Récits
Au bain
il y a 1 an

Les caresses de sa servante manquent tellement à Madame.

– J’ai fait couler le bain de Madame. – Merci, Jeanne. J’arrive. Je m’y plonge voluptueusement. Je ferme les yeux. Et il y a les mains de Jeanne. Presque aussitôt. Douces. Caressantes. Expertes. Sur mon visage. Sur mon dos. Qui savonnent. Qui s’emparent. Qui s’éloignent. Qui reviennent. Qui s’attardent sur mes seins. Qui en font savamment dresser les pointes. – Jeanne… – Si Madame veut que je remplisse correctement mon office, il faudrait que Madame se redresse. Que je me… Oui… Voilà… Voilà… Les fesses. Qu’elle me masse délicatement. Longuement. Entre lesquelles elle se faufile. Elle remonte de l’autre côté. Elle presse. Elle sollicite. – Oh, Jeanne… Elle capture mon bourgeon. Elle se l’approprie. – Si Madame veut bien écarter… J’écarte. Je m’abandonne. Je m’offre. Elle se fait intrusive. De plus en plus. – Jeanne… Oh, Jeanne… Je chavire. Et je clame mon plaisir. Sans aucune retenue. Mais il y a ces autres matins. Ces matins où Jeanne a sa tête des mau...
La clef USB (9)
il y a 1 an

Damien avec Christina devant Antoine qui filme.

[Le début de cette saga est ICI](/recit/194768) Au téléphone, il n’a pas hésité une seule seconde. Bien sûr qu’il pouvait se libérer ! Bien sûr. - Demain, ce serait possible ? Ça l’était, oui. - Mais si tu m’expliquais… - C’est pour la vidéo. Celle où c’est moi qui suis dessus, tu sais bien. Celle que tu disais qu’il fallait qu’on la refasse. - J’ai jamais dit une chose pareille ! - Non, mais t’as prétendu que c’était du gâchis. Que c’était trop immobile. Qu’on voyait pas bien. Ce qui revient au même. Et ce qu’est vrai. Ça saute aux yeux. Alors j’ai pensé que le mieux, c’était encore qu’on la refasse. - Voilà une idée comment elle est bonne ! - Oui, hein ! Du coup, je suis allé tâter le terrain chez Damien. À qui j’ai laissé croire que tu m’avais mis le couteau sous la gorge. C’était ça ou tu balançais tout à Kevin. - Quel monstre je fais ! Et il a pas vraiment élevé d’objection, j’imagine… - Oh, pour ça, non ! Il est ravi en fait. Parce qu’il le dit pas, il en par...
BDSM AU BOULOT
il y a 1 an

C'EST SUR SON LIEU DE TRAVAIL QU'UNE FEMME TRENTENAIRE, LISA, A DECOUVERT SA VRAIE NATURE.

Bonjour ! Je m’appelle Lisa, j’ai 38 ans, mariée, une fille de 7 ans. Depuis 6 ans, je travaille au sein de PROG-XL, un éditeur de logiciels spécialisés dans les télécommunications par satellite. PROG-XL compte 110 personnes. Je suis intégrée au service Administration Des Ventes, en tant qu’assistante commerciale. Depuis maintenant 3 ans, j’assure le secrétariat de 5 attachés commerciaux : suivi des fichiers clients, plannings et agendas, soutien téléphonique, organisations des déplacements, notes de frais... Tout un programme qui ne me laisse pas le temps de souffler, à tel point que je dépasse allègrement 45 heures par semaine. Dur dur quand on a une vie de famille. Mais j’aime mon travail et je m’épanouis pleinement dans cette entreprise, où règne une ambiance plutôt sympa et bon enfant entre collègues. Il y a moins d’un an maintenant, un nouveau boss est arrivé. Il s’agit de Hervé, le neveu de Noël, notre PDG. Il a surtout été recruté pour seconder Noël, celui-ci ayant dé...
Où tout a commencé pour moi
il y a 1 an

Les confidences d’un homme fessé dans sa jeunesse et qui.....

À l’âge de douze ans, je quittai ma région natale pour aller habiter à E…, non loin de Paris. Je cherchai naturellement à me faire des copains, et, sur les indications de collègues de mon père, je liai connaissance avec le garçon de la maison du garde-barrière. Il n’y avait plus de garde-barrière, mais on avait alloué la maison à sa veuve. C’était à deux pas de chez moi. Le petit garçon s’appelait William, il avait dix ans. C’était un e n f a n t plutôt gras, gavé de sucreries, et de bandes dessinées de mauvaise qualité. Il avait une grande sœur, fille plutôt forte, qui était en ménage, et passait de temps en temps voir sa mère et embrasser le petit. William avait une habitude qui m’agaçait, c’est de dire, comme les personnages de ses lectures, « GLUPS » à chaque phrase. Dans un souci pédagogique (j’étais un insupportable petit cuistre), je le menaçai de lui donner un coup de poing dans l’épaule à chaque fois qu’il prononcerait cette interjection. Et je tins parole, lâche c...
Selfbondage hard et ABDL avec laxatif
il y a 1 an

Un kamikaze voulait voir ce que cela fait de tout faire dans sa couche.

