Récits
Héritage
il y a 1 an

Manipulatrice...

Elle avait une idée, Alexandrine. - Et une bonne ! Tu sais, le père Victor ? - Celui chez qui tu fais le ménage ? Qu’est riche à millions ? - Lui-même. - Eh bien ? - Eh bien, il a pas d’héritier. - Toi, je te vois venir… - Et il a un petit péché mignon, le père Victor. - Qui est ? - La fessée… - Carrément. - Il a tout un tas de trucs là-dessus. Des photos. Des dessins. Bien planqués. Enfin à ce qu’il croit. Parce que t’as vraiment pas bien de mal à les dénicher. Et alors ce que j’ai pensé, c’est que tu pourrais peut-être venir m’aider à faire le ménage chez lui. Tu casseras un truc. Je te punirai. On recommencera. Ça le rendra fou. Et, avant trois mois, on est héritières. - Tu crois ? - Je suis sûre. Et vu l’âge qu’il a, on aura tôt fait de toucher le pactole. 2- J’y suis allée de bon cœur. Je l’ai lancé de toute ma hauteur, cette horreur de vase. Il a éclaté en tout un tas de petits morceaux qui sont allés s’éparpiller aux quatre coins de la pièce. Et jusque sou...
Anne-Françoise, une femme conduite vers des rives inconnues.
il y a 1 an

Elle refusait les menottes BDSM, c’est devenu un défi de la faire abdiquer

J'ai rencontré dernièrement, lors d'une soirée anniversaire, un couple fort sympathique : lui, la quarantaine bien tassée, et elle, approchant la trentaine ; lui, Patrick, le regard canaille, comme je crois le deviner chez certains, et elle, Anne-Françoise, au contraire, plus réservée quoique très agréable de conversation. Anne-Françoise, un doux prénom, est une femme assez grande, les cheveux bruns, mi-longs, la silhouette harmonieuse de laquelle émerge une splendide poitrine comme je les aime : seins assez lourds, légèrement en forme de poires, mais qui ont conservé une fermeté si délicieuse sous la langue. A ce moment, je fantasmais bien sûr, n'ayant pas eu le bonheur d'y goûter, mais rêvant déjà à des plaisirs futurs. Ce qui m'amusa et m'attira en premier chez cette inconnue, ce fut de la voir, toute gauche, avec sa jupe noire, trop courte à ses yeux, qu'elle tirait souvent pour dissimuler ses genoux. Je ne cherchais pas spécialement à draguer et c'est, je dois l'admettre,...
Son jouet
il y a 1 an

Une jeune femme se retrouve internée contre son gré dans un hôpital psychiatrique. Régression, manipulation et du HARD au programme.

Laurie est une superbe fille âgée de 18 ans. Anorexique elle a fait une tentative de suicide en prenant des médicaments. Trouvée par sa sœur, elle est transportée aux urgences pour y être soignée. Comme ce n’est pas sa première tentative et que les thérapies ont échoué, elle est cette fois conduite en ambulance vers un hôpital psychiatrique. Dès son arrivée, elle est conduite à l’infirmerie de l’étage réservée aux cas nécessitant une prise en charge lourde. - Ici on met des couches à tous les patients qui vont au niveau 3 pour des raisons élémentaires d’hygiène. Que vous en ayez besoin ou pas, c’est ainsi, lui explique calmement l’infirmière. Laurie râle, peste et refuse, mais ici on sait gérer les personnes qui résistent. L’infirmière sonne discrètement pour obtenir de l’aide. Moins d’une minute plus tard, deux infirmiers d’une forte corpulence entre dans l’infirmerie. - De grès ou de f o r c e ? demande l’infirmière en faisant voir la couche. - Allez-vous faire voir,...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 14 Invitées surprises
il y a 1 an

Attaché, attendant sa première rencontre réelle, sa porte s'ouvre mais ce n'est pas sa dominatrice qui entre...

[Le début de cette saga est ICI](/recit/196619) Chapitre 14 : Invitées surprises. Je savais que le temps qui passait était une notion fluctuante, régit par des paramètres comme nos sens. La vue m’avait été enlevée, mais je ne comptais pas quinze minutes avant d’entendre la clé tourner dans la serrure. - Tu vois. Ça s’ouvre, entendis-je une jeune voix féminine. - Ce n’est pas une blague, lui répondit une autre voix, que je crus reconnaître sans pouvoir lui attribuer un visage. - On entre ? - Sortez ! Refermez la porte et remettez la clé où vous l’avez prise ! commandai-je avec un ton que j’eusse voulu plus assuré mais qui dérapa vers le suraigu. J’entendis le grincement de la porte qui s’ouvrait. Je me tournais sur moi-même aussi bien que je pouvais, avec cette barre qui éloignait mes chevilles à un mètre l’une de l’autre, afin de tourner le dos à la porte d’entrée. Mes épaules me faisaient mal car mes poignets dans le dos étaient légèrement surélevés. - Elle n’a p...
Prisonnier des Cythriennes
il y a 1 an

Un petit tour dans le futur...

