Récits
Un fétichiste des pieds gourmand
il y a 1 an

L’histoire d’un fétichiste des pieds féminins un peu bousculé

Depuis tout petit, je suis fétichiste des pieds féminins. Malheureusement, ce fantasme est tabou et difficile à assumer dans notre société. C’est pourquoi, à l’approche de la nouvelle année scolaire, je me f o r c e à ne pas y penser, à ne plus regarder les pieds des filles dans la rue ou sur internet. A la rentrée, je me suis fait de nouveaux amis dont Mélanie. Elle était en couple depuis plusieurs mois déjà. J’ai donc tout de suite évité de me faire des films avec elle, même si elle m’attirait quand même un peu. En effet elle était plutôt jolie, brune aux cheveux longs, yeux noirs et assez petite. Elle avait un caractère bien trempé et même un peu garçon manqué de temps en temps. Quand on n’était pas d’accord avec elle, elle criait voire giflait (doucement). Elle compensait sa petite taille par un tempérament de leader, elle aimait quand c’est elle qui décidait. Sa phrase préférée : « c’est moi le chef ». J’essayais régulièrement de me revendiquer chef aussi mais je finissais ave...
Fantasmes et cauchemars
il y a 1 an

Le fantasme de la prostitution imposée titille une jeune femme. Toute seule, un soir elle ose aller au bois et ...

Il y a des années qu’un fantasme érotique récurant de prostitution hante mes nuits. Dans mes rêves, pour transgresser cet interdit, la contrainte est ma complice, peut-être pour sauver ma conscience à moins que je ne sois réellement maso ou folle. Je m'imagine attachée sur un lit par un beau mac autoritaire et prise sauvagement par des clients virils puis je me réveille, dans tous mes états, le minou poisseux à l’aube d’une nouvelle journée qui ne peut commencer sans que j’apaise le feu qui gronde en moi. Comment concrétiser ce fantasme ne serait-ce qu’une fois, pour voir ? Si j'allais voir ? Juste voir les filles au bois ! Et si je suçais un inconnu ? Il m'arrive aussi de rêver d’une verge inconnue qui enfle dans ma bouche, elle se tend lentement, mes lèvres coulissent et se serrent convulsivement sur son sexe gonflé de sève et le masse doucement. L’homme me force à l’absorber profondément puis à le boire. Et puis une idée folle m’est venue comme ça un soir ! Je me...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 56 : Séance d’habillage
il y a 1 an

Pour savoir ce qu’un engrenage soulève, il faut y ajouter des poids jusqu’à l’entendre grincer.

Chapitre 56 : Séance d’habillage Lady Christine sortit des pinces à seins possédant des poids et un système de vibrations, celles que j’avais observées sur les tétons de Nathan, hier. Elle me les appliqua en serrant la molette au maximum de sa force. Je voulais hurler, mais si j’avais tenu au fouet hier, je ne céderais pas pour deux pinces, aussi douloureuses pouvaient-elle être. Le problème, c’est que tout cet équipement me donnait une excitation qui permettaient aux pointes de pénétrer un peu plus dans mon gland et dans ma verge. Et, bien que ces dernières n’étaient pas suffisamment effilées pour traverser la peau, elle suffisait à me stimuler encore plus. Du liquide s’écoulait maintenant de mon sexe. Maitresse Diane s’en aperçut et l’excita un peu plus pour en récolter un maximum sur son doigt avant de m’en frotter les dents. Lady Christine poursuivait son travail d’habillage. Elle m’attacha trois anneaux, articulés sur un bord, au-dessus de mes couilles, les étirant. Bi...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 55 : Le réveil
il y a 1 an

Le problème, une fois l’engrenage arrêté, est de savoir s’il repartira le lendemain sans couiner.

Chapitre 55 : Le réveil Immédiatement à mon réveil, je ressentis les douleurs aux poignets et aux chevilles. Durant la nuit, mon corps avait essayé de bouger. Mes muscles étaient endoloris. Des crampes me lançaient. Je me tournai, enfin, juste la tête. Ladyscar n’était plus là. Ma cage, en revanche, plus fidèle, ne m’avait pas quitté. Que s’était-il passé la nuit dernière ? Quelle faute avais-je commise ? Je croyais qu’elle m’aimait, avant de me rappeler que ce n’était pas ma petite amie, mais ma maîtresse. Que cherchai-je maintenant ? Je n’avais jamais eu de relation avec une femme, une fille. J’avais besoin de comparer ce que je vivais là avec une relation plus classique. Comment pourrai-je expérimenter cela ? Nous avions un peu parlé la veille, mais je l’avais rejetée. Je m’en voulais. Peut-être pas ? Je lui en voulais. Elle, elle n’en avait pas l’air. Devais-je annoncé que j’étais réveillé ? La prudence me soufflait que non, la douleur dans mes membres m’implorait oui....
Spanking Day (2)
il y a 1 an

