Récits
Le dressage de Florence
il y a 9 ans

En captivité

Le séjour BDSM de Flo, se déroula pour elle, sous l'entier contrôle de celui qui s'était institué son maître et qui avait entrepris de la "dresser". Elle devait effectuer un stage trois mois. et "son dressage" dura tout le temps prévu. La fière et prétentieuse jeune fille qui avait débarqué à la fin juin, était devenue une esclave docile soumise et craintive comme une petite chienne, devant son maître tout puissant. Plus d'une fois, odieusement harnachée et enchaînée sur sa paillasse, elle regretta amèrement d'avoir choisi de retourner auprès de celui qu'elle avait cru pouvoir éconduire, mépriser et ridiculiser,sans conséquence, l'année précédente. Du haut de ses prétentieux vingt ans, alors qu'elle se sentait en plein épanouissement de sa beauté de son intelligence et de son charme, elle s'était crue tout permis. Elle en payait à présent le lourd tribut . L'homme se vengeait de belle façon. Non seulement il en profitait d'elle sans vergogne et en toute impunité mais il ne manquait...
Première branlette
il y a 9 ans

Confidence de jeunesse

Au cours de ma douzième année des poils ont poussé au bas de mon ventre, sur ma bite et mes couilles et je me suis mis à bander, mais personne ne m'avait parlé du phénomène et mes sages lectures ne m'avaient pas appris la possibilité de me branler. Demi-pensionnaire, je déjeunais à midi au lycée. Un jour de novembre, après le déjeuner, un copain de classe, assis près de moi sur un banc, m’a demandé : — Tu te fais juter souvent ? — C’est quoi se faire juter ? — Tu connais pas ça ? Tu te prends la bite et tu la branles comme ça, et ça jute, ça gicle ! Il faisait le geste puis se tripotait la bite dans la culotte, une vraie initiation. Ce soir-là je n’ai pas traîné pour rentrer à la maison où, comme d’habitude, j’étais seul jusqu’à l’heure du dîner. Je me suis assis sur ma chaise habituelle, à poil avec, comme j'en avais l'habitude, deux aiguilles dans chaque fesse, et me suis branlé pour la première fois. Je me souviens parfaitement avoir pensé, très précisément : — Un...
La bachelière malchanceuse
il y a 9 ans

se retrouve dans un centre d’éducation pour jeunes filles

Par Marmotte Une nuit, 3 jeunes gens qui rentrent d’une soirée, organisée pour fêter leurs réussites au baccalauréat sont arrêtés par un barrage de police. A bord, se trouvent 2 garçons 18 ans révolus, et une fille qui fera ses 18 ans le lendemain. Il s’agit d’un contrôle d’alcoolémie organisé en grande pompe avec la présence du préfet. La soirée étant bien arrosée, le conducteur est positif. Les policiers font souffler les autres occupants dans le ballon. La jeune fille, bien que n’ayant bu qu’un verre ou deux, est annoncée elle aussi positif à son étonnement. Peut-être est ce lié à son manque d’habitude de consommer de l’alcool ? Invités à sortir du véhicule, on leur annonce qu’ils vont être emmenés au poste de police. Lucie aperçoit le préfet, un ami de son père qu’elle connaît depuis qu’elle est petite. Elle l’appelle et le supplie de les aider. Celui-ci annonce qu’il ne peut rien faire. Conduits au poste, ils sont emmenés dans des cellules de dégrisement, les garçons dans...
La bachelière malchanceuse 02
il y a 9 ans

La bachelière malchanceuse 02

La bachelière malchanceuse 02 Les textes trop hard sont réservés aux membres abonnés pour protéger les éventuels m i n e u r s passant à travers les mailles du contrôle et du disclamer. Lucie écoute les explications en les regardant, personne ne réagit et le préfet paraît impressionné par l’élaboration de la tenue. Elle pense « cela veut dire quoi éducation de jeunes filles » et enfile des sandales à talons. - Bon ! Allons y ! - Madame, je n’ai pas de culotte. - Je viens d’expliquer l’intérêt de la tenue ! Imagine la perte de temps avec une culotte ! Il faudrait la baisser pour te stimuler le derrière ou pour contrôler que tu ne laisses pas repousser tes poils. Alors imagine. Si tu n ‘es pas sage, il suffit que tu te penches en avant, tes fesses sont bien découvertes, un ou deux petits coups de cravache et c’est terminé. Et puis, cela t'obligera au quotidien à faire attention à ta position si tu ne veux pas que tout le monde puisse te voir. Ils sortent de la pièce, pa...
Un ABDL pris au piège par deux lesbiennes
il y a 9 ans

