Récits
Grands moments de solitude (7)
il y a 2 ans

Tout a une fin, hélas! Il restera de beaux souvenirs. Et la perspective de nouvelles aventures.

##### [LE DEBUT DE CETTE HISTOIRE EROTIQUE EST ICI](/recit/193862) J’ai investi la plage tôt, très tôt, pour pouvoir profiter à plein de cette dernière journée de mer et de soleil. Julien est presque aussitôt venu m’y rejoindre. Il s’est allongé sur le sable, à mes côtés. - C’est aujourd’hui… - Qu’on repart, oui. - C’est pas à ça que je faisais allusion. - Ah ! Ce à quoi, il pensait, lui, c’était… Il s’est redressé sur un coude. - On pourrait peut-être déjà s’offrir un petit acompte, non, qu’est-ce t’en dis ? Ce que j’en disais, moi, c’est qu’un type comme Julien c’était impossible de pas avoir envie avec lui ? Mais je me suis tue. Je me suis contentée de le regarder. Il s’est penché, penché encore. Ses lèvres ont effleuré les miennes. S’en sont éloignées. Y sont revenues. S’y sont installées. Sa queue s’est élancée, sous le maillot, contre ma cuisse. Les pointes de mes seins se sont dressées contre son torse. On s’est embrassés. Encore et encore. On s’est un peu...
La camisole de mon psy préféré
il y a 2 ans

Une jeune femme découvre la camisole avec un psy adepte du BDSM qui va lui faire vivre une rencontre particulière.

J’ai 30 ans, je suis une brune célibataire plutôt portée sur la chose voir un peu inconsciente dans mes aventures. Physiquement, sans être Miss France, je m’estime plutôt jolie mais comme je parle de moi, l’appréciation est f o r c é ment discutable. C’est dans une soirée organisée par des amis, que j’ai rencontré un médecin fort sympathique et plutôt mignon qui m’a fait danser avec une douceur extrême, des sourires charmeurs et en même temps une main ferme dans le geste. Le genre de cavalier qui me fait fondre ! Il est grand, musclé et bien fait de sa personne, lors des échanges, comme sa conversation était agréable, je me sentais attirée par lui. Il m’a proposé de finir la soirée à son domicile ce que j’ai accepté avec grand plaisir. Lorsque nous sommes entrés dans son appartement, il y avait, accroché au porte manteau, une camisole de f o r c e car il est d’astreinte certains soirs de semaine dans le cadre des gardes liées aux interventions de la police. Nous avons très vite câ...
Initié aux jeux humides par une femme
il y a 2 ans

Après le marathon au lit, elle lui fait découvrir d’autres plaisirs

J’étais complètement lessivé. Nu, couché sur le dos, je n’avais plus une once de f o r c e , mon entrejambe semblait ne plus exister, ma verge ressemblant à une nouille molle et poisseuse, vidée de toute sa substance. Une corrida épique avec Martine avait eu raison de toute mes f o r c e s et de toute mon énergie. Elle n’était d’ailleurs pas beaucoup plus fraîche, tout autant épuisée par ses orgasmes que par mes jouissances. Nous étions avachis, trempés de sueur, après une folle cavalcade et bien des essais du Kâmasûtra. Ivres d’un sexe B e s t i a l , effréné et débridé. Nous nous connaissions à peine, juste la rencontre d’un soir, vite conclue dans sa chambre avec pour seule envie de s’accoupler sans penser à rien d’autre. A peine si nous avions échangé nos prénoms dans ce bar trop bruyant; un regard avait suffi, nous ne cherchions pas le grand amour ni la rencontre de notre vie. Juste du sexe à l’état brut. L’accouplement égoïste tant pour l’une que pour l’autre. Notre façon...
Alyssia, ma femme (13)
il y a 2 ans

Elle prend de plus en plus de place, cette Eugénie, la petite serveuse.

[Le début de cette saga est ici](/recit/192881) - Comment elle est ? - Qui, ça ? - Ben, la fille, tiens, cette Camille… - Je sais pas, je… - Parce que t’es pas allé voir la tronche qu’elle a, peut-être ? La tronche et le reste… À d’autres ! Je te connais depuis le temps. Alors elle est comment ? - Pas mal… - Pas mal ou pas mal ? - Plutôt bien. Et même très bien. Absolument ravissante en fait. - Ouais… Faudra que j’aille jeter un œil sur cette petite merveille. - Tu vas pas… - Faire un esclandre ? Pour qui tu me prends ? Tu devrais savoir que je suis beaucoup plus subtile que ça. - Tu vas faire quoi alors ? - Sûrement pas lui abandonner le terrain. Alors là, il y a pas de risques. Et j’ai quand même pas mal de cordes à mon arc. D’abord Eugénie. Il s’est senti frustré de pas être là, l’autre jour, Benjamin. Alors, Camille ou pas Camille, pas besoin de t’en faire que, la prochaine fois, il nous fera sûrement pas faux bond. Et comme Eugénie est très joueuse, qu’on mettra le...
Françoise une soumise gourmande
il y a 2 ans

