Récits
Lettre de requête
il y a 1 an

Qu'il est difficile, pour une jeune femme "bien née" de solliciter une punition au fouet en lieu et place de poursuites judiciaires.

Elle a repoussé les feuillets, découragée. - Je n’y arriverai jamais. - Il va bien falloir pourtant. Vous savez ce qu’il m’a dit qu’il exigeait de vous. Une lettre en termes explicites. Et convaincants. Faute de quoi, vous aurez affaire à la justice. - Y aura-t-il vraiment recours ? - N’en doutez pas ! Et les malversations auxquelles vous vous êtes livrée vous vaudraient, si tel était le cas, assurément la prison. - Je suis prise au piège. - En effet. D’autant que votre mari serait alors nécessairement mis au courant. Est-ce ce que vous voulez ? - Que puis-je faire, mon Dieu, que puis-je faire ? - La rédiger, cette lettre. - Aidez-moi, mon ami, je vous en conjure, aidez-moi ! - Soit ! Écrivez… Monsieur le Directeur, Je me suis rendue coupable, à votre égard, d’une faute d’une extrême gravité. Et le vol que j’ai commis à vos dépens… - Je ne suis pas… - Une voleuse ? Il souhaite, ne l’oubliez pas, que vous appeliez les choses par leur nom. Allons, poursuivons ! Le vol que j...
Flavia
il y a 1 an

Un très beau texte hard sur les sentences appliquées en 52 avant J-C Crassus Pompée Le vocabulaire soigné frise le cours d’Histoire.

Chapitre I - Eh bien, bravo! Voilà qui ôtera pour des générations et des générations l'envie de recommencer cette stupide aventure, s'exclama Crassus en entrant sous sa tente de général en chef en l'an 683 de la fondation de Rome, en 71 avant notre ère dirait-on aujourd'hui. Il venait de vaincre définitivement Spartacus et ses damnés partisans, réduits à se rendre, cernés qu'ils étaient par l'armée régulière, après avoir , pendant près de deux ans, fait subir des pertes importantes et s'être joué des légions romaines réputées invincibles...Spartacus lui- même était mort, après une résistance héroïque, et le reste de la troupe avait été fait prisonnier. - De Capoue jusqu'à Rome, je veux que tous ces gueux soient crucifiés... Tout le long de la route. Qu'ils servent de réflexion à notre peuple... et de nourriture aux corbeaux! Ainsi en était-il, les soldats avaient été encouragés à fournir ce travail supplémentaire, après les dures batailles, par la promesse d'un lopin de terr...
Flavia 2
il y a 1 an

Ce texte hard d’Aliamet est un chef d’œuvre de la littérature.

Marcus Licinius Crassus se réveilla de méchante humeur... Les va-et-vient successifs des suites de Pompée et de Lépide avaient empli le camp de bruits, de brouhahas, qui l'avaient empêché de dormir... Il n'avait pas posé le pied à terre que des cris, des cliquetis d'armes, des jurons, lui firent pousser un profond soupir. - Ah! Que ne suis-je assis à l'ombre des forêts, murmura-t-il... Le métier d'imperator est vraiment trop incommodant. Lorsque je serai à Rome, dans mon palais, il me faudra bien subir ces deux coquins de Lépide et de Pompée, mais au moins aurai-je mes appartements frais et retirés, où l'on ne viendra pas me déranger dès l'aube. Entrez, que se passe-t-il ici? Deux gardes s'introduisirent sous la tente du général, et projetèrent à ses pieds une jeune fille en pleurs, qui se mit à s'agripper aux pieds de Crassus et pleurant et en proférant des phrases sans grande signification... - Qu'est ceci? Qui est cette fille? Que me veut-on, à cette heure? Sur un sig...
Plus que soignée, cette fessée-là !
il y a 1 an

Une fessée déculottée en public, cela fait deux fois plus mal

J’avais à l’époque douze ans et demi et mes parents m’avaient déjà donné pas mal de fessées pour punir mes insolences et mes caprices, mais des fessées pas assez sévères, sans doute, pour me servir de leçon ! Mais celle que je reçus ce mercredi de juin pour ma conduite fut nettement plus marquante tant pour la honte que sa sévérité. J’étais allée au square municipal avec Patricia et François, un garçon et une fille de ma classe, e n f a n t s de Solange, une amie de ma mère. Nos deux mères qui savaient que nous étions au square étaient parties faire quelques courses et devaient repasser par le parc voir si nous y étions encore lorsqu’elles reviendraient. Les derniers jours de juin étaient particulièrement chauds, et nous n’avions pas envie de nous remuer. Au début nous étions plutôt calmes, discutant un peu de tout et de rien, faisant parfois des remarques sur les passants, mais sans méchanceté. Puis Patricia se rappela que le magasin en face du square venait de recevoir un nouve...
Le curé pervers
il y a 1 an

Attention cher lecteur, il n'est pas bon que tout le monde lise le texte qui suit car il s'appuie sur l'affaire dévoilée le samedi 13 décembre 2003.

