Récits
Le rêve d’Anna
il y a 8 ans

Certains fantasmes, me reviennent souvent, beaucoup sont inspirés de mon amant.

Avant de le rencontrer il m’arrivait de fantasmer en imaginant être prise par plusieurs hommes. Parfois celui-ci a le même désir, et pendant certains rapports il fait en sorte de me faire imaginer qu’il va me donner à un autre, voir à d’autres. Ce qui lui plairait c’est de montrer aux autres le pouvoir qu’il a sur-moi, leur montrer comme il sait me rendre chienne, comme il sait me manipuler physiquement et mentalement. Leur laisser penser qu’ ils pourront eux aussi en avoir, leur donner envie de me prendre, mais surtout garder le contrôle, sur moi, sur eux, rester maître du scénario. Souvent un personnage revient, un ami proche. Celui-ci, est apparu dans ses scénarios un jour et n’en est plus repartis, peut-être pour le côté « plus réel » lors de ses scénarios. Cet après-midi, lors d’une sieste, je me assoupie en rêvant que j’étais avec mon amant, j’adore ces moments, imaginer que je suis avec lui, que celui-ci me prend, joue avec moi. Parfois ce sont des rêves doux, érotiques, c...
Merci patron
il y a 8 ans

Payer de sa personne a parfois du bon

Le mari de Linda, Glenn lui confia ses craintes au cours du vol. Après le scandale financier, les chèques disparus, il risquait de devenir le parfait bouc émissaire. Linda tenta de le rassurer, elle savait son mari d'une honnêteté scrupuleuse. Quelqu'un d'autre, de la compagnie avait du s'emparer des chèques. Mais elle était bien d'accord avec lui, seul Ron le grand patron pourrait le protéger désormais. Tout dépendait de lui : allait-il couvrir Glenn, voire même le disculper, ou allait-il l'accabler, voir même le dénoncer pour détournement de fonds. Linda savait que Ron avait toujours bien traité Glenn. C'était un homme corpulent, grand, un peu plus âgé que Glenn et Linda. Glenn lui avait suggéré de le rencontrer. Virtuellement tous les employés du bureau régional de Glenn devaient passer le week-end à l'hôtel, mais Linda était la seule conjointe ayant accompagné son mari aux frais de la compagnie. Linda devait passer le week-end à l'hôtel, mais la somptueuse ménagère, mère de troi...
Mon gynécologue est pervers dominateur
il y a 8 ans

Une histoire érotique Hard

J'étais quelque peu angoissée en me rendant chez le gynécologue, à mon huitième mois de grossesse. Certes, je devrais avoir l'habitude: c'est notre cinquième e n f a n t , à mon mari et à moi, mais après tout, j'ai déjà quarante ans. Après avoir défait les boutons du bas de ma robe, je retirai mes chaussures et mon slip et m'étendis sur la table d'examen, levant les jambes pour poser mes pieds dans des étriers et écartant les pans du vêtement pour que le docteur puisse palper mon ventre et, après avoir enfilé un gant de plastique, procéder à un toucher vaginal. Il me demanda ensuite d'étendre les bras au-dessus de ma tête pour respirer profondément, ce que je fis. Il vint alors appuyer ses mains sur mes poignets, et je sentis à ma grande stupéfaction qu'il me passait des bracelets pour les attacher à la tête de la table. Je tentai de me lever pour protester, et me rendis alors compte que mes pieds étaient également fixés aux étriers. Il m'avait liée des quatre membres à la table d'e...
A la botte de ses élèves 1
il y a 8 ans

Pauvre prof

Cette histoire est une oeuvre de fiction. Tous les personnages de cette fiction ont plus de dix-huit ans. CHAPITRE 1 Kurt concocta son plan pendant plusieurs semaines. Il en avait eu l'idée initiale en regardant "Vos vidéos" un site Internet qui publiait des petites vidéos prises par des élèves sur leurs portables présentant des enseignants de différents niveaux perdant leur contrôle devant des étudiants turbulents. Kurt et ses amis, Léo, Rod et Jake, trouvaient ces petits films extrêmement marrants et brûlaient d'en faire autant. Puis ils trouvèrent de plus en plus de vidéos représentant des profs déambulant de le campus ou grimpant dans leurs voitures. Très ennuyeux, mais cela fit penser Kurt à madame Fine, sa prof d'anglais. Madame Fine avait longtemps été un sex-symbol pour ses étudiants de 18 ans et plus, chaque année des classes renouvelées bavaient de convoitise pendant 7 mois sur ses charmes qu'elle exposait en paradant dans la classe. Une adorable petite prof, mar...
A la botte de ses élèves 2
il y a 8 ans

