Récits
Prisonnier des Cythriennes (16)
il y a 1 an

Délivrance et... retour à la case départ.

[Le début de cette saga est ici](https://fessestivites.com/recit/196758) Au petit matin, elle nous fait monter à l’arrière d’une camionnette. Nous remet à chacun un sac de provisions. - Bon courage ! On compte sur vous, hein ! Elle referme les portières, échange quelque mots avec la conductrice. Dont nous n’avons pas vu le visage. Et en route ! Alrich ne fait que répéter, sur tous les tons. - Tu te rends compte ? On se tire. J’y crois pas. Non, mais j’y crois pas. On se tire. On s’arrête. - Déjà ! Il y a des voix. Plusieurs. Toutes féminines. On repart. - Et si tu me racontais ? Je lui raconte. Korka. Vassilène. La rivalité entre elles. Les menaces sur mon intégrité physique. La drogue dans mon plateau-repas. - Tu l’as échappé belle. - Et toi ? - Oh, moi ! J’allais être viré des SIB. C’était couru. Et même clairement annoncé. On allait m’envoyer je sais pas trop où. Heureusement qu’il y a eu Germie pour me sortir de là. - Comment il a eu ce filon, lui...
Confessions d’un soumis chanceux fétichiste du corset et des chaussures
il y a 1 an

L’histoire d’un couple réel fétichiste dont le mari va être féminisé et dominé par 2 Maîtresses avant de se retrouver sous cage de chasteté H24.

##### Message à l’attention des lecteurs. J’ai l’autorisation de publier cette histoire de vie d’un couple bien réel que j’aurai peut-être le plaisir de recevoir [au gîte fétichiste](http://gitefetichistes.com/). Par discrétion, je garderai évidement pour moi leurs coordonnées. Il est donc inutile de me les demander. #### Résumé de cette très belle histoire La vie de couple d’un fétichiste des chaussures et du corset évolue lentement vers la soumission, et la féminisation totale ainsi que la chasteté. Une TRES belles histoire d’Amour et de vie à savourer sans modération. Chapitre 1 : Période de jeunesse, Cathie En remontant dans ma mémoire, je pense que j’ai toujours été profondément fétichiste. Mes premiers souvenirs précis sont vers mes 10 ans avec une jeune femme qui venait s’assoir sur un banc en face de chez nous. Je pouvais longuement regarder avec émotion ses longues jambes gainées de collants noir et ses chaussures à talons. A cet âge, ce n’était pas encore d...
Les vêtements de fille m'étaient réservés comme punition
il y a 1 an

Subir la discipline du jupon

De Daniel à Danaé. J'étais très jeune lorsque ma tante a dû s'occuper de mon éducation suite au décès de ma mère. Ma tante n'avait eu qu'une fille, ma cousine Nadine; elle n'avait pas l'habitude d'élever des garçons et ça lui faisait un peu peur. Vers cinq ou six ans, je me suis retrouvé habillé en fille chaque week-end: de son avis, de celui de sa fille et de ses amies, j'étais tellement plus mignon en petite robe. J'avais de longs cheveux, de longs cils : il n'en fallait pas plus pour que tout le monde me prenne pour une fille. Peu après, j'ai signifié à ma tante que je désirais désormais être habillé en garçon, même le week-end. A regret, elle m'a exaucé, même si, de temps à autre, je devais faire une concession : mettre une jupe lorsque son amie venait à la maison. Celle-ci me couvrait de compliments et de baisers : elle me trouvait si adorable ! Vint un jour où je n'acceptai plus de concessions. C'est à partir de ce temps-là que les vêtements de fille m'étaient réservés...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 61 : Frottements pernicieux
il y a 1 an

Le frottement est l’ennemi de l’engrenage, il use et échauffe, c’est tellement mieux bien huilé.

Chapitre 61 : Frottements pernicieux - Maîtresse Diane m’a demandé d’obtenir une échelle auprès du jardinier, dis-je en gardant la voix la plus masculine que je pouvais. Je devais bien avouer, qu’à dix-huit ans, je n’avais pas encore mué autant que je l’aurai voulu en cet instant. C’est alors que les vibrations se mirent en marche. Je me trémoussai, gémissant, devant ces hommes qui me regardaient, me détaillaient, me scrutaient sans rien dire. - Je te l’amène, dit l’un des hommes, un roux avec un accent anglais. Tu me devras un service, ajouta-t-il en me faisant un clin d’œil. Je le remerciai de la tête sans valider ouvertement mon accord dont d’ailleurs je me refusai à deviner à quoi il consentirait. Et j’attendis, résistant aux vibrations qui m’obligeaient à exécuter comme une danse lascive, attrayante de ce que je pouvais percevoir dans les yeux pervers de mes voyeurs. Je m’approchai de la première fenêtre, encore un peu plus près d’eux et déposai le seau. Je n’avais...
Enfin seuls!
il y a 1 an

Oh, la coquine!