Attention ce texte est TRES HARD Un vicaire savoyard a reconnu avoir a b u s é de personnes majeures ou m i n e u r es depuis son ordination qui remonte à une quarantaine d'années. Il n'en fallut pas plus pour plonger toute la vallée de Saint Jean de Maurienne dans la consternation la plus totale. Je prie le ciel si c'est utile, qu'un lecteur ou une lectrice, ne se reconnaisse pas parmi les acteurs involontaires de cette sombre histoire. ………………………………… Du haut de ses dix-huit printemps, Aurélia, superbe descendance d'une lignée aussi pieuse que respectable, affiche avec bonté et modestie une beauté à damner un saint, rehaussée d'un visage d'ange, un corps svelte et souple savamment masqué sous des étoffes démodées. Les garçons bagarreurs qu'elle juge vulgaires ne l'attirent pas. Aurélia, qui a suivit toutes ses études dans des écoles privées où elle a aidé au catéchisme, envisage de prendre le voile au grand dam de ses parents. Elle ne parle réellement qu'à Paul, le boulan...
La clef USB (12)
il y a 1 an

Se faire aider d'une amie pour filmer peut être une excellente solution.

[Le début de cette saga est ICI](/recit/194768) C’est elle qui l’a appelé. - Antoine ? J’ai Melissa, là, avec moi. Pour nous filmer, si tu veux. Comme on avait dit, tu sais, pendant que je m’occuperai de toi. -J’arrive. Un quart d’heure plus tard, il était là. Ils se sont fait la bise. - J’ai beaucoup entendu parler de toi. - Et moi donc ! Le temps de boire un café. - Vite fait alors ! Et elle a pris les choses en mains. - Bon, allez ! Elle a hâte d’entrer dans le vif du sujet, Christina. Et elle est pas la seule. Antoine a voulu lui expliquer le fonctionnement de la caméra. - Perds pas ton temps ! Je connais. Je suis pas née de la dernière pluie. Va te mettre sur le canapé plutôt ! Ce qu’il a fait. Et elle s’est aussitôt mise à filmer. Lui. Tout du long. De haut en bas. De bas en haut. - Ben toi aussi, Christina ! Va le rejoindre ! Qu’est-ce t’attends ? Elle aussi. Elle est allée s’accroupir à ses côtés. A passé une main sous sa chemise, lui...
Il fait de moi une Sissy
il y a 1 an

Sa féminisation la conduit à changer de sexualité et à faire des rencontres

Vous savez ce que c’est le problème de se sentir seul quand on est un mec ? C’est qu’on a sans arrêt envie de se branler. Dès que je me retrouve seul chez moi, c’est le même rituel : je ferme ma porte à clef, tire les rideaux de la chambre, allume mon PC et me paluche devant un porno. Ce qui est bien c’est que je suis assez ouvert niveau porno, parfois je vais avoir envie de regarder des lesbos se rouler des pelles et se brouter le minou, parfois c’est des belles déesses d’ébènes se faire du prendre par des grosses bites black, enfin bref j’aime tout. Un jour où je n’étais pas inspiré, j’ai traîné en long et en large sur mon site de porno préféré et j’ai découvert une catégorie qui m’étais inconnue et qui a changé ma vie : la catégorie « crossdresser ». J’ai regardé mon premier porno avec une belle travestie, toute de rose vêtue avec une toute petite bite qui pendouillait dessous sa jupette. J’ai empoigné machinalement ma bite et je me suis branlé face à ce cul de travelo en t...
J'allais devenir son objet de plaisir 2 sur 3
il y a 1 an

Passage au centre de formation de lope

La clinique Voilà maintenant quelques mois que Jacques et moi vivons ensemble. Il me laisse aller étudier et à la suite de la signature d'un contrat je suis à son service particulier. Il m'a initié, moi, puceau, à des pratiques sexuelles que je n'imaginais même pas. Je reçois maintenant sa queue en moi, que ce soit dans ma bouche ou dans mon cul. Il m'a aussi initié à un rituel : chaque matin je dois me mettre à genoux et tenir sa queue avec la bouche pendant qu'il pisse. Je dois ensuite le nettoyer. Les premières fois j'avais envie de vomir mais après quelques jours d'entraînement je me suis habitué au goût. Chaque jour, ou presque j'avais droit à une correction, quel que soit le prétexte. Mais Jacques était mon maître, mon amant, mon guide. Je lui étais entièrement dévoué. Certes il avait des amis plutôt brutaux dont un certain Jean-Marc qui m'a un jour fessé. J'ai conservé pendant plusieurs jours les marques de la soirée. Il restait un point du contrat que Jacques n'avait...
La petite insolente
il y a 1 an