Deux femmes au bord de la route. Deux femmes dont les mains se lèvent simultanément dans ma direction, quand je passe à leur hauteur. Qui pointent vers moi quelque chose de rouge et de sphérique. Quelque chose qui me force à m’arrêter. Mes jambes ne m’obéissent plus. Mes bras ne m’obéissent plus. Impossible de bouger la tête. Elles s’approchent. Tout près. Débouchent un flacon dont elles me font respirer le contenu. Tout chavire. Je perds connaissance… Quand je reviens à moi, je suis dans un camion qui roule à vive allure, assis, entravé, au beau milieu d’une douzaine de compagnons d’infortune que les cahots de la route projettent les uns contre les autres. - Qu’est-ce que je fais là ? Qu’est-ce qui s’est passé ? Où on va ? Mon voisin hausse les épaules. - On est prisonniers. - Prisonniers ? Mais de qui ? - Des Cythriens. Ou plutôt des Cythriennes. Ce sont elles qui ont le pouvoir là-bas. - Mais pourquoi ? Qu’est-ce qu’on a fait ? Qu’est-ce qu’elles nous veulent ? - Ell...
Selfbondage à la corde et grosse peur
il y a 1 an

Il est prudent en Auto bondage de prévoir de quoi couper les cordes

Bonjour à tous ceux qui sont intéressés ! En fait, j'ai fait un super auto-bondage l'autre soir et j'étais très bien attaché et bâillonné. Dave travaillait à l'extérieur cette semaine, donc j'ai été ici toute seule et frustrée, donc je me sentais tellement excitée. Je DOIS vous en parler - vous ne vous ennuierez pas j'espère ?? ;-)) Bon voilà...... Il était 15 heures, vendredi après-midi et mon cœur battait d'impatience, et j'ai même sauté le dîner pour pouvoir commencer tout de suite. s'assurant que tout était bien fermé.... je ne voulais pas qu'un appelant inattendu arrive. Je me suis fait un lent strip-tease devant le miroir et j'ai caressé mes seins jusqu'à ce que les mamelons se dressent. Je devenais vraiment chaude et je savais que je ferais mieux d'arrêter ça et de continuer avec mon plan initial pour vivre une expérience d'impuissance vraiment satisfaisante. Après la douche et un peu de maquillage, j'ai enfilé une petite culotte en soie rouge - et c'est tout....
Premières expériences et engrenages : Chapitre 13 préparatif
il y a 1 an

Derniers préparatifs avant de s'offrir totalement à sa maitresse. Les dés sont jetés.

[Le début de cette saga est ICI](/recit/196619) Chapitre 13 : Préparatif - Pour l’instant il faut que je te prépare. Sais-tu qu’on ne reçoit pas sa maitresse sans un minimum de préparation, me demanda-t-elle. - Non, lui répondis-je. C’est la première fois. - D’abord tu va prendre une douche ou un bain, me dit-elle. - Je sors de la douche, répondis-je, trop rapidement, prouvant mon attente. - Tu es un soumis prévenant. J’étais fier de ce compliment. Mon dieu ! Il y avait à peine dix minutes que je voulais en finir et me voila en train de la remercier. Qui avait-il de si obsédant dans l’apparition de quelques mots sur cet écran pour me retourner ainsi. A nouveau, le pourquoi n’avait aucune importance. Seul comptait l’instant présent. Était-ce une addiction ? Etais-je drogué ? Avais-je besoin de cette dose de plaisir, de douleur, de panique ? Oui. Non. Ce n’était pas un besoin, ou une envie, c’était une nécessité, autant que de manger ou de respirer. Cette fois la so...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 12 Soumis
il y a 1 an

Pris entre son malaise et son excitation, chantage et plaisir, ses résolutions d'arrêter s'éteignent lorsque son écran s'attise.

[Le début de cette saga est ICI](/recit/196619) Chapitre 12 : Soumis En moins de cinq minutes, j’étais arrivé à mon appartement. Je me regardai dans le miroir en enlevant ma chemise, comprendre ce que les autres avaient perçu de moi. La forme obscène, que j’y distinguai, relança mon excitation. Je me déshabillai totalement et versai un verre d’eau froide sur mon sexe dans l’espoir qu’il se contracte et fasse diminuer la douleur, ce qui tardait. Je ne comprenais pas que la situation, dans laquelle je m’étais trouvé, m’avait autant excité. J’avais l’impression que, si Ladyscar m’avait demandé de retirer tous mes vêtements, je l’aurai fait… cette sensation de honte, d’impuissance. Je savais que des gens faisaient le cauchemar de se retrouver nu devant leur classe. Si cela devait m’arriver, il y aurait, le lendemain, probablement plus de sperme que de transpiration dans mes draps. On sonna à la porte. Je m’arrêtai immédiatement de bouger. - On sait que tu es là, cria une voix...
Pauvre Michael
il y a 1 an

