’y pourrais rien,...
De mes petits défis à l’auto bondage
il y a 8 ans

Le selfbondage est un moyen de faire du BDSM tout seul

Dès mon plus jeune âge j’ai été attiré par le BDSM. Bien entendu, ça n’était pas sous une forme élaborée et sexuelle. Simplement les scènes ou les récits où il était question de liens, de chaînes, de fouets, d’esclaves peu ou pas vêtus m’attiraient et me troublaient. Ce fut un de mes clichés favori de masturbation. En parallèle j’ai bien sur expérimenté une sexualité tout à fait classique avec des copines, puis quelques liaisons, mais évoquer les jeux SM, même très softs, était tout simplement inimaginable, sauf à passer pour un dangereux détraqué. Il faut dire que c’était il y a déjà pas mal d’années et qu’histoire d’O était considéré comme un délire érotique irréaliste et irréalisable. J’ai eu ma première expérience de dominateur, par hasard, à 24 ans. Je suis resté dans cette attitude pendant une dizaine d’années. Jusqu'au jour où une « esclave » particulièrement coquine et joueuse a demandé à inverser les rôles. J’ai dit oui, je confesse que ça ne m’a pas déplu, et je suis donc dev...
Ma première fois en femme
il y a 8 ans

J’ai toujours adoré les vêtements de femme et j'ai osé

J’ai toujours adoré les vêtements de femme. Dès ma plus tendre jeunesse j’étais subjugué par les collants de mes camarades, de ma mère, de ma cousine... J’étais à cette époque loin de savoir ce que je serais capable de faire quelques années plus tard. Et me voilà étudiant, les boutons d?acné, et puis une timidité excessive. Je ne m’intéresse pas aux filles pour la simple et bonne raison qu’elles ne s?intéressent pas à moi. C’est clair qu’avec la quantité de boutons que je me payais, mon seul espoir aurais été de me prévaloir de télécommande universelle auprès d’elles. C?est alors que m’est venu une idée, moi grand admirateur de la garde robe féminine, pourquoi ne pas me déguiser en fille comme ça juste pour voir. A cette époque je fantasmais pas mal sur les filles en jupe ou robe et plus particulièrement en collant. La façon qu’a le collant de suivre le galbe des jambes m’excitait. Et puis le bruit aussi, le crissement au frottement des deux jambes...hmmm et puis le pied qui rent...
Une aventure érotique Urolagnie
il y a 8 ans

Une aventure érotique Urolagnie

Je suis une petite cochonne de vingt deux ans, un mètre soixante cinq, un peu moins de cinquante kilos, yeux noisettes, cheveux châtains, joli minois qui me donne l’air naïve et pourtant… Je suis loin d’être un ange ! Je dis que je suis cochonne parce que mon vice est considéré comme sale pour beaucoup de gens. Mais pour moi, je ne peux pas concevoir une relation amoureuse sans ce petit grain de folie… Ma perversion, c’est l’ondinisme ou aussi appelé urophilie ou encore urolagnie. J’aime faire pipi devant les hommes ou les femmes, j’aime pisser sur mon partenaire ou que celui-ci me pisse dessus… C’est particulier je vous l’accorde mais je ne peu pas m’en empêcher ! Depuis que je me masturbe, je fantasme sur les sexes d’hommes en érection mais aussi sur des sexes d’hommes en train d’uriner… Très jeune j’avais repéré un coin où les soirs de fêtes de mon village, les hommes venaient pisser. Cette petite ruelle était éclairée par un lampadaire public qui me permettait de tout voir… Sur c...
Le cauchemar d’un soumis chez des lesbiennes
il y a 8 ans

Le cauchemar d’un soumis chez des lesbiennes

- Arrête de rêver, c'est biologiquement impossible ! Dit Karen à propos des envies maternelles de sa compagne. Elle passa la main sur sa cuisse, un éclair malicieux dans les yeux. Margaret la repoussa d'un air morose. - Qui a dit que je devais procréer ? - Eh bien, ils n'autorisent pas les lesbiennes pour l'adoption, enfin pas encore en tout cas. Karen étira d'une manière languissante son corps nu et bronzé, sur les draps froissés. - Je ne parle pas d'adoption, tu te souviens de George ? Demanda Karen en riant franchement à l'évocation du souvenir. Cette créature que tu avais ramené du travail, notre esclave pour une semaine. C'était amusant ! Est-ce que tu penses que quelqu'un comme ça pourrait être notre bébé ? lui demanda-t-elle. Un froncement de sourcils apparut sur le visage de Margaret. - Pourrais-tu t'expliquer s'il te plait ? - Je te parle d'un bébé mâle qui a déjà grandit. Encore mieux qu'un esclave. Beaucoup d'hommes aiment s'habiller et être traités comme des bébés....
Punition douloureuse
il y a 8 ans

Une vraie fessée punitive

Une nouvelle fois, je relevais la tête pour lire l'heure sur la pendule. Cela faisait maintenant 10 minutes que j'étais là. Ma position devenait inconfortable, j'avais mal aux genoux, mal aux bras. Et aussi un peu au dos. Rien de très douloureux, mais suffisamment inconfortable pour avoir envie de changer de position. Mais je ne pouvais pas bouger, enfin je ne devais pas. Je suivais à la lettre les 2 lignes du mail que j'avais reçu le matin même. "A 15h00, tu seras à 4 pattes sur la table basse du salon, les fesses nues, ton comportement d'hier soir ne m'en laisse pas le choix, je dois te punir pour que tu comprennes". Le message était court, direct. Ni bonjour, ni au revoir. Juste des instructions à suivre à la lettre. Il faut dire que j'étais en faute : je m'étais comportée n'importe comment lors d'une soirée organisée par son entreprise. Je m'étais laissée emporter. Emporter par la boisson, par cet homme qui me draguait ouvertement et avec qui je flirtais sans retenue. Il faut di...
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