Récits
La maison des soupirs partie 5
il y a 1 an

Il était une fin.

Les jours, les mois, puis les années passèrent, faisant de moi une sissy toujours plus soumise et docile. J’avais perdu tout espoir de retrouver ma liberté. De retrouver ma vie d’avant. Mais en réalité, le voudrais-je vraiment ? Le pourrais-je ? Les clientes régulières ne me regardaient plus, ne me désiraient plus. Même nos Maîtresses semblaient s’être lassées de nous. S’être lassées de nos cris. Depuis quelque temps, les jumelles parlaient de renouveler leur cheptel. Bien évidemment, nous étions le cheptel. À leurs yeux, de simples animaux. Du bétail. Charlotte et Margaux furent les premières à partir. Remplacées par deux jeunes sissys qui avaient la fougue de résister à nos Maîtresses. Agnès, Inès et Abby avaient retrouvé le plaisir de soumettre à leur volonté ses jeunes sissys. Parmi les anciennes sissys, les rumeurs les plus folles tournaient. Étions-nous revendus à d’autres maîtresses, des réseaux de prostitution, ou était-ce bien pire encore ? Les plus pessimistes d’entre nous pe...
La maison des soupirs partie 4
il y a 1 an

Tiens toi droite

En fin de ma première semaine de service, deux nouvelles sissys arrivèrent à la maison des soupirs. Rose, une petite blonde aux yeux bleus et Jasmine, une jeune maghrébine. Pour ce qui était de Jasmine, elle luttait contre son sort de toute sa hargne. Lily qui avait commencé à se soumettre retrouva toute sa combativité. Combativité qu’Abby s’efforça de briser avec la plus extrême sévérité. En revanche, Rose semblait être déjà à sa place. Avec ses longs cheveux bouclés, elle me faisait penser à une héroïne de dessin animé de mon enfance. Candy pour ceux qui sont nés comme moi dans les années quatre-vingt. Rose avait été élevée par une vieille femme comme une petite fille. Si bien que pour elle, les robes, les culottes et les chaussures à talons n’avaient rien d’inconnu. Même sa voix semblait féminine. À présent, Lily et moi parvenons à marcher convenablement avec nos talons. Mais d’après les jumelles, notre démarche n’était pas encore suffisamment féline. Il nous fallait aussi parfaire...
La maison des soupirs partie 3
il y a 1 an

Mesdames est servie

Deux jours étaient passés après notre séance de torture. Et Lily et moi allons faire notre première apparition en salle dans nos tenues de soubrette. Charlotte m’avait aidé à me préparer. Elle avait commencé par me passer mon corset autour de mon corps et bien qu’elle ne l’avait pas resserré à son maximum, j’avais l’impression d’avoir ma taille comprimée dans un étau. — On resserrera ton corset de plus en plus, jusqu’à ce qu’il soit totalement resserré ! m’avait-elle indiqué. Ce à quoi je répondis par un regard inquiet. Ensuite, elle m’avait passé ma culotte, une rose avec des froufrous gris, mes bas noirs, ma robe, mon tablier, mes chaussures à talon et pour finir mon serre-tête de soubrette. Bien que je n’avais pas encore les cheveux longs, Charlotte parvint à y placer deux petites pinces avec des nœuds roses. Pour finir de m’apprêter, Charlotte appliqua un vernis rose sur mes ongles et me maquilla. En me regardant dans le miroir, j’eus un choc. J’étais véritablement devenu Mar...
Interdite
il y a 1 an

Réminiscences d'une belle soirée en belle compagnie. 6 ans déjà...

Les secondes défilaient dans son esprit. Combien de temps était passé depuis ? Elle n’en avait plus conscience. Mais chaque instant, chaque souffle, faisait battre un peu plus fort son cœur. Elle savait pourquoi elle était là. Sur le parquet froid et dur. Un cliquetis perça le silence. Son cœur manqua un battement. Était-ce réel ? Les yeux ainsi bandés, elle ne pouvait en être sûre. Elle restait néanmoins fière. À genoux, nue, mais fière. Le dos dressé, droit ; les mains posées sur la tête, la bouche close, interdite. Quand de nouveau plusieurs cliquetis retentirent, elle comprit qu’il était temps. Elle ne tourna pas la tête pour l’accueillir mais entendit ses pas s’avancer vers elle. Sa poigne fut directe. Douloureuse, mais bienveillante. Elle se redressa car il la tirait vers lui, et suivit les pas de l’homme qui la possédait. Sa peau frôla le rebord du lit. C’était ici et maintenant. Elle se cambra. Les fesses en arrière, la tête vers le bas et les mains loin devant. Elle agr...
Une femme découvre la soumission au gîte fétichiste
il y a 1 an

