Récits
Premières expériences et engrenages : Chapitre 22 Binôme dominatrice
il y a 2 ans

Le scénario que lui a préparé sa jeune dominatrice se passe sans rechigner ou presque. La surprise vient plus de la récompense qu'elle lui propose après.

[Le début de cette saga est ICI](/recit/196619) Chapitre 22 : Binôme dominatrice. Si trois tours autour de la cage convenaient à mes élastiques, les deux disposés simplement autour de mes cuisses étaient serrés et gênaient mes déplacements. Le premier cours se passa plutôt bien. J’évitai de bouger et même si j’avais de fortes envies de me gratter, le monde autour de moi m’aidait à y résister, par leur simple présence. Le second cours était un cours de français. Le professeur choisissait des volontaires pour jouer une scène. Je remerciai le destin qui m’avait éloigné de ma tortionnaire. J’évitai de regarder deux rangs derrière moi. Je ne doutais pas qu’elle m’aurait incité, que dis-je, ordonné de monter sur l’estrade. Elle me le confirma à la pause. - Tu le savais ! dit-elle, devant mon sourire soulagé. Quelque part, au tréfond de moi, je voulais qu’elle le sache. Je voulais être puni. Au bout de deux heures, je m’habituai aux orties et j’espérai que les travaux pratique...
Fessées suivantes
il y a 2 ans

Quand on y a goûté, on a envie d'y revenir

Après cette première expérience très marquante et très euphorisante, j'avais très envie d'offrir mon postérieur à sa main sévère.... le divorce devait avoir lieu, Mais j'avais quand même très envie de regouter aux joies de la fessée. Ma future ex épouse m'a donné quelques fessées, dont deux m'ont laissés des souvenirs La première a eu lieu à mon travail, il fallait faire des photos de documents pour le dossier, le photocopieur du boulot étant le meilleure solution et ayant l'accès aux locaux en dehors des horaires de travail, je lui ai proposé de nous retrouver le samedi matin pour être tranquille. J'étais devant le photocopieur occupé à passer les feuilles quand elle me dit : tu portes quoi sous ton pantalon ? je portais un string noir et je lui ai dit, ses mains se sont glissées autour de mes hanches, elle a défait ma ceinture, mon bouton de pantalon baissé la fermeture éclair.... je n'osais plus bouger Ses mains ont attrapé mon pantalon et elle l'a fait descendre so...
Urbinia
il y a 2 ans

Un châtiment "raffiné"

- Qui est ce jeune homme qui s’enfuit, Urbinia ? - Quel jeune homme ? - Là-bas… Derrière les oliviers… - Je l’ignore. - Vraiment ? - Vraiment. - Hier déjà il rôdait dans les parages. - Je n’y ai pas prêté la moindre attention. - Avant-hier également. - Sans doute quelque affaire qui l’amène par ici ? - Quelque intrigue amoureuse ? - Qu’en saurais-je ? - Tu sais, par contre, ce qu’il advient des Vestales qui manquent à la chasteté. - Comment l’ignorerais-je ? - On les enterre vivantes après les avoir fouettées… Pinaria… Opimia… - Elles savaient à quoi elles s’exposaient. - Qui était ce jeune homme, Urbinia ? - Je te l’ai dit, Flavius. Je l’ignore. - C’est pourtant en sa compagnie que tu te trouvais tout à l’heure derrière les rochers là-bas. - Moi ? Assurément non. - Assurément si ! - Tu l’auras cru. - Non pas. C’était toi. Mais trêve de bavardages. J’en référerai au Grand Pontife. - Je suis innocente de ce dont tu m’accuses. - Il te fera examiner par les médecin...
L’achèvement des défis
il y a 2 ans

Ce qui se passe à la suite des Défis entamés

Je ne souhaitais pas mesurer l’évolution de mon attitude depuis que Sabine avait décelé mon tempérament docile, tout juste dissimulé disait-Elle pour ceux qui n’était pas aptes à le deviner. Pas encore c’était un peu tôt, les événements ont défilé trop brusquement. Trois défis à subir était le point d’entrée dans une relation où je devrais l’écouter, me conformer en permanence à ces instructions. Deux concernaient le sexe, domaine crucial pour moi et j’avais relevé le challenge malgré la ferveur pour ma liberté qui m’a toujours accompagné. Ces 50 derniers jours furent un mélange de concentration sur les obligations des défis, de petites révoltes solitaires et d’acceptation délibérées des consignes de Sabines. Comme celle l’attendre devant un bistrot bien que l’heure de rendez-vous fut dépassée de 30 minutes. Je voyais bien la scène à venir : nous entrerions dans l’établissement, nous boirions un coup - l’alcool me serai proscrit bien-sûr même si ce défi réussi en trichant un peu éta...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 21 Soupe aux orties
il y a 2 ans

Nathalie s'éclate avec son soumis qu'elle prépare pour l'école.