Le récit d’une soirée BDSM surprise

C'était un jeudi soir j'appelais Françoise du travail pendant ma pause café, Je lui dis que j'avais une surprise pour elle ce soir si elle le voulait bien, elle adorait les surprises, - Bien sûr que oui, me dit-elle - C'est quoi la surprise? - Tu verras, mais il faut que tu fasses quelque chose pour moi avant ! - Qu'est-ce que c'est ? - J'aimerai que tu te prépares ce soir, que tu portes tes bas de soie avec la jarretière et tes souliers noirs à talons hauts et tu te souviens du collier de velours que tu as, j'aime bien le voir autour de ton cou. - C'est tout ? - Non, je veux également que tu portes un bandeau sur tes yeux et que tu t'assoies au pied du lit et que tu m'attendes, regarde dans le petit bureau, deuxième tiroir, le bandeau t'attend. - Je serai prête, mais dis-moi, c'est quoi la surprise ? - Tu le verras bien assez vite, à plus tard, je t'embrasse - Bisou En après-midi j'étais allé à la boutique Séduction sur la rue Mont-Royal. Un peu gêné, j'ai demandé pour ac...
Grands moments de solitude (6)
il y a 2 ans

La complicité entre ces quatre jeunes gens continue à s'épanouir grâce, entre autres, aux récits qu'ils se font les uns aux autres de situations compliquées dans lesquelles ils se sont trouvés.

Chloé n’en revenait toujours pas. - Wouah, les filles ! Ce pied que j’ai pris, hier soir ! Non, mais ce pied que j’ai pris ! Il y avait des mois et des mois qu’un mec m’avait pas fait grimper aux rideaux comme ça, moi ! - Ça, on a vu. - Et entendu. - Vous pouvez parler, vous ! Vous étiez pas mal non plus dans votre genre. Pauline a ri. Moi aussi. - Faut reconnaître qu’on s’est pas mal défendues. On était toutes les trois dans la salle de bains. Et Julien… - Il est où, lui, d’ailleurs ? - Encore parti chercher les croissants, j’parie ! - D’ici à ce qu’il y ait boulangère sous roche… - Manquerait plus que ça ! Oui, ben alors là, il a pas intérêt. C’est chasse gardée, Julien. - À trois, on te rappelle, hein ! À trois. - Je sais, les filles, oui ! Je sais. Paniquez pas. Vous aussi, vous l’aurez. Chacune son tour. Comme à confesse. * * * Il avait ramené des croissants, oui, mais aussi des huîtres. Et de la lotte. - Que je vais vous préparer. Aux petits oigno...
Les adeptes du libertinage
il y a 2 ans

Elle découvre la pluralité masculine et le plaisir de l’exhibition

- Regarde l’homme, là-bas. Je crois qu’il va tomber de sa chaise, à f o r c e d’essayer de voir ce qu’il y a sous ta robe. Du bout du doigt, Romain désigne le père de famille qui reluque Armelle à l’autre bout du bar. C’est la première fois que la jeune femme remarque que, loin d’être agacé, son homme semble… fier. - Je devrais peut-être me montrer aimable, avant qu’il n’attr a p e un torticolis ? Lentement, la trentenaire remonte de quelques centimètres sa robe noire, juste assez pour laisser deviner les roses qui ornent la jarretière de ses bas auto-fixant. Elle écarte légèrement les jambes et s’appuie contre le dossier de sa chaise, basculant son bassin vers l’avant. Puis elle fixe son amant droit dans les yeux, avec l’air de celle qui a osé relever un défi. Romain la trouve belle, avec sa peau caramel et sa cascade de cheveux bouclés châtain, qui n’est jamais coiffée, jamais disciplinée. Quand elle tente de les mettre en forme, il déteste. Ce n’est plus elle. Armelle est gi...
Alyssia, ma femme (12)
il y a 2 ans

Le début de la fin entre l'amant et la maîtresse?

[Le début de cette saga est ici](/recit/192881) - On descend pas déjeuner ? - Non. Ce matin, on se fait servir dans la chambre. - Par Eugénie ? - Évidemment, par Eugénie… Ça t’a pas déplu, avoue, la petite séance d’hier soir, hein ? - Je serais difficile. - Et t’es pas au bout de tes surprises. Elle est très joueuse, cette petite. Et pleine de ressources. - C’est-à-dire ? - Tu verras bien. - Mais si, dis ! Au moins un peu. Il y a eu du bruit dans le couloir. Puis dans la chambre d’à côté. Encore dans le couloir. - Tiens, ben la v’là justement ! Elle a frappé, est entrée, vêtue de son petit tablier de serveuse blanc. - Bonjour ! Avec un grand sourire. Et elle nous a tourné le dos pour aller déposer le plateau sur la table, près de la fenêtre. Ses fesses étaient nues. Totalement nues. Superbement nues. Elle a pris tout sont temps, fait mine de rectifier la position des tasses, celle des couverts avant de majestueusement naviguer vers la porte sur le pas de laqu...
Auto bondage
il y a 2 ans

Dès mon plus jeune âge j’ai été attiré par le BDSM j’ai donc joué seul.