Lors de leurs vacances en Espagne, une femme découvre les plaisirs du BDSM avec son mari coquin

Cela faisait un moment que Paul me parlait de BDSM et, personnellement, cela me faisait peur. Certes, j’avais bien quelques fantasmes coquins mais de là à les vivre... Ce coquin m’a bien eue en me promettant que nous ne ferions que l’amour dans la chambre LOVE ! A notre arrivée, j’étais un peu tendue. Cela n’a pas duré car l’accueil est aussi simple que chaleureux. C’est vraiment l’esprit « vacances » à la campagne qui est mis en avant. Après nous avoir aidé à décharger nos affaires et expliqué rapidement le fonctionnement du gîte, Marc nous a fait visiter sommairement le parc, l’immense verger en nous disant que nous pouvions aller cueillir des fruits, si nous en avions envie ou nous y amuser. Sous-entendu perçut par Paul comme vous le constaterez plus tard. Jusque là, c’était l’esprit « vacances » à la campagne mais cela n’a pas duré. Après nous avoir fait voir la piscine en nous précisant que nous pouvions y faire du naturisme, il a ouvert une porte donnant sur ce qu’il a ap...
La maison des soupirs partie 2
il y a 1 an

Quand les sissys cries, les femmes sont ravies.

Les punitions d’Abby s’étaient révélées bien plus sévères que celle de Kassandra. Et pourtant, Kassandra était déjà une redoutable fesseuse. Mieux valait obéir que de se retrouver attaché sur sa croix de Saint-André. Durant la semaine, j’avais eu le droit à des cours particuliers et intensifs. Coiffure, même si pour le moment mes cheveux étaient encore trop courts pour cela, maquillage, serrage de corset et habillement, maintien évidemment, mais surtout, marche en talons hauts. J’avais même eu les oreilles percées. Inutile de vous dire que Lilian, enfin Lily, puisque nous n’étions plus de jeunes garçons, mais bel et bien des sissy, avait reçu le même traitement. Le samedi arriva trop vite à mon goût. Et en cet instant, j’aurais préféré ne pas savoir ce qui m’attendait. Ce qui nous attendait à Lily et moi. Je pouvais entendre le bruit des discussions à travers le rideau. La salle devait être bondée. Bondé de femmes qui n’attendaient qu’une chose. Nous voir souffrir. J’étais à genoux, tê...
La maison des soupirs partie 1
il y a 1 an

Suite de l'initiation

Bonjour à toutes et à tous. J’espère que cette suite vous plaira autant que [l’éducatrice](https://fessestivites.com/recit/199526) et [l’initiation](https://fessestivites.com/recit/199779) qui en sont le commencement. Vous constaterez que ce récit est plus hard que les deux premiers. J’en ai même dépassé mes propres fantasmes afin de conserver une cohérence. Je vous souhaite une bonne lecture. Marc. Derrière la vitre, une jeune femme me regardait avec des yeux jubilants. Elle était heureuse de me voir en si mauvaise posture. Moi qui lui avais menti le jour de notre première rencontre. Le jour de mon premier rendez-vous chez Madame Kassandra. À sa droite, il y avait deux jeunes femmes. Si elles ne portaient pas de tenue différente, j’aurais pu penser que je voyais double. Inutile de vous dire qu’il s’agissait des jumelles. Des propriétaires de la maison des soupirs. Elles nous détaillaient de leur regard supérieur. Lilian me gifla violemment, me sortant de ma torpeur. — Aide-m...
Fringues (1)
il y a 1 an

Jeux de filles

- Des après-midi entières j’y passerais, moi, à essayer des fringues. - T’es pas la seule. - Vous êtes trop dans votre genre quand même, les filles ! Vous l’avez mis dans un état le type du magasin. Comment il était rouge et comment il transpirait ! - Ben quoi ! On avait tiré le rideau. - Aux deux tiers. Et encore… - On l’avait fait exprès, remarque ! - Mais en faisant quand même semblant que non. Pour quoi on passerait sinon ? - En attendant celui-là j’ai vraiment cru que vous alliez lui faire avoir un malaise à un moment. Il te respirait à une vitesse ! - Ah oui ? Quand ? - Quand t’as baissé ta culotte en même temps que le jean. - C’était pas de ma faute. Il serrait trop, ce truc. - Tu parles que c’était pas ta faute. - Disons… Pas complètement ma faute. N’importe comment personne l’obligeait à regarder, hein ! - De toute façon je crois pas qu’on y retourne. - Il y a nettement mieux ailleurs. - Celui tout en haut de l’avenue, par exemple....
Fringues (2)
il y a 1 an

Elle cachait bien son jeu, elle!