Cette fois c’était décidé, j’allais tester malgré moi et voir ce que cela fait de tout faire dans sa couche. J’avais déjà testé mais sans vraiment tout faire disons que je m’étais arrêté à quelques grosses traces de freinage… Toutes mes propres tentatives précédentes de jeux me poussant dans mes limites avaient échoué. Au dernier moment, le passage à l'acte me semblant inenvisageable et impossible psychologiquement, je suis toujours parvenu à me retenir en serrant les fesses comme un fou. L’excitation étant à ce moment là de jouer sur les interdits avec mon corps vibrant de partout tant la résistance contre la fuite était farouche. Sans en parler à mon épouse non pas pour cause de pudeur mal placé mais par envie de tester seul puisque cela ne la branchait pas, il m’est alors venu l’idée de me monter un plan fou pour m’obliger à aller jusqu’au bout en utilisant de la glycérine et un laxatif. En surfant sur le net pour trouver le dit laxatif j’ai trouvé « éductyl » que je suis allé a...
Centre de réalisation des fantasmes
il y a 1 an

Les clients et clientes vont vivre des choses horribles !

Le centre a mis au point une technologie innovante permettant à chacun de vivre ses fantasmes les plus fous sans intervention extérieure. La discrétion est totale, ce n’est en aucun cas de la prostitution. Eclatez-vous, envolez-vous dans une totale discrétion. Cette publicité lancée sur le net il y a quelques temps a généré un gigantesque raz-de-marée sur le site internet du centre. Les curieux bien sur, les fétichistes de tous bords ainsi que la police suspectant une activité illégale. Les explications données par le CRF (Centre de réalisation des fantasmes) sont d’une clarté totale bien que surprenante. A partir de 200 euros (moyen de paiement à votre convenance) nous mettons à votre disposition une cabine privée avec un ordinateur vous permettant grâce à nos logiciels de programmer vos envies et désirs les plus fou. A la suite de quoi, vous êtes invités à vous mettre intégralement nu et à entrer dans une sorte de scaphandre qui se refermera sur vous et grâce à not...
La catastrophe informatique du Centre de réalisation des fantasmes
il y a 1 an

Tout se mélange pour rire ou pour pleurer mais attention, c’est chaud ! ! !

Tout allait bien sauf que....... mais écoutons encore quelques témoignages avant la catastrophe Témoignage d’une femme de 31 ans mère de famille Le fantasme du v i o l me suit depuis mon a d o l e s c e n c e . A cette époque, l’inconsciente que j’étais lisait le journal à la recherche de ces faits divers horribles, ma libido exacerbée faisait le reste la nuit sous ma couette. Comme mon mari est coincé du cul, j’ai abandonné l’idée de lui demander de m’attacher pour me prendre sauvagement, le jour où j’ai essayé de lui parler de mes fantasmes, il m’a traitée de folle. Pour moi, le Centre de réalisation des fantasmes pouvait me permettre de vivre secrètement et sans danger ce fantasme qui me suit depuis plus de 16 ans. Le Centre de réalisation des fantasmes devenu une obsession, je me suis souvent garée à côté pour observer les allers et venues. Les gens sortant de là affichant tous un visage radieux, j’ai fini par me décider mais j’ai payé en espèce grâce à de petites écon...
L'étudiante naïve et les deux pervers
il y a 1 an

Quand le ciel vous tombe sur la tête.

Avertissement : Il s’agit bien évidemment d’une fiction et d’un comportement que je ne cautionne absolument pas. Récit : Une envie pressante. Elle était déjà loin, la fac. Des toilettes ? Il y en avait, là, tout près, dans le jardin de la mairie. Elle aimait pas trop. Parce que c’était pas toujours très propre. Et parce que c’était à l’écart. À l’abri d’une haie de thuyas en plus. Qu’il fallait descendre des marches. Et qu’on savait jamais : il y avait tellement de tordus. Mais bon ! Nécessité faisant loi, elle s’y est résolue. Parce que ça pressait ! Non, mais comment ça pressait ! Quand elle est remontée, soulagée, deux types ont brusquement surgi en haut des marches, sortis de nulle part et lui ont brandi sous le nez des cartes barrées de tricolore. - Police ! Tu bouges pas. Et tu fais pas d’histoires. Elle leur a jeté un regard effaré. - Hein ? Mais qu’est-ce que… ? - Tu bouges pas, on te dit ! Et tu la fermes. Tu vas vérifier, Phil ? Le type est descendu. Est p...
Contraintes maximums pour un soumis
il y a 1 an

