Récits
Récit à deux voix pour des fesses
il y a 9 ans

Récit à deux voix pour des fesses

Un vendredi soir à 19h30, c’est l’été et certains sont en vacances, mais moi je sors de mon travail. J’ai déposé ma voiture au garage ce matin, et donc j’utiliserai l’utilitaire de la société pour le week-end. C’est une camionnette Mercedes avec 2 sièges à l’avant, et une banquette 3 places derrière, suivit d’un grand espace de chargement. Les vitres arrières près de la banquette sont teintées et à l’arrière ce sont deux portes pleines sans vitrage, c’est voulu pour que lors qu’il soit chargé, on ne puisse en voir le contenu de l’extérieur. Je démarre donc le super diesel qui motorise cet utilitaire et pars à l’assaut de la montagne pour rentrer chez moi. Hé oui, je bosse en vallée et il me faut une bonne demi heure de route pour rentrer, et avec les touristes en vacances il me faut presque une heure parfois !! Bref je roule tranquille et pour le moment, pas de file de voitures escargots à l’horizon. Arrivé à un carrefour j’aperçois une auto-stoppeuse avec une grosse valise et un én...
Boules
il y a 9 ans

Ma voiture était équipée d’un attelage

Pendant vingt ou trente ans, ma voiture était équipée d’un attelage dont la boule servait, trois ou quatre fois chaque année, à accrocher une remorque et, au moins une fois par semaine, à me ramoner les entrailles, de temps en temps à travailler la chatte et le cul de Marie. Rien qu’à voir cette boule, j’avais le cul qui frétillait. Je ne pouvais tout de même pas m’y empaler dans la rue, cela n’aurait pas été légal, mais je le faisais souvent chez moi, dans la cour ou au garage, dans des parkings et souvent dans la nature : je m’arrêtais dans un endroit tranquille, de préférence dans un bois, ce qui, je ne sais pourquoi, m’excitait particulièrement, et, à poil chaque fois où j’en avais le temps, je m’empalais bien à fond, la raie des fesses venant buter sur la tige d’attelage et me branlais en frétillant bien du cul pour me faire passer des vibrations dans tout le corps, m’astiquant la bite jusqu’à faire couler le jus gluant dont je léchais chaque goutte. Sur la vidéo de Fessestivit...
Marie
il y a 9 ans

Marie, héroïne de mon récit et de ma vie

Marie, héroïne de mon récit « Routine conjugale », devient moins ardente depuis qu’elle a des arrière-petits-enfants, mais ce fut une chaude partenaire; toujours en demande de sexe jusqu’à un âge avancé. Autrefois nous allions plusieurs fois par an dans les maisons de rencontres à Paris, rue Boursault, à la Cheminée et dans celle de la rue de Courcelles, elle s'y faisait ramoner la chatte et enculer. Il y a quelques années, elle a trouvé que, son physique se détériorant, elle n'était plus attirante et pourtant les mecs se précipiteraient encore si, comme autrefois, elle s'allongeait sur le ventre, écartant les fesses de ses deux mains. Longtemps elle se promenait nue sous une minirobe et, au cours de pique-niques réunissant plusieurs familles bourgeoises, il m'est arrivé souvent, alors que nous étions assis côte à côte, de lui mettre, sous sa jupe, un doigt dans la chatte et un autre dans le cul pendant que nous continuions à parler avec les autres. Si je racontais en détail to...
La cravache de Monseigneur – Une éducation d’excellence
il y a 9 ans

La fessée, un modèle de vertu dans l’éducation

La cravache de Monseigneur – Une éducation d’excellence La fessée, un modèle de vertu dans l’éducation ? Absolument, dans certaines conditions vertueuses comme celles que j’eus précisément la chance de connaître. Ma famille perpétue de génération en génération des valeurs que l’on peut expressément qualifiées d’aristocratiques : effort sur soi, droiture, respect de soi et des autres, dignité et courage… Parmi elles, ce sont ces dernières qui me sollicitèrent plus particulièrement dès ma treizième année lorsque, à la demande de mes parents, mon parrain (évêque), entreprit mon éducation d’homme. Dès lors, dans une confrontation permanente avec moi-même, et sous sa houlette affective mais d’une sévérité stricte, j’appris mois après mois, année après année, à assumer mes responsabilités, quitte à endurer l’épreuve prévue en cas de manquement ou d’imprévoyance. Bien qu’à l’entrée de l’adolescence, cette condition ne me parut nullement effrayante. Au contraire, heureux de l...
Le secret d’un ABDL et d’un amour qui naît
il y a 9 ans