- Martial ? Tu sais quoi ? Ils seront pas là samedi. Ils partent. Ils vont à un mariage. On aura toute la maison à nous. Toute la journée à nous. On va pouvoir faire ce qu’on voulait. Depuis le temps ! - Alors là ! Là ! Je peux te dire que tu vas y attraper. Et quelque chose de bien. Mes parents nous hébergeaient. Le temps qu’on retrouve du travail. Du travail et un toit. C’était très gentil de leur part, tout se passait le mieux possible, mais… mais il fallait reconnaître que, pour notre vie de couple, ce n’était pas vraiment l’idéal : notre chambre jouxtait la leur et il nous fallait systématiquement « la mettre en sourdine » A 23 ans c’était terriblement frustrant. Quant aux petits jeux dont nous rêvions, nous devions, pour le moment, nous contenter d’en parler. Alors… Alors une véritable bénédiction ce mariage ! J’ai investi le séjour Le grand canapé en cuir du séjour. - Qu’est-ce tu fais ? - Ça se voit pas ? Je bouquine. - Comme ça ? À poil ? - Je suis pas à poil. J’a...
Si c’est lui, on va lui donner une bonne fessée !
il y a 1 an

Confidences de jeunesse

Le verdict était tombé, annoncé de façon magistrale. Tout était dans ce « on », cette façon quelque peu désuète et qui ne manque pas de noblesse d’employer la troisième personne. Cela confère une certaine supériorité et laisse dans cette situation entendre que la fessée ne sera pas une réaction personnelle mais plutôt un dû, un dû collectif. C’était très clairement articulé et presque chanté, d’une voix devenue vive, un « bôoneu » accentué à la méridionale. C’était peut-être ses origines à cette maîtresse de maternelle ? Je la perçois dans mes souvenirs comme jeune, pimpante, dynamique, et attachée à ses élèves. Attachante et maternelle; une mère en quelque sorte, mais moins « reine mère » que la mère biologique. Je dirais plutôt une seconde maman qui savait plein de choses et aimait nous en faire profiter. Maternelle ? C’était justement à l’école maternelle, avant les six ans et avant cette « terrible fessée » du CE2 que j’ai déjà relatée. « Bonne », c’était sa façon à ell...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 60 : Spectacle aux fenêtres
il y a 1 an

Quand toutes les roues se mettent à tourner, il devient difficile de contrôler un engrenage.

Chapitre 60 : Spectacle aux fenêtres Ben m’empoigna l’aspirateur des mains, me facilitant la tâche. Il avait déjà installé la servante vers l’une des grandes fenêtres donnant sur le devant de la maison, si j’en croyais mon sens de l’orientation. La fenêtre montait presqu’au plafond. Je m’y dirigeai. Je n’avais jamais nettoyé une vitre de ma vie. Je ne savais même pas comment l’on faisait. Il m’avait montré l’instrument composé d’une brosse et d’un racloir disposé ensemble au bout d’un bras qui pouvait s’allonger. A nouveau, à cause de mes mains attachées entre elles, et malgré son manche télescopique, la brosse n’atteindrait pas le haut de la fenêtre. Je devais reprendre l’escabeau. - Commence par les fenêtres de ce côté d’abord ! m’ordonna maitresse Diane, alors qu’on commençait à y distinguer de l’animation. Je m’y déplaçai, emmenant moi avec la servante le seau et la brosse à vitre, dans un premier temps. Je reviendrai pour l’escabeau. Derrière la fenêtre, l’on pouvait dist...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 59 : Tâches ménagères
il y a 1 an

Un engrenage de qualité est efficace, son travail est reproductible et son résultat parfait.

Chapitre 59 : Tâches ménagères - Merci. Mais rappelle-toi que je suis un homme. Il secoua la tête. - Pas ce matin, dit-il. Comme avec mes voisins, je craignais qu’il ne cherche à me forcer la main, et pas seulement cette partie de mon corps. Enfermé dans ce placard, je n’étais pas en position de lui résister. Mais il dut penser à ce que Maitresse Diane ou Ladyscar lui ferait, car il tourna la tête vers le salon et son regard redevint celui du soumis sans résistance qu’il était. - Que dois-je prendre ? lui demandai-je, à part mes jambes à mon coup pensai-je derrière. Il m’indiqua différents éléments et leur utilisation. Il me montra aussi la servante à roulette pour les y mettre. Déjà nous n’étions pas le premier samedi du mois et j’évitai donc les cuivres. - C’est quoi cette histoire de fenêtres ? Combien y-a-t-il de serviteurs ici. Maîtresse Diane vit seule ? - Oui elle est veuve, répondit-il à la dernière question. Son mari était très riche, mais il est mort....
Gestion de la colère par la fessée
il y a 1 an

