Récits
Premières expériences et engrenages : Chapitre 106 : Un gros biberon
il y a 2 ans

Tout est question de convenance, comme le liquide et l’engrenage. Si l’eau est son ennemi, l’huile lui sied.

Chapitre 106 : Un gros biberon Ladyscar me sourit. Cette phrase n’était pas de moi. C’était une de celles qu’elle ressortait souvent en classe lorsqu’un de ses étudiants tombait dans le piège de ses exercices. Ce ne m’était jamais arrivé, je devais bien l’admettre, qu’importe ma modestie. J’avais d’autant plus apprécié sa philosophie que je n’y avais pas été personnellement affecté. Je ne m’étendrais pas sur mon nettoyage, même si certains détails appréciables seraient par d’autres appréciés. J’essayai même d’en occulter la vision comme l’odeur, me concentrant sur la conversation, trop heureux d’avoir retrouvé une bouche et une gorge dégagée, même si je l’eusse préférée entièrement rincée. Je ne trouvai au début rien d’érotique à cette activité, même si les huit mains recouvertes de leurs gants de caoutchouc, se promenant sur mon corps, mes fesses et mon sexe libéré. Ce n’est que lorsque la propreté revint, que je retrouvais certaines envies dont mon sexe s’en arbora fièrement...
L'éducatrice (partie1/5)
il y a 2 ans

Après s'être fait surprendre à se masturber dans l'une des culottes de sa belle-mère, Marc est envoyé chez Kassandra, une stricte et sévère éducatrice pour homme, afin d'être puni.

Je sortis mon téléphone de ma poche afin de vérifier une fois de plus l’adresse de mon rendez-vous. J’avais la peur au ventre. Et je ne souhaitais vraiment pas me présenter chez cette femme. Mais ma belle-mère avait été intransigeante. Soit j’acceptais la punition, soit je quittais la maison. Quant à mon père, il me lançait des regards mi-colère, mi-compatissant depuis que ma belle-mère m’avait surpris à me branler dans l’une de ses culottes. Moi, j’avais honte. Honte d’avoir cédé à ma perversité. Vous pourriez me demander « pourquoi accepter d’être puni et ne pas quitter la maison ? ». Tous simplement pour la raison que j’étais au chômage et ne parvenais pas à trouver un travail stable. Ce qui veut dire que le choix était bien plus en ma défaveur. En réalité, c’était soit accepter la punition, soit me retrouver dans la rue. La femme chez qui j’avais rendez-vous était une amie de ma belle-mère. Et bien évidemment, elles partageaient les mêmes convictions. Celles que la femme devait con...
Une fessée "méritée"
il y a 2 ans

Entre employée et patronne.

- Tu es venue. Mais ça, j’en aurais donné ma main à couper. Je commence à te connaître depuis le temps qu’on se côtoie, là-bas. Depuis le temps que je t’observe. Tu m’es devenue totalement transparente. Tu as hésité. Je suis sûre que tu as hésité. J’y vais ? J’y vais pas ? Que tu as fait semblant d’hésiter. Juste ce qu’il faut pour te faire croire que ce serait ta décision à toi. Mais en réalité, depuis le début, les dés étaient jetés. Parce qu’il suffit de se montrer péremptoire avec toi. Tranchante. Comme je l’ai été en te donnant rendez-vous ici. Et tu obtempères. Jamais tu n’oseras te dresser contre une volonté qui exige fermement de toi. C’est pas vrai peut-être ? Tu ne réponds pas, hein ! Qui ne dit mot… En attendant tu dois bien te demander ce que je te veux. - Oh, oui ! - Tu n’en as pas la moindre petite idée ? - Je ne sais pas. - Tu ne sais pas si tu en as une petite idée ? C’est tout toi, ça ! Bon, mais il y a combien de temps qu’on travaille ensemble ? Bientôt un an. Et,...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 105 : Change et changement
il y a 2 ans

Si un engrenage ne convient pas, il ne faut pas hésiter à le démonter : les roues resserviront bien un jour.

Chapitre 105 : Change et changement - C’était trop tôt, dit Tata Marguerite, avant que ne nous rejoignissions la voiture. - Non. Nous ne l’avons pas assez préparé, corrigea Lady Christine. Il ne savait pas que c’étaient de vrais bébés. Au moins pour les deux hommes. - De vrais bébés ? demandai-je, alors que dans la précipitation je sentais que ma crotte bougeait, libérant à nouveau le conduit du plug. - Oui. Leur dominatrice les ont fait régressés, m’expliqua Ladyscar. - Régressé ? - C’est fastidieux, compliqué à expliquer et à réaliser. Cela prend aussi beaucoup de temps. Lydia t’expliquera mieux que nous, dit Maîtresse Diane. - Ce n’est pas l’important. Nous avons été bannies, rappela Tata Marguerite en montant dans la voiture. - Je suis désolé de vous avoir mis dans l’embarras, dis-je en montant à mon tour dans la voiture. Dario était surpris de nous voir rentrer si tôt. Il rangea son livre dans la boite à gants, « le rouge et le noir ». Il lisait du class...
Mémoires d'une fesseuse (8)
il y a 2 ans

L'attente... La douloureuse et délectable attente.

