Récits
Découverte des plaisirs saphiques
il y a 2 ans

Les soirées entre filles dér a p e nt souvent mais pas toujours sous la couette.

Un téléphone portable a sonné “Shake It Off” de Taylor Swift lors d’une chaude journée d’été dans la Saône et Loire. Taylor chantait encore et encore des répliques de la chanson jusqu’à ce que Sandrine Famot réponde à l’appel. Sandrine se préparait pour sa dernière année de lycée et elle ne pouvait pas attendre. Elle avait été pom-pom girl tout au long de ses études secondaires, mais elle ne pouvait pas attendre le début de la dernière année pour le faire. Elle avait le béguin pour un des garçons de l’équipe universitaire de football. Ce n’est pas le capitaine comme la plupart des pom-pom girls le font. C’est le joueur vedette, Chimon Nicolas. Bref, elle a répondu au téléphone. -Salut, Coach Noiseti ! C’était Olivia Noiseti, l’entraîneur des pom-pom girls. Tout le monde aimait Mlle Noiseti. Elle enseigne l’anglais à l’école en plus de ses fonctions d’entraîneuse. -Salut, Sandrine. L’entraîneur Noiseti a dit. -Ecoute, je t’appelais juste pour te dire que tu as été cho...
Fessées de vacances
il y a 2 ans

On peut parfois regretter amèrement d'être parti en vacances;

C’est au cours de l’une de ces réunions paroissiales dont elle était extrêmement friande que ma mère avait fait la connaissance de Madame Brugent. - Une femme très pieuse. Qui est toute nouvelle dans la commune. Qui a beaucoup souffert. Et qui est très souvent venue lui rendre visite. Son fils Thomas l’accompagnait parfois. - Je l’ai amené. Qu’ils puissent s’amuser tous les deux. Et on nous expédiait dans ma chambre. Nous avions le même âge, quinze ans, mais très peu de points communs. Très vite, ça nous était apparu comme une évidence dont on s’était tranquillement accommodés. On échangeait quelques mots et puis je retournais à ma collection de timbres ou à mes maquettes tandis qu’il s’affalait sur mon lit avec un livre dont il n’émergeait que lorsque sa mère l’appelait. - Tu viens, Thomas ? On y va. C’est lui qui m’en a parlé le premier. Fin mai. - Apparemment que tu vas venir en vacances avec nous. Mais tu sais rien, hein ! Je t’ai rien dit. - Ah, oui ? En va...
Le bondage plaisir entre filles
il y a 2 ans

La captivité peut être douce et agréable

Isabelle et Ludivine marchaient sur un petit chemin lorsqu'elles aperçurent une maison un peu isolée. Elles s'en approchèrent et constatèrent que la porte était ouverte. Elles avaient toujours été curieuses par nature, aussi elles n'hésitèrent pas à entrer. La maison semblait vide. Elle était décorée avec goût mais sans luxe excessif. Tout à coup, une superbe jeune femme apparut. Elle avait la trentaine, elle était vêtue d'un chemisier blanc et d'une jupe noire en velours. Elle avait de longs cheveux blonds qui lui tombaient jusqu'aux reins, les yeux bleus et les lèvres légèrement sensuelles. Sa poitrine tendait le tissu de son chemisier à peine ouvert. Isabelle et Ludivine étaient tout aussi ravissantes. La première, vingt ans bien sonnés, portait un jean et un pull rose en mohair qui mettait en valeur ses formes généreuses. Brune aux yeux verts, cheveux légèrement ondulés, elle faisait tourner bien des têtes. La seconde venait d'avoir 18 ans. Elle aussi ne laissait personne...
Une femme de militaire dans la tourmente
il y a 2 ans

Son mari parti en mission, elle se fait piéger et va devenir une esclave sexuelle

Pour la première fois depuis le départ de Brian pour l'Irak, je m'accordais une petite sortie. Son unité de la garde nationale avait été appelée pour une période de service actif, et, avant même que nous réalisions, il était partit en Irak. Cela faisait trois maintenant mois qu'il était parti et je crevais d'ennui. Jusqu'à ce jour je me contentais de travailler et de rentrer ensuite à la maison pour regarder la télé et écrire à mon mari. Je lui écrivais une lettre chaque nuit et ne recevait pas souvent de réponse. Je savais que ses conditions de vie en Irak étaient très primitives et qu'il en voyait des vertes et des pas mûres. Mais un simple mot me disant que tout allait bien et qu'il m'aimait m'aurait suffi. Cela faisait un plus d'un an que nous étions mariés et je savais qu'il m'aimait mais je m'inquiétais beaucoup pour lui et j'avais besoin d'être rassurée. Je ne voulais pas qu'il me dise qu'il m'aimait, je le savais pertinemment, mais je voulais savoir s'il était en bonne forme...
Alyssia, ma femme (3)
il y a 2 ans

Entre cocue et cocu on peut facilement s'entendre.

