Récits
Mon gynécologue est un sadique
il y a 1 an

Une histoire érotique de fétichisme médical

##### Comme beaucoup de membres, j’ai des fantasmes. Comme beaucoup je pense aussi, je surfe sur le site pour lire des histoires érotiques, voir des photos ou des vidéos, le vice est entré dans mes surfs amen. Je discutais avec Monsieur Gyné sur le tchat, sur son profil en guise d’avatar, il avait mis une photo de table de gynécologie avec cette phrase : elle vous attend. Pour satisfaire ma curiosité, je lui ai demandé s’il en avait une chez lui. - Non, je n’emmène pas du travail la maison, j’en ai une à mon cabinet, cela me suffit ! M’a répondu Monsieur Gyné. Au fil des discussions, pour le provoquer, je lui ai dit que c’était un veinard d’avoir tous les jours plein de femmes obligées d’écarter les jambes. - Oui et non, tout n’est pas toujours roses, croyez-moi. - Vous en profitez ? - Jamais, je n’ai pas envie d’être radié de l’ordre des médecins et je tiens à ma réputation. De vous à moi, ce genre de chose avec mes clientes ne me tente pas. - Alors pourquoi avoir...
Patrick le Daddy fou
il y a 1 an

Un malade mental décide de se reconstruire une famille en enlevant des jeunes filles qu’il transforme en bébé adulte.Texte HARD

Laurie est loin d’imaginer qu’elle vient de se confier à un fou. Un véritable fou, un malade mental extrêmement dangereux, car son intelligence lui permet de raisonner pour vivre sa folie. Petite et frêle affichant avec grâce ses 19 printemps, Laurie est jolie, intelligente, pauvre et sans famille. Issue de la D.A.S.S, elle n’a connu qu’une vie misérable, habitée du souvenir d’une famille disparue lorsqu’elle n’avait que six ans. Vivant de petits boulots, mais aujourd’hui au chômage, le connard de patron du bistro où elle était serveuse ayant essayé hier, après la fermeture, de la coincer dans les toilettes. Laurie a pu lui échapper d’un coup de genou dans ses précieuses ridicules, perdant hélas du même coup son emploi. Assise à la terrasse d’une brasserie, elle se confie à Patrick, un homme charmant qui l’écoute attentivement, sans jamais la couper. Profitant de cette oreille attentive à son désespoir, elle se laisse aller en confessions. Cela fait tellement de bien de vider s...
Ligoté en travesti
il y a 1 an

Une expérience de bondage sensuel, mais pas sexuel, selon un scénario de kidnapping.

J'ai vécu il y a quelques années une expérience magnifique relative à la fois au bondage et en tant que travesti. Je m'étais inscrit sur un site de rencontre du même type que celui-ci, où les membres pouvait afficher ouvertement leurs fantasmes et attirer des profils correspondant à leurs attentes. Entre les profils non compatibles et ceux qui ne cherchaient pas vraiment, les résultats étaient maigres. C'est alors qu'un jour, mon attention fut attirée par un profil particulier. Homme d'une trentaine d'année, physique agréable (un athlète), il se décrivait comme hétérosexuel, mais aimant voir des femmes ligotées, qu'elles soient femmes biologiques, travestis ou transsexuels. Je décidai de prendre contact avec lui. Il me répondit en me remerciant et me disant que mon profil l'intéressait beaucoup; lui et moi avions en effet comme passion le bondage dans le cadre de scénarios précis (kidnapping, policières ligotées...) Après un bref échange en ligne, dans lequel nous nous...
Collègues
il y a 1 an

Comme larronnes en foire...

Dès le matin ça commence. Elle se gare à ma place sur le parking du boulot. Je laisse pas passer. Ah, non, alors ! Manquerait plus que ça… - Tu peux pas aller garer ton tas de ferraille ailleurs ? - Il y a pas de places attitrées, que je sache ! - Places attitrées ou pas, je me suis toujours mise là. Depuis la nuit des temps. Et on se fait la gueule. Elles rient sous cape, les autres. Après, c’est mon tour. Je profite de ce qu’elle soit descendue à la machine à café pour mettre un code d’accès bien tordu sur son ordinateur. Et je l’éteins. - Qui c’est qu’est venu à ma place ? - J’sais pas. Pas moi, en tout cas ! - Tu parles ! Elle râle. Elle cherche. Elle tempête. - Et merde ! Tu vas le dire à la fin ? Je la fais attendre. Tant et plus. Et puis je le lui lâche. - Tu me paieras ça. Je te jure que tu me paieras ça. J’éclate de rire. - Mais bien sûr ! Les autres échangent des regards entendus. On saisit toutes les occasions. À longueur de journée. O...
Test d'un récit
il y a 1 an

