Récits
Premières expériences et engrenages : Chapitre 101 : En grenouillère
il y a 1 an

Le choix de la matière est une étape essentielle dans la conception d’un engrenage.

Chapitre 101 : En grenouillère Elle me le décrit. Nous continuâmes à parler un peu, jusqu’à ce que les maîtresses, une par une, descendissent. - Alors mon gros bébé, tu es prêt pour aller déjeuner ? dit Ladyscar, la première arrivée. - A-reu, lui répondis-je en mettant mon pouce dans la bouche, une bravade supplémentaire. - Tiens ! Mets plutôt ça ! me dit-elle en me tendant une tétine. Je mis l’objet dans la bouche puis je secouai la tête négativement devant son humour. J’étais vraiment ridicule. Je l’enlevai alors et la reposai sur la commode. Je n’allai pas sortir comme cela ? Je réagis comme si cela avait été la goutte qui fit déborder le vase ou, dans ce cas, la couche-culotte. Mais, en réalité, je sentis le choix réfléchi de Lassie qui recherchait la punition supplémentaire. - Non j’ne veux pas, Na, répliquai-je, jouant le bébé récalcitrant. - Mets-là ! Tu veux vraiment être un méchant petit garçon ? me demanda Lady Christine qui, descendant, rejoignait ma...
La roulette russe pour la fessée 2
il y a 1 an

Les étudiants s’enflamment

Je suis à peine sorti de la chambre de Véro que je croise Béné dans le couloir : « A tout à l'heure. Tu te souviens que tu es la première à tirer ! » Béné me retourne : « S'il y a une justice, ce soir c'est le tour d'un garçon ! » A neuf heures me voici de retour chez Véro. Elle s'est vêtue d'un bas de survêt ample et d'un tee-shirt collant. Sur la table trônent les instruments du destin : dé, brosse et cravache. Béné nous rejoint. Jacques arrive enfin. Véro semble avoir retrouvé la forme : « Tout le monde est partant ? Douleur et humiliation au menu ! A toi l'honneur, Béné. » Béné se saisit du dé. Elle attend et laisse le calme s'installer. Ce soir elle porte un jean collant et un sweat-shirt qui cache les formes de sa poitrine. Nous la sentons agitée, à la fois inquiète et tentée de nous montrer qu'elle non plus ne reculera pas. Jacques décide de faire monter la pression : « Alors tu nous fais attendre, tu veux te faire désirer ! Après la blonde, la brune va-t-elle dévoil...
Bijoux
il y a 1 an

Quand vos antécédents finissent par vous rattraper...

Dessin de Dagy - Où sont mes bagues ? - Vos bagues, Madame ? Quelles bagues ? - Celles que j’avais posées là, dans la petite soucoupe, à l’entrée. - Je ne les ai pas vues. - Faites bien l’innocente ! Vous me les avez volées, hein, c’est ça ? - Moi ? - Vous, oui ! - Mais jamais de la vie ! - Bien sûr que si ! Ce qui va vous coûter cher. Parce que, si je ne m’abuse, vous avez déjà été condamnée pour des faits de même nature. À la prison. Avec sursis. - C’est une vieille histoire. - Pas si vieille que ça… - Je vous jure que je n’ai pas volé vos bagues. Je vous le jure. - Oui, oh, alors ça ! Qui a bu, boira. C’est bien connu. Et, de toute façon, je vous ai vue faire, de mes yeux vue. Par la petite fenêtre, là-bas. C’est d’ailleurs ce que je dirai aux enquêteurs. Sous la foi du serment. Parce que vous n’allez pas vous en tirer comme ça : je vais porter plainte. - Vous n'allez pas faire ça ! - Je vais me gêner. - Si je suis reconnue coupable, mon sursis va sauter. - Il fa...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 100 : La suite des confidences
il y a 1 an

Avec un engrenage bien conçu et réalisé, le fonctionnement est instinctif ; il n’est pas nécessaire d’avoir de mode d’emploi.

Chapitre 100 : La suite des confidences - De quoi parlait-elle ? - Je ne peux rien te dire, me répondit mon infirmière, consciente de m’avoir déjà trop aidé. Elles le feront. - Alors si vous me racontiez la suite avec Ladyscar, tentai-je pour l’adoucir. - Tu ne veux pas t’asseoir ? me tenta-t-elle d’un ton trop mielleux pour que j’en valide la proposition. - Non, dis-je, mal à l’aise dans cette couche, le ventre plein. - Bon d’accord. Où en étais-je ? - Tu revenais en voiture chez toi et Ladyscar t’attendait, lui rappelai-je alors que mon ventre fit un gargouillis étrange et probablement annonciateur. Ladyscar était devant mon appartement, assise sur le rebord d’un bac à fleur de la ville. Elle s’était changée et portait une tenue légère et sexy. Elle avait dû dormir quelques heures. Je me rappelais que je l’avais trouvé fraiche. En fait je ne l‘ai pas reconnue immédiatement. La veille, il faisait nuit. Elle portait un manteau et une capuche qui cachait partiell...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 99 : Attention aux fuites
il y a 1 an

Deux roues symétriques, dans un seul engrenage se déplacent en revanche de concert.