Le mercredi, elle m’a appelé. Sur le coup de midi. - Alex ? Je voulais te dire… Ne m’attends pas ce soir. Benjamin a une opportunité. Alors on la saisit. - Tu rentres plus tard ou tu rentres pas du tout ? - Pas du tout. On va rester dormir là-bas. - Au petit castel ? - Au petit castel, oui. Pourquoi ? - Non. Pour rien. Vous auriez pu avoir envie de changer. - Ben, non, tu vois ! Dis-moi… - Oui ? - Toi, tu… ? - Si je vais venir ? Dans la chambre d’à côté ? Peut-être. Je sais pas encore. Elle est arrivée toute seule. La première. En chantonnant. S’est aussitôt précipitée dans la salle de bains. Quand elle en est sortie, trois quarts d’heure plus tard, elle chantait toujours. Il a presque aussitôt surgi. Un long silence. Et puis… - Qu’est-ce t’avais de si important à me dire ? - J’avais envie de te voir. Tellement. - De me voir ou de te prendre un bon petit coup de queue ? - Oh, Benjie… - C’est pas ça, peut-être ? - Aussi, oui, mais pas seulement. - C’est loin v...
Repas de famille
il y a 2 ans

Entre ces deux sœurs-là, ce n'est pas vraiment le grand amour.

Carole a poussé un soupir à fendre l’âme. - Bon, allez, courage ! On y va… - C’est si terrible que ça ? - La purge, oui ! Il y aurait que mes parents encore, bon ! Mais c’est Emmeline ! Mais c’est ma sœur ! On a jamais pu s’encadrer toutes les deux. Depuis toutes petites. Si tu savais toutes les crasses qu’elle m’a faites ! Et là, en plus va y avoir son espèce de Gérald. Ça promet ! Elles n’ont pas cessé, pendant tout le repas, de s’envoyer tout un tas de petites piques. À fleurets mouchetés. Leur mère s’efforçait de calmer le jeu. - Allons, les filles, allons ! Vous n’allez pas nous gâcher la journée… Il faisait beau. Et le café s’est pris sur la terrasse. Où les choses se sont très vite gâtées. Emmeline a pris un petit ton doucereux. - Finalement, t’es arrivée à tes fins, hein ! Carole a aussitôt été sur ses gardes. - C’est-à-dire ? - Oh, ben, t’as toujours proclamé haut et fort que ce qu’il te fallait, c’était un mari financièrement très à l’aise. Que tu puis...
Première fois et dépucelage entre hommes
il y a 2 ans

Découverte des sensations de la sodomie

Après avoir quitté l’école, j’ai continué mes études sans vraiment savoir ce que je voulais faire. J’ai plutôt bien réussi mes études, mes notes juste après mon 19e anniversaire m’ont laissé agréablement surprise et fière. J’avais cependant un problème qui m’inquiétait depuis des années. Je m’inquiétais de la taille de ma bite. Je prenais une douche à l’école quand un type est entré et a fait des commentaires sur ma taille. Ça n’a pas vraiment aidé qu’il soit énorme dans le domaine de la bite. J’ai ri des commentaires, mais ils ont pris racine dans ma mémoire. Je me souviens que plusieurs semaines plus tard, je me suis mesuré lorsque dur et seulement atteint 13 centimètres. J’avais lu que la moyenne était de 17 centimètres et cela m’a vraiment dissuadé d’aller plus loin avec les filles, même si mon intérêt pour elles s’était développé. J’avais vu ma sœur aînée en sous-vêtements à plusieurs reprises et je l’ai aussi vue nue et seins nus à plusieurs reprises. J’étais devenu très du...
J’ai léché le sperme dans sa culotte
il y a 2 ans

Les confessions érotiques d’un candauliste

Ce matin, sur le lit défait, gisait sa culotte, jetée, ébouriffée. Une confection rose en dentelle et en satin, elle est faite de presque rien. Une poignée de merveilles froissées, une couverture intime et minuscule pour son sexe. Je les ai touchées, les yeux fermés, et j’ai senti le glaçage gluant de son sperme. J’ai senti, les yeux fermés, ce qui avait été laissé là, un marqueur de ce qu’il avait pompé en elle. Je ne peux pas dire pourquoi je les ai approchés ainsi, par le toucher. Peut-être était-ce parce que voir ses résidus aurait été trop fort ? Peut-être que de le voir scintiller sur sa dentelle de confiserie aurait été trop terrible. Et si c’était épais, et copieux, et gluant, je pourrais… avoir besoin de le lécher. Je pourrais avoir besoin de faire plus que ce que j’ai fait soudainement, en pliant les yeux fermés pour sentir sa visite. J’aurais pu balayer la culotte et lécher et lécher jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien de sa semence infecte. Carol couchait avec Richard, m...
Mauvaise rencontre
il y a 2 ans

