Récits
La Saint Valentin rêvée pour une Maîtresse et son soumis
il y a 2 ans

Du romantisme et de l'amour, mais surtout de la soumission ...

Ce jour là, c'était la Saint Valentin, alors en partant au travail je lui ai laissé un petit mot avec quelques instructions : "Ce soir j'ai envie d'un dîner aux chandelles. Je compte sur toi pour préparer le repas, la table, et acheter un joli bouquet de fleurs. Bonne Saint Valentin ma petite chienne
Heures supplémentaires
il y a 2 ans

Mieux vaut avouer la vérité. Quoique...

Elle allait jouer son va-tout. Oui, elle allait le jouer. Ce soir. C’était un excellent prétexte ce dossier. Le meilleur des prétextes. Il avait pris un tel retard. Ce n’est qu’une longue demi-heure plus tard qu’il a enfin passé la tête par l’entrebâillement de la porte. - Vous êtes encore là, Chloé ? Qu’est-ce que vous faites ? - J’en termine avec l’affaire Caron. Depuis le temps que ça traîne. Il s’est approché, s’est penché par-dessus son épaule… - Ça a déjà tellement attendu que ça peut bien attendre encore un peu. Vous avez certainement beaucoup mieux à faire. - Oui, oh… - Votre mari doit se languir de vous. - Après vingt ans de vie commune, vous savez. - Ne me dites pas qu’il s’est lassé… Une belle femme comme vous. - Je sais pas si je suis belle. Mais ce que je sais en tout cas, c’est qu’il me préfère – et de très loin – le tennis et les modèles réduits. - Mais c’est un crime ! Un véritable crime. Son souffle dans son cou. Tout près. - Si j’avais une femme...
Premières expériences et engrenages :Chapitre 86 : Une danse lascive
il y a 2 ans

Tant que l’engrenage n’a pas tourné à toutes ses vitesses, il serait difficile de juger de ses capacités.

Chapitre 86 : Une danse lascive Je savais que cette nuit serait longue, la plus longue de mon actuelle et courte vie, probablement la plus longue avant bien longtemps. - Danse sur le piédestal ! me demanda Basile. Il faut bien présenter la marchandise pour la faire désirer. J’escaladai, aussi bien que je pouvais, la marche d’un demi-mètre de haut, me surélevant d’autant de la piste des danseurs, à la vue de toutes les tables de cet amphithéâtre que je contemplais quasiment plein. Puis, lentement, je commençai à tourner autour de la barre verticale, le plus sensuellement possible. Malgré mon bain, je ressentais encore les douleurs de la journée et seules les lumières tamisées empêchaient d’en dévoiler les détails de mes stigmates. Mon corps, fin, androgyne, plus adapté à cette démonstration que mon prédécesseur, fit son effet. La salle, bruyante de discussion, s’apaisa, s’assagit drastiquement. Lassie, coordonnant mes mouvements comme une chorégraphe, m'arrêta plusieurs f...
Un bondage très pervers de longue durée
il y a 2 ans

Travesti et fans de bondage, il fait une rencontre fort longue

J'avais laissé des adresses sur des sites de travesti en indiquant ma recherche de bondage. Un militaire était venu me voir déjà 2 fois pour me dresser. Ce soir là le téléphone sonne vers 22 h et il me demande de me préparer. J'étais au lit en sous vêtement comme d'habitude (soutien-gorge pigeonnant,string et nuisette courte transparente, le tout noir),seins silicone et longs cheveux blonds. Je lui fis ma description, cela lui convenait à l'exception que je ne devais pas avoir de nuisette mais mon corset de satin noir serré à 67 cm de tour de taille ainsi que je l'avais reçu la première fois. Il me dit de l'attendre dans cette tenue avec des bas couture noirs et hauts talons vernis pour être une vraie salope. Je lui obéis toute excitée. Un coup de sonnette une demi heure après et je lui apparue dans cette tenue à la porte de l'appartement. Il me glissa sa main dans mon string et me caressa le sexe et les seins siliconés,les tétons pointant dans les bonnets du soutien gorge. Mon...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 85 : Une fellation désirée
il y a 2 ans

Il n’y a rien de plus beau à observer qu’un engrenage bien huilé, silencieux mais travailleur.

