Récits
Premières expériences et engrenages : Chapitre 50 : Soin et récompense
il y a 2 ans

Nettoyer et graisser l’engrenage, même si c’est une tâche fastidieuse, est le seul gage de longévité.

Chapitre 50 : Soin et récompense - Tu peux aller le soigner, lui retirer cette pâte et nous rejoindre au salon pour la suite, admit Maîtresse Diane à contre-cœur. « Pour la suite » ! C’est tout ce que j’avais retenu. Ce n’était pas encore terminé pour ce soir ! Elles avaient prévu d’autres réjouissances. Quand cela devait-il se terminer ? Trop habitué à dominer mes propres séances finissant exclusivement sur une apothéose éjaculatoire, je m’étais convaincu que ces derniers coups de fouet achèveraient une soirée bien chargée. Je ne me rendis pas compte immédiatement, mais la position prolongée, allongée le ventre le long du chevalet, les jambes écartées, les bras étirés devant, associée aux tourments que j’avais subis, avait entraîné des conséquences. Mon corps s’était tétanisé, comme bloqué, coincé dans cette position. J’avais l’impression que toutes mes articulations avaient été rivetées, vissées, fixées définitivement par un quelconque moyen et que je ne bougerai plus, al...
La féminisation imposée par une Maîtresse fait une Sissy
il y a 2 ans

Quand une rencontre BDSM orientée féminisation débouche sur une vie de rêve avec des rebondissements parfois hard.

Je ne suis pas gay, tout au plus bisexuel, mais la féminisation imposée par une Maîtresse a toujours été quelque chose qui m’excite. Je me suis évidement commandé quelques vêtements féminins sur la boutique des coquins, pour réaliser partiellement mes fantasmes en solitaire avec le « manche » à la main. Au plus je regardais des vidéos et photos de Petticoat et de sissy ou travestis sur Fessestivites, au plus mes envies de féminisation grandissaient. Le profil de Dame Camélia sur le site attira mon attention, j’ai osé la contacter. Au fil des échanges, elle a su m’emmener à dévoiler mes fantasmes, comme ils étaient toujours présentés avec respect et sans rien imposer, quelque chose en moi a du l’interpeller. Si bien qu’un soir, elle m’a invité à une soirée privée chez elle. Le jour J, j’ai bien failli ne pas y aller, tant j’avais peur de rencontrer une Maîtresse. Prenant mon courage à deux mains, j’ai osé et ce soir là, ma vie a changé en tous points. La soirée privée a été annul...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 49 : Hurlements intérieurs
il y a 2 ans

La qualité d’un engrenage ne se teste réellement qu’au-delà de son couple maximal d’utilisation.

Chapitre 49 : Hurlements intérieurs Elle frappa cette fois de toutes ses forces, me faisant lâcher mon premier cri, mais surtout brisant sa canne en deux qui en couvrit le bruit. Je sentis même une écharde m’entrer dans la cuisse. Les trois maîtresses se regardèrent, en tous cas, je ne pouvais confirmer que pour les deux qui me faisaient face. Cela ne devait pas s’être produit auparavant, à la vue de leur air consterné. - Que dois-je faire ? me demanda Maîtresse Diane, se reprenant. - Prendre une canne plus épaisse, maîtresse, lui répondis-je avec arrogance. - Oui, et quoi d’autre ? Je réfléchis deux secondes. - Reprendre le compte à zéro, lui offris-je. Il serait malséant qu’un vice de matériel ne vous octroie que deux demi-séries, récitai-je en articulant chaque syllabe. - Ton soumis est merveilleux, dit-elle en tapant à nouveau dans ses mains. Elle me massa à nouveau le fessier endolori de sa main libre. - Faut que tu le partages, ajouta-t-elle, me conv...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 48 : Sadisme
il y a 2 ans

Un engrenage résistant acceptera d’être stimulé hors de ses limites, tant que cela ne dure pas trop longtemps

Chapitre 48 : Sadisme Ladyscar ne voulait pas être en reste et, pour ces cinq derniers coups, elle revint de l’étagère d’exposition avec un câble électrique. Maîtresse Diane, regardant coup sur coup le câble et le fouet, regrettait déjà son choix qu’elle jugeait probablement un peu conventionnel ou pas assez sadique. - Pour Nathan, dit Lady Christine, cinq coups de canne à l’arrière des cuisses et les cinq coups de câble sur le ventre. - Pour Ben, ajouta Maîtresse Diane, il recevra les cinq coups de fouets sur le dos et ceux des câbles sur les fesses. - Pour mon soumis, poursuivit Ladyscar, le fouet dans le dos également, et les coups de canne à l’arrière des cuisses. Au vu du jeu de cartes des emplacements d’anatomie humaine, comprenant plusieurs lieus dans les zones génitales, je soupçonnais que nos maîtresses tenaient secrètement à nous. Elles décidèrent ensuite de procéder soumis par soumis, plutôt que maîtresse par maîtresse et comme ma position convenait toujours a...
Stella
il y a 2 ans