A la botte de ses élèves

A la botte de ses élèves 2 Les textes trop hard sont réservés aux membres inscrits pour protéger les éventuels m i n e u r s passant à travers les mailles du contrôle et du disclamer. CHAPITRE 6 Madame Fine avait pris un frugal repas seule dans sa classe pendant la quatrième heure, alors qu'elle n'avait pas de classe, elle cherchait certainement à éviter les commentaires et critiques qu'elle endurait constamment. Kurt, Jake, Rod et Léo s'approchèrent de sa classe. Ils entrèrent silencieusement et verrouillèrent la porte dans leur dos ,madame Fine les regardait faire avec une certaine inquiétude. - "Salut Jackie ..." l'interpella Kurt - "Il est temps de ...." Madame Fine se leva et se posta devant son bureau, les quatre élèves l'entouraient. Kurt prit une seconde pour inspecter sa tenue un très élégant corsage rayé, un blazer, et une blouse rouge. Kurt lui saisit les cheveux à la nuque pour lui rouler un patin. - "Je vous en prie ... Arrêtez!......" balbutiait la...
L'apprentissage
il y a 8 ans

De délicieux échanges du XVIIIe siècle.

Un magnifique texte de Chauderlos Je suis tellement libertin[e] quand j'écris que le premier tour que je prends règne tout au long de ma lettre. Madame de Sévigné Ceci se passe dans la seconde partie du XVIIIe siècle. Exilé au château de C**, loin de la Cour, de Paris et de ses plaisirs, loin de ses amis, et surtout de sa douce et belle amie la Marquise de S**, le Chevalier de L** se voit confier par elle une mission particulière: instruire la jeune Madame de J**, Virginie. Très librement inspirées par Les liaisons dangereuses, et d'autres récits libertins du temps, les lettres qui suivent vous racontent ces quelques semaines d'apprentissage. Amusez vous bien… ***** P**, ce 3 juillet 17** Chevalier, Je ne sais si vous pardonnerez mon silence de ces dernières semaines – que dis-je, de ces derniers mois. La vie à Paris, depuis que la période de deuil imposée à la Cour est passée, a repris de plus belle. Pas une soirée où je ne sois invitée à un bal, pas une nuit o...
La vengeance d’une femme dom
il y a 8 ans

La vengeance d’une femme dom

Ce jour là elle avait décidé de se venger de lui. Depuis des mois, il se moquait d’elle, elle attendait une réponse qui ne venait pas. Elle arriva chez lui, habillée comme il aimait, souriante, une jupe courte, des hautes bottes aux talons fins, il les imaginait déjà se faufilant en lui… une guêpière noire en dentelle qu’on devinait sous un chemisier largement déboutonné. Elle l’embrassa de façon très provocante en arrivant, il sentit immédiatement sa queue vivre, elle portait son parfum, une odeur envoûtante… Avec une énergie inhabituelle, elle le prit par le bras, le déshabilla, le gifla et le bâillonna de son string de la veille. Ils s’étaient retrouvés en ville, elle l’avait branlé jusqu’à ce qu’il gicle sur son string et sur sa chatte puis elle était partie sans dire un mot… juste un sms : « demain dix heure chez toi… ». Elle prit une bouteille de champagne dans le frigo et elle l’ouvrit, il ne l’avait jamais vu faire ce geste, elle bu un grand verre cul sec et s’en versa immedi...
Aventure dans un club exclusif d'échangiste
il y a 8 ans

Aventure dans un club exclusif d'échangiste

Aventure dans un club exclusif d'échangiste Mon mari et moi faisons partie depuis un an d'un club exclusif d'échangistes. Pour faire partie de notre club il faut payer un abonnement cher à tous les ans et présenter un certificat de santé en bonne et due forme tous les trois mois. Le club est situé dans un quartier huppé. C'est une magnifique maison ancienne aux volets de quatre étages qui abrite nos moments de débauches totales. Dans cette maison, il y a même un passage secret connu seulement de certains initiés spéciaux et des propriétaires, un couple de retraités assez ouvert. Au premier étage, on retrouve un restaurant italien de haute gastronomie et aux trois étages supérieurs notre club privé. Un vendredi soir, nous sommes allés prendre un verre comme à notre habitude. Assis près de la porte du fond qui mène à l'escalier on regarde qui seras là. Une femme habillée de rouge vif, aux cheveux noirs, accompagnée de deux jeunes hommes blonds musclés, fait son apparition et s'engouffre...
A céder sur les mots
il y a 8 ans

