Récits
Poussé sur la scène
il y a 1 an

Obligé de s'habiller comme une fille

Quand j'étais jeune, j'avais l'habitude d'aller occasionnellement dans le New Jersey et de rester avec ma tante (la sœur de ma mère) et ses deux filles, en particulier après la m o r t de ma mère. Sheila avait mon âge et Denise avait 2 ans de moins. Je les ai toutes aimées et nous avons généralement passé un bon moment. Lors d'une visite quand j'avais 14 ans, je n'étais pas plus tôt arrivé que ma tante m'a attrapé et m'a emmené dans la cuisine pour discuter de quelque chose de "très important". Elle a dit qu'un ami proche et voisin de la ville avait écrit une pièce qui allait être jouée dans la maison de théâtre de la ville samedi soir. Dans l'une des scènes, un a d o l e s c e n t est obligé de s'habiller comme une fille, y compris des sous-vêtements de fille et une robe à froufrous avec une jupe ample et des jupons. Une fille dans la pièce tire ensuite sa jupe révélant sa culotte à froufrous. Le garçon qui devait jouer ce rôle venait de se retirer parce qu'il avait peur des...
Lucie découvre la vie, l’ABDL et le BDSM 2 sur 3
il y a 1 an

De l'ABDL à la fessée en passant par de délicieuses fellations appelées biberon des grandes, l'apprentissage de la vie continue

[Le début de cette histoire est ici](https://fessestivites.com/recit/198217) CHAPITRE QUATRE La journée au travail se déroule normalement, hormis les employés râlant de plus en plus et s’estimant sous-payés. Il faut dire que le gouvernement Macron accentue bien la crise engendrée par ses prédécesseurs ayant bien commencé à vendre la France. Les fins de mois commencent à devenir difficiles pour les salariés ayant 1500 euros net par mois et un crédit immobilier à payer. La grogne commence à se faire sentir dans l’entreprise de Jean qui pourtant est un bon patron. Le soir même, Jean souhaite s’occuper de son nouveau bébé d’amour, et, après qu’elle ait préparé le dîner, lui refait le même scénario que la veille. Sous la douche, cette fois moins timide que la veille, Lucie s’amuse à mouiller son Daddy, à jouer sa vilaine fille avec de grands éclats de rire. Cela amuse Jean, il a l’impression de rajeunir aux côtés de sa perle d’amour qu’il compte bien initier à d’autres jeux...
Premières expériences et engrenages :Chapitre 66 : Humiliation ultime
il y a 1 an

Parfois un engrenage prévu pour de petites charges, par suite d’un écartement parfait des dents, peut en soulever de grandes.

Chapitre 66 : Humiliation ultime - Tu as déjà une idée, n’est-ce pas ? demanda Lady Christine. - Si tes autres valets déchargeaient dans la figure de ta pute, proposa Tata. - Nous avons passé beaucoup de temps à la maquiller, protesta Diane. - Alors, juste dans sa bouche. Regarde, il t’en redemande, ajouta-t-elle, alors que sans instruction, je continuai à la garder ouverte. J’avais l’impression qu’en refroidissant le sperme commençait à me coller à la bouche et aux dents et je n’avais qu’une envie, m’en débarrasser d’un côté ou de l’autre. - Vous serez capable de viser, sans en mettre partout, leur demanda leur patronne. Ayant écouté toute la conversation, tous répondirent par l’affirmative. Aucun n’aurait pris le risque de se voir rejeter de ce jeu qui semblât les amuser grandement. Je dois vous avouer, qu’à ce moment précis, cela ne m’inquiétait, ni ne me dérangeait. Mon esprit était entièrement focalisé sur le mexicain et ce qu’il avait dévoilé un peu plus tôt...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 65 : Au cul de basse-fosse
il y a 1 an

Une fois activé et lancé, le plus dur pour un engrenage c’est de savoir l’arrêter, car souvent il ne veut pas lui-même

Chapitre 65 : Au cul de basse-fosse Dès le début, je sentis que je n’avais plus affaire à mon meilleur ami, intimidé qui ne recherchait qu’une fellation amoureuse. Il s’agissait de deux hommes plus expérimentés qui ne voyaient en moi que de la chair fraiche pour les satisfaire d’un besoin élémentaire. Il n’y avait plus la douceur qu’avait mise Vincent, que je ne décelais que maintenant qu’elle était absente, cachée par la honte, la peur et le dégoût qui saturaient mes sens depuis que j’avais compris ce qui allait m’arriver. Pourtant, je protestais à peine. Je laissai aller mon esprit vagabonder sur les prairies de mon imagination. J’omettais cet instant de mon esprit, comme lui demandant de couper l’enregistrement de ce qui allait suivre, jusqu’à ce que ce soit fini. Ou, si je ne pouvais pas, l’enregistrer dans le cerveau pervers et féminisé de Lassie qui appréciait follement ce qui m’arrivait. Cette part de moi que je refusais de reconnaître malgré le plaisir que je pris à te...
Un remède de cheval.
il y a 1 an

Il sait manoeuvrer, ce médecin!

