Récits
Sous cage de chasteté, il s’auto cocufie
il y a 1 an

Les confessions érotiques d’un soumis

##### Deux semaines ! Deux semaines qu’elle avait fermé la clef du cadenas de ma ceinture de chasteté. Sans doute les deux semaines les plus longues de ma vie. Certes, je l’avais bien cherché. J’avais choisi et acheté une cage de chasteté. Je l’avais essayé, porté chaque jour un peu plus longtemps pour m’habituer. Elle regardait tout cela d’un air amusé, un peu indifférent à cette lubie toute masculine, à ce fantasme qu’elle ne comprenait pas. Puis un jour, je me suis senti prêt. J’avais acheté un collier, un joli collier en or, au bout duquel j’avais mis la clef en pendentif. Dans la boite, il y avait également le cadenas, celui qui fermerait la cage et qui allait avec la clef. Je lui avais offert le tout un soir, à la fin d’un dîner aux chandelles dans un de ces restaurants sur la rive gauche. Une heure plus tard, nous faisions l’amour, un peu comme d’habitude finalement. Un petit peu comme si c’était une soirée normale. Excepté à l’instant ou finalement, elle m’annonça : «...
La plage pour un soumis fétichiste des pieds
il y a 1 an

Il y a des fois où perdre n’est pas désagréable si il vous conduit aux pieds de filles en délire

Enfin l’été ! Les vacances, le soleil et les guêpes qui squattent les salades de pâtes accompagnant le barbecue. Cet été, je suis parti en camping avec ma famille au bord de la Méditerranée. J’aimais beaucoup la plage pour me baigner et admirer les jolies filles en bikini qui bronzent ou qui se baignent. Nous étions à un camping avec beaucoup d’animations, une grande piscine avec toboggan, un bar, une salle de spectacle, le tout à 2 pas de la plage. Le premier jour, alors que je faisais des longueurs dans la piscine, une annonce au haut-parleur m’a interpellé puisqu’il était question d’un club pour les jeunes de mon âge auquel j’ai immédiatement décidé de m’inscrire afin de me faire des amis. Le rendez-vous nous était donné une heure plus tard devant l’accueil de l’hôtel. Comme le camping n’offrait que des séjours du samedi au samedi, je me suis dit que tout le monde venait d’arriver donc que personne ne se connaissait et que, en tant qu’éternel timide, ce serait plus facile pour me...
Au bord de la route.
il y a 2 ans

Un rendez-vous qui tourne mal.

- Vous avez l’air surprise de me trouver ici, chère amie… - Pas du tout, non. - Oh, si ! Si ! Surprise et dépitée. Serait-ce que vous attendiez quelqu’un d’autre ? Mon mari, par exemple ? - Votre mari ? - Mon mari, oui. Avec qui vous aviez rendez-vous. Et qui ne viendra pas. - Je vais tout vous expliquer. - M’expliquer quoi ? Que c’est ici que vous vous donnez du bon temps tous les deux ? Dans cette voiture ? Ce qui ne doit pas être très confortable, avouez ! Mais enfin, quand ça vous tient d’écarter les cuisses, ça vous tient ! Et tout est bon. Vous y trouvez votre compte au moins ? Oh, sûrement, oui. Parce qu’il sait y faire, Rodolphe, quand il veut. Je suis bien placée pour le savoir. Ce qui ne doit pas être le cas de votre Gontran puisque vous éprouvez l’impérieux besoin d’aller voir ailleurs. Bon, mais si vous me racontiez ? Il s’y prend comment, mon mari, avec vous ? Ça m’intéresse. Allez, je vous écoute. Ou plutôt, non ! Laissez-moi deviner. Il vous gicle entre les seins,...
Le jet d’eau du clystère
il y a 2 ans

Les fessées et lavements des vacances

- Ce sont vos estampes, qui me font rire… Cela me rappelle quelque chose. Il y a des femmes aussi qu’intéresse et ravit l’emploi de l’instrument cher aux apothicaires de jadis. Votre amie Paulette est du nombre : je le sais. Je le sais même pertinemment. Mais, j’en ai connu une autre. Mon dieu, oui, je peux vous conter cela ; vous en ferez ce que vous voudrez. J’avais treize ans et demi, j’allais à l’école. J’y devais rester encore un an, et, après, entrer comme apprentie brodeuse chez la mère d’une camarade de classe. Madame Fleury avait son atelier et son domicile dans notre maison, rue de Cléry, à l’étage au-dessous. Ma camarade qui s’appelait Marguerite, c’est-à-dire Maggie dans l’intimité, commencerait elle aussi et en même temps, son apprentissage. C’était une petite maison de broderie, mais qui gagnait de l’argent. Cinq, six ouvrières au plus ; mais, du beau, tout à fait, rien que pour les plus grands couturiers. Avec Maggie, on était inséparables, on s’adorait. Du rest...
Mademoiselle Delcroix une championne pour le déculottage
il y a 2 ans

Les déculottées et fessées pour les élèves étaient d’une rapidité extrême.

