Récits
Léa et Julie (2)
il y a 1 an

Léa et Julie sont bien décidées à s'amuser à ses dépens

Huguette avait décidé de se prendre un mois de vacances. - Mais toi, tu restes là ! J’ai pas besoin de toi par les pieds. À m’encombrer. Surtout que, s’il y a de beaux mâles hyper musclés qui traînent dans les parages, j’ai bien l’intention d’en faire mon quatre heures. Et elle a fait ses recommandations à Pauline. - Je te laisse les clefs de sa cage. Gère au mieux ! Laisse-le se soulager de temps en temps. Mais pas trop quand même. Et l’écoute pas ! Parce que je le connais. Il va essayer de t’apitoyer. Te supplier trois fois par jour de la lui libérer. Ou même de la lui laisser carrément dehors. Histoire d’en profiter au maximum tant que je suis pas là. Pauline a eu un petit rire narquois. - Oui, oh, ben alors là, qu’il compte là-dessus ! Et je me suis retrouvé tout seul avec elle. Qui a exigé de moi que j’aille aux courses. Que je fasse le ménage. Sa chambre. Son lit. - Ben, oui ! Si tu veux que je me montre un peu compréhensive avec toi. Je nous préparais éga...
Sa femme le féminise et le punit en l’humiliant
il y a 1 an

Un macho se fait féminiser et rouler dans la farine avant de se faire sauter

Elle était là, allongée à côté de moi, je passais ma main dans ses cheveux, perdu dans mes pensés. Il faut dire qu'il s'en est passé des choses aux cours des dernières 24 heures. La journée d'hier ne laissait rien présager de ce allait arriver en fin de journée. Je rentre du travail vers 18 heures, comme à mon habitude, et je retrouve ma copine assise au salon en tenue légère avec un sac en papier rudement bien rempli devant elle. Il faut que je vous décrive sa tenue, ça ne sera jamais aussi bandant que comme je l'ai vu, mais je vais tâcher d'y parvenir. Déjà, elle mesure 1m71 pour 58kg, des jambes interminable, un petit cul bien rond et bien ferme, de très long cheveux blonds qui lui arrivent jusqu'en bas du dos et de magnifiques yeux bleus! Son visage? Effectivement, j'ai omis de vous en parler, un visage typé slave, juste magnifique et ses seins, je ne vous ai pas parlé de ses seins, deux magnifiques petit seins bien ronds et fermes avec de jolis petits tétons qui en fer...
Foyer d'accueil
il y a 1 an

HARD Vanessa est envoyée dans un centre particulier où les éducateurs transforment les pensionnaires en esclaves sexuelles qu’ils prennent plaisir à martyriser.

Depuis l'âge de 13 ans, Vanessa a vécu l'enfer de la vie, ballottée de familles d'accueil en familles d'accueil après la m o r t de ses parents dans un accident de voiture. La jeune fille sage et particulièrement studieuse qui rêvait d'être médecin est devenue une belle jeune fille de 18 ans en mal de vivre qui vole et trompe facilement ses proies tout comme ses éducateurs. Sa beauté, son port hautain et son intelligence lui sont des atouts qu'elle utilisait bien volontiers avant d'être enfermée dans l’aile A de ce foyer d'accueil pour " fortes têtes " comme se plaisent à dire les gens qui s'autorisent à penser que la vie est belle pour tout le monde. Oui, elle a détruit la vitrine d'un commerçant qui l'a surprise à voler mais qui n'avait rien trouvé de mieux que de lui proposer de " coucher " en échange du retrait de sa plainte. Cette plainte est hélas venue rejoindre les autres sur le bureau du procureur de la république, mais les accusations de trafic de D r o g u e et d...
Comment je suis devenue esclave sexuelle
il y a 1 an

Une histoire érotique assez dure et très cochonne pour ne pas dire ultra perverse, vous êtes prévenu.

Une histoire érotique assez dure est très cochonne pour ne pas dire ultra perverse, vous êtes prévenu. A tout juste 18 ans, l’héroïne se retrouve seule dans une ferme isolée avec un homme plus âgé qu’elle. Il va profiter de la jouvencelle un peu coquine et lui faire vivre des choses de folie que vous pourriez lire dans un journal à scandale. Deux chose pour éviter toutes les inquiétudes, 1°) L’héroïne a 18 ans. 2°) La personne appelée « oncle » n’est pas véritablement le tonton de l’héroïne. Le seul lien familial qu’il y a, est qu’elle a été adoptée par ses parents décédés d’un accident de la route. Le dit « Oncle » a pris les deux e n f a n t s de son frère en charge dans sa ferme pour les élever. ..................... Le grand frère parti à Paris pour ses études, je me suis retrouvée seule à la ferme avec mon oncle. En bonne fille reconnaissante, j’assurerais les taches ménagères en plus du lycée. Il est vrai qu’à 25 kilomètres de la ville, sans internet ni téléphon...
La clef USB (7)
il y a 1 an

Christina se montre de plus en plus complaisante.

