Récits
Fessée suprise
il y a 1 an

Il y a des moments où ce n'est pas prévu et où la suite est troublante

C'était au début de l'année suivante, j'avais un document à signer pour l'école des e n f a n t s, j'avais un peu temps dans ma journée de travail, je suis donc passé à mon ancien domicile pour signer le document en question. J'ai sonné à la porte, elle m'a fait rentrer dans la salle à manger, elle m'a dit qu'elle allait chercher les papiers dans la chambre de ma fille. Il y avait du linge à sécher sur un étendoir et sur une pince... je me suis approché et j'ai vu qu'il s'agissait de deux culottes qu'elle portait.. ma main a touché le tissu. Elle est revenue à ce moment là et m'a demandé ce que je faisais, j'étais gêné, elle m'a tendue les papiers et m'a dit de signer. J'ai posé le document sur la table et sorti un stylo et je me suis dépêché de signer. Je comptais partir, je me suis dirigé vers la porte et j'allais ouvrir la porte quand elle m'a dit ça t'as excité de toucher ma culotte... tu mérites une fessée. Viens ici tout de suite. Je me suis approché, elle...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 98 : Deux corps, deux t o r t u r e s, un plaisir.
il y a 1 an

Deux roues symétriques, dans deux engrenages différents n’interagissent qu’en pensée.

Chapitre 98 : Deux corps, deux t o r t u r e s, un plaisir. Le liquide s’écoula d’abord lentement, puis plus rapidement. Une cascade d’eau saumâtre et mousseuse sortit de mon être directement dans le seau positionné avec expertise. Même les valets s’étaient arrêtés de v i o l enter Lisa pour me regarder. L’action était tout aussi humiliante que la position jambes écartées et attachées à laquelle je ne pouvais remédier. Deux ou trois fois je crus que j’en avais fini, mais quelques filets sortaient toujours de mon anus, devenu presque insensible à ce déversement. Plus assez pour que cela intéresse encore mes spectateurs, mais suffisant pour ne pas atténuer ma honte. Les valets reprirent leur affairement sur la pauvre Lisa. Celle-ci se défendit. Profitant de leur distraction, elle réussit même à se redresser, hurlant, giflant. Mais elle était en face de cinq hommes qui reprirent vite le dessus sur elle. - C’était juste une pause, dit l’un des valets. Ce n’est pas fini. Je c...
Un travail d'équipe
il y a 1 an

Après un différend avec une collègue, un jeune homme doit, sur ordre de son patron, former la nouvelle arrivée dans l'équipe et ainsi redorer son blason. Malheureusement pour lui, ça ne se passe pas comme il l'avait espéré.

Un travail d’équipe. C’était un pluvieux matin de septembre. L’été venait de faire place nette à un automne bien décidé à faire valoir son autorité. Le froid accompagnant la pluie obligeait tout être censé à se couvrir, entassant les épaisseurs les unes sur les autres pour passer de son domicile à la voiture, de la voiture à son bureau… Ce matin là, Marc, mon patron, nous appela, Nathalie, Florence, Paul, Yann et moi dans son bureau. Je ne vis que son visage d’ange une fois passé la porte, hypnotisé par ses grands yeux bleus et sa bouche aux contours parfaits. Je ne prêtais aucune attention à Marc qui haussa la voix me tirant à regret de la peau fine et légèrement rougissante de la nouvelle venue. • Je vous présente Sandrine. – sembla redire Marc à mon attention. - Elle va compléter notre équipe dès aujourd’hui. Je compte sur vous pour l’aider à s’intégrer, d’une, et de deux, qu’elle soit rapidement opérationnelle sur les projets en cours ! Marc nous présenta à la jeune f...
Mémoires d'une fesseuse (6)
il y a 1 an

De fessée en fessée...

[Le début de cette saga est ici](198703) C’est le sentiment d’une présence dans ma chambre qui m’a réveillée en sursaut, sur le coup de deux heures du matin. J’ai allumé. Marie-Clémence était toujours au coin. Là où je l’avais envoyée en début de soirée. Elle n’avait pas bougé. - Qu’est-ce tu fous là ? Va te coucher ! L’image d’Hélène, penchée à poil sur sa table, m’a effleurée. Est-ce qu’elle non plus n’avait pas bougé, attendant patiemment que je vienne la délivrer ? Peut-être. Sûrement même. On verrait ça. Plus tard. Et je me suis rendormie. À neuf heures, j’ai déjeuné. Je me suis douchée. Habillée. Ce n’est qu’ensuite, bien après, que je l’ai appelée. Ça a d’abord sonné sept ou huit fois dans le vide avant qu’elle ne finisse par décrocher. - Hélène ? - Oui. - Tu m’as désobéi. Tu n’es pas restée comme je te l’avais dit. - Ah, mais si ! Si ! Je t’assure. - Ah, oui ? Et comment t’as fait pour attraper ton téléphone alors ? Il était dans la cuisine. Il y a eu un...
Jouer dans tripot clandestin amical avec des pervers n’est pas sans risque
il y a 1 an

