Toute la semaine nous balançons pour savoir si nous irons ou non à ce rendez-vous. Mais, le jour fixé, nous sommes là, très excités tous deux, un peu inquiets cependant devant cette situation inconnue. Que va-t-il se passer ? Que va-t-il inventer ? A quel jeu pervers va-t-il nous faire jouer ? Mystère. En tout cas, il a bien su nous mettre en condition, en nous laissant supposer toutes sortes de choses durant tout ce laps de temps avant le rendez-vous : nous sommes tout à la fois curieux, impatients et passablement inquiets ! Cette situation est profondément excitante ! Lui aussi est là, à l'heure. A pied, il nous emmène en flânant jusque chez lui, un peu plus loin. Il marche à côté de Camille, - vêtue comme la semaine précédente, nue sous son corsage de soie et sa jupe -, entretenant son trouble, lui disant combien ses seins qui bougent librement sous son mince corsage lui semblent magnifiques, lui demandant son impression à se sentir aussi peu vêtue, à se promener dans la...

Durant la semaine, qui nous sembla à tous les deux se traîner en longueur, et contrairement à la semaine précédente, nous ne mîmes à aucun moment en cause le rendez-vous que nous avait fixé Maître Alex. Bien au contraire, nous l'attendions même avec une certaine impatience. Dans l'après-midi, nous commençâmes à nous y préparer. Camille me demanda de lui raser de nouveau le pubis qui devenait quelque peu râpeux avec la repousse des poils. Je dois dire que je n'effectuai pas cette opération avec indifférence tant la charge émotionnelle et érotique en était grande. Comme Alex, je la trouvai encore plus désirable avec ce sexe de petite fille. Elle aussi trouvait cette nudité nouvelle profondément érotique. Elle n'avait eu de cesse, durant la semaine, de se regarder devant la glace, de laisser ses doigts errer sur son pubis, et plus bas, d'entrouvrir ses lèvres, de découvrir le capuchon de son clitoris et essayer de voir l'intérieur de son sexe, pour finalement se caresser, comme une...

Camille dormit d'une traite jusqu'au matin, comme une masse. Ma nuit fut beaucoup plus chaotique et ce n'est que sur le matin que je sombrai dans un sommeil agité, peuplé de rêves étranges. Dès mon réveil, je pris Camille, la tirant de sa torpeur. Encore ensommeillée, elle ouvrit les jambes pour me permettre d'entrer en elle, brutalement, sans la moindre préparation. Son sexe sentait fort, comme lorsque, parfois, elle s'endormait après l'amour sans avoir fait sa toilette. Ce mélange d'odeurs sexuelles de femelle et de mâle m'excitait et me dégoûtait aussi un peu. Après quelques puissants et sauvages mouvements dans son ventre, j'éjaculai très vite, sans laisser à Camille la moindre chance d'y trouver du plaisir, encore moins d'atteindre l'orgasme. Puis, toujours enfoncé en elle, je lui demandai le récit de ce que je n'avais pu voir, ce qui s'était passé dans la chambre, avec Maître Alex. " Vas-y raconte, explique-moi ce qu'il t'a fait, je t'écoute. " - Oui mais avant dis-...

Plus tard, dans la matinée, alors que Camille paresse dans son bain, le téléphone sonne. C'est Maître Alex. Il me demande aimablement comment s'est passée notre nuit, si nous n'avons pas été trop perturbés par la soirée. Je réponds que Camille, éreintée, s'est écroulée dès notre arrivée, mais que personnellement, j'ai eu beaucoup de mal à trouver le sommeil. Il me dit que, ayant observé ma réaction hier soir, quand il m'a détaché, il s'en doutait un peu et que cela était tout à fait normal. Il a, dit-il, une surprise pour nous. Une pointe d'inquiétude me noue aussitôt la gorge. Que nous veut-il encore ? Que va-t-il nous proposer ? Il me précise que je la trouverai, sa surprise, dans la boîte à lettres. Etonné, je lui demande comment il connaît notre adresse. Il rit et me signale que 36.17 ANNU permet d'avoir les adresses à partir d'un numéro de téléphone. Puis, il me souhaite de passer une bonne journée et raccroche. Camille, hypocrite, me demande qui a appelé, comm...