[Le début de cette saga est ICI](/recit/196619) Chapitre 21 : Soupe aux orties J’habitais dans un immeuble qui faisait le coin d’une rue, et l’arrière donnait sur un petit parc privatif, que seuls les possesseurs de chiens utilisaient. Il était mal entretenu, mais peu de propriétaires, qui pour la plupart n’habitaient pas là, ne voulait dépenser plus. A ma grande joie, des orties, des ronces et des chardons y poussaient. Quelquefois j’y aller en chercher, mais la nuit. Honteux de me faire prendre, j’attendais que la soixantaine de fenêtres qui donnaient sur le parc fussent pour la plupart éclairées et qu’elles ne révélassent aucun témoin. Une fois un homme fumait une cigarette sur son balcon alors que je revenais. Je ne l’avais pas vu sortir et je ne savais pas ce qu’il avait vu de mes activités nocturnes. Mais là, en pleine journée. Je ne verrai même pas si quelqu’un m’observerait. De plus torse-nu à cueillir des orties, j’aurai été repéré facilement. Je cherchai en vain une...
Prisonnier des Cythriennes (3)
il y a 2 ans

Nouvelle vie. Sous la contrainte.

[Le début de cette saga est ici](https://fessestivites.com/recit/196758) La voix d’Alrich me parvient de très loin comme assourdie. D’au-delà du sommeil. - Hervain ! Réveille-toi, bon sang ! Lève-toi ! Il insiste, me secoue tant et plus. - C’est Alvita et Parveille, les gardiennes ce matin. Et si elles te trouvent encore au lit. Allez, debout ! Oh, et puis zut ! Tu fais bien comme tu veux. Les couvertures brusquement arrachées. Rabattues jusqu’au pied du lit. Les deux gardiennes. Leurs cravaches s’abattent à pleines cuisses. Je me retourne sur le ventre. Ça continue à cingler. Je crie. Ça ne s’arrête pas. Une quinzaine de coups. Une vingtaine. Des mots que je ne comprends pas. Un répit. Je me jette hors du lit. Encore des mots. Elles sont furieuses. Elles me tournent le dos. Elles s’en vont. - Je t’avais prévenu… - Qu’est-ce qu’elles racontaient dans leur charabia ? - Que quand c’est l’heure, c’est l’heure. Que là, c’était juste un échantillon, mais que la prochaine f...
Première vraie fessée
il y a 2 ans

Il n'est jamais trop tard pour débuter et votre partenaire peut toujours vous surprendre

J'ai toujours aimé les culottes féminines, j'ai été marié pendant 20 ans, mon épouse ne voulait pas entendre parler ni de mon goût pour les petites culottes ni de mon envie de recevoir la fessée. Il y a 15 ans maintenant je l'ai quittée pour pleins de raisons dont celles-ci....c'était au début du mois de juillet, la situation semblant bloquée j'ai pris contact avec un avocat et fait une demande de divorce. Le premier samedi du mois d'octobre elle m'a envoyé un message en me disant qu'elle venait de recevoir la demande de divorce et qu'elle était très énervée et très fâchée que je ne l'ai pas prévenue. Je lui ai répondu que si elle était fâchée, elle n'avait qu'à me donner la fessée pour me le faire payer. J'étais sûr que cela allait clore la discussion mais à ma grande surprise elle m'a répondu qu'elle allait me donner une bonne fessée et que j'allais m'en souvenir. Elle m'a dit qu'elle viendrait le lendemain soir pour me donner la fessée. J'étais partagé entre le doute (vi...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 20 Une petite faim
il y a 2 ans

Pensant être tranquille quelques jours, il n'avait pas tenu compte de la fringale de sa jeune maitresse.

[Le début de cette saga est ICI](/recit/196619) Chapitre 20 : Une petite faim Le lendemain, les idées plus claires, je décidai de retourner à l’école. Savoir que j’y retrouverai Nathalie et Valérie m’effrayait un peu. De ce que j’avais compris, il ne se passerait rien pendant les dix prochains jours. Sachant que je portais encore cette cage et qu’on ne m’enlèverait que quelques heures ce week-end, j’appréhendais ces journées. J’avais cette fois attaché le bout de la cage et glissé la corde entre mes fesses pour l’attacher autour de ma taille. Si mon sexe et mes boules me faisait un peu mal, cela ne se verrai pas. Je découvris que je pouvais même faire passer mon service trois pièces derrière, ressemblant ainsi à une jeune fille. L’absence de pilosité et surtout ma poitrine qui avait gonflée sous les souffrances et les étirements, en renforçaient l’image. Je m’imaginais habillé en femme. Cela m’humiliait et m’excitait. Le déplacement jusqu’à l’école avec cette corde était même...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 19 Le jeu
il y a 2 ans

La séance de sado-masochisme se termine, lui laissant un goût d'inachevé.