Autofessée de Stella

Bonjour! Comment allez-vous bien? Il y a quelques temps, je correspondais avec une coquine prénommée Stella qui me parlait de ses désirs de fessée. Comme elle habitait loin pour moi, je lui ai demandé de s'administrer elle-même une fessée et voici son récit, en espérant que vous l'apprécierez... :-) Je suis allée dans ma chambre en tenant entre mes mains ma règle plate en plastique. Je l'ai posée sur mon lit puis ai commencé à me déshabiller. J'ai enlevé ma robe pull et mes chaussettes. Je me suis retrouvée en soutien-gorge et culotte. Je me suis admirée dans le miroir en pensant que je me montrais à un homme qui me demandait de me retourner lentement pour lui dévoiler mes sous-vêtements. Puis j'ai enlevé mon soutien gorge et ai revêtu mon pyjama. J'ai pris la règle sur le lit et me suis mise au milieu de la pièce. J'ai dit : " Estelle tu sais pourquoi tu dois être fessée ce soir ? Oui Monsieur parce que j'ai été une vilaine fille, que j'ai eu un comportement coquin sur mes heu...
La guêpe
il y a 2 ans

On peut parfois se trouver, après avoir reçu une fessée, dans une situation très très compliquée.

Ce jour-là je portais un collant. Pourquoi un collant ? Je ne me rappelle pas. Ce n’était pas dans mes habitudes et il faisait un temps – on était fin septembre – qui ne le justifiait absolument pas. Est-ce que Louis me l’avait demandé ? J’en doute fort. Il n’éprouvait pas d’attrait marqué pour ce type de vêtement. Alors pourquoi ? Le plus vraisemblable, c’est qu’en m’habillant, le matin, j’avais trouvé mon tiroir à culottes vide et que j’avais pris ce qui me tombait sous la main… Ce qui est sûr en tout cas, c’est que Louis était tout particulièrement en forme cet après-midi-là et qu’il m’avait infligé, pour mon plus grand bonheur, une fessée fort appuyée dont j’allais probablement garder trace longtemps. J’avais pris l’habitude, quand je redescendais de chez lui, d’aller longuement flâner par les rues. En général j’étais restée nue sous ma robe. L’air s’insinuait partout, me caressait voluptueusement et le frottement du tissu sur ma peau meurtrie l’agaçait délicieusement. A cela...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 47 : Derniers mots, derniers maux
il y a 2 ans

Le couple d’une roue a plus d’importance que sa taille.

Chapitre 47 : Dernier mots, derniers maux Lady Christine en terminait enfin avec son soumis. Cinquante coups de cravache dans le dos ! Ce dernier prononçait les derniers nombres en expirant dans tous les sens du terme. Je réfléchissais, convaincu que l’attaque de front contre ces deux femmes que menait Ladyscar était vouée à l’échec. J’avais encore deux jours à passer avec elles. Je cherchais une meilleure idée. Il me fallait les amadouer. A part le verre de vin, je pense que j’aurai déjà pu réussir avec Maitresse Diane. Lady Christine, c’était différent ; elle aimait juste infliger de la douleur. Pour le maso que j’étais, ce ne serait pas un problème, enfin je le croyais encore à ce moment-là. - Pouvons-nous les détacher et les nettoyer, demanda sarcastiquement Ladyscar après que Lady Christine eut prolongé au maximum la séance. - Maîtresse, sans vouloir m’imposer, pris-je la parole. Je comprends que le sort m’ayant été favorable, et, plus encore, du regret de vos amies de...
Prisonnier des Cythriennes (12)
il y a 2 ans

Tenter de prendre la fuite?

[Le début de cette saga est ici](https://fessestivites.com/recit/196758) Je m’effondre sur mon lit. Germie me jette un regard effaré. - Mais qu’est-ce qui se passe ? Qu’est-ce que t’as ? T’es complètement décomposé. - Laisse-moi, s’il te plaît ! Laisse-moi ! - Sûrement pas, non ! Il s’approche, s’assied à mes côtés, me pose une main sur le ventre, me le caresse du bout du pouce. - Vide ton sac, va ! Ça te fera du bien. Il descend plus bas. - Non ? Tu crois pas ? Encore plus bas. Il m’effleure la queue, s’en éloigne, y revient, me la fait dresser. Je m’abandonne. Germie est orfèvre en la matière. Il n’a pas son pareil pour donner du plaisir avec les doigts. Je ferme les yeux. Il me fait surgir, s’allonge à mes côtés. - Là ! Ça va mieux ? Eh bien, raconte maintenant ! Et tout sort. D’un coup. En vrac. Vassilène. Guizwa. La fille qui veut que je l’engrosse. Korka. Xarma. Les types sous la tonnelle qui n’en sont plus. Tout. - T’es dans de sacrés beaux draps...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 46 : Correction
il y a 2 ans

Pour connaître la profondeur du puit, inutile d’y jeter un sot, compte les tours de la roue jusqu'à ce que le seau touche le fond.

