Récits
La punition d’une soumise
il y a 2 ans

Les idées de son Maître sont très perverses quand il doit sévir

En juin, j’avais décidé d’aller à l’enterrement de la vie de jeune fille d’une de mes copines, contre l’avis de mon mari qui ne l’aimait pas. Je lui avais promis de ne pas rentrer trop tard, mais la soirée était tellement sympa, qu’a la sortie du resto je me suis rendu compte qu’il était déjà 1 heure du mat. Pire ? Je n’ai pas pu résister à la proposition d’aller tous en boite. Je suis donc rentrée au petit matin, alors que mon mari n’avait pas dormi, inquiet, et, dans une colère noire, il avait dit que je lui paierais ça. Le lendemain et les jours suivants, tout semblait être oublié, jusqu’à cette soirée du mois d’août. Nous avons une maison à la campagne, avec un grand jardin, un petit potager, et une petite rivière qui délimite le terrain. Ce soir-là, il faisait très chaud, orageux. Nous avons mangé dehors un très bon repas et un peu bu ; j’étais bien. Noël me demanda de me déshabiller et commença à me caresser. Bientôt, il me proposa de m’attacher, pour me prendre sur la p...
L’histoire d’Archeron
il y a 2 ans

L’histoire d’Archeron revisitée par Magister, un auteur aussi doué que coquin.

1. CONQUETE L'aube se levait sur les murailles de la cité de Telnagrith, inondant de lumière ses murailles et l'armée qui l'assiégeait depuis déjà quatre semaines. L'aube se levait, annonçant un nouveau jour, le dernier jour de liberté pour cette cité des Marches Occidentales qui avait osé défier l'Empire. L'aube fut le moment précis où Archeron Jander Sank acheva ses incantations et dans un rugissement d'éther, le dôme de puissance qui protégeait la cité fut brisé. Alors les machines de guerre se mirent en branle et balistes, catapultes, trébuchets entreprirent leur travail de sape, ouvrant une brèche dans les fières murailles. L'infanterie se lança à l'assaut, couverte par les archers et les assaillants entrèrent enfin en contact avec les défenseurs de la cité. Dans un déluge d'acier, de magie et de sa.ng, les troupes Impériales pénétrèrent dans la cité. Archeron Jander Sank, Mage de Guerre au service de la 7ème Légion Impériale, se joignit à la deuxième vague qui partit à l...
Au puits
il y a 2 ans

Assister à une fessée peut être très agréable. La raconter prolonge le plaisir.

- Ah, vous êtes là ! Vous auriez vu ça, mes commères ! Non, mais vous auriez vu ça ! - Et quoi donc, mon bon Célestin ? Que tu m’en as l’air tout retourné. - Non. Oui. C’est-à-dire que j’étais au lavoir… - Et qu’est-ce tu pouvais bien fabriquer au lavoir ? - Quand on a vu arriver tranquillement la Goton avec son panier de linge. - Elle a osé ! La garce ! C’est pas vrai qu’elle a osé ! - Eh, si ! Comme si de rien n’était. Elle s’est installée, agenouillée, et elle s’est mise derechef à battre furieusement ses frusques. Alors la Guillemette l’a pas loupée : « Vous voyez à quoi ça ressemble une femme de cocu ? » Et elle : C’est pas à toi que ça risque d’arriver. Ou bien alors faudrait t’enfouir la tête bien profondément sous une botte de paille. » « Oui, mais moi, au moins, tout le pays me passe pas dessus. » Et les autres de renchérir. « Il peut pas y avoir un homme à l’horizon sans qu’elle se jette à sa tête. » « Et quand on dit la tête… » « Ah, ça, pour avoir le feu au cu...
En manque de lui
il y a 2 ans

Honte de ne pas pouvoir mettre cette envie en sourdine et de se concentrer sur d’autres choses que de se caresser.

Elle ouvre un œil, puis l’autre. Sa main essaie de dégager ses cheveux, emmêlés sur son visage, puis retombe mollement. Le soleil filtre à travers les volets qu’elle ne ferme jamais totalement. Il doit bien être neuf heures. Plus que deux jours. Les moins difficiles. Ceux où elle peut traîner en pyjama et vivre devant sa télé. Se faire livrer des pizzas et recevoir son esthéticienne à domicile. En même temps, ceux qui passent le moins vite. Parce que les sept qui ont précédé l’ont déjà mise à la t o r t u r e . Elle se retourne et attr a p e le deuxième oreiller, celui qui a accueilli sa tête vendredi dernier. Elle n’a pas pu se résoudre à changer les draps. Ils ne sentent plus rien, mais, en se concentrant un peu, elle peut imaginer son parfum. L’odeur de son shampoing à la lavande, bizarrement tenace dans ses boucles brunes. Son parfum un peu féminin mais étrangement viril sur lui. Elle rejette l’oreiller et se recouvre de la couette. Quel bordel. Elle se fait honte. Pour telleme...
Le stagiaire
il y a 2 ans