Enchaîné dans la cave d’une Maîtresse perverse

La chambre de lulu n'avait pas de fenêtre. C'était une petite pièce au sous-sol aux murs nus et au sol froid et dur. Maintenant, lulu était réveillé depuis un moment, bien qu'il ne puisse jamais être certain depuis combien de temps cela avait été vraiment. La seule lumière émanait du petit espace sous la porte. Aux yeux de lulu, elle était brillante, presque aveuglante. Cela le rendait presque certain qu'il faisait déjà jour. Il déplaça un peu son poids, essayant de soulager la raideur de ses muscles, et sa chaîne trembla. Elle était lourde et faite d'acier. Elle était attachée au collier de lulu ainsi qu'au mur de la pièce. Alors qu'il se déplaçait, un de ses pieds glissa du petit tas de paille, et un frisson parcourut son corps quand il toucha la pierre froide. Rapidement, il rétracta son pied nu. Comme d'habitude, lulu était presque entièrement nu dans ses petits quartiers. Sa queue, bien sûr, était dans sa cage. Il l'avait porté pendant au moins un bon mois et lulu ne pouvai...
La clef USB (8)
il y a 1 an

Un petit cadeau-surprise en préparation pour Antoine

En toute fin d’après-midi, il l’a appelée. Eh, mais c’est que c’était plus seulement tous les jours maintenant ! C’était deux fois par jour. C’est bon signe, ça, ma petite Christina ! Très bon signe. Oui, parce que… Sois honnête avec toi-même ! Plus ça va et plus ce que tu éprouves à son égard… - Ça va, toi, depuis hier ? - Oh, oui ! Bien. Très bien même. Lui aussi. Il venait de regarder, l’une derrière l’autre, les deux vidéos qu’il avait d’elle sous la douche. - Et elles n’ont rien à voir l’une avec l’autre. Strictement rien. Parce que celle que tu as faite, toi, elle est statique. Par la force des choses. T’étais toute seule. Alors t’as posé ta caméra à l’endroit qui t’a paru le plus approprié et tu l’as laissée tourner. Tu n’avais pas d’autre solution. Tandis que pour l’autre, j’ai pu zoomer, me déplacer, m’adapter au mieux au spectacle que tu étais si gentiment en train d’offrir. Et c’est quand même beaucoup plus parlant, avoue ! Beaucoup plus excitant. Même pour toi....
Elle découvre que son mari l’imagine baiser avec un black
il y a 1 an

L’ordinateur de son mari dévoile ses fantasmes de soumission et cuckold

Mon mari Thierry était en voyage d’affaires pendant quelques jours et j’avais besoin d’un outil de son atelier. En fouillant dans l’un des tiroirs à outils, j’ai trouvé un petit disque dur portable. « Pourquoi ça serait là-dedans ? » Je me suis dit, mais la petite voix dans ma tête s’est mise à crier : « Remets-la en place, imbécile ! Ne regarde pas à l’intérieur, tu n’aimeras pas ce que tu trouveras ! » Mais je n’ai jamais écouté cette petite voix de toute façon, alors je l’ai monté et l’ai branché à l’ordinateur. Je me suis dit que je trouverais de la pornographie. En fait, j’espérais que c’était tout ce que je trouverais. Je n’aurais jamais soupçonné que Thierry me tromperait, mais mon cœur battait à toute allure à l’idée que j’avais peut-être tort. J’ai commencé à feuilleter les différents noms de dossiers, à la recherche de tout ce qui pourrait m’envoyer directement à un avocat spécialisé en divorce. Heureusement, ce n’était qu’une planque de photos et de vidéos porno. Ce n’est...
L’hôtel de la gare
il y a 1 an

Le confessionnal peut être un moment de partage et de luxure

- « Mon père, punissez moi car j’ai pêché ! » Cette supplique venait du confessionnal, ou Sophie, bien sur, n’avait pas ses habitudes. - Cela ne doit pas être bien grave, racontez ma fille », lui dit une voix douce, semblant venir du plus lointain des cieux. La honte ! La honte ! La honte ! Celle qui monte aux joues, qui fait pleurer. Tout avait commencé, par de la frustration, du manque d’attention, de caresses, d’imagination. Bref, la lassitude d’une vie maritale banale. L’envie d’autres choses, l’envie de vivre quoi ! Un dialogue sur Internet, un ordre : - Hôtel de la Gare, Dijon, vendredi 10 heures, prends ta journée ! Une nuit d’insomnie, d’hésitation et une réponse positive. L’homme avait formulé des exigences vestimentaires. Des chaussures noires à hauts-talons, des bas assortis, une jupe très courte, serrée, rouge, une chemisier blanc, un manteau noir, pas de slip, pas de soutien-gorge. Rouge et enfiévrée, honteuse et peureuse, tremblante de désir… Voilà tout...
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