- Tu étais à la bourre ce matin. Elle n’a pas répondu. Elle a continué, imperturbable, à éplucher sa pomme. - Marie-Clémence, je te parle ! - Hein ? Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ? - À quelle heure tu t’es levée ? - Je sais plus. Neuf heures. Quelque chose comme ça. - Et t’as séché les cours, j’parie ! - Si c’est pour arriver juste quand ça finit… - Bon, mais t’étais prévenue. Alors tu sais ce qui va se passer. - Oui. - Tiens ! Leurs numéros de téléphone. C’est toi qui vas les appeler. Elle m’a jeté un bref regard affolé. - Moi ! - Toi, oui ! - Mais je saurai jamais. - Bien sûr que si ! Tu vas les appeler tous les trois, à tour de rôle, et les inviter à venir assister à la mémorable fessée dont tu vas te voir gratifiée vendredi soir. Et tout de suite tu t’en occupes. Pas dans dix ans. Elle est allée s’enfermer, sans un mot, dans sa chambre. Elle n’en est ressortie que deux heures plus tard, la mine ravie. - Mais c’est qui, ces types ? Où tu les as trouvés ?...
Une thérapie de régression
il y a 2 ans

Une jolie histoire de jeux de couple ABDL et régression

Après avoir passé une année entière à vivre ensemble, Julia, ma petite amie, et moi avons découvert notre tendance pour les jeux d'âge, les soignants/bébés/petites filles, les ddlg et la discipline domestique. Je deviens son papa, nous jouons avec des couches. Certains e n f a n t s (vrais e n f a n t s) peuvent devenir jaloux d'événements comme l'arrivée d'un frère, d'une sœur, d'une dispute entre parents. Cette histoire montre comment gérer un malentendu dans un couple. Un jour au travail, j'ai eu un problème avec ma voiture, elle doit être réparée dans un garage et pas de voiture de remplacement. J'appelle Julia pour qu'elle me rattr a p e après le travail. Vers 18h je l'appelle, je prends le temps de sortir de mon bureau. Je vois une collègue, une jolie fille, nous sommes amis et récemment, son petit ami l'a quittée et son chat est m o r t . Je la prends dans mes bras, elle pleurait et j'essaie de la réconforter. Elle se calme me remercie et j'attends que mon amour vie...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 104 : Départ imprévu
il y a 2 ans

Une fois que l’engrenage s’arc-boute, forcer n’amène qu’à le briser.

Chapitre 104 : Départ imprévu Cette suite, elle ne se fit pas tarder. Tata Marguerite et Maîtresse Diane me firent sortir manu militari du parc, m’infligeant à tour de rôle de grosses fessées sans crainte que ma couche n’explose également. Chacune d’elle libéraient cependant du liquide de mon cul en actionnant le coulisseau du plug à chaque impact, mais je n’en étais plus à ce problème. Elles m’obligèrent à m’asseoir dans une chaise géante de bébé qui enclencha l’ouverture, libérant vers ma couche, cette fois sans discontinuité, le fluide que retenait mon corps. Aucun effort de mes muscles fessiers ne pouvait l’en arrêter puisqu’il s’écoulait dans le conduit interne de l’objet importé. Pourtant, malgré mon impotence, le fluide s’arrêta brutalement, coincé par un bouchon solide de déjection. Libéré par les produits laxatifs de la tétine et du lavement, et voulant emprunter le même chemin de liberté, il s’était coincé dans l’ingénieux mais fragile système du coulisseau. Les m...
Compte à rebours
il y a 2 ans

Sous couvert de lui injecter des hormones féminines pour qu'il devienne la femme qu'il rêve d'être, une femme va faire vivre à un homme la plus improbable des mésaventures. Une véritable régression.

Compte à rebours. A bientôt 38 ans, ma vie semblait couler paisiblement. J’étais marié, père de deux petites filles adorables, j’avais un boulot, qui, à défaut de m’épanouir, me permettait de nourrir ma famille. Ma femme travaillait également ; il y avait pire comme situation. Pourtant, au fond de moi, une sensation de solitude se développait. Lancinante. Abstraite et tellement réelle. Un jour mon patron m’annonça qu’il cessait le projet sur lequel je travaillais et que par conséquent, soit j’acceptais de retourner à des tâches plus ingrates, soit je prenais la porte. Depuis quelques temps déjà, je sentais que le lascar me préparait un sale coup ; mais celui-là, je ne l’avais pas vu venir ! Une vague de haine et de rancune, enfouies depuis des années à son service, remonta soudainement du fond de mes entrailles pour se concentrer dans mon poing qui, comme la foudre, vint le surprendre en pleine figure. Tel un volcan qui venait de se réveiller, je n’avais qu’une envie, déve...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 103 : Maitre Lucifer
il y a 2 ans

Parfois, même quand les roues sont déjà en mouvement, il est difficile de comprendre le but de l’engrenage en action.