Le secret d’un ABDL et d’un amour qui naît Las d’un monde de brutes, de tensions professionnelles extrêmes, Paul a ressorti ses couches et les quelques vêtements qu’il avait achetés par le passé. Un impérieux besoin de douceur le submergeait, c’est dans l’ABDL qu’il parvient à se décontracter un peu, à lâcher prise. Muré dans la solitude de sa maison cossue, il déambule en couche avec un body délavé comme compagnon. « J’ai besoin de compagnie, j’ai besoin de donner de l’amour et d’en recevoir, comment faire pour parvenir à trouver la fille de mes rêves ? La fille que je pourrai aimer mais aussi choyer avec tout ce fric que je gagne pour rien, si ce n’est que pour être toujours seul dans mon Audi». Pense Paul lors de cette soirée de déprime. Une pensé pour ses parents disparus bien trop tôt pour avoir croisé un prédateur de la route le met au bord des larmes. Les images des familles d’accueil achèvent son moral déjà mal en point. C’est en regardant un reportage sur les refuges animal...
Sandra Jacobs piégée
il y a 9 ans

Une histoire érotique Hard

Les textes trop hard sont réservés aux membres abonnés pour protéger les éventuels m i n e u r s passant à travers les mailles du contrôle et du disclamer. Sandra Jacobs était présidente des parents d'élèves du collège de Jack-son Valley depuis une bonne année. Elle avait 36 ans, mais on la prenait souvent pour la sœur de son fils de 18 ans, elle était sexy, mesurait 1,75 pour 65 kg. Elle était ravissante, son opulente poitrine se balançait mollement au rythme de ses pas lorsqu'elle se promenait. Bien que cela gêna son fils que sa mère ait de si beaux nichons, elle aimait s'habiller sexy et se sentait flattée des coups d'œil concupiscents que lui jetaient les copains d'école de son fils. Elle était le fantasme qui hantait les nuit de biens d'entre eux. Elle avait une texture de peau très pâle qui contrastait avec ses cheveux châtains foncés que, généralement, elle laissait pendre sur ses épaules et son dos où ils atteignaient la bande de fermeture de son soutien-gorge. Elle ve...
Corporal Punishment au pensionnat de garçons
il y a 9 ans

La cane règne en souveraine de la discipline

Ou comment une jeune demoiselle bien élevée apprit à manier la « cane » sur des postérieurs de vilains écoliers anglais fort mal élevés et par trop désobéissants. En ces temps bénis des dieux, les écoliers anglais avaient l’honorable privilège de goûter aux châtiments corporels. Malheureusement pour eux, la « cane », qui régnait en souveraine Maîtresse de Discipline, fut ignominieusement proclamée hors-la-loi et jetée aux oubliettes par cette Barbarie autoproclamée « modernité ». Cependant, l’anecdote que je m’en vais vous conter vous montrera combien son exercice eut un effet miraculeux entre les mains d’une jeune Française. C’était presque hier, en ces temps heureux de la fessée éducative. On était au tournant des années 50. Bac en poche, et forte de ses 18 printemps tout frais, gonflée de naïve fierté, Marie-Thé, mon amoureuse de l’époque, avait choisi durant les trois longs mois de vacances estivales de joindre l’utile à l’agréable en saisissant l’opportunité d’un poste de...
Corporal Punishment au pensionnat de garçons 2
il y a 9 ans

L'heure de la punition a sonné

Chapitre 2 Accélération de mon pouls ! D’une voix appliquée mais légèrement tendue, elle me donna alors à voir et sentir l’événement comme si j’y étais ! Les plus jeunes, restés prudemment en arrière, avaient détalé à qui mieux mieux en direction de leur dortoir respectif. Superbe envolée de petites croupes nues à la peau blanche ! Se tenant en retrait et reprenant son souffle, Marie-Thé observait les plus grands, à présent tassés sur eux-mêmes, têtes basses, ridicules avec leur pénis à l’air. Par contraste, leur désarroi les rendait tellement pitoyables ! Monika apostropha durement les trois meneurs pris sur le fait, grands ados à l’air stupide et gauche qui tentaient maladroitement de remonter leur culotte de pyjama sur leur nudité sous l’avalanche des injonctions et des cris que l’intraitable surveillante hurlait à leurs oreilles. « Non ! Messieurs ! Bas les culottes ! Ce n’est pas fini ! » Quel revirement ! Sous les ordres qui claquaient comme des coups de fouet, le...
Danièle et Catherine
il y a 9 ans