Si le prénom est fantaisiste, les quelques détails signalétiques que voici sont d’une exactitude garantie. Brune, grande, bâtie à chaux et à sable malgré une certaine élégance. Épaules et bras admirables, seins petits, bien formés et vraiment louables. Jambes et croupe aussi remarquables de forme que de tonicité. Peau blanche : un satin. - Je suis des Ardennes, des environs de S. J’étais la seule e n f a n t . Oui ! ah ! oui, j’en ai reçu. De maman, surtout. De papa aussi, mais pas plus tard qu’à quatorze ans. C’est déjà pas mal, car j’étais grande, à quatorze ans, et développée. Des nénés à peine, mais des mollets, des cuisses, des fesses. Des fesses surtout. Maman, une gaillarde, plus grande que je le suis et bien plus forte à proportion. Papa, costaud aussi : dans le pays, les gens sont d’attaque, de même que les chevaux et le bétail, tout comme dans le Nord. Si, quand j’ai eu quatorze ans, papa s’est arrêté de me fesser, maman, elle, a continué. Et même de plus belle ! À s...
Une séance au club des flagellantes
il y a 2 ans

Il ose aller assister aux flagellations jouissives entre femmes du monde dans un club privé

Ce récit est la traduction littérale d’une lettre de sir John Seller, qui a assisté, déguisé en femme à une séance de ce club initialement réservé aux femmes. ............................ Vous savez, my dear, que j’ai vécu pendant six mois auprès de l’adorable lady Loverod ; vous savez aussi comment prit fin cette curieuse aventure. La noble dame, alors âgée de vingt-quatre ans, très passionnée pour la verge, aimait à la donner comme à la recevoir, et beaucoup plus à la voir donner. Elle faisait partie du club des Flagellantes de la Cité. Les ladies qui le composaient, au nombre de vingt-cinq, toutes mariées à des lords, appartenaient à la meilleure société de Londres. Toutes les clubwomen étaient en outre de ferventes Lesbiennes, comme vous les nommez, et bien que dans le privé, témoin ma maîtresse, elles sacrifiassent volontiers à Priape, les hommes étaient rigoureusement consignés à la porte de leur club, car elles ne voulaient pas initier des portes-verges à leurs pratiques...
La clef USB (5)
il y a 2 ans

Christina prend de plus en plus goût à ces exhibitions "forcées" devant Antoine.

Elle ne perdait rien pour attendre. Il avait voulu dire quoi par là ? Il entendait quoi ? Parce qu’avec lui elle pouvait s’attendre à tout justement. Absolument tout. En douce qu’elle l’avait échappé belle ! Heureusement qu’il n’avait pas insisté pour qu’elle se caresse, là, tout de suite, après avoir vu la vidéo. Parce que ça l’avait mise dans un état, mais dans un état ! Pourquoi ? Parce qu’Antoine était à côté de toi ? Qu’il te regardait t’occuper de Damien ? Bien sûr que non ! Ça n’avait rien à voir. Rien du tout. Ah, oui ? Comment t’expliques ça alors ? Parce qu’une bonne dizaine de fois tu te l’étais passée et repassée avant, cette vidéo. Ça t’avait troublée, oui, mais jamais à ce point-là. Pourquoi ? Oh, mais parce que ça s’était trouvé comme ça et puis voilà ! N’importe comment elle était pas là, la question. Elle était de savoir si, quand il lui faudrait se caresser sous la douche devant lui ‒ et ça, il le faudrait, il ne la lâcherait pas ‒ elle arriverait à se maîtriser et à...
Elle découvre et adopte le facesitting
il y a 2 ans

Lorsqu’une femme décide de prendre le dessus

Je m'appelle Julie et j'ai 27 ans. Je ne suis pas féministe, mais je suis obligée d'avouer que ce mouvement a tout de même réussi à changer ma vision de la femme. Quand j'étais plus jeune, avec mon petit ami de l'époque, nos relations sexuelles étaient souvent à sens unique. Les préliminaires ne duraient pas longtemps, puis il me pénétrait jusqu'à jouir et ensuite oubliait mon existence. Evidemment, certaines nuits étaient plus ardentes que d'autres, mais les orgasmes que j'ai eu avec lui se comptent sur les doigts d'une main. Aujourd'hui les choses ont bien changé et étant donné tous les messages qui circulent au sujet de l'égalité femme-homme, je me suis dit qu'il serait temps pour moi d'arrêter d'avoir des relations sexuelles qui ne plaisent qu'à l'homme. J'ai donc décidé de me rendre sur un site pornographique afin de me faire une idée de ce qui se faisait en matière de sexe. Les vidéos de la page d'accueil se ressemblaient toutes, un mec musclé qui se déchaînait sur une femme....
Lucie au gîte fétichiste
il y a 2 ans