Chapitre 103 : Maitre Lucifer Alors que nous accédions à son logis, l’homme se glissa derrière moi et me frappa les fesses, ou plutôt la couche, tellement cette dernière était épaisse. Je sentis le liquide s’étaler sur ma peau, la laissant légèrement humide. Je trouvais la sensation désagréable. Je voulais parler, mais ma tétine gonflée, remplie de liquide féminin, attaché par des velcros, ne me laissait que le choix du silence. J’eusse voulu me dégager, mais j’évitai avant tout les mouvements brusques qui pourraient dégénérer un peu plus ma situation. Il guida mes maîtresses jusqu’à un grand salon, plus imposant en taille et en décoration que celui de Diane. Comme je m’y attendais, il n’était pas seul. Une demi-douzaine de personnes étaient présentes. Mon regard fut immédiatement attiré par un parc à bébé géant où deux hommes et une femme y étaient enfermés. Tous les trois portaient de grandes couches culottes comme celle que l’on m’avait enfilée et déambulaient au milieu de...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 102 : La présentation du nouveau
il y a 2 ans

La présentation d’un nouvel engrenage est importante car comme dit le dicton, la première impression est souvent la bonne.

Chapitre 102 : La présentation du nouveau - La mauvaise nouvelle est, bien entendu, le contenu que tu devras absorber si tu décides de l’avaler, poursuivit Ladyscar. - Tu as deviné ce que c’est ? me demanda Tata Marguerite. Non, répondis-je à nouveau de la tête, sans trop forcer le mouvement, de peur que cela n’active involontairement son fonctionnement. - Nous l’avons remplie hier en boîte avec les filles, poursuivit Maîtresse Diane. Elles ont toutes mis un peu de leur jus, avec le plaisir de savoir que ce serait pour pourrir la bouche d’un gros bébé de dix-huit ans. Et comme c’était loin d’être plein, nous avons rajouté d’autres sécrétions. Quelles secrétions ? voulus-je demander. Non. Il était mieux que je ne le sache pas. Mais si, me souffla Lassie. Elle était encore bien là cette fois, surveillant et modifiant mes réactions naturelles, trouvant que j’avais été un peu trop cocooné depuis mon réveil. Elle en voulait plus. Elle voulait ressentir la marque du cuir et la...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 101 : En grenouillère
il y a 2 ans

Le choix de la matière est une étape essentielle dans la conception d’un engrenage.

Chapitre 101 : En grenouillère Elle me le décrit. Nous continuâmes à parler un peu, jusqu’à ce que les maîtresses, une par une, descendissent. - Alors mon gros bébé, tu es prêt pour aller déjeuner ? dit Ladyscar, la première arrivée. - A-reu, lui répondis-je en mettant mon pouce dans la bouche, une bravade supplémentaire. - Tiens ! Mets plutôt ça ! me dit-elle en me tendant une tétine. Je mis l’objet dans la bouche puis je secouai la tête négativement devant son humour. J’étais vraiment ridicule. Je l’enlevai alors et la reposai sur la commode. Je n’allai pas sortir comme cela ? Je réagis comme si cela avait été la goutte qui fit déborder le vase ou, dans ce cas, la couche-culotte. Mais, en réalité, je sentis le choix réfléchi de Lassie qui recherchait la punition supplémentaire. - Non j’ne veux pas, Na, répliquai-je, jouant le bébé récalcitrant. - Mets-là ! Tu veux vraiment être un méchant petit garçon ? me demanda Lady Christine qui, descendant, rejoignait ma...
La roulette russe pour la fessée 2
il y a 2 ans

Les étudiants s’enflamment

Je suis à peine sorti de la chambre de Véro que je croise Béné dans le couloir : « A tout à l'heure. Tu te souviens que tu es la première à tirer ! » Béné me retourne : « S'il y a une justice, ce soir c'est le tour d'un garçon ! » A neuf heures me voici de retour chez Véro. Elle s'est vêtue d'un bas de survêt ample et d'un tee-shirt collant. Sur la table trônent les instruments du destin : dé, brosse et cravache. Béné nous rejoint. Jacques arrive enfin. Véro semble avoir retrouvé la forme : « Tout le monde est partant ? Douleur et humiliation au menu ! A toi l'honneur, Béné. » Béné se saisit du dé. Elle attend et laisse le calme s'installer. Ce soir elle porte un jean collant et un sweat-shirt qui cache les formes de sa poitrine. Nous la sentons agitée, à la fois inquiète et tentée de nous montrer qu'elle non plus ne reculera pas. Jacques décide de faire monter la pression : « Alors tu nous fais attendre, tu veux te faire désirer ! Après la blonde, la brune va-t-elle dévoil...
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