#### Fessestivites avait annoncé un Week-end dans les pures traditions BDSM ce qui signifie que les protocoles du BDSM seront respectés. Aucun dérapage ne sera toléré pendant la soirée avant minuit. Pour les soumis et soumises, le silence est d'or, la parole non demandée est punition. Préparer les lieux avec des bougies, la musique, les carcans et accessoires sadiques est grisant. J'avoue humblement vibrer par avance, non pas des actes BDSM physiques que nous réalisons déjà mais de cette ambiance feutrée si particulière où même une mouche hésite à voler pour ne pas troubler les participants. Nous ne sommes point ce soir dans les ambiances festives des pique-niques de rencontres de Fessestivites où se pratiquent souvent des initiations dans une logiques décontractée, mais dans un cercle constitué de puristes sachant aussi, en d'autres moment être décontractés. Ce soir nous serons en immersion totale dans ce monde magique de l'abandon où les chuchotements sont à p...

Auteur Aliamet [Le début de ce roman est ICI](https://fessestivites.com/recit/157815) Un procès bâclé et truqué Poussée par les deux gardes, ses chevilles blessées par les fers qui entravaient ses pas, Lucile entra dans la salle qui lui parut, éclairée par les flambeaux disposés sur les murs, plus sinistre que lorsque Colas l'y avait emmenée pour un simulacre d'interrogatoire.. Elle voyait sur sa gauche, assis sur des sièges en bois dans des sortes de stalles les membres du tribunal, le Président en robe rouge bordée d'hermine, les assesseurs en noir. Le greffier était un peu de côté, penché sur ses grimoires... Au fond, un brasero rougeoyant projetait parfois ses braises, allongeant de sinistres ombres jusqu'au plafond d'où pendaient chaînes et cordes. Lucile baissait les yeux, n'osant jeter son regard sur les instruments de bois et de fer qu'elle avait eu le loisir de contempler dans la pénombre. Seule, la croix qui lui rappelait de troubles plaisirs attirait malgré elle...

##### Des retrouvailles ambiguës [Le début de cette superbe histoire est ICI](https://fessestivites.com/recit/157815) Jetée sans ménagement dans le cachot, Lucile, en tentant de faire un pas trop grand pour la longueur des chaînes qui entravaient ses chevilles, s'affala dans la paille humide qui sentait le moisi et les excréments de rats. Elle trouva son infecte paillasse, faiblement éclairée par la lueur d'un soupirail qui donnait au niveau de la place, et elle pouvait entendre les bruits assourdis de la ville, qui lui apportaient le seul lien avec l'extérieur. L'angélus sonna; Le cliquetis des clefs dans la lourde serrure. Un homme dont elle ne distingua pas le visage lui apporta sa maigre pitance. - Prenez, belle dame, ne négligez pas ces aliments, même s'ils sont insipides, si la soupe est clairette et si le pain est noir. Vous avez besoin de garder votre énergie. Ne vous révoltez pas inutilement, permettez-moi de vous donner ce conseil. - Merci, répondit la pau...

Récit hélas totalement fictif, je n’ai pas encore trouvé ma couturière… Si une dame se sent inspiré par ce récit (en partie ou en totalité), je l’attends avec impatience… La couturière. Le jour dit, je me rends au domicile de la couturière. La porte est ouverte, j’entre et une voix féminine dont je ne vois pas l’auteure m’indique : « La salle de bains est la deuxième porte à gauche ». Je m’y rends immédiatement en silence et me transforme en femme : talons hauts, bas opaques, joli string noir et petit bustier. Je me rends alors dans le salon… Féminine, en jupe courte, haut moulant et talons hauts, la Dame est assise sur son canapé. « Viens, petite chérie, que je te vois de plus prés » me dit elle. Elle me fait me mettre à genoux et me palpe en douceur du haut de la tête aux hanches. « Relève-toi » ordonne t’elle. Je me relève, jambes écartées, et elle passe la main sous ma jupe, caressant mes cuisses, mes fesses puis devant …Elle saisit alors mon entrejambe, étire mes testicules,...

