Récits
Premières expériences et engrenages : Chapitre 21 Soupe aux orties
il y a 1 an

Nathalie s'éclate avec son soumis qu'elle prépare pour l'école.

[Le début de cette saga est ICI](/recit/196619) Chapitre 21 : Soupe aux orties J’habitais dans un immeuble qui faisait le coin d’une rue, et l’arrière donnait sur un petit parc privatif, que seuls les possesseurs de chiens utilisaient. Il était mal entretenu, mais peu de propriétaires, qui pour la plupart n’habitaient pas là, ne voulait dépenser plus. A ma grande joie, des orties, des ronces et des chardons y poussaient. Quelquefois j’y aller en chercher, mais la nuit. Honteux de me faire prendre, j’attendais que la soixantaine de fenêtres qui donnaient sur le parc fussent pour la plupart éclairées et qu’elles ne révélassent aucun témoin. Une fois un homme fumait une cigarette sur son balcon alors que je revenais. Je ne l’avais pas vu sortir et je ne savais pas ce qu’il avait vu de mes activités nocturnes. Mais là, en pleine journée. Je ne verrai même pas si quelqu’un m’observerait. De plus torse-nu à cueillir des orties, j’aurai été repéré facilement. Je cherchai en vain une...
Prisonnier des Cythriennes (3)
il y a 1 an

Nouvelle vie. Sous la contrainte.

[Le début de cette saga est ici](https://fessestivites.com/recit/196758) La voix d’Alrich me parvient de très loin comme assourdie. D’au-delà du sommeil. - Hervain ! Réveille-toi, bon sang ! Lève-toi ! Il insiste, me secoue tant et plus. - C’est Alvita et Parveille, les gardiennes ce matin. Et si elles te trouvent encore au lit. Allez, debout ! Oh, et puis zut ! Tu fais bien comme tu veux. Les couvertures brusquement arrachées. Rabattues jusqu’au pied du lit. Les deux gardiennes. Leurs cravaches s’abattent à pleines cuisses. Je me retourne sur le ventre. Ça continue à cingler. Je crie. Ça ne s’arrête pas. Une quinzaine de coups. Une vingtaine. Des mots que je ne comprends pas. Un répit. Je me jette hors du lit. Encore des mots. Elles sont furieuses. Elles me tournent le dos. Elles s’en vont. - Je t’avais prévenu… - Qu’est-ce qu’elles racontaient dans leur charabia ? - Que quand c’est l’heure, c’est l’heure. Que là, c’était juste un échantillon, mais que la prochaine f...
Première vraie fessée
il y a 1 an

Il n'est jamais trop tard pour débuter et votre partenaire peut toujours vous surprendre

J'ai toujours aimé les culottes féminines, j'ai été marié pendant 20 ans, mon épouse ne voulait pas entendre parler ni de mon goût pour les petites culottes ni de mon envie de recevoir la fessée. Il y a 15 ans maintenant je l'ai quittée pour pleins de raisons dont celles-ci....c'était au début du mois de juillet, la situation semblant bloquée j'ai pris contact avec un avocat et fait une demande de divorce. Le premier samedi du mois d'octobre elle m'a envoyé un message en me disant qu'elle venait de recevoir la demande de divorce et qu'elle était très énervée et très fâchée que je ne l'ai pas prévenue. Je lui ai répondu que si elle était fâchée, elle n'avait qu'à me donner la fessée pour me le faire payer. J'étais sûr que cela allait clore la discussion mais à ma grande surprise elle m'a répondu qu'elle allait me donner une bonne fessée et que j'allais m'en souvenir. Elle m'a dit qu'elle viendrait le lendemain soir pour me donner la fessée. J'étais partagé entre le doute (vi...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 20 Une petite faim
il y a 1 an

Pensant être tranquille quelques jours, il n'avait pas tenu compte de la fringale de sa jeune maitresse.

[Le début de cette saga est ICI](/recit/196619) Chapitre 20 : Une petite faim Le lendemain, les idées plus claires, je décidai de retourner à l’école. Savoir que j’y retrouverai Nathalie et Valérie m’effrayait un peu. De ce que j’avais compris, il ne se passerait rien pendant les dix prochains jours. Sachant que je portais encore cette cage et qu’on ne m’enlèverait que quelques heures ce week-end, j’appréhendais ces journées. J’avais cette fois attaché le bout de la cage et glissé la corde entre mes fesses pour l’attacher autour de ma taille. Si mon sexe et mes boules me faisait un peu mal, cela ne se verrai pas. Je découvris que je pouvais même faire passer mon service trois pièces derrière, ressemblant ainsi à une jeune fille. L’absence de pilosité et surtout ma poitrine qui avait gonflée sous les souffrances et les étirements, en renforçaient l’image. Je m’imaginais habillé en femme. Cela m’humiliait et m’excitait. Le déplacement jusqu’à l’école avec cette corde était même...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 19 Le jeu
il y a 1 an

La séance de sado-masochisme se termine, lui laissant un goût d'inachevé.