Récit érotique hard écrit à deux mains où les vieux fantasmes deviennent réalité

J’étais un redoutable et invétéré joueur de poker, et cela faisait plus de trente ans que cela durait. Mais je ne jouais ni en ligne dans des cercles de jeux. J’étais connu dans le milieu du poker et depuis des années je ne jouais plus que dans un cercle d’initiés, des amis fortunés comme moi. C’était un cercle privé d’une dizaine de membres où l’on ne rentrait que par cooptation – et rarement. Il fallait montrer patte blanche pour venir jour avec nous, être accepté par les membres (qui en décidaient par vote à bulletin secret et à la majorité.) ; et encore, quand un nouveau intégrait notre groupe c’était tout d’abord pour une seule soirée, après laquelle les personnes qui avaient joué avec cette personne donnaient leur avis à tous les membres et il y avait à nouveau vote. Bien entendu, la personne devait être connue non seulement de celui qui le cooptait, mais on devait disposer de renseignements fiables sur elle. Et ce devait être une personne hautement solvable mais égaleme...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 97 : La bonne est en bonnes mains
il y a 1 an

La roue qui s’usera le plus restera toujours celle qui présentera la plus faible des duretés.

Chapitre 97 : La bonne est en bonnes mains Dès que je donnai mon accord pour le démarrage, les hommes se jetèrent sur elle, avec plus de ferveurs, plus de violences et de fureur que ceux-là même, hier, derrière les fenêtres ou dans la boîte de nuit. Aucune caresse sensuelle, aucun préliminaire, aucune excitation graduelle ! Trois d’entre eux se précipitèrent avec leur membre échauffé vers les trois réceptacles féminins, comblant sans ménagement les embrasures de la bonne. José avait pris la meilleure place, enfonçant son membre géant dans le con à peine humide de Lisa, l’empalant plus que la pénétrant, la traumatisant plus que la rassasiant. Elle aurait crié si Sébastien ne lui avait pas mis la main sur la bouche, cherchant à allonger ce couple pour remplacer sa main par de la chair autrement plus volumique. Il attendit qu’Ahmed, choisissant la porte de derrière, à son tour la pénétrasse, dans le peu d’espace du bassin que José lui avait laissé. Les trois valets aidèrent le trio...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 96 : Premier lavement
il y a 1 an

Il est bon que les roues soient ointes, tant que le glissement soit à l’endurance ce que le frottement est à l’usure.

Chapitre 96 : Premier lavement Du monde venait par cet escalier. Beaucoup de monde. Lydia me cachait la vue de l’entrée de la pièce et je ne distinguais les nouveaux venus que dès lors qu’ils quittaient l’angle mort que son corps de déesse générait. Ladyscar fut la première. - Alors, prêt à être plus loquace sur ta journée d’hier. - Non, répondis-je avec la même assurance, que peu avant, avec Lydia. - Non, qui ? entendis-je derrière elle Lisa. - Il est bien rebelle, dit Tata Marguerite qui était arrivée à la demeure entre temps. Si Ladyscar portait une tenue de maitresse d’école avec un chignon, des lunettes, une jupe droite trop petite pour cacher des bas de soie se terminant sur des souliers noirs vernis, Tata Marguerite avait préféré un body moulant en latex violet surmonté d’un masque de chat avec deux petites oreilles à la Catwoman. Une cravache assortie complétait sa tenue. Elle me frappa les couilles bien découvertes en répétant la question de Lisa. - Non...
Un ami de Sandra
il y a 1 an

Une amie libertine lui présente son copain de façon particulière. L'histoire érotique d'une rencontre originale !

La table de chêne semblait provenir d'un autre temps. Rugueuse, parcourue de stries disparates et parsemée de trous témoins du passage de colonies de termites, elle dénotait quelque peu au milieu des meubles modernes de l'appartement. De hautes chaises aux accoudoirs de bois travaillés et au dossier recouvert de velours rouge l'encadraient et complétaient ce tableau baroque. Une large porte fenêtre laissait passer la lumière déclinante de cette fin d'après-midi. D'où j'étais, je n'apercevais que quelques toitures de zinc surplombant les immeubles mitoyens. Les bruits de la rue ne me parvenaient que de manière sporadique, étouffés qu'ils étaient par l'isolation phonique. J'étais allongée sur cette table depuis un bon moment. Je ne saurais aujourd'hui dire depuis combien de temps. Suffisamment en tout cas pour avoir eu le temps de détailler avec précision ce vaste salon. Mes poignets étaient attachés aux pieds de la table par de longs foulards de soie rouge. En inclinant ma tête vers...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 95 : Confidence 3/3
il y a 1 an

…et qu’il chauffe à en fondre ou se fracasse au moindre imprévu.