Un ABDL pris au piège par deux lesbiennes

J'ai trouvé ça sur un blog aujourd'hui disparu. Je l'avais enregistré pour le lire ce n'est donc pas de moi. A 60 ans André, à sa surprise, se trouvait tout seul. Les minots étaient partis depuis long temps et vivaient à l'étranger. Et puis un jour, après 35 de mariage Mireille, sa femme, avait annoncé qu'elle voulait vivre tout seul. C'est vrai que depuis qu'il avait avoué son fétichisme pour les couches et les jeux de bébé quelque chose avait changé. Bien qu'il y avait toujours beaucoup de complicité, de mémoires partagés, et des intérêts en commun, l'attraction avait diminué, et même l'affection. Le choc avait été rude mais très vite il se f o r ç a i t à voir les choses avec son devise de toujours : chaque crise est une opportunité. Il réalisait qu'il allait pouvoir vivre ces fantaisies en toute liberté. Petit à petit il se refaisait une vie. Il voyait beaucoup plus ces amis, retrouvait son amour pour les livres, et surtout, vivait sa passion AB. Il était en couches presque 24/7...
Un ABDL pris au piège par deux lesbiennes 2
il y a 9 ans

Un ABDL pris au piège par deux lesbiennes 2

Chapitre 2 L'année suivante André invitait de nouveau Milène et Alice de passer une partie de l'été dans sa maison en Espagne mais à son regret Alice expliquait qu'elles avaient d'autres projets. Il passait un été en couches au soleil, mais très solitaire. Vers le début de l'année suivante André prenait sa retraite anticipée. Quand au printemps le temps continuait à être exécrable il avait envie d'aller en Espagne et d'y rester jusqu'en automne, mais Mireille, son ex-femme qu'il continuait à fréquenter, lui disait qu'il était fou, puisque l'été passé il c'était plaint de sa solitude. Il en parlait avec Alice et quelques jours plus tard elle revenait vers lui avec l'idée de passer quelques mois à trois dans le sud. Elle c'était mis à peindre, et à faire des collages, et avait besoin de plus d'espace, et Milène pourrait prendre du congé non payé et se mettre à écrire le roman dont elle parlait depuis toujours. André n'hésitait pas une seconde à accepter. Quelques semaines plus tard i...
Le collage d'entraves BDSM
il y a 9 ans

Un bondage d'enfer

##### Il avait un fantasme d’entrave puissante, et comme d’habitude je me laissais faire. Cette fois, il avait été inspiré par ces bandes collantes argentées. Il s’était procuré le matériel ; il ne restait plus qu’à passer à la réalisation de cet étrange situation. J’étais complètement entravée sur une table d’examen, les fesses tendues vers le ciel, les jambes écartées, indécente et vulnérable. Mon ventre reposait sur un appui et mes genoux étaient très étroitement liés à des poteaux rendant impossible le moindre mouvement des hanches. Puis commença la cérémonie de collage. Tout d’abord il m’a complètement rasée les poils pubiens, mais il a aussi fait très attention à nettoyer toute trace de poils entre les jambes, dans l’aine, sur le haut des cuisses, entre les fesses. Il a passé une crème adoucissante, évitant soigneusement mon sexe. Ma peau était tendre et rosie par ce traitement tout en douceur. Puis il m’annonça que là commençait une partie douloureuse. [Mon bâillon](ht...
La première bite dans mon cul
il y a 9 ans

Je m'étais depuis longtemps enfilé dans le cul tout ce qui me tombait sous la main, je m'étais souvent fait ramoner le trou du cul par des femmes bien équipées mais la première bite masculine qui a eu l'honneur de me pénétrer les entrailles, ce fut à San José, au Costa Rica, un certain mois de juin. Je fus abordé dans la rue par un type, la quarantaine, bien mis, qui me demanda : — Are you French ? Étonné qu'il ait deviné ma nationalité j'engageai la conversation avec lui. Au bout d'un moment il me dit avoir été chargé par deux femmes de leur recruter des étrangers pour un gang bang et me proposa de m'y emmener avec sa BM. Trois minutes plus tard, tout en conduisant il caressait la bite gonflant mon pantalon : — Are you shy ? Non, je n'étais pas timide. Nous étions encore en ville. Sans répondre, voulant lui montrer que je serais à la hauteur de l'attente de ces dames en chaleur vers lesquelles il me conduisait, j'ai baissé le pantalon pour libérer une bite turgescente : — You hav...
Invitation chez Maître C
il y a 9 ans