[Le début de cette saga est ICI](/recit/196619) Chapitre 19 : Le jeu. Valérie avait enlevé les dernières pinces, que je ne ressentis que lorsqu’elle les toucha. Elle se redressa à côté de son amie. Je ne pouvais que les comparer. Nathalie était brune et Valérie châtain clair presque blonde. Elles avaient la même taille, à peine quelques centimètres de moins que moi. Courbé par le lien à mes poignets, mon regard se trouvait plutôt au niveau de leur poitrine. Nathalie avait des traits plus anguleux, un nez plus allongé, un menton plus linéaire. Valérie avait des formes plus rondes, de visage, de fesses, de poitrine, de cuisses, tout en courbure. Elle avait attachée ses cheveux longs avec un nœud, comme elle le faisait uniquement lors du sport ou de travaux pratiques. L’activité actuelle devait lui rappelait l’un des deux ou le faisait-elle aussi quand elle faisait l’amour. Je me l’imaginais et de nouveau les barreaux de la cage m’informèrent que ce n’était pas bien de penser cela....
Vingt ans après
il y a 1 an

Quand elles ont été efficaces, les fessées ne s'oublient pas.

- Tiens donc, Mademoiselle Lise ! - Madame… Je suis mariée maintenant, Basile. Madame. - Mes compliments. Vous voilà donc revenue au pays ? - Pour quelques jours. Seulement pour quelques jours. Le temps d’une petite plongée au milieu de mes souvenirs. - Oh, vous trouverez pas bien de changement, vous savez. Tout est resté à peu près en l’état. Comme avant. - Ah, je t’en ai fait voir à l’époque, mon pauvre Basile, hein ! - C’est du passé, Mademoiselle Lise. - Il n’empêche. Qu’est-ce que je pouvais être infecte avec toi ! Quand j’y repense… - Il faut bien reconnaître que vous n’étiez pas facile. Et que plus vous avanciez en âge… - Pire c’était. J’en ai bien conscience. Je te poussais délibérément à bout. Je te provoquais. Tant et si bien qu’excédé tu as fini, un jour, par me flanquer une magistrale fessée. - Dame, c’est vrai que ce jour-là… - Je l’avais amplement mérité. Comment j’avais saccagé le jardin ! - Ah, ça, vous y étiez pas allée de main morte. - Et toi non plus ! P...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 18 Hors de contrôle
il y a 1 an

L'occasion crée le larron, ou plutôt le sadisme vient en torturant.

[Le début de cette saga est ICI](/recit/196619) Chapitre 18 : Hors de contrôle - Le pack de six litres, grognai-je, incompréhensible à travers la culotte, le réclamant malgré les tourments que j’avais déjà subis avec. - Désolé, répondit Nathalie. Je n’ai trouvé que celui-là. Dommage, non ? me murmura-t-elle à l’oreille, en passant derrière moi et tirant sur la corde de mes poignets pour me faire taire. - Ça ira ! répondit Ladyscar, souffrant le mensonge de Nathalie. - On peut enlever trois bouteilles ? proposa Valérie. - Oui, oui, grognai-je. - Un pack si bien emballé, ce serait dommage de le déshabiller. Et puis deux bonnes couilles comme cela, c’est du solide, ajouta-t-elle en les prenant et en les serrant. Je sentis la cire refroidie s’en détacher. Elle en retira des morceaux, arrachant les quelques poils qui s’y étaient attachés. J’hurlai. - S’il vous plait, implorai-je maintenant. - Vous êtes sûres, tenta à nouveau de négocier Valérie. - Oui. Il te r...
Prisonnier des Cythriennes (2)
il y a 1 an

Contre mauvaise fortune...

- Bienvenue à bord. Fais comme chez toi ! Un colosse dans la cellule, allongé nu sur son lit. Un colosse qui me considère d’un œil amusé. - Salut ! Moi, c’est Alrich. T’as l’air complètement paumé, dis donc ! Normal au début. Mais on s’y fait, tu verras. On s’y fait vite. De toute façon, on n’a pas le choix. Bon, mais installe-toi ! Reste pas planté là. C’est l’autre, ton lit. Forcément. Il y en a que deux. Et ton placard, c’est celui à gauche de la fenêtre. T’as tout un tas de trucs dedans : des vêtements, ce qu’il faut pour se laver ; et même des médicaments… T’as plus qu’à prendre tes marques. Ça surprend, hein ? - Quoi donc ? - Ben, de se faire dérouiller comme ça, à peine arrivé. - J’ai pas compris. Qu’est-ce qu’elles me reprochaient ? - Oh, mais rien du tout ! Non. C’est juste que les petits nouveaux, elles leur donnent, d’entrée de jeu, un échantillon gratuit de ce qui les attend si, d’aventure, il leur prenait l’envie de jouer les fortes têtes. Avertissement sans frais....
Premières expériences et engrenages : Chapitre 17 Toys
il y a 1 an

