Récits
La passion d'Alain pour la fessée
il y a 9 ans

La passion d'Alain pour la fessée

La passion d'Alain pour la fessée J’ai moi-même aussi un peu plus de 50 ans (53 exactement début 2010) et depuis bientôt plus de trente ans je suis aussi un adepte de la fessée dite conjugale, élargie aux fessiers de copines, secrétaires et amatrices de ce châtiment corporel à la fois claquant et cuisant… Je ne sais pas d’où me vient cette « passion », mais plus je regarde de autour de moi et plus je m’aperçois que la fessée conjugale, éducative, judiciaire, motivante ou loisir est de plus en plus appliquée entre adultes confiants, complices et consentants. Ma seule expérience que j’avais eu avec cette « punition particulière » avait été à l’âge de 14/15 ans et mes fesses en avait fait la cuisante et brûlante expérience, car je l’avais reçue de la main vigoureuse et vengeresse d’une voisine, mais je pourrai vous en parler plus tard … Et c’est ainsi que depuis le lycée...... Et c’est ainsi que depuis le lycée, en classe terminale, j’ai eu l’occasion de fesser plusieurs jeunes femme...
Délire auto bondage clic clac
il y a 9 ans

Délire auto bondage clic clac Écrivaillon J’étais décidé à réaliser un délire Auto bondage SM. En effet, après trois jours de liberté, donc d’auto érotisme ( ma femme étant absente 3 jours ), je m’offre le matin un délire bien décidé à aller au bout d’une expérience érotiquo/bondage/SM. Très excité, je me fabrique un ice timer avec les clés de tous mes cadenas et des menottes puis j’installe mon matériel dans une pièce de la maison où nous avons un canapé clic clac. Dans la folie du moment je retire l’habillage du canapé et le matelas pour ne laisser que le cadre métallique. Pour les jambes, je fixe les bracelets de chevilles au cadre métallique de façon à avoir les jambes écartées. Pour les poignets, j’installe les menottes à l’autre extrémité en rajoutant une chaîne pour limiter encore les mouvements des bras et un cadenas. Pour bloquer le corps, j’installe à travers les lattes de bois une autre chaîne et un autre cadenas. En attendant que les clés soient emprisonnées dans la glace, je fais un peu de ménage dans l’appartement avant que ma douce moitié arrive puis me mets à surfer sur Internet sur des sites adaptés à mes idées et fantasmes du moment. Finalement, je pense que ce n’était pas une si bonne idée mais vous allez comprendre pourquoi ! Après quelques lectures excitantes, je tombe sur des images SM et bondage avec une quantité impressionnante de pinces à linge posées sur les corps des hommes et femmes photographiés. Je réalise alors que je n’ai jamais tenté l’expérience avec autant de pinces posées sur mon corps. Pour rajouter à mon inconscience du moment, je m’offre un apéritif puis deux puis trois pendant que je surfe. Lorsque je me rends compte qu’il est 13 heures, je décide, pour faire un petit régime puisque je commence à prendre du ventre et de sauter un repas mais je me ressers un dernier apéritif. Extrêmement excité, je sors sur la terrasse et prends le récipient qui contient les pinces à linge. A ce moment là, je me rends compte que j’ai un peu abusé de l’alcool car j’ai la tête qui tourne un peu. Je ne me méfie pas et vais déposer les pinces avec mes accessoires dans la chambre d’ami. Finalement, je reviens au salon avec mon slip de cuir à sangles, un gros plug et du lubrifiant. Je m’installe confortablement sur le canapé après avoir enclenché une vidéo SM que j’aime bien. Mes doigts préparent mon fondement et courent là où vous pensez, mais je m’interdis malgré une forte excitation les plaisirs que je me réserve pour plus tard. Tant bien que mal et après de longues caresses, je parviens à faire entrer le plug dans mon fondement mais je suis à deux doigts du plaisir que je m’interdis. Je boucle mon slip de cuir avec les sangles de façon à ce que le plug reste bien en place. Et à partir de ce moment que je fais n’importe quoi ! En effet, j’entends mon ordinateur qui dit : « vous avez des emails », je réalise alors que je suis toujours connecté