Récits
Une histoire de dépucelage
il y a 1 an

Tout en douceur pour les petits jeunes mais c’est mignon

J’avais à l’époque 18 ans, j’étais dans mon année de terminale, et j’étais encore puceau. Pas même un petit bisou sur la bouche ou le coin des lèvres. Rien. Pas que j’étais moche, j’étais juste affreusement timide. J’osais pas aborder les filles et les filles n’avaient pas envie de m’aborder non plus. Puis, en cours d’année, j’ai fait la connaissance d’une jeune fille, nommée Stéphanie, et nous nous sommes bien entendus. Elle aussi n’avait guère, voir pas du tout d’expérience et nous avons donc commencé à flirter ensemble. Des petits bisous très sympas, durant quelques semaines, mais rapidement nous avons eu envie de passer à l’acte, ça nous semblait le bon moment. Ce jour-là donc, je me souviens, une copine à elle lui avait demandé de passer à son appart pour récupérer un devoir. Je l’ai donc accompagnée et nous nous sommes dit plus ou moins que ce serait le moment idéal, puisque nous vivions l’un comme l’autre chez les parents. Nous sommes arrivés chez la fille, bien sûr perso...
Ping-Pong
il y a 1 an

Quand on donne libre cours à un fantasme...

- Merci. - De rien. - Depuis le temps que je rêvais d’en recevoir une ici ! Dans cette salle. Et comme ça. À la raquette. - Eh bien tu vois, c’est fait ! - C’est plein de souvenirs ici pour moi. Si tu savais tous les matches que j’y ai disputés. Les heures d’entraînement que j’y ai passées. Et toutes les fessées que j’ai rêvé d’y recevoir. Dix mille fois il m’en a menacée, monsieur Bertin. Devant tout le monde. Juste menacée. Mais alors là avec un air, mais un air ! Ça me mettait dans un état ! Et le soir, dans mon lit, j’imaginais qu’il le faisait vraiment. Avec tous les autres autour qui rigolaient tant qu’ils pouvaient. Tu crois qu’on a pu entendre dans les vestiaires à côté ? - Ça fait pas l’ombre d’un doute ! Ça te résonne d’une force là-dedans ! Et vu comment tu gueulais. En plus ! - Tant que ça ? C’est vrai ? - Impressionnant ! - Je me suis pas rendu compte. Oh, mais de toute façon, à cette heure-ci, il y a plus grand monde. - Ça bougeait quand même ! Il y avait des por...
Rencontre avec une femme dominatrice joueuse
il y a 1 an

Il y a des rencontres qui ne sont pas BDSM mais il arrive que ce soit avec des femmes très joueuses.

Elle s’appelait Lorraine. Elle approchait la quarantaine sereinement et a ri en calculant que j’étais plus jeune de quelques années. Elle était de taille moyenne, avait des seins moyens, un cul moyen. Un ensemble des plus charmants : rien dans la démesure, tout dans la confiance en soi et dans l’habitation de ce corps. Ce qui est communément appelé le charisme, je crois, et qui marque l’esprit bien plus que des mensurations hors normes. Un expresso sur la banquette du Café de la gare et j’étais sous le charme. Elle avait divorcé une petite dizaine d’années auparavant et était, selon ses propres termes, « volage ». Le mot m’avait fait sourire. Elle m’avait alors défié, lèvres étirées et sourcils en accent circonflexe, d’oser émettre le moindre jugement sur son mode de vie. Loin de moi cette idée : j’ai toujours pensé qu’une femme devait vivre sa sexualité comme elle l’entendait, de manière assumée et décomplexée. Sans doute parce que l’on cherche souvent chez l’autre les qualités do...
Centre de redressement pour jeunes filles
il y a 1 an

La jeune Laurie plait beaucoup au directeur, d'un centre de redressement pour jeune filles. Attention HARD

Devant la croissance édifiante de la délinquance des jeunes filles, la justice a créé un centre de redressement pour jeune filles majeures, qui sort complètement de la déclaration universelle des droits de l’homme, adoptée le 10 décembre 1948 par les 58 Etats. Punition, couche, lavement font partis des pratiques dans ce centre pénitentiaire. La jeune Laurie plait beaucoup au directeur, un Maître particulier. ............................................... Devant la croissance édifiante de la délinquance des jeunes filles, la justice a créé un centre de redressement pour jeune filles majeures qui sort complètement de la déclaration universelle des droits de l’homme adoptée le 10 décembre 1948 par les 58 Etats. Le jour de ses 18 ans, Laurie est partie de chez ses parents pour aller vivre « sa vie » avec un mec pourri qui la balade en jouant avec ses sentiments. Cela fait trois fois qu’elle se fait piéger à voler pour lui dans des magasins mais la dernière fut celle de trop....
La fessée de l'entraînement
il y a 1 an