Moment de nuit de partage

Il y aura certainement beaucoup de fautes certainement beaucoup de maladresse de mauvaise ponctuation etc non par maladresse mais apres tout ma dyslexie ne doit pas m'interdire un petit bout de text romantique et sensible à mes yeux Je m'essaie donc. Encore embrumé dans mes songes tard dans la nuit je me réveille apaisé par la pluie battante sur les fenêtres. Cette mélodie si particulière d'une nuit ou le vent souffle et fort et où l'orage gronde. Cela me fait prendre quelques secondes pour me sortir de ma torpeur. Et c'est à ce moment la que je me rencontre que je suis seule dans le lit. A cet instant je m'aperçois que derrière l'entrebâillement de la porte passe une douce lumière, le genre de lumière jaune et douce, lumière de la lampe du salon choisi par ma douce moitié pour lire lors de ces moments perdus. Dans les pages de ses livres préférés les nuits où le temps mouvementée se suspend et devient unique. Étant peut couverte j'enfile mon déshabiller rose et je me lèv...
Voler fait mal aux fesses
il y a 1 an

Rien de tel que la fessée pour remettre dans le droit chemin

Il y a des âges où la fessée s’avère être la punition idéale pour rentrer dans le droit chemin avant qu’il ne soit trop tard. Cette leçon, fort douloureuse sur l’instant, me fut donnée à temps. E n f a n t , j’étais un élève relativement sage à l’école, mais j’avais un gros défaut : le mensonge. Un jour, en classe de 7ème, j’avais prétexté un léger mal de tête pour demander à la maîtresse la permission de ne pas aller en récréation. En fait, il faisait froid dehors et je préférais rester bien au chaud à l’intérieur. Et c’est là que mon petit démon familier se mit à titiller ma curiosité. « Dis-moi, Jean Phi, qu’est ce que la maîtresse cache dans le tiroir de son bureau ? Allez, va vite jeter un coup d’œil ! » me susurrait-il jusqu’à ce que je lui obéisse. Désormais seul, j’en profitai pour m’approcher en catimini du tiroir et l’ouvrir. Sans trop m’en étonner, j’entrevis la règle avec laquelle elle cinglait les mains ou les cuisses des punis, mais surtout, un billet de 50 fran...
Dressage de putes européennes en vente prochainement
il y a 1 an

Retenues dans le palais d’un roi fou, des européennes deviennent le jouet de l'extrémisme des soldats musulmans en guerre.

La suite luxueuse était somptueusement décorée. Les murs couverts de tissus aux couleurs pastel étaient ornés de tableaux impressionnistes et d’objets d’art typiques allant des déesses aux bras multiples aux armes recouvertes d’or et de pierres précieuses. Tout était fait pour attirer le regard et donner une impression de luxe. Sylvie, dans la salle de bains, n’avait pas entendu les bruits sourds d’une main hésitante frappant de petits coups brefs sur la porte d’entrée. Elle se regardait dans le miroir, arrangeant ses cheveux brun-roux de diverses manières pour choisir la coiffure la mieux appropriée pour la réception du soir. Enfin satisfaite, elle tira sur son soutien gorge qui, mal ajusté autour de son opulente poitrine, avait glissé, libérant un mamelon qui pointait bravement par-dessus la dentelle blanche. Se faisant, elle se caressa les bonnets, appréciant le toucher du tissu soyeux, tendu par la chair élastique et pesante. Elle sentit un frisson lui parcourir la colonne...
Dressage de putes européennes en vente prochainement 2
il y a 1 an

Les filles franchissent largement toutes les limites de la bassesse pour ne plus souffrir.

Elle blêmit de honte, réalisant que cette scène se déroulerait au pied de ses compagnes qui l'observeraient comme elle venait de le faire pour la brune. Quelques mots encore firent littéralement sursauter Hélène. Aucun mime ne fut nécessaire. La cravache s'abattit sur les seins de Sylvie puis sur ceux d'Hélène. A une cadence infernale, les coups appuyés du terrible instrument venaient bousculer les corps qui gigotaient sous la douleur et les étirements des cordelettes. Une bonne centaine de coups résonnèrent. Les chairs élastiques rebondissaient, zébrées d'un rouge cramoisi. Les tétons s’allongeaient encore. Sylvie et Hélène contemplaient leur poitrine, impuissantes et t o r t u r é e s jusqu’à l’âme. Soudain l'homme cessa. Contemplant son œuvre, il sembla satisfait, ce qui ajouta encore à l’humiliation de Sylvie. Baissant les yeux vers la fille, il fouetta de nouveau ses pendules mammaires. La fille accéléra. L'homme frappa les fesses, longuement, tout en jetant quelques regards s...
La clef USB (10)
il y a 1 an