- Alors ? - Attendez ! Laissez-moi le temps. - Vous voyez quelque chose ? - Oh, beaucoup de choses. - Approchez-vous, si vous voulez ! - Ce n’est pas de refus, oui. Ce sera plus commode. - C’est grave ? - Difficile de se prononcer avec certitude. Il y a de fortes probabilités pour que ce le soit. Ou, à terme, le devienne. Parce que toutes les humeurs corporelles de Madame la duchesse sont venues se concentrer là, dans les parties charnues. - Mais c’est affreux ! Existe-t-il un remède ? - Laissez-moi examiner encore… - Faites ! Faites ! - Il est indispensable de chasser ces humeurs au plus tôt. - Comment cela ? - La seule méthode réellement éprouvée consiste à fustiger la région concernée. - Vous voulez dire… - Qu’il va falloir fouetter Madame la duchesse, oui. - N’y a-t-il point d’autre méthode ? - Aucune qui soit réellement efficace. - Il va donc être nécessaire… - Qu’elle se résolve à en passer par là, oui. Si elle s’y refuse, je ne réponds plus de rien. - Elle s’...
Lucie découvre la vie, l’ABDL et le BDSM 1 sur 3
il y a 1 an

La chance sourit à une jeune fille vivant dans une famille d’accueil particulière. Embauchée chez un homme aussi charmant que pervers, elle va vivre des aventures fétichistes multiples. De la régression à la fessée puis au BDSM soft avec Amour.

- Le seul souvenir que j’ai de quand j’étais petite, ce sont les camions rouges et les lumières bleues puis les pompiers qui courraient partout. Après plus rien. Ensuite, j‘ai été placée dans une famille d’accueil. Là des souvenirs j’en ai plein. C’était horrible. Ils étaient tous méchants avec moi, j’étais surtout une source de revenus et l’esclave de la maison. Il faut dire qu’à cette époque, je ne parlais quasiment pas, cela les énervait. - Mais, il n’y avait pas des contrôles, des assistantes sociales qui venaient ? - Si, mais ce jour là, ils étaient gentils, même les deux frères pour qui j’étais le souffre douleur. Bien souvent, lors de ces visites, ils avaient le droit de sortir ou des maquettes à monter. - Pourquoi tu ne lui en parlais pas ? - Parce que la fois où je lui en ai parlé, après son départ j’ai été battue et enfermée dans l’armoire comme quand les frères faisaient des bêtises et disaient que c’était moi. - Enfermée dans l’armoire ? - Dans ma ch...
Habilement éduqué par les défis
il y a 1 an

C'est le 4eme récits de l'histoire "des défis" et qui clôure cette histoire.

- «Avec ta mine épanouie et éthérée je ne suis pas certaine que tu ai retenu quoi que ce soit...» En effet, Faby, aimablement descendue à mon bureau pour discuter, a reçu en échange, mon attitude lointaine, un peu ailleurs. J'apprécie converser avec cette collègue mais là je suis sur les ondes du BDSM, des ordres successifs de Sabine. Car à l'évidence Elle m'a éduqué afin que je devienne son soumis, un de ses soumis. Lorsqu'Elle vint chez moi pour établir entre nous des règles qui furent alors qualifiées de défis, la Domina un pouvoir sur moi : je ne pouvais pas savoir où j'allais mettre les pieds. Très justement me mettre à ses propres pieds ! - «Je ne t’écoute pas vraiment Faby, pardonnes-moi. Veux-tu qu’on déjeune ensemble demain ? Je serais plus disposé au dialogue, tout de suite accaparé par les caprices de mon âmes.» - «Çà me tente oui. Mouais ! Soit-disant ton âmes délurée, je crois plutôt une aventure dans un plumard. Tu me raconteras au resto demain ?» Me demande t-elle m...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 64 : Tête-à-queue
il y a 1 an

Quand un nouvel engrenage débute, il ne sait pas plus que nous comment tourneront ses roues lors du premier tour.

Chapitre 64 : Tête-à-queue Vincent passa devant moi. Je fermais les yeux. Peut-être cela serait-il plus supportable comme cela, si je n’en gardai pas l’image en mémoire ? Que devais-je faire maintenant ? Juste ouvrir la bouche ? - Dans quelle situation t’es-tu donc mise, dit-il, usant comme mes maîtresses de ma féminisation pour m’en attribuer le genre. Alors que je voulais répondre, elles me mirent un objet dans la bouche. Cela me fit rouvrir les yeux, juste devant son sexe bandant. Je voyais même à cette distance, le flux et le reflux sanguin qui le faisait tenir droit, horizontal. Je ne pus que le jalouser. Non seulement il était plus gros que le mien, mais il était libre et fonctionnel ! L’appareil dans ma bouche était une sorte d’écarteur qui prit naturellement sa place derrière mes dents avant d’être mis en tension, ouvrant ma bouche, écartant mes mâchoires. Pendant que Ladyscar le manipulait, les autres maîtresses, devant mon corps attaché, ne purent éviter d’en u...
Ma femme aime mon cul
il y a 1 an