La rencontre fortuite d’un stagiaire oisif avec une directrice générale aux goûts plutôt particuliers va prendre un tour intéressant quand cette dernière décide d’en faire son jouet. L’humiliation sera au rendez-vous…

Ce texte ABDL n’est pas de votre webmaster. Le traducteur m’a autorisé à le publier sur Fessestivites. Voir plus bas. Chapitre 1: Introduction « Cher Julien, Nous sommes heureux de vous accueillir au sein de notre équipe de stagiaires. Cette expérience vous permettra de découvrir le monde du travail au sein du leader européen des traitements entero-gastriques. Nous espérons que vous êtes prêt pour un challenge aussi éducatif que passionnant. Bienvenue à bord ! L’équipe des ressources humaines ». -------------------- Dès le second jour de mon stage de deux mois, j’avais compris que mes grands espoirs de rendre mon école et ma famille fiers de moi allaient être déçus. Pas de maître de stage ni de quelconque mission et pour tout bureau, un grand placard sans fenêtre et qui sentait encore vaguement le détergent qu’on y avait sans doute longtemps entreposé. À part deux chaises, deux bureaux et deux ordinateurs, il n’y avait que moi et Sarah, une autre stagiaire e...
Le stagiaire 2
il y a 2 ans

Cela devint plus hard, vous êtes prévenus et pas uniquement ABDL....

Ce texte ABDL n’est pas de votre webmaster. Le traducteur m’a autorisé à le publier sur Fessestivites. Voir plus bas. Chapitre 7: Corporate baby Ce n'était pas mon premier retour au placard avec une nouvelle couche, mais je ne m'étais jamais senti aussi exposé. Le bruit de froissement doux et omniprésent qui accompagnait chaque pas était une chose. Mais je pouvais aussi sentir l’odeur de la poudre pour bébé émanant de mes fesses. Elle m'entourait comme un nuage, et je savais juste qu'elle me suivrait partout où j'irais. J'ai été tenté de fuir complètement le bureau. À part Sarah et Mme Renoir, est-ce que quelqu'un aurait même remarqué que j'étais parti ? Il serait peut-être préférable de faire l'école buissonnière plutôt que de travailler la couche au cul dans cette petite pièce avec Sarah. Non, je ne pouvais pas faire ça. Mme Renoir s'attendait à ce que je revienne pour un changement de couche et je n'étais pas sur le point de la laisser tomber. Le destin me fit une fleur...
Le stagiaire 3
il y a 2 ans

Il n’y aura pas de retour en arrière possible.

Ce texte ABDL n’est pas de votre webmaster. Le traducteur m’a autorisé à le publier sur Fessestivites. Voir plus bas. Chapitre 11 : Confidences entre assistants De l'ascenseur, Eva m’a conduit dans les couloirs d'une partie de l’entreprise que je n'avais jamais vue auparavant. Compte tenu de la taille massive du bâtiment et du peu de choses que je n'avais jamais eu besoin de voir auparavant, cela n'aurait pas dû me surprendre. Pourtant, cela m'a toujours impressionné à quel point il était facile de se promener dans une zone dans laquelle je serais perdu si j’avais été laissé à moi-même. Nous avons atteint la porte du bureau de Mme Beaufort, qu'Ava a déverrouillée avec une clé. « Elle te confie la clé de son bureau ? » J'ai demandé à Eva. "Bien sûr," répondit-elle en haussant les épaules. "Je suis son assistante." Je me demandais si cela signifiait qu'un jour Mme Renoir me donnerait la clé de son bureau. Il m'est venu à l'esprit que je passais tellement de temps à penser...
La clef USB (4)
il y a 2 ans

Et si maintenant elle montrait à Antoine comment elle taille les pipes à Damien?

Elle s’y attendait. Elle s’y attendait tout le temps. Tous les jours. À toute heure. À tout moment. Elle n’était plus qu’attente. Un bloc d’attente et d’appréhension. Elle s’y attendait, mais le coup de sonnette l’a malgré tout fait sursauter. Elle est allée lui ouvrir, rongée d’inquiétude. Ça allait être quoi aujourd’hui ? Il allait vouloir quoi ? Inventer quoi ? Il était tout sourire. - Tu m’offres un café ? Qu’il a bu, à toutes petites gorgées, sur le canapé du séjour. En parlant cinéma. Fellini, oui, bien sûr. C’était leur référence à tous les deux. - Mais il ne faut pas non plus se cantonner à lui. Il y en a d’autres. Tellement d’autres. Ça, elle était bien d’accord. Et ce fut Bergman. Et Antonioni. Et Almodovar. Et Rohmer. Ah, Rohmer ! Tout en finesse. Tout en subtilité. Il ne s’en lassait pas de Rohmer. Elle non plus. - Ah, non alors ! Le temps passait. Et c’était comme avant. Comme le jour de Noël. Comme ça aurait dû toujours être si elle n’avait pas si...
J’ai pioché le mauvais déguisement
il y a 2 ans