Elle s’aventure dans un gîte fétichiste accordant une attention particulière aux célibataires

Lorsqu’elle a vu les annonces de l’ouverture d’un gîte fétichiste en Espagne accordant une attention particulière aux célibataires, Lucie a trouvé l’idée originale. Après avoir mené sa petite enquête, elle s’est offerte un week-end coquin pour vibrer un peu. Si effectivement les propriétaires du gîte sont ultra respectueux et attentifs à leurs clients, le mobilier et les accessoires qu’ils mettent à votre disposition sont là pour fouetter votre libido. ##### Manquant un peu d’idées pour jouer seule, en prenant conseil, Lucie s’embarque dans des aventures aussi sulfureuses que jouissives même si, parfois, c’est assez tendu. Ses vacances éroticos sensuelles deviennent BDSM, ABDL et lui feront mal aux fesses. ............... Lucie est une femme coquine, pas une salope, ne pas confondre. Elle aime les plaisirs de la vie, le BDSM, le bondage mais ne se donne pas au premier venu. Comme beaucoup de femme, elle s’est offert quelques sextoys. Elle a également joué à s’attacher un...
Sissy Factory
il y a 2 ans

Une jolie histoire de sissification et de belles rencontres

Depuis ma tendre jeunesse, j’ai un kiffe un peu particulier : j’adore me vêtir de strings et de robe et me branler devant des pornos transgenres. Je ne sais pas pourquoi j’ai ce vice, mais j’ai le souvenir d’être tombé par hasard sur un porno avec une trans à énorme bite en train d’enculer un mec et ça m’a terriblement excité. Depuis, j’étais incapable de regarder des pornos hétéros, les chattes ne m’excitaient plus du tout. Je n’aimais que les grosses bites de trans, pour moi une actrice de cul devait avoir une bite sinon j’étais incapable de bander. La prochaine étape de ma perversion fut de voler un string neuf à ma sœur, à f o r c e de voir des actrices vêtir des dessous sexy, je me disais que la dentelle au contact d’une bite devait être une sensation agréable. Et ce fut le cas, ce string noir à dentelle était devenu mon compagnon de branlette tant j’adorais cette texture le long de ma bite. Malgré ma perversion pour les trans et les strings sexy, je n’éprouvais dans la v...
Pari et défi entre filles
il y a 2 ans

Les défis coquins sont parfois très risqués et même dangereux.

Hier mon amie Sophie pourtant timide me dit tout de go que toutes mes histoires de trains sont bien faciles, puisqu’en belle garce j’en ai tellement pris que c’en est devenu dégoûtant. Selon elle je n’ai profité de la suite que grâce à mes bons débuts, car dans le train la situation se prête à ce genre de choses, pourvu que l’on soit bien disposé au départ. Je lui ai fait remarquer qu’elle ne voulait tout simplement pas admettre que je plais aux hommes, et que mon train n’y est pour rien, sauf à dire que l’imagination des mâles bat son plein, puisque la littérature érotique a fait largement référence à mes romans de gare. J’ai tout de même ajouté que l’on était loin des divagations romantiques de l’Orient Express, puisque sur mes modestes rails les hommes prennent tout de même des risques. Avec un sourire en coin j’ai insinué que dans ces situations il fallait vraiment avoir envie de monter, mais Sophie n’a pu s’empêcher de contester en affirmant qu’à fumisterie égale mes prétendant...
Rencontre autour d’une petite culotte
il y a 2 ans

Les filles de 18 ans peuvent être de sacrées cochonnes.

Il y’a 6 ans j’étais avec une femme elle avait 41 ans et moi 30 ans mais ma compagne a une jolie fille de 18 ans. Nous sommes très complices tous les deux, car sa mère travaille beaucoup et souvent la nuit, elle est infirmière dans un service d’urgences dans le plus grand hôpital de la ville. C’est pour vous dire que l’on ne se voit pas beaucoup. C’est donc moi qui m’occupe de Patricia, ma belle fille de 18 ans, elle suit des études dans un IFSI pour devenir infirmière comme sa mère. C’est une belle jeune fille qui a de jolies formes sans être ronde ni grosse. Souvent, puisque je suis seul le soir, des fois dans la salle de bains elle laisse traîner la petite culotte que ma belle-fille a porté pendant la journée Je la déplie soigneusement et la renifle pour sentir la bonne odeur de sa chatte qui doit être lisse puisque ses culottes ne comportent jamais de poils, mais aussi les odeurs ambrées de son petit trou., c’est un pur régal que de sentir les odeurs intimes de Patricia. Elle m’...
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