et qu’il serait bien de libérer la ligne. Comble du hasard, c’est un de mes contacts qui m’adresse un texte d’autobondage ! Après l’avoir lu, je le trouve franchement gentil et lui en adresse un plus corsé en me resservant un autre apéritif. ( Celui-là était de trop ). Lorsque je me suis déconnecté après nos échanges, j’étais dans un état second à cause de l’alcool donc particulièrement déraisonnable. Arrivé à la chambre d’amis avec mon ice timer que je pose à la tête du lit en attachant la double ficelle de sécurité aux menottes. Le monte sur le canapé sans trop de précaution et casse une latte. Malgré cela, je fixe les bracelets à mes chevilles et m’agenouille cette fois avec plus d’attention pour ne plus rien casser. C’est à ce moment là que j’ai vraiment exagéré sur les supplices érotiques que je me préparai. Totalement en délire par l’excitation, les photos visionnées et l’alcool, je me mets à fantasmer sur les pinces à linge et m’en pose en quantité sur les fesses, la peau de mes parties puis trois sur chaque sein. C’est un peu douloureux, mais je suis sûr que cela va se calmer et continue mon entreprise d’auto satisfaction érotico/bondage/SM. Un peu ivre, j’en rajoute sur mes flans. Je me pose mon bâillon boule et m’allonge sur le cadre métallique et les lattes. OUFFF et AIE !!!! Décidé à ce moment là à aller au bout de mes idées, j’enroule la chaîne froide autour de mon corps et la verrouille au cadre avec un des cadenas. Je pose ensuite ma cagoule et c’est à l’aveugle que j’allonge les bras pour attraper les menottes que je ferme sur mes poignets. A chaque clic, je m’excite un peu plus car c’est le moment irréversible pour un long moment dans ma séance d’auto bondage. Particulièrement excité, je m’accorde un moment de repos et de concentration avant de ruer dans mes liens pour faire entrer en mon fondement la deuxième boule du plug. ( La plus grosse ) Au bout de quelques minutes, je me rends compte que j’ai peut être exagéré sur le nombre de pinces à linge car les douleurs commencent à être lancinantes. OUFFFF AIE !!! Sur l’instant, je me dis, « tu l’as voulu tu es servi ». Pour forcer mon attention sur autre chose, je pousse mes fesses en arrière pour forcer mon fondement à absorber la deuxième boule du plug. Si effectivement la sangle de mon slip de cuir fonctionne et pousse le plug en moi, la chaîne que j’ai posée autour de mon corps bloque mes mouvements pour la faire entrer totalement. La douleur et forte car je suis bloqué à la partie la plus large, je resserre mon petit anneau fortement douloureux pour faire reculer la deuxième boule du plug mais la sangle le retient et il ne recule pas beaucoup. OUFFFF AIE !!! A cet instant, les douleurs confondues et l’inquiétude commencent à me faire transpirer et je respire de plus en plus vite et mon bâillon ne me facilité pas la tâche. Même si je suis couché, j’ai la tête qui tourne et il me semble que le lit bouge ! La douleur aidant, je me rends compte que j’ai trop bu et que j’ai fortement présumé de mes facultés à transformer la douleur en plaisir. Je tire sur les ficelles pour faire venir le bloc de glace à moi et le prends entre mes mains pour faire fondre la glace plus rapidement. Oh là là, j’ai encore trop forcé sur la taille du bloc de glace et que j’en ai pour un long moment à attendre pour pouvoir me libérer. Les douleurs se font sentir comme chacun de mes mouvements OUFFFF AIE !!! Mon anus me fais mal de chez mal, j’essaie encore de faire reculer la boule mais la sangle la retient bien, je force ma respiration puis tente encore de le faire entre en moi pour que la boule entre en que mes sphincters le laissent passer car la boule est suivie d’une partie plus étroite. OUFFFF AIE !!! Mes mouvements ont fait bouger les pinces à linge et je commence à déguster réellement. Je force sur mes avant-bras comme un malade, une latte se casse et mon coude s’enfonce dans le vide tandis que le plug entre totalement en moi. OUFF un moment de plaisir érotique ! Lorsque je repose mon buste, les pinces de mes seins se posent