Récits
Des minutes sous la douche
il y a 8 ans

Voilà une histoire qui me revient. Elle n'est pas très ancienne, on va dire il y a 2 ou 3 ans, à l'automne. Elle a commencé par un contact sur Internet, je ne sais plus très bien à travers quel site, à la suite d'une de mes annonces mentionnant mon goût très prononcé pour les jeux uro. Et elle a abouti à une rencontre, pendant une journée entière, dans une chambre d'hôtel que j'avais retenue, vers Aix-en-Provence. A. (je vais appeler ainsi cette partenaire d'une fois) était un peu en retard (je connais l'attente, l'incertitude, le stress et l'excitation qui vont avec). Lorsque j'ai ouvert la porte, j'ai été un peu surpris puisque la femme que j'avais devant moi ne correspondait pas tout à fait à ce que j'imaginais, plus âgée, plus ronde, moins douce et moins dans mon style que ce que nos échanges virtuels et téléphoniques m'avaient laissé supposer. Je crois qu'elle a été également surprise par la personne en face d'elle (moi) qu'elle avait peut-être imaginée davantage bcbg, en costume...
Prise de controle
il y a 8 ans

Une employée découvre ses affaires de bébé adulte et....

Je m'appelle Christian, j'ai trente ans et je suis célibataire. Il y a plusieurs mois, j’ai engagé Valérie une femme de ménage âgée de vingt-huit ans. Elle vient deux fois par semaine, le mardi et le vendredi. Elle s'occupe du ménage et quelques fois du repassage. Chapitre 1 Ce jour là Valérie est dans l'appartement de Christian et fait le ménage, alors que ce dernier est à son travail. Elle passe l’aspirateur. Lorsque soudain son portable vibre dans sa poche. Elle coupe l’aspirateur, regarde qui l'appelle et répond. - Salut Agnès, s'exclame Valérie. - Salut Valérie, tu vas bien ? - Oui ça va, mais il fait chaud et j’en ai marre de faire le ménage. - Tu as bientôt fini ? - Oui, Agnès j’ai même une heure trente d’avance sur l’horaire. - Mais c'est génial ça ! Je suis au café pas loin de chez ton patron, tu viens me rejoindre ? - Non merci Agnès c'est gentil de m'inviter. Peut-être une autre fois. Je vais profiter de son absence pour ranger des trucs en plus, comme ça...
Un plaisir contraignant..
il y a 8 ans

Tout commence par des échanges, des jeux de regards. Je le sens joueur, moi aussi. Il s’approche, me frôle puis me déshabille, lentement. Le contact de sa peau me fait frissonner, promesses d’autres caresses à venir, il titille distraitement de sa langue mes tétons en proie faciles qu’ils sont. Mon corps est aux aguets et n’attend qu’une chose, la suite. Il place un bandeau sur mes yeux, je souris. Mes yeux sont le meilleur bandeau que je puisse avoir. Lorsque je pars, il reste clos jusqu’à ce que j’arrive enfin à redescendre de mon petit nuage, mais il s’occupe de moi et m’aide à me mettre en condition. Il me soulève comme-ci je ne pesais rien et me pose sur la table. Je me retrouve à quatre pattes, nue, les yeux bandés, mon excitation monte en flèche. Je l’entends délier des cordes.. Il m’attache un bras, puis l’autre de sorte que je ne puisse que poser mes coudes. Je m’inquiète un peu de la position, cette nouvelle indécence me gêne un peu, mais nous sommes seuls, mais surtout j’...
rêve ou réalité (2)
il y a 8 ans

Et ça continue, je suis à l'hôpital dans la salle d'attente des urgences, devant moi une dame vraiment charmante, habillée d'un blouson à gros col, d'un jeans moulant et de bottes de cuir hautes avec hauts talons, elle est restée pratiquement 1/2 heure en face de moi, et bien vous ne pouvez pas vous imaginer tout ce qu'il m'est passé dans la tête, et pour ne pas arranger le bazar, une vingtaine de minutes plus tard, une autre dame est entrée, elle a retiré son long manteau et puis s'est installée, vêtue d'un pull un peu serrant qui laissait deviner une magnifique poitrine, une jupe de longueur normale (juste au-dessus des genoux), des bas sombres légèrement reluisants, et une paire de chaussures à talons mi-hauts, c'était encore pire, je suis sûr que mon coeur battait à 200 coups/minute, j'étais en transe. Là, mon imagination a fonctionné à du 300 km/h, tout y est passé. Mais hélas, une fois de plus, je suis rentré seul chez moi, je me suis rendu aux toilettes pour me soulager en me...
rêve ou réalité ?
il y a 8 ans