Chapitre 99 : Attention aux fuites Il l’activa sur son clitoris. Cela durait quelques secondes mais, pour Lisa, cela semblait une éternité. Il l’arrêtait puis reprenait. Les temps d’électrisation duraient de plus en plus longtemps, les temps de pause, de plus en plus court. Le fonctionnement se coordonnait à ses cris. La situation du haut de son corps paraissait presque un soulagement. Ses seins avaient été attachés séparément par une corde fine qui outre de lui mordre la peau, lui enserrait la poitrine et la suspendait à multiple anneau du plafond. La couleur de ses seins avait même changé, bleui, violacé plutôt, comme s’ils étaient gonflés de sang. Wallace les frappait avec une cravache munie de pointe de métal arrondies et décrochée du mur. Des marques rouges indiquaient qu’il y avait peu de temps encore, des pinces à linges les recouvraient. Comme pour en valider la présence passée, l’une d’elles restait accrochée, désespérément, tenant bon face aux frappes ciblées du brit...
La roulette russe pour la fessée
il y a 1 an

Les étudiants jouent un drôle de jeu

L'ennui règne dans une résidence de grande école, en grande banlieue parisienne, loin de tout. Seules activités possibles : celles organisées par les élèves (et on en fait rapidement le tour) et les discussions sans fin dans les chambres. Ce soir là nous étions quatre dans la chambre de Véronique et la conversation était venue sur le terrain des paris et des risques. Jacques nous parlait d'un film (j'ai oublié lequel) avec une scène de roulette russe. Béné soutenait qu'il fallait être fou pour faire un truc pareil. Véro lui a répondu que c'était le résultat de l'ennui qui peut conduire à faire n'importe quoi, rien que pour se changer les idées, pour montrer que l'on existe, pour sentir un frisson. J'ai fait remarquer que coté ennui nous étions servis mais que nous n'avions pas de six coups. A cet instant la conversation a basculé du général au particulier et nous a entraînés vers une situation inédite. Véro : « C'est le principe qui compte. Prendre un risque. Faire un pari fou...
Selfbondage au tapis roulant
il y a 1 an

Il ne devait pas durer longtemps

Terri s'est réveillé excitée comme l'enfer. Elle a glissé sur ses chaussures à plateforme haute et a commencé son bondage. Elle a enfilé un collier BDSM et un bâillon. Ensuite, attacher les pinces à tétons avec les chaînes attachées à la seule chose qu'elle a pu trouver qui était proche du même niveau que sa poitrine... son tapis roulant. Mettant soigneusement une ceinture en cuir autour de son corps juste sous ses seins, elle y plongea ses deux bras et fit monter la ceinture au-dessus de ses coudes et sous ses seins. liant efficacement ses bras étroitement à son corps. Avec un petit effort, elle réussit à glisser ses poignets dans des menottes en cuir et à serrer les sangles du bout des doigts. Cela a pris du temps, mais elle a finalement réussi à les serrer suffisamment pour qu'elle ait du mal à s'en sortir toute seule. Heureusement, son mari devait bientôt rentrer à la maison et l'aiderait à se libérer. Mais alors qu'elle se tenait là, admirant son corps ligoté dans le miro...
Piégée par une femme de chambre lesbienne
il y a 1 an

S’endormir nue après s’être masturbée dans sa chambre d’hôtel n’est pas sans risque.

La réunion était terminée. Le reste de la journée était à elle, et elle n'avait pas à partir avant le matin. Il était temps de se détendre, alors elle a fait couler un bain d'eau chaude, s'était déshabillée puis glissée dans une eau revigorante. Après son bain, elle marcha vers le lit, fouilla dans sa valise et récupéra son compagnon de voyage préféré ; un gode rose. Allongée nue sur le lit, Dana écarta largement les cuisses et guida la pointe vers son sexe en attente et avide. Des fantasmes mentaux décadents de mecs chauds avec de longues bites épaisses envahissant ses trous affamés remplissaient son esprit. alors qu'elle se taquinait et se stimulait vigoureusement. Au moment où elle est arrivée à son deuxième orgasme, la serviette sous les plis de son cul était trempée. Elle éteignit le petit jouet sexuel et s'endormit, ne prenant même pas la peine de se couvrir. Son sommeil bienheureux terminé, elle ouvrit lentement les paupières. Elle était incapable de bouger. Ses yeux s'...
Rencontre gay sous cage de chasteté
il y a 1 an

