Chapitre 81 : Devine où on sort ce soir Je ne répondis pas. J’avais de plus en plus de questions. Venais-je ? Alors pourquoi cette nudité ? Je ne rentrerai jamais dans une boîte de nuit ainsi ? De quoi parlait-elle donc ? Où allions-nous ? - Attends-nous ici, dit Ladyscar, me laissant seul dans le salon, devant les équipements dépeuplés de Lisa. Je n’avais rien à faire. Les dominatrices étaient parties s’habiller, se remaquiller. J’attendais seul et j’en avais pour un certain temps. C’était très étrange de me retrouvera ainsi dans ce salon bourgeois, plus grand que mon appartement. J’étais libre. Je n’avais plus aucune attache, aucun poids et surtout aucune cage. Mon sexe me suppliait de le soulager. La vision de Lisa attachée et tourmentée, le souvenir de Sandrine, la vendeuse rousse, le désir que j’avais pour Valérie dans sa tenue indienne si particulière, tout m’y poussait. D’ailleurs où étaient mes deux étudiantes. Ben avaient dit qu’elles étaient parties. Je n’avais ce...

Je sors doucement des limbes de mon sommeil. Il fait doux. Le vent qui souffle la nuit permet de ne pas utiliser la climatisation, mais ces maisons créoles sont construite en fonction de cela. Caty est étendu près de moi. La couleur de sa peau contraste sur les draps blancs. Je frémis en me remémorant la nuit d’amour que nous venons de passer. J’ai jouis sous sa bouche, sa langue. Elle me tourne le dos. Je pose doucement ma main sur sa hanche. Son corps, plus qu’elle, réagit à ce contact. Je la caresse alors doucement, ses hanches, ses fesses, ses cuisses. Sa respiration s’accélère dans son sommeil. Je me rapproche. Je pose ma bouche sur son dos. Ma langue glisse sur sa peau. Elle est salée. Je suis aussi nue que elle. Je me colle dans son dos. Ma main glisse alors sur son ventre et monte vers sa poitrine. Je sens ses tétons déjà bien dur sous ma paume. Caty gémit. Je frotte mon bas ventre sur ses fesses. Je continue à lécher sa peau. Je passe dans son cou, y déposant de pe...

Chapitre 80 : Première domination Des spasmes la secouèrent et quelques secondes plus tard, du liquide fut projeté de son sexe. - Répète ! insistai-je, en me rendant compte de la marge qu’il me restait sur le plaisir ou la douleur que je pouvais lui infliger. - Libérez-moi, Maîtresse, demanda-t-elle cette fois en pleurant. - C’est mieux dis-je en rediminuant d’un cran cette même mollette. - Merci, bafouilla-t-elle. Oserai-je ? - Merci, Maître, la récriminai-je, la remontant de deux supplémentaires. - Merci, Maître, hurla-t-elle cette fois. Je la redescendis d’un, la laissant ainsi à quatre. - Plus bas maître, encore plus bas, s’il vous plait. - Que me donneras-tu en échange ? - Que voulez-vous ? Maître ? ajouta-t-elle à temps. Je ne m’étais pas posé la question. Elle avait apprécié, quand bloqué aux fenêtres, les valets profitaient de moi. Les impulsions électriques qu’elle subissait me rappelaient celle que m’infligeaient mes maîtresses. Tous ces...

Bon, je crois que le choix est sans appel, vous avez décidé de lire une confession sur le facesitting que je pratique avec mon mari depuis des années. Nous adorons cela tous les deux autant l’un que l’autre. Allez c’est parti pour un petit tour d’horizon de mon cul lol. Vous le savez maintenant, je mouille non pas à la jouissance, mais en permanence. C’est subtil et c’est léger, mais c’est bien là ! Ce qui fait que ma croupe est tout le temps humide et rend ma chatte agréable pour mon mari. Nous aimons tous les deux beaucoup pratiquer le 69. Et c’est pour la première fois dans cette position que l’on a appris cela. Nous étions tous les deux en pleine caresse lorsque j’ai eu un peu mal au dos. Je me suis appuyée sur le matelas et je me suis redressée pour me trouver au-dessus de sa tête. Il était complètement noyé sous mes trous et c’était terriblement excitant ! J’ai bien cru que j’allais l’étouffer et j’étais partie pour me dégager lorsqu’il m’a attrapé les hanches pour me faire...