Collants et strapon sont les passions d’une femme phallique

Christelle et moi sommes mariés depuis six ans, en juillet. Durant ce temps, notre relation s’est épanouie et a grandi, en particulier notre vie sexuelle. Nous avons exploré nos fantasmes les plus profonds et en avons fait une réalité. Mon cul l’a toujours excitée. J’ai toujours trouvé cela surprenant, car je n’y voyais rien de spécial. Quand nous avons commencé à sortir, elle attendait que je sorte du bain et me penche pour pouvoir embrasser mes fesses. Plus tard, elle est devenue plus sûre d’elle et a pris mes fesses à part et a permis à sa langue de sonder plus profondément jusqu’à ce qu’elle lèche littéralement mon trou du cul. La première fois que c’est arrivé, j’ai failli éjaculer tout de suite. C’est la combinaison de la sensation physique de sa langue qui me mouille le cul avec de la salive et l’image mentale d’un acte aussi audacieux qui m’a conduit à un orgasme intense. Dans l’esprit de Christelle, il était loin d’être dégradant pour elle de me lécher, au contraire, je...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 63 : Trahison
il y a 1 an

Deux dents s’accouplent ou se mettent en porte-à faux, dans le dernier cas, les contrevenants en subiront les conséquences.

Chapitre 63 : Trahison Vincent mon ami d’enfance ! - Salut, comment tu vas ? me dit-il simplement, comme si nous nous rencontrions par hasard dans notre rue, à une vingtaine de kilomètre de là. Que faisait-il ici ? Avait-il suivi la veille Ladyscar ? S’était-il fait attraper ? Avait-il négocié pour servir de garde-fou, si cela dégénérerait ? - Je vois que tu t’es déjà bien amusé, poursuivit-il en s’approchant de moi. Tu devais me prévenir pour que je ne m’inquiète pas. Tu te rappelles ? - Oui, acquiesçai-je. Mais je ne sais pas comment j’aurai pu. - C’est une excuse ? dit-il. Son ton avait changé. J’allai bien. Je n’avais pas besoin de lui. C’était en même temps rassurant et dérangeant de le savoir ici. - Que fais-tu là ? demandai-je un peu perdu. - C’est Ladyscar qui m’a invité la semaine dernière. Vendredi dernier exactement, quand elle m’a envoyé les photos de toi. - Avant que tu ne m’en parles ? me rappelant qu’il n’avait dit n’en avoir reçu qu’une et...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 62 : Surprises sans fin
il y a 1 an

L’engrenage ne peut fonctionner si une des roues entrainées et déjà une de celle qui entraine.

Chapitre 62 : Surprises sans fin Cette fois, je décidai de rester plus concentré sur mon travail, pour aller plus vite. Je ne voulais pas subir quatre fois de plus ce que j’avais vécu. Je ne le pourrai d’ailleurs pas. Mais c’était peine perdue. Ces hommes savaient manier leurs mains et me procuraient des sensations d’excitations et de plaisir. Ils prirent moins de temps à s’activer, connaissaient mes points sensibles, ceux qui m’avaient fait le plus vibré. Et si, par la grâce de Dieu, j’arrivai à reprendre, pendant quelques secondes de trop, le contrôle de moi-même, c’étaient Lady Christine et Maîtresse Diane qui pianotaient une nouvelle mélopée sur leur télécommande, remuant les fils invisibles du pantin que j’étais devenu. A travers la vitre, je vis même cette dernière reproduire mes gestes de ses doigts et de sa langue. Ceux qui l’avaient mise en transe, ceux que je lui avais rappelés durant la soirée. Elles non plus ne me donneraient aucun répit. J’arrivai à la troisièm...
Les voyeurs bien punis
il y a 1 an

S’attaquer à un camp de scout est osé

Scouts toujours… prêts ! Nous habitions un petit village de l’Allier et, comme chaque année en Juillet, un camp de jeunes filles scoutes s’installa pour le mois dans un terrain boisé de la commune qui longe la rivière. Ces jeunes filles en uniforme, qui avaient entre 16 et 17 ans, intriguaient fortement les jeunes garçons que nous étions alors. Nous connaissions la région comme notre poche et savions en profiter en nous cachant sous la passerelle en bois qui menait à leur camp pour regarder sous leurs jupes kaki et constater que, si toutes portaient le même modèle de culotte en coton blanc, pour certaines d’entre elles il arrivait que de petites portions de fesses s’échappent de l’étoffe, et pour d’autres, que le coton marque dans l’entrejambe un léger sillon, ce qui excitait grandement notre curiosité. A d’autres moments, planqués dans les arbres, nous les observions sur leur lieu de campement. Elles avaient construit une douche en plein air le long de la rivière. Des p...
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