Il découvre le plaisir d’assister à une fessée déculottée

A 12 ans, Michael était un garçon étonnant tant par sa jolie frimousse semée de taches de son que par la vigueur de son corps élancé et la vivacité de son esprit. Il était Américain mais parlait couramment le français grâce à sa mère, française d’origine. Ses parents venaient de s’installer en région parisienne, mandatés pour une mission diplomatique ou militaire. Entré au cours du premier trimestre dans mon collège, il n’avait eu aucune peine à s’intégrer parmi nous comme de se plier au strict régime de discipline qui régissait quotidiennement la vie de tous les élèves. Dirigée d’une main de fer par la directrice, cette institution privée continuait à prôner et à mettre à l’honneur, dans les années qui suivaient la 2ème Guerre Mondiale, l’usage des châtiments corporels dans l’éducation des e n f a n t s et des a d o l e s c e n t s. Nos professeurs, rien que des femmes ou plutôt des « demoiselles », disposaient à leur gré de toute une panoplie de punitions et de pénitences p...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 11 En classe
il y a 1 an

Les conséquences de son insouciance entrainent pour la première fois notre jeune garçon dans le monde réel. Entre gêne et plaisir, ses sentiments se bousculent.

[Le début de cette saga est ICI](/recit/196619) Chapitre 11 : En classe Le lendemain, je partis en cours, honteux, gêné. J’aurai pu annuler ce weekend, mais je sentais qu’elle ne m’aurait pas libéré ou que l’autre femme qu’elle comptait m’envoyer ne le ferait pas. Mais alors que commençait ce premier jour, je doutais de tenir la semaine et encore moins deux. J’hésitai encore à couper ce cadenas et ne plus jamais retourner sur le site. Mais entre les représailles que je craignais renforcés par ces photos et sa connaissance de ma vie réelle et l’excitation de mes fantasmes, je décidai d’attendre, me promettant de garder en tête cette option. C’est avec anxiété que j’arrivais ce mardi à mon école d’ingénieur. Malgré tout ce qui m’était arrivé, j’attendais que cette journée se passe dans la plus grande normalité. J’avais tourné sur internet pour connaitre comment se passait le port de cette cage dans une utilisation dans la vie courante et je m’étais un peu rassuré. L’épreuve de t...
Rencontre
il y a 1 an

Un jour, à l'hôtel

Je l’ai croisée par hasard dans le hall de l’hôtel. Une inconnue qui m’a tout aussitôt enfermée dans son regard. Qui m’a obligée, confuse, à baisser le mien. Une inconnue qui a tout de suite su qu’elle pourrait me plier à sa volonté, faire de moi ce que bon lui semblait, sans coup férir, sans que je sois en état de lui opposer la moindre résistance. Et elle a délibérément pris possession de moi. Quand je suis descendue au restaurant, à midi, que les portes de l’ascenseur se sont ouvertes, je me suis trouvée, comme par hasard, nez à nez avec elle. Elle ne m’a pas laissée sortir. Elle m’a délibérément barré le passage. Forcée à reculer. Fait remonter en sa compagnie. - Un petit voyage… Paraît que ça forme la jeunesse. Et elle a ri. D’un rire moqueur. Elle a ri et elle m’a détaillée. Des pieds à la tête. De la tête aux pieds. - Vous rougissez… Vous êtes troublée. Je n’ai pas répondu. J’ai baissé la tête. Ça s’est arrêté en haut. - Vous n’êtes pas pressée ? Je n’étais...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 10 Premières règles
il y a 1 an

Après une fin de séance douloureuse, poussé dans ses retranchements, le narrateur invite finalement sa dominatrice à lui rendre visite.

[Le début de cette saga est ICI](/recit/196619) Chapitre 10 : Premières règles Elle ne m’adressa pas la parole et leur demanda si tout s’était bien passé. Alors que je voulais répondre plus dans l’intention de donner ma version des faits que par respect pour elle, elle me fit taire d’un message loin d'être équivoque. C’était aux visionneurs qu’elle s’adressait. Alors que je pensais, au moins pour un temps avoir accéder à tous leurs désirs, une pluie de reproches tombait. Je ne me frappais pas assez fort, je ne faisais aucun effort pour regarder la caméra ou pour rester dans son champ, je ne comprenais pas l’anglais, je ne voulais pas enlever mon masque, je n’avais pas beaucoup de jouets. Certains, je ne les comprenais pas, mais je soupçonnais qu’ils parlaient de mon attitude. D’autres étaient plus vexants. - Cage trop grande pour une queue si petite. Cette remarque m’attira car elle était écrite par une Française. J’avais vu son pseudo Dommegoth dès le début, mais il avait...
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