Chapitre 79 : La servante est au courant Je ne l’avais pas vu entrer. Elle s’était rangée de côté et avait parlé doucement pour ne pas se faire surprendre par Nathalie et sa copine dans la pièce d’en face. - Oui, Maîtresse, répondis-je sur le même ton. Lisa remua quand elle entendit ma voix et prononça un non distinctif malgré son gode. - Sais-tu pourquoi elle est là ? Je le savais, mais je cherchais à tourner la réponse à mon avantage. - Parce que je tiens plus à vous qu’à mon dépucelage ? Elle ne me répondit pas mais elle me sourit. Je l’avais touchée, j’en étais certain. - Charmeur, finit-elle par dire. Tu viens avec moi à la cuisine, manger un morceau ? me proposa-t-elle. - Je me demandai, s’il ne serait pas formateur de l’échauffer un peu avant la séance, me laissai-je tenter. - Tiens, tiens, à quoi penses-tu ? - Vous lui avez mis des plugs vibrants et ils ne sont même pas allumés, m’avançai-je, jouant pour la première fois au dominateur. N’est-ce...

J'ai eu le temps de visiter Notre Dame en 2018, l'hôpital où j'avais RV était juste à côté... Sa construction, de Notre Dame, a duré plusieurs siècles. Et l'organisation y était très particulière. L'Abbé Tonière et le Père Forateur étaient les maitres d'œuvre puis, le Père Pendiculaire vérifiait derrière que tout était d'équerre. Le Père Sonnage était préposé à la fonderie des cloches. Le Père Colateur et l'Abbé Chamel avaient pour mission de nourrir tous les occupants et ouvriers du chantier, grâce entre autres aux légumes cultivés avec soin par l'Abbé Trave et le Père Si. L'Abbe Donant pouvait témoigner de la qualité de la cuisine ! L'Abbé Gonia voulait mettre des fleurs partout, mais le chantier prit une telle ampleur qu'il y renonça rapidement. Le Père Formant s'occupait d'instruire les nouveaux ouvriers et le Père Cutané à les soigner... Le Père Fusion a tenté les premières interventions chirurgicales... Il y avait beaucoup d'accidents... Mais pas autant que ne l'av...

Chapitre 78 : Enchainement Ma queue bandait à nouveau, comme si elle était arrivée à la même conclusion qu’elle. - Non. Ce n’est pas tant pour la punition, c’est pour sa confiance, précisai-je. - Tu lui fis confiance quand tu as mis ta cage de chasteté pour la première fois. Elle aussi te ment parfois. - C’était pour mon bien, répondis-je, cherchant à m’en convaincre. - Je comprends. Un petit plaisir masturbatoire ne fait pas le poids contre une promesse donnée à sa maîtresse. Mais si on équilibrait la balance. Je ne compris pas avant qu’elle ne se séparât de sa culotte. Sous sa tenue courte de soubrette, elle avait, jusqu’à quelques secondes encore, une petite culotte noire, un string dont le triangle facial ne couvrait pas la paume d’une main. Elle fit ensuite tomber ses chaussures et posa un de ses pieds sur la baignoire à quelques centimètres de moi. Elle releva sa jupe me dévoilant un triangle rasé très court, somptueux. - Et là ? Pas d’envie ? Qui saura si...

Salut à tous voila quelques mois que je ne suis pas venu sur ce site, et pour me faire pardonner voici un récit de ce que j'ai pu faire cette semaine. Donc j'ai pu recommencer mes petits selfbondages à mon entreprise car mon collègue du bureau d'à coté était absent cette semaine. Cela fait plusieurs jours que je porte ma cage de chasteté car j'en ai envie tout simplement, et cette semaine quand j'ai appris que mon collègue ne serait pas là toute la semaine j'ai commencé à vouloir refaire ce que j'ai fait l'été dernier. tout en étant conscient que la dernière fois, il s'en est fallu de peu que je me fasse attraper. de plus j'ai acheté une nouvelle cage avec plug d'urètre Alors pour le premier jour de la semaine comme je n'ai appris qu'une fois au travail, j'ai réfléchi à ce que je voulais me forcer à faire et comment le faire. Après réflexion, je me suis imposé 4 grands défis dont 1 qui est quasi irréalisable malheureusement. Le premier qui ressemble à ce que j'ai déjà fait ma...