[Le début de cette saga est ICI](/recit/196619) Chapitre 19 : Le jeu. Valérie avait enlevé les dernières pinces, que je ne ressentis que lorsqu’elle les toucha. Elle se redressa à côté de son amie. Je ne pouvais que les comparer. Nathalie était brune et Valérie châtain clair presque blonde. Elles avaient la même taille, à peine quelques centimètres de moins que moi. Courbé par le lien à mes poignets, mon regard se trouvait plutôt au niveau de leur poitrine. Nathalie avait des traits plus anguleux, un nez plus allongé, un menton plus linéaire. Valérie avait des formes plus rondes, de visage, de fesses, de poitrine, de cuisses, tout en courbure. Elle avait attachée ses cheveux longs avec un nœud, comme elle le faisait uniquement lors du sport ou de travaux pratiques. L’activité actuelle devait lui rappelait l’un des deux ou le faisait-elle aussi quand elle faisait l’amour. Je me l’imaginais et de nouveau les barreaux de la cage m’informèrent que ce n’était pas bien de penser cela....
Vingt ans après
il y a 2 ans

Quand elles ont été efficaces, les fessées ne s'oublient pas.

- Tiens donc, Mademoiselle Lise ! - Madame… Je suis mariée maintenant, Basile. Madame. - Mes compliments. Vous voilà donc revenue au pays ? - Pour quelques jours. Seulement pour quelques jours. Le temps d’une petite plongée au milieu de mes souvenirs. - Oh, vous trouverez pas bien de changement, vous savez. Tout est resté à peu près en l’état. Comme avant. - Ah, je t’en ai fait voir à l’époque, mon pauvre Basile, hein ! - C’est du passé, Mademoiselle Lise. - Il n’empêche. Qu’est-ce que je pouvais être infecte avec toi ! Quand j’y repense… - Il faut bien reconnaître que vous n’étiez pas facile. Et que plus vous avanciez en âge… - Pire c’était. J’en ai bien conscience. Je te poussais délibérément à bout. Je te provoquais. Tant et si bien qu’excédé tu as fini, un jour, par me flanquer une magistrale fessée. - Dame, c’est vrai que ce jour-là… - Je l’avais amplement mérité. Comment j’avais saccagé le jardin ! - Ah, ça, vous y étiez pas allée de main morte. - Et toi non plus ! P...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 18 Hors de contrôle
il y a 2 ans

L'occasion crée le larron, ou plutôt le sadisme vient en torturant.

[Le début de cette saga est ICI](/recit/196619) Chapitre 18 : Hors de contrôle - Le pack de six litres, grognai-je, incompréhensible à travers la culotte, le réclamant malgré les tourments que j’avais déjà subis avec. - Désolé, répondit Nathalie. Je n’ai trouvé que celui-là. Dommage, non ? me murmura-t-elle à l’oreille, en passant derrière moi et tirant sur la corde de mes poignets pour me faire taire. - Ça ira ! répondit Ladyscar, souffrant le mensonge de Nathalie. - On peut enlever trois bouteilles ? proposa Valérie. - Oui, oui, grognai-je. - Un pack si bien emballé, ce serait dommage de le déshabiller. Et puis deux bonnes couilles comme cela, c’est du solide, ajouta-t-elle en les prenant et en les serrant. Je sentis la cire refroidie s’en détacher. Elle en retira des morceaux, arrachant les quelques poils qui s’y étaient attachés. J’hurlai. - S’il vous plait, implorai-je maintenant. - Vous êtes sûres, tenta à nouveau de négocier Valérie. - Oui. Il te r...
Prisonnier des Cythriennes (2)
il y a 2 ans

Contre mauvaise fortune...

- Bienvenue à bord. Fais comme chez toi ! Un colosse dans la cellule, allongé nu sur son lit. Un colosse qui me considère d’un œil amusé. - Salut ! Moi, c’est Alrich. T’as l’air complètement paumé, dis donc ! Normal au début. Mais on s’y fait, tu verras. On s’y fait vite. De toute façon, on n’a pas le choix. Bon, mais installe-toi ! Reste pas planté là. C’est l’autre, ton lit. Forcément. Il y en a que deux. Et ton placard, c’est celui à gauche de la fenêtre. T’as tout un tas de trucs dedans : des vêtements, ce qu’il faut pour se laver ; et même des médicaments… T’as plus qu’à prendre tes marques. Ça surprend, hein ? - Quoi donc ? - Ben, de se faire dérouiller comme ça, à peine arrivé. - J’ai pas compris. Qu’est-ce qu’elles me reprochaient ? - Oh, mais rien du tout ! Non. C’est juste que les petits nouveaux, elles leur donnent, d’entrée de jeu, un échantillon gratuit de ce qui les attend si, d’aventure, il leur prenait l’envie de jouer les fortes têtes. Avertissement sans frais....
Publicité en cours de chargement