sur les lattes et glissent sur les cotés créant une tension supplémentaires. OUFFFF AIE !!! OUFFFF AIE !!! Je frotte la glace entre mes mains pour limiter le temps d’attente mais j’ai l’impression que cela ne change pas grand-chose. Ma respiration est saccadée, j’ai mal partout ! Je tente alors de réduire la pression sur les pinces mais je dois tirer sur mon dos et je sais hélas rapidement que je ne vais pas pouvoir tenir cette position longtemps sur un seul coude et sur une latte qui menace de céder. J’ai envie d’aller aux toilettes à cause des apéritifs, je frotte à nouveau la glace entre mes mains pour limiter le temps d’attente mais sans grand résultat. J’essaie de ruer dans mes liens pour faire tomber les pinces pendant un petit moment fort douloureux mais une seule accrochée à la peau de mes fesses tombe. J’ai mal partout pourtant mon sexe prend de l’ampleur et se pose suite à mes mouvements sur la barre centrale du cadre. C’est froid mais c’est bon. J’entreprends alors de légers mouvements pour essayer de retrouver un semblant d’excitation. Chaque mouvement se répercute et a des conséquences sur le plug de mon fondement, mon sexe coincé entre mon ventre et la barre d’acier puis sur les pinces. Douleurs, contraintes, fantasmes, a l c o o l, transpiration et respiration accélérée, je suis en transe je craque, je me perds je ne sais plus où j’en suis. Si je n’arrive pas à me faire jouir, je commence à me sentir bien et à oublier un peu la douleur. Lorsque j’arrête mes mouvements pour me reposer un peu, la douleur revient, je commence à avoir vraiment envie de faire un gros pipi ! Je ne peux pas, je ne dois pas, comment pourrais-je expliquer à ma femme le pourquoi de la tâche sur la moquette de la chambre d’amis ? Je frotte mes mains sur la glace, sous mes doigts engourdis il me semble toucher les clés. Totalement inconscient des risques, j’essaie de casser la galette de glace qui se brise en plusieurs morceaux. Soudain je réalise que cela pourrait casser les fines clés des menottes et me calme aussitôt fortement inquiet. Ai-je cassé une clé ? Chaque fois je mets les deux, je ne peux pas avoir cassé deux clés en même temps ! J’ai mal au dos mais continue mes légers mouvements pour entretenir l’excitation. Je me calme et me raisonne car ma libération est proche. Je me surprends à être bien, à ne plus sentir les douleurs, épuisé je pose ma tête sur le cadre et me repose un instant. Cet instant dure longuement. Soudain je sursaute, je me suis endormi, lorsque je tire sur la ficelle des clés, elles viennent à moi sans problème. A l’aveugle j’essaie d’ouvrir les menottes, horreur ! Je n’ai pas fait attention et les serrures sont du mauvais coté. Je prends les clés des cadenas et tire sur les menottes qui me broient les poignets, par chance la première clé est la bonne, la chaîne libère les menottes et je peux bouger mes bras. Avant même de retirer la cagoule je retire les pinces accrochées à mes seins, OUFFFF AIE !!! OUFFFF AIE !!! Ensuite je retire la cagoule qui m’aveugle et retire sans trop de difficulté les menottes mais je constate que j’ai des marques qu’il va m’être difficiles à expliquer à ma douce moitié. Après avoir retiré les autres pinces, ( OUFFFF AIE !!! OUFFFF AIE !!! ) et retiré tous les liens, mes mains se sont posées sur mon intimité pour quelques plaisirs que nous pourrions qualifier de self service. Après avoir tout rangé, lorsque j’ai pris ma douche j’ai constaté avec stupeur que j’avais des bleus partout sur le corps. J’ai prétexté plus tard le soir quand ma douce moitié était rentrée, que j’étais fatigué et je me suis couché de bonne heure afin de laisser à mon corps le temps de se remettre et que les traces disparaissent. Vous me croirez ou non, pour une fois elle avait des grosses envies de câlins ! ( Je sais c’est rare chez les femmes mais cela arrive ! ) Finalement, les conséquences de mes jeux érotiques de la journée se sont répercutées le soir de façon douloureuse et fort agréable mais elle n’en a jamais rien su. Délire auto bondage clic clac