Il y a peu, j'ai fait un rêve ou bien un cauchemar, je ne sais pas comment le classer, j'ai rêvé que je me retrouvais seul comme homme avec quelques dames et qu'elles m'ont fait subir toutes les humiliations possibles, j'étais devenu un objet pour elles, quand je me suis réveillé, j'étais un petit peu retourné, et je dois même avouer que j'avais déchargé dans mon slip. Depuis ce rêve, j'ai d'étranges sensations chaque fois que je me retrouve seul en charmante compagnie, je m'imagine des histoires folles en les regardant, je suis divorcé depuis un moment maintenant et franchement j'aimerais trouver ce qui est devenu plus qu'un fantasme pour moi, je sais qu'il ne faut pas prendre ses rêves pour des réalités, mais voilà .... Ce rêve me travaille à un tel point que j'y pense des heures entières.
Un clystère pour Jeannine
il y a 8 ans

Un clystère pour Jeannine

Jeannine est une fille qui découvre bien des plaisirs en compagnie de ses copains un peu plus âgés... Georges me dépose sur le sofa et il s'absente. Hervé et Albert viennent me butiner de concert. Ils sont très excités. Quelques instants après, Georges réapparaît. Il porte un appareil qu'il dépose, couvert d'une serviette, sur une petite table. Je le reconnais bien car maman m'en a fait souvent subir. Dans la salle d'eau il va chercher le nécessaire et les accessoires: vaseline, lingettes, serviette, tampons... - Qu'est-ce que c'est? je demande effarée en me levant. Je devine que c'est pour mon cul. Il n'y a pas de doute. - Un clystère! répond, calme, Georges. Comme la fessée, le clystère peut avoir un but médical, punitif ou érotique. Or, rassure-toi, celui-ci n'a pas un but médical, ni punitif, quoique tu le mériterais! - Mais moi, j'en veux pas! m'écriais-je. Je n'admets pas! Je ne permets pas qu'on me traite de la sorte! - Doucement, petite fille! me dit calmement Georges. I...
electrostimulation de la verge quel est le plaisir
il y a 8 ans

electrostimulation de la verge

electrostimulation de la verge quel est le plaisir ça donne je vous conseille de le tester vous allez prendre beaucoup de plaisir
Une sensation voluptueuse
il y a 8 ans

Une sensation voluptueuse

Mon nom est Agnès et j'habite Namur. L'année dernière, j'ai dû consulter un médecin parce que j'avais du s a n g dans les selles. J'ai quarante ans, et jusqu'à présent, mes visites chez le médecin se sont limitées à des visites gynécologiques pour ce qui est de mon intimité. Je me suis donc rendue à la consultation d'un spécialiste. Après m'avoir questionnée, il m'a demandé de me déshabiller et de me mettre à genoux sur la table d'examen. Je me sentais très gênée, surtout par la présence d'un étudiant qui n'allait rien perdre de ses gestes, et par celle d'une assistante. C'était une jeune femme d'une trentaine d'années, très jolie, mais dont le regard inquisiteur ne me mettait pas en confiance. Le docteur me demanda de me mettre sur mes coudes. J'avais gardé mon slip J'écartai alors les jambes au maximum. Je sentais tous les regards braqués sur moi, mais le docteur, derrière moi, me parlait très doucement. Il me dit de me décontracter, que ce ne serait pas douloureux. Je me sentais g...
Crois-tu sainte André ?
il y a 8 ans

Crois-tu sainte André ?