Chapitre 95 : Confidence 3/3 - Je tournai autour de l’arbre, me cachant derrière et pour plus de sureté, je m’accroupis, de façon que les orties camouflaient ce gilet fluo orange, jusqu’à la poitrine. En fait, je m’assis carrément dessus, ou plutôt sur mes mollets. Ma position m’obligeait à écarter les jambes et les orties se frottèrent à ma peau autant quand je descendis que quand je tins ma position. Le plug, qui écartait mon string de ma peau, avait même permis à une des branches de se glisser dans l’interstice. Elle s’appuyait sur une de mes lèvres, finalement, j’y gagnais un orgasme supplémentaire. Là, je vis la boite à clef entre mes jambes. Le minuteur, s’affichant devant moi, était parfaitement visible Je vis combien il restait, finit-elle, retenant son souffle et le suspens de son histoire. - Combien ? - Quatre-vingts minutes. J’avais décidé que je ne passerai pas plus de trois heures après l’aube. Je voulais partir avant l’arrivée des familles, des enfants de peur qu...
Vacances ABDL en Espagne dans un gîte fétichiste
il y a 1 an

Les aventures d’un couple ABDL dans un gîte un peu BDSM

- Chérie, cela te dirait que nous allions en Espagne cette année pour les vacances ? - Pardon ? Toi qui est si casanier et a toujours refusé d’aller à l’étranger avec des tonnes de prétextes, je ne comprends pas ce changement si soudain ? - Comme quoi, les choses peuvent évoluer.... - Moi j’irai bien en Italie, ce serait l’occasion d’aller voir ma famille, qu’en penses-tu ? - Ah non, je préfère l’Espagne, j’en rêve depuis des années. - C’est nouveau ça ! Que me caches-tu ? - Disons, euh.... que j’ai découvert un gîte un peu original qui permet de s’amuser.... - Je me disais bien aussi que tu ne me disais pas tout. Et c’est quoi ce gîte ? - C’est un gîte privé où l’on peut vivre toutes nos petites envies ! On peut même y faire de l’ABDL si on veut. - Je me disais bien ! On pourrait peut-être oublier un peu les couches pendant les vacances non ? - J’ai une idée à te proposer ! - J’ai peur d’avance ! Racontes toujours, mais je ne la sens déjà pas...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 94 : Confidence 2/3
il y a 1 an

… mais il arrive qu’il accélère sans frein, sans fin, jusqu’à des vitesses jamais utilisées…

Chapitre 94 : Confidence 2/3 - Ce que je ne savais pas, c’est que la veille, alors que je cherchais mon arbre, j’avais été plutôt expressive. Je me suis mimée en situation en pensant qu’il n’y avait personne. Je vérifiai le diamètre des arbres, qu’il n’y avait pas de branches incommodantes, que le sol était égal pour ne pas me tordre la cheville, que j’étais bien à moitié caché de l’ensemble du chemin. Je m’accroupissais également, me mimant en train de récupérer la clé. Elle m’a repérée et a compris ce que je faisais. - Que faisait-elle dans les bois ? - Tu le lui demanderas. Je ne sais pas. Ce qui est sûr, c’est que le soir suivant, elle m’attendait et m’a vu dans la voiture. Elle est alors partie se garer plus loin et elle est revenue à pied. Je n’étais plus là. Il lui a fallu une heure pour me retrouver dans la forêt. Elle m’expliqua qu’elle progressait lentement car elle voulait me surprendre uniquement une fois que j’étais attachée. - Elle a été patiente. Comment avez...
Au magasin
il y a 1 an

Quand il y a pas le choix, il y a pas le choix...

- Madame Maurel ! Vous pouvez venir une seconde, s’il vous plaît ? Je voudrais vous parler. - Oui, mais alors vraiment une seconde. Parce que je suis pressée. On m’attend. - En principe ce ne sera pas long. En principe. Juste le temps que vous me restituiez ce que vous venez de me dérober. - Pardon ? Non, mais vous savez qui je suis ? - Tout à fait, oui. - Et vous avez le front de m’accuser, moi ! - Absolument. - Ce que vous semblez ignorer, chère Madame, c’est que ça peut vous mener loin cette histoire. Très très loin. J’ai le bras long. Un mot de moi à mon père ou à mon mari et elle est fermée votre boutique. Pour un bon moment. Voire même pour toujours. Alors, à votre place, j’adopterais un profil bas. Ce serait la solution la plus intelligente, non, vous ne croyez pas ? La plus raisonnable. Allez, on en reste là. Pour cette fois je passe l’éponge et… - Oui, ben pas moi ! Alors ou vous me rendez ce que vous m’avez volé ou j’appelle les gendarmes. À moins que je demande à vot...
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