Pour gérer la colère il faut canaliser l’énergie au bon endroit

18h30. Clémence poussa en grimaçant la porte du vestiaire. A la vue de ses amies en train d’enfiler leur justaucorps, elle soupira. Deux semaines auparavant, elle s’était blessée de la manière la plus idiote qui soit. Son entraîneur lui avait proposé d’essayer le tapis de course, en lui vantant les mérites de travailler son endurance et son souffle de manière régulière. Si elle appréciait parfois les footings en plein air, elle avait tout de suite été attirée par l’idée de s’approprier un nouvel espace de jeu dans ce grand gymnase. Rajouter une séquence d’endurance, sur place, dans cette ambiance qu’elle affectionnait, entourée de filles partageant comme elles cette volonté de maîtriser leur corps, toujours à la recherche de cette sensation enivrante d’être en accord avec elle-même, centrée, dans l’instant. Et pour cela il fallait travailler, s’entraîner des heures, être régulière, tenace, volontaire. Clémence se remémora la séance de la dernière fois. La première image qui lui vint à...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 58 : La servante
il y a 1 an

Un engrenage bien conçu peut répondre à plusieurs tâches, aussi différentes paraissent-elles l’être.

Chapitre 58 : La servante Nous descendîmes lentement, précautionneusement au salon où Ben et Nathan nous attendaient. Ils étaient juste équipés de leur cage, ajoutant à mon humiliation d’être la seule, pardon le seul, travesti. Ils ne sourirent même pas de moi, conscient qu’ils pourraient terminer ainsi, comme ils avaient dû l’être par le passé. Je vis même Nathan bander dans sa cage, remuant le grelot attaché et nous avertissant. - Tu lui fais de l’effet ma fille. Forcément à t’habiller et te maquiller comme une pute, dit Lady Christine en me pinçant une fesse. - Dandine-toi ! Fais-les bander encore plus ! Plus sexy ta dance ! m’encourageait Maitresse Diane, me montrant la télécommande faisant vibrer mes tétons en signe de punition. Je me lançai alors dans une chorégraphie, j’espérant répondre aux attentes de mes maîtresses, pliant des genoux et remontant en tournoyant mes fesses, évitant de me déplacer pour ne pas tomber. Toutes les douleurs et les autres sensations se co...
Prisonnier des Cythriennes (15)
il y a 1 an

Vers la liberté.

[Le début de cette saga est ici](https://fessestivites.com/recit/196758) Au petit déjeuner, le lendemain, ils calculent et recalculent inlassablement. - Six points à rattraper. Six points. - Avec le poids et les relais, ça devrait le faire. - Ça risque quand même d’être juste. Personne ne m’a reproché ma contre-performance d’hier. Personne ne m’a parlé de rien, mais je ne peux m’empêcher de penser que, si j’avais pu pleinement m’exprimer, à mon vrai niveau, nous serions en tête. De le penser et de le dire à Germie. Qui hausse les épaules. - Et alors ? Ça changerait quoi pour toi ? Rien. Strictement rien. Ni pour toi ni pour nous. Et il me glisse à l’oreille - Merde pour tout à l’heure. En me serrant le bras à le broyer. 2- Cinq heures. Amarillon quatre et amarillon trois sont à quasi égalité. Les concurrents du relais quatre fois quatre cents mètres prennent place. Le stade est une véritable bouilloire. Qui mugit et rugit, les yeux fixés sur eux. Je me sen...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 57 : Une vraie petite fille
il y a 1 an

Faites briller un engrenage, cela ne l’engage en rien, il vous paraitra juste différent.

Chapitre 57 : Une vraie petite fille Lady Christine sortit alors deux petites pinces métalliques crocodiles reliées chacune avec un fil électrique. Elle les attacha à la base de ma queue, au milieu de la cage métallique, touchant presque les poids étirant mes couilles. Elle attacha ensuite les extrémités des deux fils à une petite boite noire. - C’est la pile avec l’antenne de réception, me précisa-telle en clipsant le boîtier à ma culotte. - Vous en avez fini ? Alors au maquillage, commanda Maitresse Diane. Notre poupée est dans un de ces états et Tata Marguerite qui va bientôt arriver. J’eus le droit d’entrer dans la chambre de notre hôtesse, sa suite serait un terme plus approprié. Elle possédait un grand lit à baldaquin, ce qu’on appelle un Queen size ou un King size, bien assez grand pour trois ou quatre. Il était recouvert de draps rouges. Une coiffeuse de maquillage, avec son grand miroir, occupait une petite pièce à part où nous allâmes nous entasser à quatre. Il...
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