JOUIR AVEC UN [DIGERIDOO](DIGERIDOO ) Venu passer quelques jours à la maison un ami australien m’a apporté un digeridoo. Un digeridoo c’est une trompe que les aborigènes australiens fabriquent en creusant le tronc d’un arbuste de 8 à 12 cm de diamètre et de un à plus de deux mètres de longueur. Les aborigènes utilisent cet instrument pour faire de la musique pendant les fêtes, aussi pour communiquer dans la forêt ou dans la brousse, quand on y souffle très fort il en sort des sons d’autant plus graves que le digeridoo est long, on l’entend à grande distance, c’est le tam tam australien. Le digeridoo apporté par mon ami est court, moins d’un mètre de longueur, mais, dès que je l’ai vu, j’ai tout de suite pensé à me l’enfiler dans le trou du cul, ce qui n’a pas traîné : comme cet ami est lui aussi adepte de la dilatation anale je ne me suis pas gêné pour tout de suite me foutre à poil devant lui et, après avoir, avec de la vaseline, bien graissé mon fondement et l’engin, je m’y...

##### Entre fantasme et réalité il y a un grand pas, voir même une montagne ! C’est ce que va découvrir Alice, une brune ravissante qui, en regardant des vidéos de BDSM sexuel, s’est dit un jour pourquoi pas moi ? Après tout, c’est une façon agréable de se faire du fric et de s’envoyer en l’air ! Oui mais entre s’éclater au lit avec son copain et vivre un gang bang en club libertin puis un gang bang avec des acteurs qui sont des hardeurs, il y a tout un monde ! Lorsque Alice a répondu à une annonce de recrutement pour des films porno, le producteur l’a contactée rapidement pour vérifier sa motivation puis la rassurer. Lors de l’entretien téléphonique, Alice lui avoué qu’elle aimerait être l’actrice d’un gang bang BDSM, un peu comme ceux qui sont organisés par Organisations84. A la suite de ce premier entretien, les neurones d’Alice se sont envolés et ce n’est pas son petit copain libertin voir candauliste qui allait s’en plaindre, bien au contraire. Sa gourmande est devenue t...

[Le début de cette superbe histoire est ICI](https://fessestivites.com/recit/157815) Auteur Aliamet Un apprenti bien niais - Alors mon bel ami Colas, tu as enfin reçu la lettre du Sénéchal des Archers du Roy, te permettant d'officier auprès de maître Simon. Nous en sommes bien heureux pour toi, qui es notre ami. Tu reviens bien tard ce soir, es-tu satisfait de ta première rencontre avec ton nouveau patron? - Servez-moi donc à boire de ce vin clairet, mes frères. Je vais vous narrer par le détail choses étonnantes, incroyables, que vous ne pourrez ouïr sans des frémissements d'horreur,... ou de volupté! - Que veux tu dire, Colas, lui dit son ami Pierre en lui versant une pinte de rosé gouleyant à souhait, et en se rapprochant afin de mieux entendre son récit - Eh bien voyez-vous, lorsque je me suis présenté au château de Méjantel, les gardes m'ont regardé d'un drôle d'œil: mes chausses, ma mine, ma jeunesse ne leur disaient rien qui vaille. Le papier que je leur ai...

[Le début de cette superbe histoire est ICI](https://fessestivites.com/recit/157815) Le mariage arrangé avait eu lieu malgré les pleurs et les gémissements de la jeune fille. Ce fut une cérémonie particulièrement réjouissante pour les parents de Lucile, qui redoraient à peu de frais leur blason, mais la mine de la jeune épousée était si fermée qu'on eût dit qu'on la menait à l'abattoir. Ce qui n'était peut-être pas une si mauvaise comparaison. Son époux ne fit jamais preuve d'aucune galanterie. C'était un être possessif, avare, et n'éprouvant pour sa jolie femme qu'un intérêt limité au sexe. La nuit de noces de Lucile avait été un calvaire: Alexandre de Méjantel l'avait dépucelée sans aucun ménagement, puis l'avait reprise par trois fois dans la nuit sans jamais s'intéresser qu'à son propre plaisir. Ah! il était loin le joli mandrin rose de Colas! Elle n'était plus une oie blanche, certes, mais le sexe long et dur de son époux qui la limait sans ménagement nuit après nuit lui donnai...