Écrivaillon J’étais décidé à réaliser un délire Auto bondage SM. En effet, après trois jours de liberté, donc d’auto érotisme ( ma femme étant absente 3 jours ), je m’offre le matin un délire bien décidé à aller au bout d’une expérience érotiquo/bondage/SM. Très excité, je me fabrique un ice timer avec les clés de tous mes cadenas et des menottes puis j’installe mon matériel dans une pièce de la maison où nous avons un canapé clic clac. Dans la folie du moment je retire l’habillage du canapé et le matelas pour ne laisser que le cadre métallique. Pour les jambes, je fixe les bracelets de chevilles au cadre métallique de façon à avoir les jambes écartées. Pour les poignets, j’installe les menottes à l’autre extrémité en rajoutant une chaîne pour limiter encore les mouvements des bras et un cadenas. Pour bloquer le corps, j’installe à travers les lattes de bois une autre chaîne et un autre cadenas. En attendant que les clés soient emprisonnées dans la glace, je fais un peu de ména...
ABDL Lettre à Bill Gates
il y a 9 ans

Il n'était pas ABDL au début....

##### Résumé : un homme surfe sur un site dans la rubrique ABDL en s’offrant un petit moment de plaisir solitaire. Sa femme arrive, découvre et….. Monsieur Bill Gates je te hais ! Bill Gates je te hais, parce qu’à cause de ton Windows de M….. qui a planté, « comme d’habitude » dirait ma femme, elle a découvert mes fantasmes et délires ABDL. Alors que je surfais tranquillement sur fessestivites.com et matant les photos des filles puis des couples adeptes de ces jeux coquins en couche, elle est arrivée pieds nus sans crier gare. D’un doigt désespéré, j’ai cliqué pour tenter de fermer les fenêtres mais ton système à la noix a planté. Elle m’a trouvé la braguette ouverte, le sexe à l’air avec la photo d’une ravissante blonde donnant un biberon à son mari entravé sur un lit. Fâcheuse position n’est-ce pas ? Non imbécile, pas pour le mec entravé mais pour moi !!!!! Elle a commencé par me faire une monstrueuse scène de jalousie car pour elle, le centre de toutes mes attentions...
Une fessée brûlante
il y a 9 ans

Elle doit penser que je vais me contenter d’une petite fessée sensuelle

Cette fois, je la tenais. Elle n’y couperait pas. J’avais déjà essuyé quelques piques, subi quelques esquives, plutôt habiles ma foi, sans qu’elle ne cesse de m’allumer par de constantes allusions à la fessée, ou à son cul insolent.Une fessée, c’est ça qui lui fallait, juste une bonne fessée, histoire de lui faire payer ses provocations continuelles, histoire de lui montrer que je sais avoir de l’humour, mais que je peux aussi entendre derrière les taquineries un autre type de besoin que la simple bonne humeur partagée.Une bonne fessée donc. Pas de ces ridicules simulacres où le fesseur se retient de frapper un derrière habillé (beurk !), pas une gentille petite fessée érotique non plus, ni une de ces dérouillées magistrales dont ces dames ont quelquefois besoin pour évacuer leurs angoisses. Non, une bonne fessée déculottée, bien dans la tradition, qui laisse les fesses bien rouges et cuisantes.J’en avais de plus en plus envie, à la regarder tapoter des textes et des dialogues bien...
Évolution vers la soumission
il y a 9 ans

Évolution vers la soumission

Pendant toutes les années qui ont précédé ma rencontre avec celle qui allait devenir ma femme et ma Maîtresse, je n'ai connu qu'une seule fille et pendant un court moment. Aussi ai-je poursuivi la découverte de la masturbation et de la sodomie sur moi-même. Les études m'ont conduit à ma vie d'adulte et j'ai rencontré l'Amour. Nous nous sommes mariés et vivons sans avoir d'enfant. Je me masturbais parfois et avais un peu oublié la sodomie. Nous faisions l'amour et cela suffisait alors à notre bonheur. Pour ma femme (à cette époque) l'installation dans notre maison était tout et je me suis senti un peu exclu. Nous n'avons pu faire l'amour pendant quelques temps, mais mes besoins étaient les mêmes. Je me suis donc retourné vers mes premières découvertes. C'est là que commence ma véritable vie, celle que je connais aujourd'hui et que je n'échangerais pour rien au monde. Tous les instants de ce premier jour sont gravés, avec précision, en moi pour toujours. Un soir, en revenant du boulot,...
Découverte de la bisexualité avec un autre couple
il y a 9 ans

