Récits
La diabolique Baronne
il y a 2 ans

Métamorphosés avec du latex et transformés en esclave de la pire des façons. Une histoire hard pour les fans du latex et de la métamorphose

Une pluie épaisse empêchait Alain de conduire. Elle formait un véritable rideau que les essuies glaces n’arrivaient pas à maîtriser. Pourtant, pas question de s’arrêter. " Bon s a n g se dit Alice. Il aurait pu partir à l’heure. Nous n’arriverons jamais à l’aéroport avant le départ de notre vol ! " Elle jeta un coup d’œil vers Betty et Franck sagement assis à l’arrière. Ils la regardaient avec une expression où la colère se mêlait à la résignation. Cela faisait à peine un mois que tous les quatre avaient quitté l’université pour l’été, et décidé de parcourir l’Europe. Alain s’était proposé pour assurer la conduite pendant la traversée de l’Allemagne, étant le seul à parler cette langue. Malheureusement, on pouvait si peu compter sur lui ! Il avait passé la nuit à s’enivrer à la fête de la bière et n’avait pas émergé avant midi. - Je crois que j’aperçois une lumière cria-t-il. Alice essaya de voir à travers le pare-brise, distingua à peine un lampadaire, pour finalement r...
J'allais devenir son objet de plaisir 1 sur 3
il y a 2 ans

L'initiation d’un gay

L'initiation d’un gay A l'âge de 19 ans, j'ai rencontré Jacques, un peu par hasard, à la piscine municipale. A cette époque je fréquentais beaucoup cette piscine dans la ville où je venais d'arriver avec mes parents. Inutile de dire que j'étais encore puceau, même si j'avais déjà un peu joué avec des copains.. Jacques est un homme d'une trentaine d'années, plutôt bien foutu : 1M80 comme moi, brun commençant à se dégarnir, plutôt musclé et pas trop poilu. Moi j'étais aussi un peu musclé mais moins que lui, châtain avec les cheveux courts et poilu normalement si je peux dire La première fois que Jacques m'a abordé, c'était dans les vestiaires. Le vestiaires était un assemblage de casiers avec devant des bancs et au fond de la pièce pas très grande finalement, 2 cabines. J'utilisais régulièrement une cabine pour me changer, mais cette fois, elles étaient toutes deux occupées et je me changeais devant mon casier. C'est là que Jacques m'a abordé, en remarquant que nous nous re...
Entre mère et fille (3)
il y a 2 ans

Quand le compagnon découvre que sa compagne a été fessée.

- Allô ? Maman ? C’est toi ? - Ben oui, c’est moi ! Qui veux-tu que ce soit ? Mais qu’est-ce qui se passe ? T’as une de ces voix ! - Il s’est rendu compte, Martial, que j’avais eu une fessée. Il m’est tombé dessus dans la salle de bains. Je l’avais pas entendu arriver. - Et il a pris ça comment ? - Mal ! Très mal. Il croit que j’ai quelqu’un… - Ce qui est effectivement le cas, si on y réfléchit bien. - Et que je prends mon pied à me faire fesser par lui. - Bon, mais tu lui as dit que c’était moi ? - Évidemment que je lui ai dit ! Évidemment ! Mais il me croit pas. Il veut pas me croire. - Pas de panique. Voilà ce qu’on va faire… Vous allez venir dimanche à midi déjeuner tous les deux à la maison et je m’expliquerai avec lui. - Et s’il te croit pas non plus ? - Il me croira. - Mais les raisons ? Tu vas pas lui parler d’Antoine, hein ! - Tu me prends pour une idiote ? - Mais alors tu vas lui donner quoi comme raisons ? - Tu verras bien. Fais-moi confiance ! Laisse-moi fair...
Les culottes sales de sa logeuse
il y a 2 ans

On dirait que tu aimes voir les petites culottes sales. Espèce de petit pervers fétichiste, il va falloir que je t’éduque.

Etudiant à Angers ma mère proposa à Danielle, une amie d’e n f a n c e de m’héberger contre un loyer. Si ma mère savait combien je sombrais dans le vice avec Danielle, elle s’en mordrait les doigts Danielle est une belle femme épanouie, 45 ans, de belles rondeurs, des cheveux bruns mi-long, des yeux coquins et une bouche pulpeuse et toujours souriante. Pendant le premier mois je me suis souvent branlé en pensant à son décolleté généreux (100 D), et son cul bien rond. Et puis, un jour, en allant mettre mon linge sale dans la salle de bain, j’ai découvert une de ses culottes dans la panière à linge. J’ai attrapé le slip et. Oh surprise, il était tout taché ! Je bandais comme un fou, des auréoles jaunâtres ornaient la culotte blanche. Comme h y p n o t is é je rapprochais le slip de Danielle de mon visage et respirais son odeur forte : sa culotte sentait la pisse et la mouille. L’odeur était forte et entêtante, je respirais fort cette odeur d’urine de chatte et de transpiration...
La clef USB (1)
il y a 2 ans

Stocker des vidéos intimes sur une clef USB peut comporter des risques. De très gros risques. Christina va l'apprendre à ses dépens.