Chapitre 85 : Une fellation désirée - A demain, me dit Ladyscar, et amuse-toi bien. Elle partit en silence tandis que je la regardais de dos jusqu’à ce que la porte se referme derrière elle. - J’ai bouleversé vos projets, m’excusai-je par mon ton auprès de Basile. - Enjolivé, me répondit-il, m’ouvrant la porte vers la salle principale. Le vestiaire était finalement bien éclairé en comparaison avec la grande salle. Lorsque la porte s’ouvrit, la noirceur qu’elle apportait pénétra en moi, laissant toute la place à Lassie. - Allons-y, répéta-t-elle ainsi ce que j’avais dit un peu plus tôt, entérinant la transition vers ma seconde personnalité. Comme un ordre donné à mes jambes, celles-ci se mirent en marche derrière Basile. Son ami finissait la marche derrière moi comme un serre-file assurant que je ne me sauverais pas. J’eus besoin de quelques dizaines de secondes pour que mes yeux s’habituent à cette luminosité ténue. Une piste de danse se dessinait devant moi, pr...
Deux femmes et un bébé
il y a 2 ans

Un homme surprend malgré lui une jeune femme en couche en plein centre ville. Curieux, il essaye alors à comprendre ses raisons en cherchant des réponses sur internet. Mais sa femme dépouille son historique... Ce que la jeune fille devait faire par jeu ou par passion, lui va le vivre comme un enfer... puisque sa femme va le lui imposer de façon violente et irréversible.

Deux femmes et un bébé. Un jour que je me promenais en plein centre ville de Tours, une jeune femme attira mon attention par sa tenue, que je qualifierai de singulière. Elle portait une de ces tenues caricaturales d’écolière alors qu’elle devait avoir une bonne vingtaine d’années. J’ai aussitôt pensé, en ce début septembre, qu’il devait s’agir d’une espèce de bizutage, ou encore comme on était samedi, d’un enterrement de vie de jeune fille qui se marierait le samedi suivant. Pourtant, j’avais beau regarder autour, je ne vis personne en particulier qui la suivait, même du regard, pas de groupe à une terrasse, rien qui ne vienne conforter mon idée première. A priori, cette jeune femme semblait être seule. C’est alors qu’un coup de vent passa sous sa jupe légère ! Embarrassée, elle s’empressa de passer la main dessus pour la remettre en place, mais c’était trop tard ! Je venais, en un coup de vent, de percer le secret de cette fille : elle portait une couche !? D’ailleurs, je me r...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 84 : Franchir le Rubicon
il y a 2 ans

Si plusieurs roues identiques de tailles, symétriques de position, agissent de concert, elles peuvent décupler les effets d’un engrenage.

Chapitre 84 : Franchir le Rubicon J’ouvris la bouche pour répliquer, mais je savais qu’il n’y avait pas grand-chose à dire. De toute façon, le problème du reste de l’année passerait bien après celui du reste de la nuit. L’homme accrédité au vestiaire revint me donner mon ticket. Je lui pris tout en me regardant, sur toute les coutures, à la recherche d’une poche cachée dans mon absolu nudité. Où aurais-je pu le ranger ? Dans mon cul ? Ladyscar sourit devant mon attitude à nouveau sarcastique. Elle me prit le bon et le rangea dans son sac, dans mon portefeuille. Après tout, ce n’était même pas mon manteau. - Même pour cela, tu ne pas t’empêcher, m’attaqua-t-elle faussement vexée. - Maîtresse, commençai-je, dans cette intimité sarcastique qui m’avait rendu plus courageux. Je ne veux vraiment pas y aller. - Tu préférerais venir avec nous au milieu des lesbiennes, m’aguicha Lady Christine. - La rousse n’a pas eu l’air de s’en plaindre, lui répondis-je rudement, énervé...
Mémoires d'une fesseuse (4)
il y a 2 ans

Une fois qu'on y a mis le nez...

[Le début de cette saga est ici](198703) Désormais elle se levait le matin. Tous les matins. Dès la première sonnerie. Sans qu’il me soit jamais besoin d’intervenir. - Tu vois quand tu veux… Et ce n’était pas tout. Elle prenait grand soin de tenir l’appartement en ordre, de veiller à ce que le frigo soit plein. D’une manière générale, elle faisait en sorte de ne pas me causer le moindre déplaisir. De quelque nature qu’il soit. Par ailleurs, ses résultats universitaires s’étaient, quant à eux, améliorés de façon spectaculaire. - Comme quoi une fessée, si elle est administrée à bon escient, peut se révéler particulièrement efficace. Et irradier dans toutes sortes de domaines. Je ne manquais pas une occasion de lui faire remarquer qu’elle avait impérativement besoin de ça. - De quelqu’un qui t’ait bien en mains. Qui t’impose sa loi. Et ce, dans ton intérêt. J’enfonçais le clou. - Il y a eu Vanessa. Peut-être d’autres avant. Sûrement même. Et maintenant, tu m’as, m...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 83 : Atermoiements
il y a 2 ans

Que devez-vous faire si L’engrenage reste coincé : Le forcer, l’huiler, le démonter, souvent un peu des trois.