Cette fois, Antoine ne l’a pas fait attendre. Il a appelé le lendemain. À huit heures. Kevin venait tout juste de partir. - T’es prête ? J’arrive. Elle s’est empressée d’aller s’habiller. Petite culotte blanche ajourée affriolante. Soutien-gorge pigeonnant. Et sa robe rouge à liserés noirs. La plus sexy de toutes celles qu’elle possédait. Elle s’est jetée un coup d’œil dans la glace au-dessus du lavabo. S’est désébouriffée. Ça irait. Oui, ça irait. Il fallait pas en faire trop non plus. Elle avait beau s’y attendre, son coup de sonnette l’a fait sursauter. Elle s’est précipitée, le cœur battant. - Oh, mais c’est que t’es toute belle ! Il lui a souri. Elle lui a rendu son sourire et s’est effacée pour le laisser entrer. - J’ai apporté les croissants. Qu’il a déposés sur la table de la cuisine, près de la cafetière. - Et de quoi fixer tes exploits pour l’éternité. Une petite caméra qu’il lui a brandie sous le nez. - Ça donne des résultats exceptionnels, t...
Confidences d’une femme à l’intérieur d’un corps d’homme
il y a 1 an

La transidentité est le fait, pour une personne transgenre, d'avoir une identité de genre différente du genre assigné à la naissance.

Ma triste histoire... Je suis née en 1930 dans une famille bourgeoise, pudibonde, janséniste... fanatiquement catholique et c'est pour cela que j'ai tant souffert car dès ma plus tendre e n f a n c e , je pleurais le soir dans mon lit de ne pas être une fille comme ma soeur dont je mettais les robes en cachette. Au collège, alors que j'avais sept ou huit ans, je me suis lié d'amitié avec un garçon de ma classe qui, quand il rentrait chez lui avec de mauvaises notes, devait s'habiller en fille (punition très fréquente à l'époque) avant de recevoir le martinet, le soir, en guise de dessert et il devait rester "enjuponné" jusqu'à ce qu'il revienne avec un bon bulletin. Un samedi, alors que sa maman m'avait invitée à passer le week-end, il avait reçu un mauvais bulletin et avant même de se mettre à table, il avait dû aller se changer et est revenu tout rouge de honte. J'ai failli me mettre à pleurer... d'envie et dès que nous fûmes seules, je l'ai embrassé... mais sans oser lui avo...
Cuckold une évolution du couple due à la couche
il y a 1 an

Un couple passe de la petite fessée d’amour à la couche, à la chasteté puis au Cuckold

Depuis quelques années, Paula et Pierre pratiquent les jeux coquins que la morale réprouve parce qu’elle ne sait pas combien c’est bon. Leur sexualité a évolué gentiment et progressivement au fil des années pour pimenter un peu leur vie de couple. La fessée d’Amour est entrée dans leurs jeux, les claques étant plus des caresses que des coups ou de la violence conjugale. C’est en alternant les rôles que Paula se découvrit une légère attirance pour la domination féminine sans pour autant être attirée par le SM. Pierre quant à lui, appréciait grandement que Paula s’occupe de son fessier de vilain garnement. En furetant sur le net il découvrir l’ABDL, les photos générant de nouveaux fantasmes, il se laissa aller à lire des histoires de nursing qui ne le laissaient pas de marbre, enfin presque car du fond de sa culotte les troubles montaient... LE PIEGE ! Suite à son accouchement, leur fille vint passer quelques jours de vacances chez eux pour le plus grand bonheur de Paula. Les neu...
Léa et Julie (1)
il y a 1 an

Des jeunes femmes désireuses d'apprendre.

- On aura des invités samedi soir. - Ah, oui ? Qui ça ? - Deux copines à Pauline. Je n’ai pas pu m’empêcher de faire la grimace. - T’y vois un inconvénient ? Je me suis tout de suite repris. - Oh, non ! Non ! Absolument aucun. - Et ça vaut mieux pour toi. C’était la fille d’Huguette, Pauline, pour ainsi dire ma belle-fille, et elle prenait un malin plaisir à raconter à ses copines de fac que sa mère m’obligeait à porter une cage de chasteté. « Ben quoi ! Je peux bien le dire puisque c’est vrai ! » Et, évidemment, lesdites copines la submergeaient de questions et s’empressaient d’accepter quand elle leur proposait de venir voir à la maison de quoi il retournait au juste. Tant et si bien que je me retrouvais, à cinquante ans, dans l’obligation de me déculotter, à intervalles réguliers, devant des gamines de vingt ans auxquelles Huguette expliquait en quoi une femme trouvait très largement son compte à avoir son compagnon en cage et auxquelles elle exposait également en...
Il n’y a pas d’amour sans fessée
il y a 1 an