Une fessée méritée et... désirée

Dessin de Louis Malteste - Oui, Madame la comtesse, oui. Elle a été punie comme elle le mérite. Ce matin même. - Une telle insolence ! À mon égard ! Venant d’une petite servante de rien du tout. Qu’on a sortie du ruisseau. C’est une honte ! Une véritable honte ! - Soyez assurée, Madame la comtesse, que cela ne se reproduira pas. - En êtes-vous bien certaine ? Avec des natures aussi viciées, on peut s’attendre à tout. - La leçon aura nécessairement porté ses fruits. Nous ne l’avons pas ménagée. - Vraiment ? - Vraiment. Elle va vous montrer. Eh bien, toi, qu’est-ce que tu attends ? Fais voir à Madame la comtesse. Mais là ! Là ! Devant la chaise ! Et à genoux ! Ce que tu peux être empotée quand tu t’y mets ! - C’est surtout qu’elle renâcle. Quand je vous dis que vous n’en tirerez jamais rien. - Eh bien ! Trousse-toi ! Tu vois bien que tu fais attendre Madame la comtesse. Elle n’a pas que ça à faire… Plus haut ! Encore ! Encore, j’te dis ! Là… Vous voyez ? Reconnaissez que nous...
Piégé dans un plan selfbondage infernal avec la honte de sa vie
il y a 1 an

Une jeune homme profite de l’absence de sa soeur pour se faire un plan selfbondage avec couche, lavement et des accessoires BDSM

##### Cela fait longtemps que j’avais envie de me faire un plan de selfbondage cumulant les fétichismes, et celui-là, je ne risque pas de l’oublier. Commençons par la couche. J’aime bien en mettre de temps en temps, plus par jeu qu’autre chose, disons simplement que je fantasme sur l’idée qu’une Maîtresse me l’impose. Après, il y a la chasteté, jouer avec les sensations de la frustration génère des sensations torrides. Une fois, je me suis envoyé les deux clés de ma cage de chasteté par la poste. Je les ai postée un vendredi alors que le lundi était férié. J’avais fait un colissimo remis contre signature. Comme le mardi je travaillais, je n’ai pas pu aller chercher mon colis et donc les clés à la poste. Et me voilà donc parti le mercredi après-midi à la poste de mon quartier. Et là, surprise ! La poste de mon quartier est fermée le mercredi après-midi, et ça, je ne le savait pas. J’ai du attendre le samedi matin pour aller chercher mon colis. je ne voulais faire que trois o...
La clef USB (11)
il y a 1 an

Godes et moulages

[Le début de cette saga est ICI](/recit/194768) Il est venu aux nouvelles le lendemain. À la première heure. - Alors ? Ta copine ? Tu l’as eue ? Elle l’avait eue, oui. - Sur le principe elle est partante. Enthousiaste même. Suffit juste qu’elle arrive à se dégager un créneau. Mais, à mon avis, vu comment elle est motivée, ça devrait pas trop tarder. - Génial ! Il s’est laissé tomber sur le canapé, devant la télé. - Bon, mais si, en attendant, tu me faisais découvrir une autre de tes charmantes petites vidéos ? La dix, tiens, par exemple. - Oui, oh, ben alors, celle-là ! - Celle-là ? - Elle tombe vraiment à pic. - Oui, bon, ben dis rien ! Dis rien ! Que j’aie la surprise. Elle a lancé. Est venue s’asseoir à côté de lui. - Oh, mais c’est que le gode de Madame est de sortie. Et tout équipé en plus. Avec les boules attenantes pour faire plus vrai. Plus réaliste. Il a fini par s’impatienter. - Oui, bon, ben ça va ! Ça y est ! On l’a vu. En long, en large...
Prison de femme
il y a 1 an

Il faut savoir nager quand on est dans une prison de femme

Le fourgon cellulaire entre dans le pénitencier de Las Diques. Juanita Sanchez en descend, encadrée de deux policières. La chaleur est écrasante en ce mois de juillet. L’accueil est pénible: Sermon de la gardienne en chef, fouille au corps...Juanita reçoit sa tenue de détenue: short et tee-shirt gris. C’est pas du tout sexy mais, après tout, on est pas à la plage... Juanita est maintenant emmenée jusqu’à sa cellule par une gardienne plutôt sympa. Celle-ci lui demande: -Tu plonges pour quoi? -J’ai été accusée de meurtre... -T’en a pris pour combien? -30 ans. -Eh ben! Bon si tu as une bonne conduite, tu auras peut-être des remises de peine. -J’y compte bien... -Mais attention, ici c’est v i o l ent. Ne réponds jamais aux provocations! -J’ai bien l’intention de me tenir à carreau, ne vous inquiétez pas! -Voilà c’est ici, cellule 124. Elle ouvre la porte. -Voilà ta codétenue: Mary. Mary, voilà Juanita qui vient d’arriver... La porte se referme. -En...
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