Découverte de la bisexualité avec un autre couple Bonjour, je m’appelle Eric. Je voudrais vous raconter notre première relation sexuelle avec un autre couple. Nous nous sommes rencontrés jeunes, Stéphanie et moi. Les années ont passé dans la joie et le bonheur, le côté sexe n’ayant que progressé pour notre plus grande joie. Ceci dit, nous avons décidé ensemble d’essayer l’échangisme ou plutôt le mélangisme, une partie à quatre en somme. Après avoir cherché quelques temps, nous avons fait la connaissance d’un couple nous « ressemblant ». Le jour J on s’est rencontrés dans un bar. A peine une heure plus tard, chacun se plaisait. Nous sommes alors allés chez eux pour un repas qui s’annonçait mouvementé. Après avoir pris un apéritif, nous passons à table. La discussion porte sur diverses choses. Vers la fin du repas, je commence à l’orienter vers le but de la soirée. Comme nous-mêmes, c’est la première fois qu’ils sautent le pas. L’ambiance est détendue. Nous passons au salon. Je propose...
Nuit d'orage électrique
il y a 9 ans

Nuit d'orage électrique

Une nuit de la semaine dernière, la foudre et le tonnerre ont respectivement lacéré le ciel et grondé de manière imprévisible  sans interruption pendant une heure ou deux, aussi le matin je ne fus pas tellement surpris en voyant les pompiers s'affairer dans une petite cour formée par l'encadrement de divers bâtiments... Or la raison en était toute autre, le décès d'une voisine du secrétariat de Jeanne, une jeune dame, Brigitte, décédée dans des douleurs épouvantables dans la nuit, et que j'apercevais de temps à autre l'après-midi, prendre un bol d'air et effectuer inexorablement une petite ronde dans la cour avant de venir discuter avec Jeanne et Stéphanie. Elle vivait seule. Elle venait de temps en temps me parler lorsque je me rendais au Secrétariat de Jeanne, espérant que je lui prodigue des conseils sexuels... De fil en aiguille (comme on dit) elle s'était intérèssée aux diverses communautés pour lesquelles Jeanne effectuait des travaux de secrétariat. Le Bdsm ne la laissait pas...
Un mariage BDSM
il y a 9 ans

Avec des surprises très féminines ....

##### Moulin de l’Ivraie, Aout 2012 Je referme la porte de ma chambre dernière mes amis qui viennent de partir, me voilà seul dans ma chambre, un peu trop seul à mon goût. Je suis en fait terrorisé. Je me retourne vers la seule grande fenêtre de la chambre pour voir le soleil se coucher. Le ciel se colore et se reflète dans la petite rivière qui coule aux pieds de ce moulin transformé en chambres d’hôtes. Je me perds dans mes pensées. Dans moins de 24 heures je serai marié, vers quoi suis-je en train de m’engager ? J’aime Sandrine, c’est sûr, et les deux années passées avec elle n’ont été que plaisir et bons moments, mais serai-je capable de passer ma vie avec elle ? J’ai peur du lendemain, de l’engagement, et du monde qui sera là pour témoigner. Je me rassure en me disant que c’est le signe que je suis réfléchi, que je prends ça à cœur. Mais je suis seul, et c’est dur à supporter. Seul car Sandrine l’a voulu. « Chacun de son côté la veille du mariage, j’y tiens » avait elle i...
Un mariage BDSM 2
il y a 9 ans