Ce texte est un des rares qui est survécu le reste ayant été détruit je vais le continuer au fur et à mesure du temps qui passe. Les pavés défoncés rue des Arquebusiers renvoient l'écho du fiacre aux larges roues et d'une caisse noire laquée d'un sombre aussi profond que ses grands yeux ouverts sur l'histoire en devenir. Affublé d'une simple robe de toile rêche et de sabot en buis son esprit court plus vite que la marée inondant son s a n g . Elle se fige regard absente d'une existence vide de sens bientôt elle ne sera plus que chaire et s a n g , plus que larmes teintés de différences cruelles et assassines. Le tombeau crisse, les deux chevaux, œillères noires portant haut le cimier blanc et sur leur croupe le damier brossé emblème de la maison Chartre de Turède d'Estrou, s'engagent rue du borgne prémisses de ses vices inavoués dont elle tremble depuis si longtemps. Qui ? Comment ? Combien de temps, une heure, une éternité ? Saura-t-elle soutenir son regard ? Le courage lui...
Soumission, première fois
il y a 8 ans

Au vu de la situation, je savais un peu à quoi m'attendre. En couple vanille tous les deux, je ne la verrais que pour des séances, et la domination qu'elle allait exercer sur moi ne serait que physique et sexuelle. Tout était allé très vite. Rencontrée la veille, nous avions longuement parlés, écumant ma sexualité, mes envies, mes désirs de fond en comble. En deux jours, j'avais gagné sa confiance et elle avait la mienne. Il n'avait pas fallu 48 heures pour qu'elle propose de venir chez moi quand je le souhaitais. Je lui proposais le soir même. Timide, stressé, je ressentais le même trac que doit ressentir un acteur de théâtre avant de monter sur scène. Je lui en avais fait part et elle m'avait donc proposé de venir en avance afin de pouvoir discuter, me rassurer un peu. J'en profitais pour l'inviter à manger. Après le repas et une bonne heure de discussion, je m'étais un peu détendu mais tout le stress revint d'un coup à cette simple phrase, que j'attendais avec plaisir, mais que...
Le patron de mon père me fait fondre
il y a 8 ans

Le patron de mon père me fait fondre

Le patron de mon père me fait fondre -Bonjour, vous attendez M. Demetri ? Je me retourne vivement, surprise. - Oui, c’est mon père, vous savez où il est ? Je l’attends depuis maintenant dix minutes, et toujours rien. Je suis déjà persuadée qu’il a oublié et qu’il est rentré en métro, alors que je l’avais prévenu que je viendrais le chercher. Vu que je suis revenue à la maison depuis peu, pour prendre quelques vacances après mes concours et voir ma famille, je me propose souvent pour rendre service, mais visiblement, mon père est toujours aussi tête en l'air. L’homme qui vient d’ouvrir la porte du bureau semble réfléchir une minute puis annonce : - Je ne l’ai pas vu, il va peut-être arriver. Je vais aller voir si je le trouve, ajoute-t-il avec un clin d’œil. Je rougis un peu, étonnée, et acquiesce. Ce clin d’œil avait quelque chose de charmeur, comme le personnage d’ailleurs, dans ses vêtements élégants sans être trop classes, et puis avec cette chevelure gris poivre – allez savoi...
Accident de selfbondage
il y a 8 ans

Accident de selfbondage

Soumise Sandrine profite de l’absence de son Maître pour s’accorder quelques plaisirs. Rien que de mettre ses ballets boots noires et vernies avec des talons extrêmes l’excite. Poser son bâillon génère quelque chose entre ses jambes car le miroir lui renvoie l’image de sa soumission et de son abandon imposé, quand il l’attache pour lui faire des choses parfois très sexuelles. Comme elle sait pouvoir rejeter le bâillon, elle rajoute du gros scotch avant de poser son harnais de tête. L’excitation est à son comble lorsqu’elle entrave ses jambes et pose le cadenas aux anneaux reliant ses ballets boots. Lorsque sa main s’aventure sur son body noir très sexy, elle se gronde elle-même en se disant « non c’est trop tôt ». Elle se lève doucement et à très petits pas dans un équilibre précaire à cause des ballets boots, elle parvient au portique ayant servi à suspendre le sling avant hier soir et à l’obliger à se tenir droite maintenue par la tête hier soir pendant qu’il la fouettait. Elle mont...
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