Attention récit extrême

Abigail n’arrive pas à croire à ce qu’elle vient de trouver dans les tiroirs de son mari Dave. Elle ne cherchait rien, elle voulait juste faire du tri et du ménage dans les centaines de paires de chaussettes que son mari garde dans ce tiroir. Quand elle tombe sur les papiers, elle se dit qu’il s’agit sûrement de reçus ou de serviettes en papier. Toutefois en lisant les premiers mots écrits, il est évident pour elle que Dave ou quelqu’un d’autre a ou avait une liaison avec une certaine « Vicky ». Sur chacune des trois serviettes en papier, une main de femme avait écrit « Je t’aime, Vicky ». Abigail déchiffre le logo inscrit sur les serviettes. Elles viennent de « La Tête de s a n g lier », un genre de pub à la périphérie de la ville où elle et son mari ne sont jamais allés. - Eh bien, Dave a quand même dû y aller plusieurs fois ! Pense-t-elle à voix haute. Abigail et Dave sont mariés depuis dix-huit ans et ils ont eu deux beaux e n f a n t s. A trente-huit ans, et après deux gros...
Alyssia, ma femme (2)
il y a 2 ans

Un mari qui laisse sa femme s'épanouir comme elle l'entend.

Les Pages Jaunes. Les hôtels. Dans un rayon de trente kilomètres. Puis de cinquante. « Le petit Castel » Voilà. J’ai pris ma matinée. C’était donc là. Une coquette petite auberge dans un parc aux arbres centenaires. Un couple déjeunait sous la glycine. La femme m’a souri. Je me suis installé à la table voisine de la leur, me suis fait apporter un café-crème et des croissants que j’ai tranquillement dégustés, la tête levée vers la rangée des fenêtres là-haut. À la réception j’ai attendu un long moment. Fini par sonner. - Monsieur ? - Une chambre pour samedi soir, ce serait possible ? - Mais certainement ! En façade ou sur l’arrière ? - J’aurais souhaité, si elle est libre, la 123. - Elle l’est… - C’est parfait. Je la prends. 2- Elle se coupait les ongles des orteils, dans la salle de bains, un pied posé sur le tabouret, la joue appuyée sur le genou. - Et pour les Vacances cet été ? - Eh bien ? - On va toujours à Vienne ? - Évidemment qu’on va toujours à Vienne. Po...
Les vêtements de fille m'étaient réservés comme punition
il y a 2 ans

Subir la discipline du jupon

De Daniel à Danaé. J'étais très jeune lorsque ma tante a dû s'occuper de mon éducation suite au décès de ma mère. Ma tante n'avait eu qu'une fille, ma cousine Nadine; elle n'avait pas l'habitude d'élever des garçons et ça lui faisait un peu peur. Vers cinq ou six ans, je me suis retrouvé habillé en fille chaque week-end: de son avis, de celui de sa fille et de ses amies, j'étais tellement plus mignon en petite robe. J'avais de longs cheveux, de longs cils : il n'en fallait pas plus pour que tout le monde me prenne pour une fille. Peu après, j'ai signifié à ma tante que je désirais désormais être habillé en garçon, même le week-end. A regret, elle m'a exaucé, même si, de temps à autre, je devais faire une concession : mettre une jupe lorsque son amie venait à la maison. Celle-ci me couvrait de compliments et de baisers : elle me trouvait si adorable ! Vint un jour où je n'acceptai plus de concessions . C'est à partir de ce temps-là que les vêtements de fille m'étaient réservés se...
Une éducation dans les années cinquante (12)
il y a 2 ans

Une dernière fessée

J’ai passé des vacances épouvantables. Mon renvoi avait agi comme un électrochoc. À la très longue phase libidineuse que j’avais traversée où rien d’autre ne comptait vraiment que voir, voir et encore voir, où je m’étais étourdi encore et encore de nudités volées, où j’avais étouffé sans scrupule toutes considérations morales, succédait désormais une phase de culpabilité intense. Je me percevais avec les yeux de l’autre partie de moi-même, celle de la droiture et de l’honnêteté, et l’image que je me renvoyais me faisait profondément honte : un être pervers, vicieux et faux. D’une hypocrisie sans nom. Je m’efforçais de me regarder en face, bien en face, et j’étais profondément découragé. Cela ne me passerait donc jamais ? Me reprendrait toujours alors même que je croirais m’en être définitivement débarrassé ? Il me fallait être lucide. Aussi lucide que possible. Chaque fois que j’avais réussi à rester dans les clous, qu’est-ce qui m’y avait maintenu ? Des scrupules moraux ? L’idée d...
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