Bien entendu, ça n’était pas sous une forme élaborée et sexuelle. Simplement les scènes ou les récits où il était question de liens, de chaînes, de fouets, d’esclaves peu ou pas vêtus m’attiraient et me troublaient. a d o l e s c e n t ce fut un de mes clichés favori de masturbation. En parallèle j’ai bien sur expérimenté une sexualité tout à fait classique avec des copines, puis quelques liaisons, mais évoquer les jeux SM, même très softs, était tout simplement inimaginable, sauf à passer pour un dangereux détraqué. Il faut dire que c’était il y a déjà pas mal d’années et qu’histoire d’O était considéré comme un délire érotique irréaliste et irréalisable. J’ai eu ma première expérience de dominateur, par hasard, à 24 ans. Je suis resté dans cette attitude pendant une dizaine d’années. Jusqu’au jour où une « esclave » particulièrement coquine et joueuse a demandé à inverser les rôles. J’ai dit oui, je confesse que ça ne m’a pas déplu, et je suis donc devenu « switch », changeant d...
Ma première visite médicale et confessions
il y a 2 ans

A sa majorité elle rencontre un médecin pervers à qui elle dévoile sa sexualité

Je toussais depuis le début de la semaine, ma mère décida de m’emmener chez le médecin. J’attendais dans la salle d’attente car elle avait décidé que j’étais une adulte et qu’elle pouvait aller faire des courses pendant ce temps. « A ton tour jeune fille. Ta mère n’est pas là ? » « Non, elle a décidé que maintenant que j’avais 18 ans voir même bientôt 19, elle pouvait me laisser seule pour aller se promener en attendant » « Ah mais oui, tu es majeure et vaccinée maintenant, j’avais presqu’oublié. J’ai entendu que tu toussais beaucoup. Déshabille-toi, enlève ton soutien-gorge aussi. Avec un frère asthmatique comme le tien, je ne veux rien laisser passer, je te ferai une radio des poumons en même temps » Il souleva un des seins et posa son stéthoscope en dessous et fit la même chose avec l’autre puis dans le dos, comme si de rien n’était sa main se posa sur un de mes seins pendant ce temps. Mon téton se durcit aussitôt. Il le prit entre ses doigts toujours comme si c’était no...
Grands moments de solitude (5)
il y a 2 ans

Une bourrasque soudaine peut parfois jouer des tours quand on est en robe et sans culotte

Le lendemain, le sable avait séché. Et on s’est fait une orgie de soleil, de mer et d’huîtres. - Qu’est-ce qu’on est bien ! Ah, ça, elle pouvait le dire, Pauline. - Et ça passe nickel, en plus, tous les quatre. - Il y a pas de raison. D’autant mieux qu’évoquer ces souvenirs, là, comme on le faisait, ça créait un climat vraiment très très complice, elle trouvait, elle, Chloé. Pas nous ? - Si ! Si ! Bien sûr ! Et elle se posait une question. Parce que là, c’était toujours avec des inconnus qu’on s’était trouvés dans ce genre de situation. Mais avec des gens qu’on connaissait ? Ça nous était jamais arrivé avec des gens qu’on connaissait ? - Si, moi ! - Toi, Océane ? - Et à la fac, en plus ! - À la fac ? Oh, faut que tu nous racontes ça ! Faut absolument que tu nous racontes ça ! Julien a proposé. - Ce soir alors ! À l’intérieur. Et à poil ! Comme moi, hier. Il y a pas de raison. Elles ont fait chorus. C’était vrai, ça ! Il y avait pas de raison. 2-...
Tous les nouveaux doivent être bizutés
il y a 2 ans

Les internes vivent parfois un enfer

J'étais en terminale, interne dans un nouveau lycée. Le premier soir, je découvre la chambre que l'on m'a assignée. Frédéric est arrivé avant moi et a commencé à déballer ses affaires. Très brun avec un regard noir perçant, des traits fins et des cheveux mi-longs, Fred, finement musclé, est de ma taille. Nous nous présentons. Fred me dit qu'il est aussi nouveau dans ce bahut. Immédiatement, je ressens un bon feeling avec mon roommate. Après avoir rangé nos affaires, Fred me propose de prendre ma douche en premier dans la salle de bain que nous partageons. Je me dépoile et je sens son regard perçant qui m'observe. Après ma douche, je me sèche, mets un caleçon et entre dans la chambre. "La place est libre !" Fred se désappe devant moi et j'en profite pour bien mater son petit cul. Le 4e soir, alors que nous avions pris nos douches et que nous étions tous les deux couchés, vêtus simplement d'un caleçon, quatre mecs débarquent dans la chambre, allument la lumière et nous immobilisent c...
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