Les maitresses novices affamées, se retournent vers les jouets sexuels et en testent les utilisations

[Le début de cette saga est ICI](/recit/196619) Chapitre 17 : Toys - C’est quoi demanda Nathalie, qui avait arrêté de jouer de la batterie sur mes boules. - Un plug anal. Cela se met dans le cul, répondit Ladyscar. Je sentis qu’elle cherchait à le rentrer de force, poussant plusieurs fois. - Ouvre ton cul, me lança Nathalie. - On le lubrifie pour que cela rentre plus facilement, lança ma maitresse. - Cela fait plus mal si on le lubrifie ? - Non, au contraire. - Alors c’est mieux comme çà, conclut-elle, l’enfonçant de manière plus progressive. J’avais au moins gagné cela. J’en avais profité pour me détendre et le cône s’installa douloureusement à la place qu’il occupait encore sous peu. Valérie commença à accrocher des pinces sur mon corps, de façon aléatoire, tétons cuisses, couilles, lèvres. Je suis plutôt fin et maigre et souvent la pince ne se maintenait pas sur mon corps, s’échappant peu à peu, comme si on me l’ôtait sans la desserrer. De temps en temp...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 16 Bâillonné
il y a 1 an

Etape après étape, aux mains de ces nouvelles dominatrices en herbe, le jeune étudiant subit de nouvelles humiliations.

[Le début de cette saga est ICI](/recit/196619) Chapitre 16 : Bâillonné - Je suis toute humide, me chuchota Nathalie, suffisamment fort pour être perçue néanmoins par mes autres dominatrices. - Si tu veux alterner la douleur avec l’humiliation, tu peux t’essuyer dans ta culotte et lui mettre dans la bouche, proposa alors Ladyscar. - Non. Je n’aime pas cela, répondis-je, en m’arrêtant brusquement dans mon argumentation. Inutile de leur rappeler que j’étais masochiste et que je préférais la douleur. J’en avais mon compte pour ce soir, surtout avec l’impossibilité de me branler. Cela faisait un certain temps que j’avais compris que la clé n’était pas ici et que ce ne serait pas ce soir que je serai libéré. - As-tu déjà essayé ? me rétorqua Ladyscar, en sachant que non. Un silence s’installa, admettant mon inexpérience. - Ce n’est pas gentil, dit Valérie. Quand on est un petit garçon, il faut toujours goûter avant de dire non. Et même essayer plusieurs fois, les goûts...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 15 Maitresse et novices
il y a 1 an

Toujours attaché, le jeune garçon se trouve aux prises de jeunes étudiantes, novices dans l'art du BDSM, que Ladyscar lui a envoyées.

[Le début de cette saga est ICI](/recit/196619) Chapitre 15 : Maitresse et novices. - Retournez-le face à moi, ordonna Ladyscar avec une voix toujours engoncée, bâillonnée, comme si elle avait un tissu devant la bouche. Une nouvelle boule de neige me frappa les fesses, accompagnée du rire enfantin de Nathalie. - Tu peux approcher, lui demanda Ladyscar tandis que Valérie me tordait le bras pour me faire me retourner. - Qu’est-ce que c’est ? demanda-t-elle. - Une cage de chasteté. Cela empêche les hommes de bander, de se branler ou de copuler, et cela leur fait du mal s’ils essayent. Valérie attrapa la cage et la tira vers elle comme si c’était le seul moyen de la voir de plus près. - C’est ça que tu avais en cours cet après-midi ! Je ne répondis pas. D’ailleurs ce n’était pas une question. Sa main descendit sur mes couilles et les serra. Si c’était pour me faire mal, c’était raté, elle ne serrait pas assez. C’était juste excitant. Ma bite gonfla entre les barres d...
Nuit de la saint Sylvestre
il y a 1 an

Un texte de circonstance

- Cynthia… Écoute, là ! Je voudrais te demander quelque chose… - Eh ben vas-y ! - Cette nuit, pendant le réveillon, t’étais bien là ? Avec nous ? - Oh, que oui ! - Qu’est-ce qui s’est passé au juste ? Parce qu’il y a bien des bribes qui me reviennent par-ci par-là, mais ce que je me demande si je l’ai pas rêvé, tout ça. En plus il y a des filles – Coralie, Bénédicte, mais pas seulement elles – qui me racontent des trucs dont je suis sûre que ça a jamais existé. Que c’est juste pour me faire flipper. Alors ce que je voudrais, c’est que tu me dises, toi, mais vraiment. Tout. Depuis le début. - Depuis le début ? Bon. Eh bien, d’abord on a mangé avec tous ceux de la Country. - Oui, ça je me rappelle. - Après, on s’est tous retrouvés en boîte… - Jusqu’aux douze coups de minuit. Bonne année, tout ça. C’est bon. C’est après que je me rappelle pas. - Après, ça s’est mis à carburer au whisky. - Et c’est là que ça se gâte. Parce que boire j’ai pas vraiment l’habitude. - Oui, ben ça on...
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