Des jeunes filles postulent pour un casting, elles bénéficieront d’une formation avec des cours de danse, de chant, de technique scénique et de langue mais pas dans le sens que vous imaginez. Si vous pouvez regarder un film catastrophe ou de guerre sans pleurer devant l’écran de votre télévision, vous pouvez lire ce roman. ................... L’affiche à la caisse de l’épicerie de mon quartier annonce un casting pour une version internationale de la célèbre Stars académie. Les organisateurs de cette émission recherchent des chanteuses âgées de 18 à 22 ans. Elle précise que les chanteuses sélectionnées bénéficieront d’une formation avec des cours de danse, de chant, de technique scénique et de langue puisque la tournée aura lieu sur les plus grandes scènes mondiales. J’ai vingt ans, je mesure un mètre soixante-dix pour un poids de 58 kilos, j’ai gagné deux concours de chant, je m’accorde droit de rêver…. Et puis, après tout, qu’est-ce que je risque ? *****************...

Il lâche mon sein et me claque les fesses en me poussant vers la porte du bus. Je suis accueillie par le gros débile qui me saisit par le bras et me pousse vers le groupe. Encadrées d’hommes en armes, nous sommes alignées épaules contre épaule et tentons de réajuster nos vêtements en piteux état. Ma voisine, ruisselante de larmes traçant des sillons noirs sur ses joues roses, presque juvéniles, me lance un regard atterré. L’ex chauffeur aimable est dans le camp des b o u r r e a u x ! Accompagné des noirs maintenant armés de fusils, nous fait avancer puis entrer dans l’usine sinistre. Nous attendons un instant pendant que la porte se ferme en grinçant sur une salle immense et sombre. J’ai l’horrible impression d’être dans le couloir de la m o r t . Le chauffeur passe en revue ses passagères et les fouille des pieds à la tête. La brune crie et le repousse ses mains. Elle prend une gifle retentissante puis se laisse fouiller en s a n g lotant. Ma voisine se laisse faire et tripot...

Du bout de la cravache je désigne l’ignoble Bil et les supplie des yeux de faire ce qu’elles doivent faire. Sophie et Stéphanie m’affrontent d’un regard qui semble dire « jamais ». Je fais siffler le cuir en les suppliant de ne pas m’obliger à les fouetter. - Va te faire foutre salope ! me lance Stéphanie - Et m e r d e vous l’aurez voulu ! La colère m’emporte. Je lève le bras et frappe en fermant les yeux dès le coup lancé. Stéphanie pousse un cri strident quand ma main m’indique que je viens de la toucher. Une tête percute mon ventre et me fait tomber durement sur le sol rugueux. C’est Sophie qui vient de me foncer dessus, mais elle est tombée, elle aussi. Privée de ses mains, elle ne peut se relever aussi rapidement que moi. Je me suis fait mal, ma fesse s’est toute râpée sur le ciment ; Folle de rage, je la frappe à nouveau. - m e r d e , m e r d e , vous ne comprenez pas que je n’ai pas le choix ! Lève-toi à va embrasser le débile ! Je réalise soudain que dans...

"Qu'est-ce qui pourrait arriver ? !", pensa Ashley... "Tant que je garde les clés. Je peux partir!" Elle a trouvé une route de campagne déserte et l'a suivie pendant environ quelques kilomètres. Lorsque la route s'est terminée, elle a garé sa voiture et est retournée dans les bois sur plusieurs centaines de mètres jusqu'à ce qu'elle ne puisse même plus voir la voiture. Maintenant, elle se sentait suffisamment "en sécurité" pour se déshabiller jusqu'à ses bas et ses talons, et déboutonnait son haut, exposant ses gros seins pleins. Ses mamelons étaient durs avec l'excitation d'être liée dans les bois. À ses yeux, c'était "à la vue du public". Attachant une corde autour de chaque cheville, puis attachant les autres extrémités au bas du petit arbre, elle était capable de marcher un peu, mais à peine un pied ou deux. Glisser le gros bâillon fut plus difficile qu'elle ne s'y attendait. Il lui convenait à peine et, une fois dedans, remplissait complètement sa bouche et empêchait tota...