A céder sur les mots

Au début, Judith n’était pas d’accord. Pas question d’inviter Fabien à leur sacro-saint repas en amoureux. Quand Judith retrouvait Thomas à la sortie de son travail, généralement le vendredi midi, ils déjeunaient en ville, parfois dans un de leurs restaurants préférés, parfois au petit bonheur d’une aventure culinaire. Mais cela se terminait toujours par une sieste crapuleuse à l’hôtel pour faire le plein d’amour et de sexe loin des contingences domestiques. Une après-midi de congés au dépend des vacances scolaires, une chambre d’hôtel sur le budget mensuel, c’était un luxe inouï volé au quotidien, une folie d’amants alors qu’ils étaient mariés depuis cinq ans, mais pourtant une nécessité pour leur couple. Entre les semaines marathons et les contraintes familiales du week-end, ils n’avaient jamais pu se résoudre à cloisonner leur sexualité entre les quatre murs de leur chambre à coucher le samedi soir de onze heures à minuit. L’un et l’autre avaient toujours eu besoin d’air. Judith av...
Et la marquise ajouta la fessée sur la carte du tendre
il y a 8 ans

Une sublime histoire de fessée

La marquise de J. s’était retirée en ses appartements, après une longue et joyeuse soirée passée chez le duc de M.. Comme à son habitude elle s’était illustrée par des réparties pleines de piquants qui avait fait d’elles le centre d’attention de la société présente, et tout particulièrement de ces messieurs, du moins ceux qu’elle n’avait pas égratignés au hasard de ses saillies... Le comte de P., notamment, avait plutôt des raisons de se plaindre d’elle, et elle riait encore, à cet instant, en repensant à la peur qu’elle lui avait causé en évoquant à mots couverts son dernier duel… Elle l’avait bien vu retenir sa respiration, et suffoquer quelque peu ensuite quand il s’était f o r c é à se joindre aux autres, qui riaient à la plaisanterie. Mais seuls ceux qui étaient dans la confidence avaient compris l’allusion, fort heureusement pour le comte. Elle n’avait bien sûr pas cherché à le trahir, mais elle adorait le titiller et le sentir à sa merci, car au fond, elle buvait chacune de...
ma rencontre avec une charmante demoiselle
il y a 8 ans

Samedi 26 septembre 2015 14h dans un cente commercial en banlieue parisienne. J'ai suivi les consignes que j'ai reçu par sms, normalement je suis un peu en avance. Il n'y a pas encore de point de rendez vous précis et le centre commercial est vaste. Je commence à faire mon tour à l'intérieur en attendant d'autres messages, elle m'annonce qu'elle sera un petit peu en retard d'une demi heure. Quelques sms plus tard, le point de rendez vous est fixé près d'une des entrée, là je retrouve une demoiselle plus grande que ce que je pensais. Elle a mis une tenue simple mais très jolie, moi j'ai un jean avec un gros sweet à capuche. On commence par faire connaissance et finalement elle me donne son prénom, mais je vais continuer de l'appeler avec son pseudo qui lui va si bien. Cette demoiselle est connue pour être taquine & curieuse. On commence par boire un verre que je lui offre et déjà je me fais engueuler, cela commence bien. On discute autour d'un verre elle en profite pour manger aussi...
Fessée au bureau
il y a 8 ans

La drague conduit parfois à la fessée

J'avais rencontré Xavier au bureau. C'était un grand maigre, parfaitement maître de lui, psychorigide, aussi peu démonstratif que possible, mais que je croyais sensible. Nous avions tout de suite été amenés à travailler ensemble sur les mêmes dossiers, ce qui avait été un succès. Nous nous comprenions bien malgré notre différence de caractère (je suis plutôt expansive) et notre amitié grandit. Que cet homme-là s'ennuyât dans son ménage, qui était d'une morosité plon-plon exemplaire, cela sautait évidemment aux yeux. N'ayant point d'amant, et commençant à souffrir pas mal de ne point en avoir, je ne tardais pas à lui proposer une fois par semaine la récréation d'une après-midi de plaisir. Il refusa, horrifié. Je fus cruellement déçue, et je décidais de mener dès lors, au travail, une vie d'enfer au malheureux. Ennuyé de ma méprise, tenant à mon amitié et surtout, sans doute, à la paix sur le lieu de travail, il ne savait comment parer mes attaques, qui se multipliaient. C'était,...
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