Danièle et Catherine Par Glafritte Danièle C. s'emploie depuis des années au sein de l'éducation nationale. Du haut de sa cinquantaine bien entamée, perchée sur ses talons, elle déambule depuis longtemps dans les couloirs de diverses écoles et lycées du territoire. Ces années lui ont donné tant de bonheur. Mariée à un homme qu'elle aime, tout va bien d'autant que cet homme le lui rend bien. Son époux et elle ont il y a 10 ans de cela pratiqué l'échangisme mais sans toutefois y trouver pleine satisfaction. C'est une page de leur vie qui est tournée même si elle s'est bien déroulée. Danièle baigne donc dans ce bonheur constant et immuable. Elle aime de temps à autre faire du shopping avec sa meilleure amie Catherine, 45 ans, qui enseigne les sciences dans le même lycée de cette ville de banlieue parisienne. Activité qu'elles vont pratiquer ce samedi justement. Danièle s'apprête doucement et s'habille de façon très coquette comme à son habitude. Elle aimait être « classe », belle, élé...
Piégée en selfbondage elle devient le jouet de son amie
il y a 9 ans

Piégée en selfbondage elle devient le jouet de son amie

Laurie est en vacances chez des amis très branchés BDSM et shibari. Elle se prépare pour une soirée en club où elle se rendra juste pour découvrir ce qu’il s’y passe, elle n’est ni soumise ni maso, juste un peu coquine. S’habiller et mettre un corset prêté par son amie, titille ses sens et lui donne quelques envies. Profitant de leur absence, Laurie s’amuse un peu dans leur salle de jeu. N’étant pas très renseignée sur les pratiques, elle se limite à poser des menottes à ses poignets qu’elle fixe à un anneau de suspension. Pendant quelques minutes, elle s’imagine entre les mains d’un apollon décidé à lui faire de très agréables misères.... Le problème survient lorsqu’elle essaye de se libérer, la clé des menottes lui échappe des mains et tombe sur le sol. Malgré toutes les contorsions, elle ne parvient pas à récupérer cette maudite clé. Laurie ne s’affole pas, elle sera juste très gênée lorsqu’ils rentreront. Deux heures plus tard, le bruit de la porte d’entrée la rassure, sa libérat...
Planète Chulac
il y a 9 ans

Planète Chulac

Samedi soir, les bars sont pleins à Chulac. Vous ne connaissez pas Chulac ? C’est une petite ville de la planète Tinetmar. Une planète très connue pour ces productions de cuire et de leur tressage. Ses habitants ressemble ont un corps violet et dispose de 4 bras. Leurs mains sont souvent dures car ils passent tous par la production de cuire, c’est une sorte de service rendu à la nation après les études. Bien sur certains y restent, mais beaucoup partent vers d’autres chemins comme notre ami Nierelan. Il a eu la bonne idée d’ouvrir une taverne près du port spatiale. Ca s’appelle « Au manchon de Tinetmar » et c’est si connu qu’Harlock lui-même et son équipage viennent y boire un verre de temps en temps. Ce soir la taverne est encore pleine et l’ambiance plutôt chaude. Pour attirer les clients de toute la galaxie, Nierelan a eu la bonne idée d’employé du personnel en provenance de tous les horizons. Ainsi il n’a pas trop de problèmes d’interprétation et tout le monde y trouve son compt...
SORTEZ COUVERTS
il y a 9 ans

Pourquoi dire SORTEZ COUVERTS ? Ce poème apporte une réponse à .... sa manière ! Couverts Ils vont par paire, les couverts ! A droite, le tranchant couteau, A gauche, la fourchette à l’envers, Les dents retournées en haut. Ils encadrent l’assiette plate Pour le repas du déjeuner. En entrée carottes râpées et tomates Et comme plat un bon rosbif purée. Ah là là, se lamente le couteau, Je vais devoir encore couper, Et dans la viande faire mon assaut. J’ai déjà aidé la fourchette pour l’entrée. Que me réserve- t’on pour le fromage ? Un camembert bien coulant A l’odeur forte des pâturages, Et aux portions qui jouent le collant ! C’est pas mieux pour moi dit la fourchette. On me tient la tête en bas, Et je taquine la carotte, la tomate violette. Dans la purée en vain je me débats. Je suis remplie à ras bord et mes dents Sont toutes salies de ces aliments. Je prends un chaud et froid permanent ! Je gratte l’assiette, la nettoyant. Quand vient le soir, on retrouve...
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