À table, le jour de Noël, on l’avait placée à côté d’Antoine, le frère de Chloé. Elle le connaissait peu, Antoine. Il boudait en effet généralement les réunions de famille. « C’est un ours, disait-on, on lui arrache pas trois mots. » Ce jour-là pourtant il s’était montré avec elle un voisin de repas fort agréable. D’autant plus agréable qu’ils s’étaient découvert une passion commune pour le cinéma italien des années soixante. Elle n’avait malheureusement pas pu profiter pleinement de sa conversation, obligée qu’elle avait été de garder un œil sur son mari, sur Kevin qui, en compagnie de son frère Benoît, le mari de Chloé, avait entrepris de revisiter leur enfance commune. Ils avaient fini, l’alcool aidant, par se chamailler tous les deux comme les gamins qu’ils avaient été. - Et qu’ils sont toujours ! avait soufflé Chloé. Au moment du départ, sur le perron de ses beaux-parents - Et encore Joyeux Noël, hein ! - Soyez prudents ! Roulez doucement. Antoine lui avait proposé d...
Piégée dans un selfbondage elle découvre l’amour saphique
il y a 2 ans

Une très belle histoire d’amour entre femmes voit le jour pour cause d’auto bondage

Dès que j'étais sortie du train, j'avais acheté le journal local afin d'étudier les offres d'emploi, je m'étais assise à une table du buffet de la gare et j'avais commandé un chocolat chaud pour couper la faim qui me tenaillait. Mon doigt avait suivi nerveusement les colonnes de la page des annonces. J'avais eu soudain peur de ne rien trouver car de moi dépendait l'avenir et le bien-être de ma mère. Ce n'était pas une grande ville, le choix était donc restreint. Après avoir écarté les emplois de serveuses de café ou de restaurant aux horaires trop vagues, il ne restait plus qu'une place de serveuse dans une pizzeria, une de vendeuse dans une boutique, deux de femmes d'ouvrage et une de madame pipi dans un grand magasin. Les autres places vacantes demandaient un niveau d'étude bien plus élevé que le mien. Je décidai donc de me renseigner d'abord sur l'emploi de vendeuse. Si mon appel était négatif, j'essayerais les places de femme d'ouvrage. Sinon, il ne me resterait plus que celui...
Entre mère et fille (2)
il y a 2 ans

Une nouvelle fessée tout autant méritée que la première

Elle le lui a dit presque tout de suite. À peine son sac déposé dans l’entrée. - Faut que je te remercie, maman… - Et de quoi donc, ma chérie ? - De ce que, grâce à toi, ça y est ! C’est fini avec Antoine. Et bien fini. Définitivement fini. - Ah, ben, tu vois ! Comme quoi une bonne fessée, même à ton âge, et peut-être même surtout à ton âge, ça remet les idées en place. Et ça fait prendre les décisions qui s’imposent. Au moment où elles s’imposent. - Comment je me sens bien maintenant, tu peux pas savoir ! Apaisée. Sereine. Et elles ont passé une journée toute en harmonie. Elles ont jardiné. Rangé le placard de la cuisine. Fait ensemble des confitures d’abricot. Elles se sont longuement attardées, le soir venu, dans le petit salon. C’était toujours le même papier jaune constellé de fleurs mauves. Qu’est-ce qu’elle avait pu le contempler, celui-là ! - C’était presque pire que la fessée elle-même ! Devoir rester le nez collé dessus, la jupe en l’air, la culotte sur les chevi...
Le scandale de l’opéra
il y a 2 ans

Pourquoi enlever une fille pour l’emmener à l’opéra ? Tout simplement pour en faire une actrice de l’inquisition. HARD XXL

Une lumière s’allume et des mains me saisissent. Trois cambrioleurs masqués sont sur moi. Quand je me mets à crier, ma bouche grande ouverte est aussitôt comblée par la boulle d’un bâillon. Une main, plaqué sur mon visage le maintien. J’essai de le recracher en vain. Avant que j’ai le temps de réagir, ils me retournent prestement et fermement. Bien que je me débatte furieusement de rage et de peur, ma tête est enfoncée dans l’oreiller et mes poignets sont menottés dans mon dos. Le bâillon est attaché sur ma nuque. Mon pied droit, enfin libéré des draps, atteint la tête d’un des cambrioleurs qui se met à crier. La pression des bras se relâche un instant. Je fais un roulé sur le côté, me relève et prends position pour décrocher un coup de pied à la tête du second. Une gifle monumentale me prend en pleine extension et me fait basculer sur le lit. Choquée, il me faut un instant pour réagir. Soudain, ils passent une cagoule sur ma tête et mes coups de pieds, dernière armes utilisée...
Léa et Max [Chapitre 2]
il y a 2 ans

Max initie Léa à la régression forcée et au DDLG. Sera-t-elle réceptive ou décidera-t-elle de fuir?