- T’aurais dû venir ! Comment ça valait le coup ! - Ah oui alors ! Parce qu’on a trouvé le point faible, là. Je peux te dire qu’il y est pas resté derrière son comptoir à regarder tout ça de loin comme il fait d’habitude. Comment il a rappliqué ! Toutes les trente secondes il était là, derrière le rideau. Qu’on avait laissé entrebâillé juste ce qu’il fallait. À nous demander si on n’avait pas besoin d’un conseil. Fallait pas qu’on hésite, hein, surtout ! D’ailleurs il venait de recevoir de nouveaux modèles. Si on voulait les essayer… Ça nous engageait à rien… Et patati… Et patata… Il partait. Il revenait. Il arrêtait pas. Et il se rinçait l’œil tant qu’il pouvait. Je te le regardais faire discrètement dans la glace. Un vrai meurt-de-faim… - C’était trop génial, attends ! Parce que ce type, il est toujours hyper sûr de lui. T’as l’impression qu’il y a rien qui peut l’atteindre. Qu’il y a aucune prise nulle part ; Et là, d’un seul coup tu le vois qui perd complètement pied. Tout ça...
Pire que punie
il y a 1 an

L’infidélité conduit une femme à accepter les pires humiliations pour se faire pardonner.

Emma a trompé son ami et le regrette. Emma et James se regardent par-dessus la table. James reste adossé à la chaise, réussissant d'une manière ou d'une autre à avoir l'air à la fois sévère et en colère en même temps. Emma est tellement choquée par ce qu'il vient de lui dire qu'elle a cessé de pleurer. James lui sourit : - Tu as entendu ce que j'ai dit. C'est ça ou rien. Emma est incapable de répondre et il lui lance un regard déçu avant de se lever pour partir. - Tu m'as bien dit que tu ferais n'importe quoi? Mais comme tu m'avais dit que tu ne me tromperais jamais, je suppose que je ne dois pas prendre pour argent comptant tout ce que tu dis. - Attends! Emma essaie rapidement de l'empêcher de partir. Elle se remet à pleurer. Mais elle ajoute : - Je vais le faire! James s'arrête et la regarde. Il reste impassible. Emma sourit faiblement : - Je parie que tu ne t'attendais pas à ce que je dise oui, n'est-ce pas? J'ai dit que je ferais n'importe quoi pour te récup...
Visites médicales universitaires (1)
il y a 1 an

Il y a des étudiants qu'il ne faut pas hésiter à remettre en place

La visite médicale universitaire, les étudiants s’y plient parce qu’ils n’ont pas le choix. Parce que, s’ils n’ont pas le fameux tampon-sésame, ils ne pourront pas passer leurs examens. Alors ils font, pour la plupart, contre mauvaise fortune bon cœur. Pour la plupart. Parce qu’il y en a qui ne peuvent s’empêcher de manifester ouvertement de la mauvaise humeur, une mauvaise humeur qui devient parfois, pour certains d’entre eux, délibérément arrogance quand ils constatent, au moment où ils se présentent en slip devant elle, que c’est une jeune femme qui va la leur faire subir, cette visite. Et qu’elle a, grosso modo, à peu près leur âge. Leur petite fierté de mâles ne s’accommode que très difficilement d’une situation où ils se sentent, vis-à-vis d’elle, en position d’infériorité. Elle a l’autorité et, d’une certaine façon, le pouvoir. Ce qui leur est, à proprement parler, insupportable. D’où des attitudes souvent aux limites de l’incorrection, quand elles ne sont pas carrément offensan...
Visites médicales universitaires (2)
il y a 1 an

Notre médecin s'enhardit...

8- Ceux d’un certain âge qui, à quarante, cinquante ou soixante ans reprenaient des études, elle les avait jusque-là épargnés. ‒ Parce qu’ils t’impressionnent ? Parce qu’ils t’intimident ? ‒ Il y a peut-être un peu de ça, oui. Sûrement, même. Mais ce qu’il y a surtout, c’est que j’ai peur que ça dérape avec eux. Souvent ils sont vicieux à ces âges-là. Faudrait pas que ça dégénère. Ou bien alors qu’ils retournent la situation à leur avantage. Que je perde le contrôle. ‒ Oui, mais, d’un autre côté, imagine le pied que ce sera si t’arrives à prendre complètement le pas dessus… Elle s’y est essayée. Avec un certain Martin Duport. Qui paraissait d’un naturel assez pacifique et qui, d’après sa fiche, était comptable, avait cinquante-deux ans, en paraissait un peu plus, et était inscrit en troisième année d’Histoire. ‒ En plus de votre métier. C’est courageux. C’est méritoire. Dans quel but, si ce n’est pas indiscret ? Vous voulez vous reconvertir ? ‒ Oh, non, non ! Mais...
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