Une belle découverte

On était une vingtaine. À peu près. Quelques hommes. Pas beaucoup. Magda jouait les affairées, courait à droite, courait à gauche. Coralie était en grande conversation avec deux filles que je ne connaissais pas. Une autre me lorgnait avec insistance, du coin de l’œil. Mais qu’est-ce que j’étais venue fiche là, moi ? Le mieux, c’était encore que je m’éclipse discrètement. Je n’en ai pas eu le temps. Magda a pris la parole. - Bon, on est au complet. Et en nombre pair, ce qui tombe bien. Elle nous a séparés en deux groupes. Les donneurs d’un côté et les receveurs de l’autre. Il y a eu des murmures. Des protestations. Des sifflets. - Non, mais ça, c’est juste pour commencer. Le coup d’envoi en quelque sorte. Après, vous vous débrouillerez bien comme vous voudrez. Allez, on y va ! Aurore… Et une fille s’est dirigée droit sur Coralie. - Hugo… Il est venu vers moi, le type. S’est penché à mon oreille. - C’est la première fois, hein ? - Oui. - J’en étais sûr. Et je m...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 54 : Le refus
il y a 1 an

Un engrenage peut tourner sans fin, si l’action qu’il déclenche n’a, elle non plus, aucune limite.

Chapitre 54 : Le refus Elle reprit ses caresses, redonnant à ma verge la fierté de sa forme. Elle approcha ensuite son visage et commença à me lécher le gland. Je bougeai, me trémoussai, regrettai d’être attaché et de devoir attendre, vivre au rythme qu’elle avait choisi. Sa main se serra, étranglant mon sexe, mais sans me branler, tandis que sa langue s’activait. Finalement elle avala mon gland. J’avais le droit à une fellation. Un inaudible cri sortit de ma bouche quand ses dents frottèrent sur mon gland à nouveau sensible. Non. Pas de douleur voulais-je maintenant, mais juste de la douceur. Son autre main se cala sous mes couilles, les serrant légèrement, en cadence. Je donnais des coups de hanche, pour activer mon désir, attiser mon excitation, mais elle me relâcha. - Laisse-moi faire, dit-elle, alors que l’excitation disparaissait à nouveau. Comme si j’avais le choix ! Mon dieu, qu’elle prenait son temps ! Dix minutes déjà sans en venir aux choses sérieuses ! Si c’é...
Spanking day (1)
il y a 1 an

C'est maintenant ou jamais.

- Il se passe quoi au juste ? Coralie a pris un air étonné. - Mais rien ! Qu’est-ce tu veux qu’il se passe ? - Je sais pas. Il y a toute une agitation, là. Ça s’affaire. Ça court dans tous les sens. De bureau en bureau. Magda se promène partout avec des listes. Elle fait une collecte ? Quelqu’un se marie ? - Pas du tout, non. Non. Disons qu’on prépare le Spanking Day de mercredi prochain. - Qu’est-ce c’est que ça ? - Le jour de la fessée. Tous les ans, le 8 août, c’est le jour de la fessée. - Ah ! Jamais entendu causer. Et ça consiste en quoi ? - Tu te doutes bien, non ? - Je sais pas, moi ! À se mettre des fessées ? - Voilà, oui. - Et vous allez faire ça ici ? Dans la boîte ? Elle a éclaté de rire. - Ah, non ! Sûrement pas, non ! Il y a pas de risque. On se retrouve ailleurs. Dehors. Avec d’autres gens. - Et pourquoi personne m’en a parlé de tout ça à moi ? - À toi ? Mais… - Mais quoi ? Je suis la coincée de service, c’est ça ? Et je suis partie furieuse. J’...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 53 : Attaché pour la nuit
il y a 1 an

Ce n’est pas l’engrenage qui commande, mais celui qui en détient la clef.

Chapitre 53 : Attaché pour la nuit J’ai cru à ce moment-là qu’elle partirait, me laissant là, avec ses seules promesses et celui qui y croyait. Mon regard trahit mes sentiments, car elle me sourit. Elle dégagea ses épaules de sa robe et la laissa glisser. Elle dégrafa son soutien-gorge, assorti à la culotte qu’elle avait abandonnée depuis plusieurs heures et se retrouva complétement nue devant moi, à l’exception d’une paire d’escarpin à haut talon qui sensualisait encore plus ses formes arrondies. - Tu me désires, me demanda-t-elle, alors que je gardais le silence, mon regard répondait à ma place. Elle n’avait pas la minceur de Nathalie, dont on parvenait à voir les os, ni le corps svelte et sportif de Valérie, à la peau si tendue qu’un batteur en extrairait des sons. Non. Ladyscar avait un corps de femme mûre, aux formes généreuses, à la peau probablement duveteuse, douce comme la soie, si j’avais pu la toucher. Elle était là, à un mètre de moi. D’un moi attaché, pantin de se...
A la saint Valentin, le fantasme devient réalité
il y a 1 an

Le soir de la Saint Valentin sur un fond de BDSM avec une femme fantasmant sur le fait d’être une soumise sexuelle. Mais ......