Fessée de l'entraînement et mieux que mourir au combat

Je m’apprêtais à rentrer à la maison après ma journée de travail. Mais qu'est ce qui m'avait pris d'accepter ce genre de deal ? Avec mon époux en plus, non mais franchement..... J'aurais pu parier avec n'importe qui mais non. En même temps, vu le deal, non, il était le seul avec qui j'aurais pu parier. Je suis militaire du rang. Je suis mariée à un officier, avec lequel j'ai quelques années d'écart, ce qui implique une plus grande expérience du terrain de sa part. Il se trouve être également mon supérieur. Il y a des jours où, cela peut être sportif à la maison, vu nos caractères respectifs. Mais en général, tout se passe bien. Le deal dont je vous parlais plus haut ? C'est très simple, aujourd'hui nous étions en manœuvre. L'unité divisée en deux équipes, chacune ayant pour but de « descendre » l'autre. Le deal était que si je me faisais « descendre » par mon mari durant les manœuvres, j'aurais une fessée une fois rentrée à la maison. Étant quasi-certaine de gagner, j'ai parié. S...
La vengeance des indiens
il y a 1 an

Une histoire extrêmement hard d'une femme chez les indiens

Depuis sa capture il y a un an elle ne portait plus qu'un soutien gorge en dentelle noire mettant sa poitrine ferme bien en valeur avec un string dentelle assorti dont la forme épousait et mettait en valeur ses fesses rebondies. Elle portait aux pieds des escarpins noirs avec talons lui donnant une démarche très sexy dans le camp. Des chaînes courtes avec des bracelets métalliques reliaient ses chevilles pour éviter sa fuite. Des bracelets métalliques aux poignets permettaient la nuit de lui maintenir les bras dans le dos. Elisabeth marcha ce jour vers le ruisseau, lentement, comme si elle descendait pour boire de l'eau. Elle s'agenouilla sur le bord et se pencha pour se désaltérer. Elle regarda autour d'elle avec précaution. Il n'y avait personne en vue. Elle se redressa, fit un premier pas dans l'eau, puis quelques autres jusqu'au milieu du courant. A nouveau, elle se pencha pour prendre une gorgée d'eau. A nouveau, elle regarda avec soin autour d'elle. Il n'y avait toujours p...
Premières expériences et engrenages : (DERNIER) Chapitre 117 : La proposition
il y a 1 an

Il est difficile de réparer un engrenage qui a chauffé, sans en remplacer certaines roues.

Chapitre 117 : La proposition Elles étaient parties, ou s’étaient peut-être endormies. La solution la plus simple serait de remonter chez Vlad, mais elle restait temporaire. Il fallait que je sois habillé, ou qu’il fasse nuit pour rentrer chez moi. Ce n’était pas possible qu’elles m’aient laissé là sans moyen d’entrer. Je soulevai le paillasson dans l’espoir d’y trouver les clés, regardai autour de moi, sur les boites aux lettres. Je ne voyais pas grand-chose. Bien sûr j’aurai pu allumer la minuterie, mais la porte de l’immeuble possédait une lucarne en verre et je ne voulais pas prendre le risque de me faire observer. C’est alors que je repensai au bac à fleur sur ma fenêtre, dehors. Elles auraient pu le mettre dessous. Mais il fallait que je sorte de l’immeuble et si je me trompais, je ne pourrais plus rentrer. Ou alors, je devais bloquer la porte de l’immeuble. Sinon, peut-être qu’en sonnant, je pourrai faire ouvrir mon voisin, mais je ne connaissais pas son nom. J’allumai fin...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 116 : Après la pause
il y a 1 an

Quand l’engrenage chauffe, bruite ou émet de la fumée, inutile d’en accélérer le mouvement pour en faire disparaitre l’inconfort.

Chapitre 116 : Après la pause Le sourire qui élargissait l’ensemble du visage de Christian me fit frissonner malgré la température de la pièce que les deux projecteurs avaient élevée aux alentours, sans conteste, de trente degrés. J’essayai de dégager la chaîne du crochet, alors que Vlad fouillait toujours dans le coffre. Christian avait enlevé sa chemise et ses chaussettes, ne gardant que son survêt taché. Ses yeux sombres et sa barbe le faisaient ressembler maintenant plus à un personnage d’une période mégalithique soulevant des pierres pour assembler des dolmens, qu’à un dominateur tel que Basile, Lucifer ou même Vlad, plus sophistiqué. Il alluma le plug et me souleva en prenant uniquement appui sur le socle de celui-ci. Le malade, pensai-je. Il allait me l’enfoncer, si loin, comme un suppositoire, que je ne pourrai plus le ressortir. Vlad prit ses photos, tandis que le gorille, content de sa prestation physique, poursuivait sur autre chose. Il s’agissait maintenant de c...
Un trio malgré elle
il y a 1 an