De jeu en jeu

[Le début de cette saga est ICI](/recit/194768) C’est elle qui a eu l’idée. Qui le lui a proposé. - Tu sais, pour la vidéo de l’autre jour avec Damien. - Oui. Eh bien ? - Ce qu’on pourrait, c’est la regarder chacun de notre côté. Toi ici, dans le séjour. Et moi, dans la chambre, à côté. Et ça, tout en se parlant au téléphone. - Et pourquoi pas ? Ça aurait aussi son charme. Beaucoup de charme. Aussitôt dit, aussitôt fait. On s’est séparés. - T’es prêt ? - Oui. Toi aussi ? Et elle a été à l’écran. - Comment tu te défrusques ! T’y mets une conviction ! Ça pressait, hein ! C’était pas de coucher avec Damien qui pressait, non. C’était qu’Antoine la regarde coucher avec Damien. Et qu’il la filme en train de le faire. Nuance. Mais elle n’a rien dit. - Et comment tu te jettes sur sa queue ! Une vraie meurt-de-faim. Cette voix qu’il avait ! Chaude. Envoûtante. - Ah, tu la savoures, hein ! Faut reconnaître aussi qu’elle est pas mal du tout. Normal que t’appréc...
Soumis gratuit
il y a 1 an

J’avais décidé de me lancer et de réaliser mon fantasme de soumission

Prenant mon courage, j’ai rédigé cette annonce et l’ai posée sur plusieurs pare-brise de voiture du foyer des travailleurs immigrés, boulevard du fier à Annecy. Moi homme, 49 ans, 1.80 m 95 kg, Passif. Mon fantasme : être ta chienne, ta pute, sucer à la chaîne des bites et plus si tu sais être dirigiste et faire de moi ta pute. Alors si tu veux que je sois à toi, mon mail : passif73200@..... Le matin même, fébrilement, j’allais consulter ma boîte et hélas toujours rien. Ce n’est qu’au bout de trois jours que quelqu’un me répondit. Après quelques échanges de mails, de photos et d’une conversation téléphonique afin de nous assurer de la véracité de nos dires, il me donna rendez-vous un vendredi soir sur le parking devant le stade. Il me disait s’appeler Ahmed, il avait 35 ans et recherchait un passif assez soumis pour le baiser et après, le faire baiser par deux ou trois autres. J’étais très excité et m'étais bien branlé en pensant à cette aventure malgré l'appréhension de...
Des défis entamés
il y a 1 an

La suite Des Défis. L'éducation commence.

Debout je dû patienter, depuis un moment ; alors je croisai les bras. La posture de celui qui ne se sent pas à sa place, à l’opposé de Sabine toute détendue virvoltante, prises dans ses occupations. Elle avait étalé de multiples cartes et plans sur la grande table, sortis des tiroirs de son bureau. Ce désordre jurait avec son bel intérieur, l’ameublement du séjour que j’avais aperçu avant d’être cantonné ici dans un couloir est finement raffiné. Sabine me disait qu’il y avait là une activité typique à confier à un homme, un de ceux qui voulaient bien admettre son autorité. L’activité, qualifiée d’annexe, consistait à trier les documents déployés sur la table et leur présences ostensibles étaient le message que l’homme secondant la Femme donc assigné aux tâches annexes pourrait être moi. J’attendais l’ordre d’entrer dans la salle de bain de mon Hôtesse, tout encore habillé sauf les pieds nus. Enfin l’autorisation tomba, Sabine m’expliqua d’ôter tous mes vêtements afin de sauter dans...
Féministes et fesseuses de mère en fille
il y a 1 an

Déculotter et fesser, une tradition familiale

- J’ai de qui tenir ! maman adorait fesser. Mais, les garçons surtout. Par chance, elle en avait un, mon aîné de trois ans. Il faut vous dire d’abord et ceci explique tout, peut-être, que maman était une féministe convaincue. Restée veuve après quatre ans de mariage, elle n’avait pas voulu se remarier, bien qu’elle eût été demandée plus d’une fois. C’est qu’elle n’avait pas été heureuse et sa première expérience ne l’incitait pas à recommencer. Mon père était, paraît-il, un coureur et s’il n’avait pas trouvé la m o r t dans l’accident du métro, en 1908, cela aurait tourné mal. Dans les affaires, ayant une belle situation, il lui laissait de quoi vivre et nous élever. Maman avait de l’instruction et s’occupait activement de politique et surtout de revendications féminines. Elle fréquentait certains groupements et assistait aux réunions, aux meetings prenant parfois la parole avec une énergie passionnée. C’était une grande femme châtain foncé. Je tiens mon blond de papa. Devanç...
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