Chapitre 83 : Atermoiements Mon esprit cherchait toujours à se rattacher à mon ancienne existence. Je ne contrôlais plus toutes mes décisions. Le bien, le mal, l’acceptable et l’interdit. J’avais l’impression de flotter dans une certaine irréalité. Je me rappelais les promesses de Ladyscar. Ce weekend, je devais tout accepter, tout goûter et après je pourrai choisir ce que j’aime ou ce que je n’aime pas. Je pourrai toujours lui mentir pour éviter que cela se reproduise, ce rapport avec des hommes ? Oserai-je lui mentir, lui dire que je ne ressentais que dégoût ? En serais-je capable, à elle qui lisait dans mes pensées ? Surtout, serais-je juste encore en état de le faire ? Nous quittions maintenant le parking et traversions la petite place terreuse nous séparant du seuil. J’étais toujours pieds nus et les cailloux pointus, qui en parsemaient la surface, pénétraient dans mes plantes, chacun cherchant à me faire souffrir sur plusieurs pas avant de décider à renoncer et à retourner...
J’aime être soumise ou esclave de temps en temps
il y a 2 ans

Une histoire vécue, toutefois un peu romancée et détaillée pour le bonheur de certains lecteurs.

J’ai appris à connaître les relations de soumission et de domination avec mon mari. Ces relations ont pris part dans ma vie après quelques années de mariage assez routinières, malgré notre âge assez jeune (32 pour lui et 27 pour moi). Après de longues discussions entre lui et moi nous avons découvert que nous avions des envies communes, ou contraires, comme vous voudrez en ce qui concerne les rapports soumission/domination. Il s’est révélé très dominateur dans ses fantasmes et moi très soumise contrairement à ma vie active ou j’occupe un poste à responsabilité. Nous avons donc donné vie à nos envies, en commençant très doucement avec l’utilisation de gadgets, et tout autre objet pouvant parfaire ma nouvelle éducation de soumise. Je dois dire qu’il a pris son rôle de dominant très à cœur, à mon plus grand plaisir je dois l’avouer. Au fil du temps il a su m’imposer des contraintes, des postures, des ordres concernant ma vie au sein du foyer et à l’extérieur, dans nos rapports intimes…...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 82 : Boite de Pandore
il y a 2 ans

Parfois l’engrenage s’enraye, le couple s’accroît mais rien ne bouge et on ne sait comment cette résistance finira.

Chapitre 82 : Boite de Pandore La ville étudiante était plutôt animée surtout le weekend. Nous étions à une semaine des vacances et de la fin du trimestre et beaucoup de soirées avaient été organisées malgré les partiels des derniers jours. Les invitations avaient circulé dans l’école sans que j’y n’eusse prêté attention. Je savais que j’étais pris, réservé, tout ce weekend. Était-ce à une de ces soirées où mes maîtresses avaient prévu m’emmener ? Tata Marguerite était resté avec les soumis et son Médor secret. Il portait si souvent un masque quand nous étions nombreux que je finissais par croire que cela pouvait bien être un personnage important de notre république. Après tout, cela n’avait pas d’importance. A cette époque je n’avais aucune complaisance pour la politique et les gens pouvaient bien faire ce qu’ils voulaient de leur vie privée. Ce furent donc à quatre que nous étions emmenés par Dario. Il semblait, du fait de sa fonction, l’un de ceux le plus présent à la demeure....
Fessée londonienne
il y a 2 ans

Indispensables cours d'anglais

- Autant vous dire franchement les choses : tant que vous n’aurez pas sensiblement amélioré votre anglais, vous aurez du mal – beaucoup de mal – à trouver un poste qui soit en rapport avec vos compétences. En ce qui nous concerne en tout cas c’est non. Encore ! À chaque fois. Mon anglais. C’était là que le bât blessait, je le savais. Il me fallait prendre le taureau par les cornes une bonne fois pour toutes. Et donc, direction Londres. Pour quelques mois. Londres où une famille – les Johnson – consentait à m’héberger en échange de menus travaux domestiques. Et anglais. Anglais intensif. Anglais ? Pas avec Mr Johnson en tout cas qui avalait ses repas en lisant son journal sans jamais adresser la parole à qui que ce soit. Ni avec Édouard, le fils de dix-huit ans, absorbé dans la contemplation permanente de quelque chose à l’intérieur de lui-même. Avec Mrs Johnson non plus : elle se contentait de s’assurer que je comprenais les ordres qu’elle me donnait sur un ton bizarrement tout à...
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