Le jour de l’anniversaire de son mari, elle s’envoie en l’air sans le vouloir

Ce soir là, mon mari et moi étions sortis dans une boîte de nuit de la région. Notre soirée s’annonçait très réussie. Cela faisait presque 6 mois que nous n'étions pas sortis et l'anniversaire de Nicolas, mon tendre époux, nous poussait hors de notre cocon. Après presque 5 ans de mariage et pas d'e n f a n t , nous essayons depuis deux ans, le travail avait pris beaucoup de place dans notre vie. Je me regardai dans la glace et je me trouvai très désirable. J'ai 30 ans, brune aux cheveux longs, assez petite, fine, une belle poitrine mais ce dont je suis la plus fière se sont mes fesses, bien rondes et fermes que j'entretiens dans un club de gym. J’étais habillée d’une minijupe en cuir, très courte pour mettre en valeur mes jambes et d’un chemisier assez transparent derrière lequel on distinguait un soutien-gorge en dentelle bien rempli. Un simple string ficelle complétait ma tenue. Le moindre de mes vêtements étaient noirs. Mon mari me voulait sexy pour son anniversaire. Il préférait...
Tout en douceur
il y a 1 an

Tout en douceur même si ça pique

Je rentrais du travail, ce matin là. Enfin, fin de matinée, il était passé onze heures. A l’époque, je travaillais en horaires décalés. Je travaillais 24h d’affilée et j’avais deux jours de repos après. La nuit était divisée en deux parties, de 20h à 02h et de 02h à 08h. Ce jour-là, j’étais réveillée depuis une heure du matin et un peu dans le jazz. Je suis rentrée à l’appartement et j’ai trouvé mon chéri à la cuisine. Ce genre de chose n’arrivait pas souvent, dieu sait qu’il n’était pas mauvais, quand il se donnait la peine. - Bonjour! Tu vas bien? lui ai-je demandé? - Bonjour ! a-t-il répondu un peu vivement, l'air légèrement contrarié.  Mieux maintenant que tu es rentrée et toi ? - Fatiguée, mais ça va. Pourquoi mieux ? - Tu as vu l’heure ? gronda-t-il. Tu quittes bien le travail à 09h15, non ? - Oui, mais je travaille avec Marine en ce moment, me justifiai-je. Tu es au courant pourtant. - Cela n’empêche pas de me prévenir, cela m’arrive d’oublier ! - J’ai besoin d’...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 115 : Les photos
il y a 1 an

Ce n’est pas parce qu’un engrenage grince qu’il ne fonctionne plus, mais il y a de fortes chances qu’il s’use plus vite.

Chapitre 115 : Les photos - J’aurais dû monter avec des habits, répondis-je faussement embêté, sachant l’inutilité, voire le sarcasme de ma réponse. - Des photos de nus, reprit Christian, hermétique à mon humour. - J’espère qu’au moins il vous fait bien l’amour, plaignis-je Vlad, devant ce manque évident d’intelligence. Ce dernier sourit. Christian ne comprenait même pas ma remarque. Ils me conduisirent dans la chambre à coucher. Tout y avait déjà été préparé. Deux lampes, des projecteurs au vu de l’intensité lumineuse qu’ils dégageaient, dirigeaient leur éclairage vers le lit couvert d’un drap de satin noir. Il insisterait judicieusement sur la blancheur de mon corps, pensai-je en connaisseur. - Tu n’as jamais fait de photos ? - Des nus ? répondis-je. - En général. - Non. Aurai-je raté une carrière de top-model ? dis-je ahuri. Vlad rit de ma blague. Christian ne fit aucun mouvement. C’était étrange comme impression. J’étais mal à l’aise, pire que lorsque je...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 114 : Un voisin plutôt pressé
il y a 1 an

Dans un engrenage, quand le couple change, la vitesse aussi, comme l’inertie et l’usure, tout est lié.

Chapitre 114 : Un voisin plutôt pressé Nathalie se précipita pour ouvrir. - Bonsoir, vous êtes son voisin ? demanda-t-elle. Nous vous attendions. Deux hommes entrèrent. Christian et Vlad se présentèrent. J’étais certain de n’avoir jamais vu le prénom de ce dernier sur la sonnette ni sur la boite aux lettres. La connotation étrangère ne devait pas être appréciée. Il l’avait omise. Vlad était charmant avec ces dames, leur faisant même le baise-main. Mon appartement me paraissait d’un coup beaucoup trop petit. - Alors ? Avez-vous étudié ma proposition ? commença Vlad. - J’ai décidé de la rejeter et de vous en faire une autre. - Allez-y, répondit-il l’œil joueur. - Tous les dimanches soir hors vacances scolaires, jusqu’à fin mai, il viendra dans votre appartement avant dix heures du soir et vous le libérerez avant deux heures du matin. - Cela me semble un bon point de départ pour une discussion. Nous pourrions accepter mais nous voulons mettre deux conditions - Q...
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