Chapitre 46 : Correction - Compte ! me cria-t-elle. - Un. - Un, qui ? - Un, maîtresse. Merci Maîtresse. Le second coup, pareil au second toucha un autre endroit, multipliant par deux la douleur ressentie. J’en oubliai momentanément cette satanée pâte qui me cuisait de l’intérieur et de l’extérieur. - Deux, maîtresse. Merci Maîtresse. J’avais décidé de parler distinctement, sans que mes émotions ne s’expriment, comme un bon soumis. Pour cela j’attendais quelques secondes après le coup, juste le temps d’une respiration. - Trois, maîtresse. Merci Maîtresse. Les autres couples étaient en train de se préparer. Ben s’était nettoyé en une vitesse record, plus inquiet de l’impatience de sa maîtresse que de l’huile pimentée qui pouvait rester en lui, probablement peu habitué à cette générosité relative. - Quatre, maîtresse. Merci Maîtresse. Les coups s’enchainaient. J’étais plus masochiste que soumis à la différence de ce que je crusse connaitre des autres mâles...
Elle voulait jouer pets-play et se fait piéger
il y a 2 ans

Les soumises qui veulent faire des surprises.... à leur Maître n'ont pas toujours de bonnes idées

Pour fêter les deux ans de leur rencontre, une soumise en manque allume son Maître en mettant un plug de pets-play et en s’attachant devant lui. Ce qu’elle n’a pas prévu, c’est qu’il transforme sa surprise en piège. ................................. Il est arrivé tard et de mauvaise humeur, une de leurs machines était tombée en panne. Ne sachant pas s’il rentrerait pour 20 heures ou même 22 heures, par respect pour le restaurateur, il avait annulé la réservation au restaurant. Pour fêter les deux ans de notre rencontre via le site fessestivites, autant dire que la soirée était mal partie. Max est un homme adorable, attentif à mon bien-être mais il est aussi un Maître assez sévère. Je ne m’amuse jamais à le provoquer pour avoir « une punition », cela fait trop mal aux fesses ou ailleurs. La dernière fois que j’ai essayé de le motiver en faisant volontairement de petites bêtises, je me suis retrouvée attachée nue avec des pinces à sein lestées sur les tétons. Elles y sont resté...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 45 : Donjon, scène deux
il y a 2 ans

Même entre deux utilisations, un engrenage travaille ; la gravité, les tensions, les efforts résiduels le fatiguent.

Chapitre 45 : Donjon, scène deux - Tirons au sort avant. Nous n’aurons peut-être pas à tous les détacher, proposa la pragmatique Lady Christine, alors que je cherchais encore ce qui nous attendait. Ma maîtresse n’avait pas dit un mot depuis le début de la précédente activité. - Nous avons à nouveau quatre tirages, le soumis, l’objet, l’endroit et le nombre, précisa Maîtresse Diane que le hasard amusait, excitée probablement par ces jeux qu’elle avait préparés. - Pour l’objet et l’endroit, je propose qu’on ne fasse pas de présélection, dit Lady Christine. En revanche pour le nombre, je ne veux pas entendre cinq ou dix. Nous devons être intraitables. Nos soumis nous ont tous déçus. Ils ont été mauvais ce soir. Ben n’a pas donner satisfaction à Ladyscar. Nathan s’est trouvé mal, probablement les conséquences d’une vie malsaine de malbouffe et de tabac et le nouveau a tendance à être sarcastique, il n’écoute pas et renverse du vin sur la robe de notre hôtesse. Je voulais rép...
Aux deux troncs
il y a 2 ans

D'un commun accord...

- Non, mais tu y crois, toi, que quand on était petites on adorait ça venir ici ? - Fallait vraiment qu’on soit petites. Et particulièrement connes. - On se casse ? - Pour avoir la pantomine pendant des mois ? S’entendre répéter sur tous les tons qu’on est des sans-cœur ? Qu’on n’a même pas pu consacrer une semaine de nos vacances à tante Sophie qu’est tellement vieille que peut-être que dans un mois elle sera crevée. - Qu’est-ce qu’on va bien pouvoir foutre ? - A part se faire des mecs je vois pas trop. - Il y en a pas beaucoup. Et la plupart, apparemment, ils sont en mains. - Oh alors ça, pour moi, c’est pas vraiment un problème. Celles qui les ont si elles sont pas fichues de les garder c’est tant pis pour leur pomme. - Oui, mais il y a Kevin. J’y tiens, moi, à Kevin. - Parce que tu crois que j’y tiens pas, moi, à John ? C’est pas une raison pour pas s’éclater quand il y a une occasion qui se présente. Du moment qu’ils risquent pas de le savoir. Surtout là que si on n’a pas...
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