CHAPITRE 2 Le réveil sonna comme tous les matins à 6h30, Max l'éteignit la seconde d’après. La discipline et l’hygiène de vie qu’il s’imposait se traduisaient par une régularité quasiment militaire dans sa routine matinale. Avec le temps, son corps avait pris le rythme et se réveillait tous les matins, juste avant la sonnerie de son réveil. Évidemment ce matin était spécial, cela faisait longtemps qu’il n’avait pas eu une “pensionnaire” et il ressentait une très forte excitation de la retrouver après la nuit qu’il lui avait imposée. Il avait tout de même une petite appréhension de sa réaction. Il y avait été fort la veille au soir et il ne voulait pas non plus la retenir indéfiniment. L’idée était de lui faire découvrir les plaisirs du DDLG de la régression f o r c é e mais il fallait maintenant qu’elle choisisse si elle voulait entamer cette dynamique avec lui de son plein gré. Dans quel état allait-il retrouver Léa ce matin? Avant de se précipiter à son chevet, Max entama sa r...
40 jours d’enfer avec une nurse dominatrice
il y a 2 ans

Un alpiniste coureur de jupons se brise les mains. La personne en charge de l’aider au quotidien n’est ni plus ni moins que la soeur d’une fille qu’il a jetée comme une malpropre.

Louis est un de ces laveurs de vitre spécialisé dans le nettoyage des vitres d’accès difficile avec intervention d’alpiniste. Il fait parti d’une équipe de cordistes et s’amuse à dire qu’il fait de l’alpinisme en plein Paris. Le 15 janvier, alors qu’il est dix-huit mètre de hauteur, il s’amuse comme un petit fou à se balancer en se poussant de la façade pour faire le beau en défiant toutes les consignes de sécurité. S’il fait ça, c’est pour épater les filles qui le regardent à travers la vitre. Soudain, la partie basse de son baudrier mal fermée s’ouvre, il lâche ses instruments de travail et se rattrape comme il peut à la corde de rappel lui permettant de descendre. Au lieu de glisser lentement, il prend très rapidement de la vitesse, s’affole. Ses pieds heurtent une margelle, le choc l’envoie en arrière puis contre l’immeuble. Par réflexe il met ses mains en avant pour se protéger, la vitesse de descente cumulée à celle de l’impact est accentuée par la corde de sécurité. Le choc...
Alyssia, ma femme (16)
il y a 2 ans

La boucle est bouclée. Et tout est bien qui finit bien.

[Le début de cette saga est ici](/recit/192881) Alyssia s’est faite péremptoire. - Oh, là ! Vous allez coucher tous les deux. Il y en a pas pour longtemps. - Je sais pas. Je crois pas, non. - Alors là, je suis bien tranquille. Oh, mais je te fais pas de reproches, hein ! Je serais vraiment très mal placée pour. Et puis, de toute façon, c’est ce qui peut t’arriver de mieux. Depuis le temps que je te le répète… Elle est sortie de la douche, s’est enveloppé la tête dans sa grande serviette blanche. - D’ailleurs, à ce propos, faut que je te dise quelque chose. C’est impressionnant ce que t’as changé ces derniers temps. Tu t’affirmes. T’es plus sûr de toi. Beaucoup plus homme, pour parler clair. Et ça, aussi bizarre que ça puisse paraître, c’est depuis que tu fais des trucs avec des types. On dirait que ça t’a dénoué quelque part. Donné le droit d’être toi-même. Alors Eugénie, c’est sans doute la suite logique du processus. Son aboutissement. Enfin ! C’est pas trop tôt. - Et...
La maison qu’il ne fallait pas cambrioler
il y a 2 ans

Tomber entre les mains d’une dominatrice qui a envie de vous découper en morceau, ce n’est vraiment pas de chance.

Lucas est un très beau mec mais aussi un véritable flambeur vivant de menus larcins. Ses cambriolages sont toujours réalisés en loup solitaire, pas de partage, discrétion absolue, sont ses devises. Ses rapports avec les filles sont une catastrophe humanitaire, il les prend, les jette comme des serpillière, un b o u r r e a u des coeurs en puissance. Le BDSM, il connaît et pratique régulièrement. Il n’est pas ce que l’on appelle un grand Maître, non, Lucas est plutôt un manipulateur se servant du BDSM pour transformer en larve sexuelle les filles tombant dans ses filets. Exploitées sexuellement, elles sont également une source de revenus de par les escroqueries qu’aucune d’entre elles n’ira dénoncer. Lisa, 19 ans est une de ses victimes. Psychologiquement massacrée, elle a arrêté ses brillantes études pour sombrer dans une forme de délinquance. Comme les autres, elle n’a rien dit à ses parents, trop honteuse d’avoir été transformée en esclave sexuelle et prostituée sous prétex...
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