Voyage incontrôlé suite

CHAPITRE 2 : C’était il y a un an et demi. Je m’en souviens très bien. Cela faisait quelques six mois que Sandrine et moi sortions ensemble. La folie de la passion s’évaporait peu à peu pour laisser place à l’amour et de la confiance. Côté sexe, par contre, les choses n’étaient pas au mieux. Je jouissais toujours trop vite, à la limite de la précocité, ne lui laissant que rarement le temps de prendre du plaisir. J’en étais conscient et désolé. Elle ne cessait de me répéter que cela n’avait pas d’importance, qu’elle m’aimait malgré cela. Personnellement, je n’ai jamais été un homme très macho, sûr de lui, et du plaisir qu’il donne. J’avais toujours fantasmé une place plus soumise, aux ordres de ma chérie qui me dirigerait, m’utiliserait. Un soir, alors que nous avions un peu bu, et que j’étais assez excité, je me laissais aller à cette confession alors que nous commencions à nous déshabiller pour faire l’amour. Elle m’écouta lui souffler mes idées à l’oreille alors que je l’embras...
Fessée pour cause de radar
il y a 9 ans

Fessée à la brosse ça fait mal

Peu après mon mariage, mon mari s'aperçut vite de ma tendance naturelle à ne pas trop respecter les limitations de vitesse. A la deuxième amende reçue en trois semaines, il me prit entre quatre yeux, et dit que si ça se reproduisait, il ferait en sorte qu'il n'y ait jamais de quatrième fois. Je lui demandais ce qu'il comptait faire, et il se contenta d'un "tu verras bien, mais je ne te conseille pas de tenter le diable...". Le samedi suivant, alors que nous faisions des courses dans le bodyshop du centre commercial, je le vis examiner une grosse brosse à cheveux en bois. Je lui fis remarquer qu'on en avait pas besoin, ayant une plus pratique et plus légère à la maison, mais, sans se soucier de la vendeuse (nous étions alors seuls dans le magasin), il me claqua les fesses avec le dos en bois, en précisant, "ça peut toujours servir, pense à tes excès de vitesse". Il n'avait pas tapé très fort, mais malgré mon jean et ma culotte je ressentais une intense cuisson de mon épiderme. Le lie...
Fessée à Singapour
il y a 9 ans

Condamnée à la machine à fesser

Fessée à Singapour Je m'appelle Aurélie, 48 ans maintenant, il m'a fallu plus de 5 ans avant de pouvoir écrire ce petit récit d'une mésaventure qui m'est arrivée en 2004 à Singapour. J'ai eu la chance de pouvoir travailler 2 ans à Singapour dans la filiale de ma banque et ainsi de découvrir les charmes de l'Asie dans une ville tenant à la fois de New York et de Honk-Kong. Au bout de 2 ans je m'apprêtais à rentrer en France quand je fis connaissance des pratiques pour nous inhabituelle de la justice singapourienne. Singapour est une ville état qui a l'obsession de l'ordre et du droit et les us et coutumes sont très strictes pour tout ce qui est notamment consommation de drogues même douces ou toute autre incivilités. J'ai eu en tant que française un peu de mal a accepté ce qui pour nous apparaît comme de la rigidité mais qui est considéré la bas comme des règles de vie. J'avoue ne pas avoir toujours respectée scrupuleusement les drastiques limitations de vitesse. et je m'étais déjà f...
La fessée contre le tabac
il y a 9 ans

Il n'y a pas d'âge pour la fessée

La fessée contre le tabac Par Sandrine A la mort de mon père suite au cancer du fumeur, ma mère me fit promettre d'arrêter de fumer. Elle pouvait compter sur le soutien inconditionnel de mon mari, qui lui ne fume pas, et qui peste sans cesse contre les odeurs de tabac à la maison. Nous nous sommes mis d'accord sur un processus en douceur, avec des patchs à la nicotine pendant trois mois, puis arrêt complet. Toutes les cigarettes dont je disposais furent mises à la poubelle, et Thomas m'annonça que la moindre rechute serait punie d'une bonne fessée. "D'ailleurs, c'est ta mère qui m'en a donné l'idée quand elle m'a avoué qu'elle aurait du t'en donner une bonne quand elle t'a vue fumer à 13 ans. Il faut dire qu'avec ton père qui fumait comme un pompier, il était difficile de te faire la leçon." "Une fessée à treize ans, ça peut se comprendre, mais j'en ai plus du double, et je pense que ce n'est plus l'âge à recevoir ce genre de punition..." "Parce que, à 59 ans, ton père a...
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