Bonjour Maître, Comme vous me l’avez demandé, je vous écris aujourd’hui ce compte-rendu de notre dernière rencontre. Vous livrer totalement le fond de mes pensées et mes fantasmes est bien plus dur que m’offrir à vous sans concession. Le rendez-vous était fixé chez vous à 18 heures. Je devais entrer sans sonner, monter dans votre chambre, me mettre nue hormis mes bas et m’entraver couchée sur le dos bras et jambes écartées. Vous avez insisté pour que je bande mes yeux avant de fermer les menottes. J’ai longuement pensé pendant deux jours à cette consigne, à tout ce que cela représentait. J’avais peur et j’étais en même temps très excitée. Si vous ne m’aviez pas interdit de me masturber, je l’aurais fait plusieurs fois. De toute évidence, vous souhaitiez me rendre folle d’excitation et vous y êtes arrivé. J’avais peur mais pas de vous, mais de l’inconnu, de pas savoir est grisant mais aussi inquiétant. Devant votre porte, je n’osais plus entrer même si ma culotte était d...
Prisonnier des Cythriennes (14)
il y a 1 an

Piégé!

[Le début de cette saga est ici](https://fessestivites.com/recit/196758) Germie hoche la tête. - Elles t’ont tendu un piège. Et t’as sauté dedans. À pieds joints. - Le moyen de faire autrement ? - Je sais bien, oui. T’avais pas le choix. Sauf que maintenant, Korka, pour toi, c’est mort. Vassilène s’est ouvert un boulevard. Il ne lui reste plus qu’à faire en sorte que, ce week-end, tes résultats soient catastrophiques. Et c’est dans la poche. Dans quinze jours, tu es à elle. Sauf imprévu, bien entendu… Et il m’adresse un discret sourire entendu. Des vivats retentissent soudain dans le couloir. Des applaudissements. Des cris de joie. - Deuxièmes ! Les filles ont fait deuxièmes ! On rejoint les autres, agglutinés autour de l’entraîneuse en chef. - Oui. Deuxièmes. Juste derrière celles de l’amarillon quatre. - Et de douze points seulement il s’en faut. - Oh, ça se rattrape douze points. Et on va les rattraper. C’est moi qui vous le dis ! - On va gagner ! Pour l’am...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 52 : La chambre bleue
il y a 1 an

La pause permet non seulement à l’engrenage de refroidir, mais à la maintenance d’analyser l’état de sa lubrification.

Chapitre 52 : La chambre bleue - Préparons-les pour la nuit, dit Maîtresse Diane, notre gentille organisatrice. Ah j’oubliais le tirage. Nous étions trois et le plaisir principal de notre hôtesse portait sur qui le sort tomberait. Il était vrai qu’elles avaient pris du temps à préparer cette soirée et ce weekend en alternant nos plaisirs et qu’elles savaient, à la différence de nous, ce qui se passerait. Seuls ces tirages étaient une surprise pour elle. Elles hésitèrent longtemps avant d’enlever une des cartes de jeux prévue, à la suite de l’absence du dernier couple. Elles annoncèrent les trois cartes restantes, Shibari, spread eagle et la cage du donjon. Sans connaître les deux premiers choix, je n’étais pas tenté de passer la nuit dans la cage à chien, dans le froid et l’humidité du sous-sol. A nouveau, un à un, nous dûmes tirer les cartes. J’ai eu le droit à l’aigle, Ben hérita de la cage et Nathan du Shibari. - Vous avez la chambre bleue. Tout y a été préparé, nous...
Cadeau d'adieu
il y a 1 an

Ça partait pourtant d'un bon sentiment!

C’est Amélie, toute essoufflée, qui nous a appris la nouvelle… - Vous savez quoi, les filles ? Il part. Il s’en va. - Qui ça ? - Ben, Monsieur Lambert, tiens ! Le prof de danse. - Hein ? Mais c’est pas possible ! Pourquoi ? Pour aller où ? - Au Canada. Au Canada ! Mais non. C’était des inventions, tout ça. Qu’est-ce qu’il serait allé faire au Canada ? Il était pas bien ici ? Pas question qu’il s’en aille. Ah non, alors ! On le gardait. C’était vrai. Il partait. - Mais pourquoi, M’sieur ? Parce qu’il avait sa vie. Une proposition intéressante. Une véritable chance pour lui. Qu’il aurait été irresponsable de sa part de laisser passer. - Et nous alors ? - Vous ? Je garderai un excellent souvenir de vous et des moments que nous avons passés ensemble. Ça nous faisait une belle jambe. Il pouvait pas nous faire ça. Non. Il pouvait pas. Il avait pas le droit. - J’m’en fiche ! S’il part au Canada, j’y pars aussi. - Et moi pareil. En tout cas sans lui plus personn...
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