La cage de chasteté n’empêche pas de baiser au gode ceinture

Wouah le mec ! Une soirée en boite des plus banale. Fred, la tafiole du coin se faisait remarquer comme d'habitude, il dansait torse nue au milieu de la piste et jouait les gogo danseurs. Un couple se pelotait, ils étaient torse nue et n'avaient pas remarqué que la séquence slow était terminée … C'est beau l'amour … Et c'est à ce moment qu'il est entré, tous les regards se sont dirigés vers lui, sauf toujours les deux amoureux qui continuaient à danser le slow en plein milieu d'un bon vieux rock. Eux, ils n'ont rien vu. Il était habillé tout en jeans, le pantalon bien sûr, la chemise, la veste et le chapeau, les santiags devait être en cuir, je précise parce que j'avais dit tout en jeans … Bref il avait de l'allure. Ou je sais, une telle tenue avait tout pour être ridicule mais lui, ça lui allait bien, il avait de l'allure, il était beau comme un cow-boy à la télé, plus beau que Montgomery clift et plus viril que John Wayne, c'est tout dire, si vous voyez de quoi je parle …...
Mémoires d'une fesseuse (7)
il y a 1 an

Photos...

- Tu peux pas t’asseoir, Marie-Clémence ? Tu me donnes le tournis. Ça faisait un quart d’heure qu’elle arpentait de long en large la cuisine. - Si ! Oui. Mais je voulais te demander… Les photos… Elle s’est agenouillée sur la chaise. - Quelles photos ? - Ben… De l’autre soir… - De ton derrière tout rouge ? Quand t’étais au coin ? - Voilà, oui. - Tu les veux, c’est ça ? Je t’en ferai une copie, c’est pas un problème. - Non, mais surtout… Ce que j’aimerais savoir… Tu… Tu les as montrées ? - Évidemment ! Quel intérêt sinon… T’as de ces questions ! - À qui ? - Tes copains à la fac… Elle a pris un air horrifié. - T’as pas fait ça ! - Ben si, pourquoi ? Fallait pas ? Ils étaient enchantés. Ils te découvraient sous un jour complètement nouveau. - Oui, oh, ben alors là, je remets pas les pieds là-bas, moi ! C’est hors de question. - Mais non, idiote, je les ai pas montrées. Mais je le ferai. Pas à eux. À d’autres. Tu perds rien pour attendre. - À qui ? - Tu connai...
Une soirée d’étudiants très coquine
il y a 1 an

Quand les langues servent à autre chose qu’à parler

Je m’appelle Antoine, j’ai 18 ans et je mesure 1m85 pour 71 kilos. Je n’ai jamais vraiment eu de difficultés côté fille, il faut dire que je ne suis pas non plus très moche. Depuis cette année j’étudie à l’université du Mans en DUT GMP. Cette année était un grand changement pour moi. En effet, cela faisait 14 ans que je vivais dans la même petite ville de 10 000 habitants. J’avais mes amis depuis toujours, mais habitudes, et la proximité avec mes parents. Ayant obtenue mon bac, mon choix d’étude m’a transporté jusqu’au Mans, en DUT GMP (Génie Mécanique et Productique). Je ne connaissais donc personne mais je sympathisa vite avec quelques camarades. Je savais que les filles étaient rares dans ce domaine mais là c’était vraiment désespérant, 6 filles pour 52 élèves, la m o r t ... La promo est divisé en quatre groupe de classe et dans la mienne, deux filles (on peut dire que c’est une chance). Parmi elles, une sortait un peu plus du lot, même si ce n’était pas vraiment un mannequin. E...
Tout est perdu, fors l'honneur
il y a 1 an

Défaite.

- Les nouvelles ne sont pas bonnes, Madame ! - C’est-à-dire ? Parle, Guillaume, je te l’ordonne ! - Elles sont même très mauvaises. - Monseigneur ? - Capturé. - Notre fils ? - Également. - Dieu soit loué : ils sont néanmoins sains et saufs. Nos troupes ? - Défaites. Avant ce soir l’ennemi sera ici. Si j’ai un conseil à donner à Madame… - Fuir ? Jamais ! 2- - La ville est entre leurs mains, Madame. - J’y vais. Ma place est là-bas. - Vous n’y songez pas ! On tue. On pille. On saccage. On viole. - Je m’interposerai. Je supplierai. Je convaincrai. - Ce serait pure folie. Vous exposeriez inconsidérément votre vie. - Peu m’importe désormais. - Vous ne sortiriez de toute façon pas du château. Il est cerné de toutes parts. 3- - Il y a là un émissaire du prince, Madame ! - Faites entrer… Un homme en armes qui salue. Qui s’incline. - Mon maître prie Madame d’accepter ses plus fervents hommages. - Laissons cela ! Où sont-ils, Monsieur ? Dites-le-moi ! Je vous en c...
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