Invitation BDSM

La dernière fois où nous nous sommes vus, Maître C m’avait demandé de le rejoindre chez lui le matin à 10h30 précise. Vous ai—je déjà parlé de la maniaquerie de Maître C en matière d’horaire ? Pour lui il s’agit de n’arriver ni en avance et, bien sûr, encore moins en retard ce qui serait impardonnable et donnerait lieu à punition. Sachant cela et quoique à vrai dire j’aime bien être punie par Maître C (mais il ne faut pas abuser de ces plaisirs ou, du moins, les provoquer), j’avais fait en sorte d’arriver suffisamment tôt chez lui quitte à attendre dans ma voiture l’heure de notre rendez—vous. En fait, j’avais tellement peur d’arriver en retard que, la fluidité de la circulation ce jour là aidant, je me suis garée devant son immeuble avec une bonne demi heure d’avance. Le temps de fumer une cigarette tranquillement pensais-je puisque il est formellement interdit d’allumer la moindre cigarette dans l’appartement de Maître C qui a horreur de l’odeur du tabac. Tout en exhalant lente...
Madame et son portemanteaux
il y a 9 ans

Madame et son portemanteaux

Une des nombreuses passions de Madame, c’est le tricot. Ou plus exactement les vêtements tricotés. Elle ne tricote pas beaucoup elle-même, mais elle porte beaucoup de laine. Vraiment beaucoup. Cela a beaucoup contribué à son charme pendant la phase durant laquelle elle m’a « capturé ». Le terme vous surprend ? « capturé » ? C’est pourtant le mot juste. Cette femme superbe, grande, voluptueuse n’avait nullement besoin de plus pour attirer un poisson comme moi dans ses filets, les refermer lentement sur moi, et se laisser ensuite aller à sa véritable nature de dominatrice perverse. Il a pourtant fallu qu’elle ajoute à ses qualités le fait de se parer de laine, de douceurs, de chaleur, répondant ainsi (sans le savoir à priori, certainement), à mon goût exagéré pour ces matières, faisant de moi une proie encore plus facile, en particulier en éteignant mes fonctions d’alerte quand les filets ont commencé à se refermer sur moi. La toile, faite de laine et de douceur, est ressentie comme u...
L'EXAMEN EN ECHANGE D'UNE FESSEE BIEN MERITEE
il y a 9 ans

Ul a fallut attendre mes 20 ans pour recevoir ma première fessée

Je n'ai jamais reçue de fessée petite, il a fallut attendre mes 20 ans pour recevoir la première et j'espère la dernière. Cela s'est passé aux examens de fin d'année dans l'école ou j'étais, avec une copine, comme nous avions rien appris, nous avons décidé de tricher en collant des notes sous notre table la veille en nous faufilant dans la salle. Le matin de l'épreuve, nous arrivons ensemble à l'école, le surveillant nous a tout de suite attrapée et nous a conduit dans le bureau du directeur. Nous avions compris qu'on avait découvert nos notes et la panique nous envahit aussitôt. La directrice nous dit que c'est inadmissible et qu'elle allait nous dénoncer. Les conséquences étaient énormes et nos études foutues. Nous la supplions de ne pas le faire, mais elle était bien décidée. Au bout d'un moment, je commençais à pleurer voyant la situation et elle nous proposa un marché. J'étais prête à tout accepter, mais elle nous dit : - Je suis prête à ne rien dire, par contre vous serez p...
Maman et le notaire me font régresser
il y a 9 ans

Une histoire ABDL assez hard

Un homme désire vivre une aventure ABDL, deux anglaises le prennent en charge avec de fourbes intentions. Par chance il ne verra la mer que de loin. ........ Une somme rondelette gagnée au loto m'a permis de résoudre tous mes soucis matériels. Grâce à elle j'ai pu m'offrir une maison, des voitures, des délires mais ne m'a pas apporté l'amour et encore moins permis de rencontrer une fille qui aime les jeux et plaisirs ABDL. Depuis quelques temps, mon fantasme est de vivre un week-end entier de soumission en bébé adulte. Sur internet, j'ai déniché une nurserie anglaise proposant des formules toutes aussi excitantes les unes que les autres. Les prix sont très chauds mais n'ayant plus de famille depuis la disparition de mes parents en Amazonie et personne à aimer, à choyer j'ai décidé de m'offrir le week-end de mes fantasmes malgré les prix prohibitifs. A mille cinq-cents euros la journée, j'espère bien en profiter un maximum. Le fait qu'elles m'attendent à l'aéroport exposait...
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