Le récit d’un jeune garçon transformé en fille lors d’une fête qui débordera du jeu initial

Le hasard fait bien les choses Sophie décida d'organiser une fêtes costumée mais pour corser l'affaire, tous les invités devaient tirer un papier pour désigner le costume à porter. Je tirais un papier et lu ce qu'il y avait dessus et je fronçais les sourcils. Il y avait écrit ... j’avais pioché le mauvais déguisement Comme l'été tirait à sa fin, mes amis et moi cherchions une façon de bien terminer l'été en s'amusant. Alors Sophie décida d'organiser une de ses fêtes dont elle avait le secret. Cette fois ci, ce serait une fête costumée. Mais pour corser l'affaire, tous les invités devaient tirer un papier d'un panier. Ce qu'il y avait sur le papier était le costume que vous devriez porter pour la fête. Les gens tirèrent leur papier, certains sourirent d'autres froncèrent les sourcils. Quand ce fut mon tour, je tirais un papier et lu ce qu'il y avait dessus. Il y avait écrit 'La mariée' sur le papier ! " Écoutez tous, j'ai choisi des costumes qui vont par paires. Comme Superm...
Économies
il y a 2 ans

Quand on veut trop avoir...

- Il est passé où, le pognon ? - Quel pognon ? - Celui qu’on mettait de côté, derrière la bouteille de gaz, pour déménager d’ici. - J’en sais rien, moi ! Peut-être qu’on a été cambriolées. - Ben, voyons ! Des voleurs qui n’ont touché à rien sauf à la boîte planquée derrière la bouteille de gaz. Où ils sont allés tout droit. Prends-moi bien pour une dinde ! Qu’est-ce t’as fait de cet argent, Clarissa ? Qu’est-ce t’en as fait ? - J’ai voulu… - T’as voulu quoi ? - Qu’on en ait davantage. - C’est-à-dire ? - Que j’ai tout misé sur un cheval qui devait gagner. - Et qu’a perdu. Mais qu’est-ce t’as dans la tête ? Qu’est-ce t’as dans la tête, hein, tu peux me dire ? - Je le remettrai. Je remettrai tout. - Avec ce que tu gagnes ? Tu vas faire comment ? - Je me débrouillerai. - C’est-à-dire que tu vas encore nous inventer un plan bien foireux. Bon, mais tu sais pas le mieux ? C’est que maintenant, chacune sa route de son côté. Et bon vent ! Parce que j’en ai soupé de toi. J’en ai vr...
Soir d'automne avec mon Maître
il y a 2 ans

Ah ces rencontres BDSM programmées qui font tant fantasmer

J'ai allumé les deux chandeliers garnis de bougies rouges dont l'odeur se répand dans la pièce sombre, tiré les lourds rideaux de velours brun. La nuit commence à tomber. Dehors le vent souffle et un volet bat… véniel détail qui me tourmente… pour accrocher ma pensée à un souffle de réalité… dans cette étrange attente ! J'attends son arrivée, comme il l'a exigé : simplement parée de mon collier de cuir noir et mes bas gris…et les méchantes pinces en métal qui laminent mes tétons, reliées par la lourde chaînette qui allonge mes seins et les plaque sur mon ventre… Je suis à genoux dans le milieu de mon salon, les jambes bien écartées, les reins cambrés, les seins offerts… les bras réunis derrière la nuque, immobile. J'ai la sensation qu'une multitude de petits cœurs bat dans mon corps, que des nœuds invisibles me lient déjà.. Je ferme les yeux pour imaginer son visage, ses gestes, son parfum… Je ne connais de lui que le son de sa voix… et si je m'étais trompée? Et s'il me faisait t...
La clef USB (3)
il y a 2 ans

Une nouvelle vidéo qu'Antoine découvre avec plaisir, à la grande confusion de Christina.

Elle ne s’en était pas si mal sortie finalement ! Parce qu’en débarquant comme ça à l’improviste, en exigeant qu’elle se regarde, sur cette vidéo, se caresser sous la douche en sa compagnie, son but était à l’évidence de la déstabiliser, de s’offrir le spectacle de sa confusion. De la mettre délibérément mal à l’aise. Elle ne lui avait pas offert ce plaisir. Elle était restée impassible. Impénétrable. Elle n’avait rien laissé transparaître de ce qu’elle éprouvait. Même si, à l’intérieur, c’était loin d’être simple. Comment aurait-ce pu l’être ? Et maintenant ? Maintenant il voulait la voir se caresser en vrai. Ou, plus exactement, la voir jouir en vrai devant lui. Il s’en délectait manifestement par avance. Oui, ben alors ça, il pouvait toujours courir. Elle ferait mécaniquement les gestes : bien obligée. Mais quant à avoir vraiment du plaisir, c’était totalement exclu. Elle allait se contrôler, mobiliser toute mon énergie pour s’en empêcher et elle y arriverait. Elle y arriverait ?...
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