L’amour entre femmes est parfois un piquant plaisir

Age : vingt ans. Taille : un mètre soixante-quatre, sans les talons. Cheveux : châtains bruns. Visage ovale. Teint blanc. Yeux bleus. Nez droit. Bouche petite. Dents idéales. Menton court et rond. Ceci dit, et en garantissant l’exactitude absolue de son signalement, nous donnons, sans plus tarder, la parole à Mademoiselle Francine. - Je ne blague pas : quand j’étais môme, tout le monde me trouvait laide. Et l’on n’avait pas tort. Ça, c’est drôle. Ce qu’on peut changer, tout de même ! J’étais blonde. Comme les blés, c’est le cas de le dire, à dix ans, à douze encore. Oui, d’un jaune paille, mes tifs. Mais, à seize à dix-sept, le ton devenait merveilleux, doré. Et, tout d’un coup, alors, je me suis mise à foncer, à brunir et, maintenant, il n’y a pas à dire, je suis brune. Ce qui aurait dû m’avertir de ce changement, c’est que vers douze, treize ans, ma puberté, foncée ne s’assortissait guère au blond de mes cheveux. Ça, c’est un signe. Si je voulais, je me les passerais, les...
Des Défis
il y a 1 an

Une connaissance me lance des défis pour commencer une relation D/s

De la bonne entente avec Sabine j'y avais posé de nombreuses obligations, avec mon tempérament exigeant qui cadrerait notre relation. L’obligation qui imposait de ne s'envoyer que peu de messages fut autant satisfaite que mon envie de la voir fréquemment en réel se révéla contrariée. Mais la lecture de son mail, ses félicitations pour mon périple dans les Alpes et l'annonce qu'Elle viendrait chez moi célébrer le succès m'apporta alors une salve de frissons. Il est que depuis trois ans la Dame a progressivement pris l'ascendant malgré mes tentatives de rebuffade. Je m'étonne encore de constater qu'Elle commande, j'obéis. Elle n'a pas saisi ce que j'ai éprouvé lors de mon séjour en Suisse, c'est une évidence. Ce séjour sera raconté dans autre récit. Je reste toutefois heureux de recevoir Sabine surtout si cela lui fait plaisir. Le jour de son choix venu, par SMS je suis convié à venir à sa voiture. Elle me fit un baiser sur le front, chose rare. Ma mission consista à récupérer da...
Racine
il y a 1 an

Après chaque passage dans sa famille où l’on parle de la guerre, elle court se réfugier affectivement chez son amant

Rien qu’à sa façon de frapper à ma porte, je sus. Trois petits coups secs, signe, chez elle, d’une grande agitation. Je m’effaçai pour la laisser passer. Elle se faufila entre le battant en bois et le mur, posa son sac à terre et se hissa sur la pointe des pieds pour m’embrasser. Sa bouche avait le goût de l’anisette et des épices. Second indice, me sauta rapidement aux yeux : sa façon de laisser traîner ses petites mains potelées sur mon avant-bras, avant de les faire courir sur mon dos, alors que je refermai la porte. Son refus de rompre le contact physique, même pour me permettre de mettre la chaîne. Je passai mon bras autour d’elle, l’attirai à moi, lui transmettais ma f o r c e . Plutôt grand et carré, j’entretenais ma musculature grâce à mon boulot dans le bâtiment et à quelques heures hebdomadaires de sport. Quand je serrais contre moi cette petite poupée, ce modèle réduit de femme pulpeuse toute en courbes, je me sentais, à chaque fois, l’homme le plus puissant au monde. Je...
La clef USB (6)
il y a 1 an

À quoi bon nier plus longtemps l'évidence?

La mère de Kevin avait fait les choses en grand. Loué une immense salle dans un parc magnifique. Fait venir un orchestre. Un traiteur. Et invité une cinquantaine de personnes. À table, on l’avait placée à côté de Benoît. Qui avait attaqué d’emblée. - Ça va avec Kevin ? - Ça va, oui ! Pourquoi ça irait pas ? - Oh, ben, avec le caractère qu’il a, mon frère ! Faut le supporter… Et il s’est tout aussitôt lancé dans un flot de récriminations à n’en plus finir. - Si tu savais l’enfance que j’ai eue ! Par sa faute. Il était odieux. Et ça a été l’histoire de la balançoire. Celle de son doigt coincé entre le pédalier et la chaîne du vélo. La fois où il l’avait délibérément perdu dans les bois. Et puis aussi… Elle n’écoutait pas. Antoine, là-bas, à l’autre bout de la table, était en grande conversation avec sa sœur. Avec Chloé. Qu’elle plaignait de tout son cœur d’être mariée avec un boulet comme Benoît. Quand ça s’est mis à danser, Antoine ne l’a pas invitée tout de suite. Il...
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