Récits
Mon nouveau professeur de piano (4/6)
il y a 2 ans

Une pianiste en herbe va découvrir une nouvelle façon d'apprendre....

Pendant que le professeur me faisait retravailler chaque passage, j’avais une pensée compatissante pour Sophie, qui était au coin depuis une bonne demi-heure, et qui devait commencer à disjoncter. Je me recentrais le plus possible sur ce que je devais jouer, j’avais peur qu’il me reproche mes difficultés à me concentrer. Je vidais ma tête et fixais le clavier ou la partition pour chasser les pensées qui tentaient de s’insérer dans mon champ de vision. Je savais qu’elle allait y passer, et que je bénéficierais ainsi d’un charmant spectacle, mais chaque chose en son temps. D’abord me concentrer sur le cours, et ensuite je pourrais me rincer l’oeil en assistant à la punition de Sophie. Si elle savait à quel point j’étais excitée à l’idée qu’elle se fasse punir. – ”Clara ! Concentrez-vous !” Etant donné mon trouble, j’étais terrifiée à l’idée de ne pas réussir à me concentrer, et je repris le contrôle avec une étonnante efficacité. Je me surprenais en voyant avec quelle facilité l...
Nouvelle Soumission
il y a 2 ans

Poème personnel. Ma vision sensuelle de la soumission.

- Debout devant mon désir, - Bien campée sur vos talons hauts, - Vous m’attendez, prête à me servir, - Des frissons dans la cambrure de votre dos. ........ - Un à un je dégage les boutons, - Qui bâillonnent votre corsage, - Enfin, j’écarte la toile, glouton, - Et m’offre un bien joli paysage. ........ - Les bretelles de vos dentelles, - De vos épaules prestement descendues, - En un frou-frou de bagatelle, - Dévoilent vos seins, savoureux fruits défendus. ........ - En un geste froid, je vous volte-face, - Et vous invite à vous courber, - De ma part, quel comble d’audace, - Pour admirer votre sublime fessier. ........ - De votre jupe je tire la fermeture, - Et peu à peu découvre, habile, - Les prémices d’une coquette parure, - Émoustillant follement mes sens virils ........ - Bas noirs et porte-jarretelles, - Enchâssant un string affriolant, - Me laissant percevoir que vos cuisses ruissellent - Sous mes mains encore bien sages pourtant .....
La journée d'une riche bourgeoise
il y a 2 ans

Madame rêve. Rêve beaucoup.

C’est le moment qu’elle préfère. L’avant. Quand elle sait que ça viendra. Inéluctablement. Que le temps, jusque-là, s’étire tout à loisir. On passe tranquillement sur la route, devant le portail. Il y a des cris d’enfants au loin. Des oiseaux s’interpellent dans les arbres. Les cloches de l’église scandent les heures. Félicien, son homme à tout faire, scie du bois, pour l’hiver, derrière la grange. Elle l’entend. Des bouffées d’air tiède lui apportent, de temps à autre, l’odeur entêtante de la sciure. Tout à l’heure, elle ira voir. Où ça en est. Où il en est. Elle fera la moue. - Vous n’avez pas beaucoup avancé, Félicien… Il relèvera la tête, offusqué. - Mais, Madame… Elle ne le laissera pas terminer. - Votre travail laisse de plus en plus à désirer, Félicien. Vous devriez songer à vous reprendre. Dans votre intérêt. Il ne protestera pas. Au contraire… - Certainement, Madame… À sept heures, tandis qu’il dînera, à l’office, en compagnie de Sidonie, la cuisi...
L'apprentissage du vice
il y a 2 ans

Cette histoire érotique gay est assez hard, le lecteur est prévenu.

Il y a si longtemps que cette histoire a commencé que je ne me souviens même pas de l'année. Je me souviens de cette annonce sur une revue spécialisée, le net n’étant même pas encore inventé. De mémoire, elle disait à peu de chose près, ceci : « Maître pervers et vicieux cherche jeune salope à former à toutes les perversités, délocalisation et dépersonnalisation totale, si capable ». Suivait une référence et la mention : « Répondre à l'annonceur ». À cette époque, j'avais déjà une bonne expérience des bites et malgré mon jeune âge, je savais déjà que j’étais destiné à servir de jouet sexuel, tellement je prenais plaisir à sucer des queues et à offrir mon cul de jeune minet dans toutes les pissotières de la région. J'ai donc répondu sans vraiment espérer quoi que ce soit, persuadé qu'il s'agissait d'une blague, et j'ai oublié cette histoire jusqu'à ce jour où je reçus un colis... À l’intérieur, je trouvai un cahier à la couverture plastifiée marquée « Mon cahier de trainé...
Une éducation dans les années cinquante (9)
il y a 2 ans

Les vieux démons resurgissent.

Elle n’en a reparlé que lors du retour des vacances. Dans la voiture. - Dis-moi, Herbert, il y en a eu d’autres ? J’ai fait mine de ne pas comprendre. - D’autres ? - Tu sais très bien de quoi je veux parler. J’ai commencé par nier. - Ne mens pas, s’il te plaît ! Je ne te demande pas qui ni où ni comment. Je m’en contrefiche. Je veux juste savoir si, oui ou non, tu t’étais déjà livré auparavant à ce genre de pratique. Je l’ai admis. - Tu as bien conscience, j’espère, de ce qu’un tel comportement a de répréhensible. Je me suis agité sur mon siège. - Oui ou non ? - Oui. En un murmure. - Que tu éprouves une certaine curiosité pour tout ce qui concerne la sexualité, c’est, à ton âge, probablement tout à fait légitime, mais, ce qui l’est beaucoup moins, c’est que tu te permettes de vouloir surprendre des femmes, malgré elles, dans leur intimité. Ça, c’est du vol. Et c’est tout à fait inacceptable. Est-ce que tu comprends ? Oh, oui, que je comprenais ! Ou...
Le lycée infernal
il y a 2 ans

Une très mignonne jeune fille de 18 ans va vivre l’enfer dans un lycée particulier

Julie Jouannot est une jeune fille de 18 ans, elle est très brune, la peau halée et a une poitrine déjà généreuse. Elle est très mignonne. Elle est en seconde et elle prend le bus tous les matins pour se rendre au lycée. Elle prend la ligne 8 et se met souvent au fond, elle y est tranquille pour y faire les 40 minutes de trajet. Un matin comme les autres, elle s'est habillée en jupe et en tee-shirt et elle prend normalement son bus. Pendant le trajet, elle est tranquillement dans ses songes, quand elle sent une main lui toucher les fesses. Elle n'ose rien faire et espère de tout cœur que c'est juste un geste malencontreux. Elle sent alors quelqu'un, visiblement un homme vu la carrure se coller à elle, elle n'ose pas broncher. La main du pervers lui agrippe alors fermement un sein et commence à le malaxer. Elle se retourne et se prépare à crier lorsqu'elle reconnaît le CPE du lycée, son s a n g se glace et aucun son ne sort de sa bouche. Le CPE, monsieur Bertrand est un homme d'une...
Le lycée infernal 2
il y a 2 ans

Un collier plus que BDSM très particulier

A la fin du cours de français, Julie rangea ses affaires rapidement et sortit du lycée au plus vite. Elle voulait rentrer chez elle et oublier cette nouvelle journée de soumission. Arrivée à son arrêt de bus, juste en face du lycée, son téléphone vibra. En le sortant de son sac, elle vit "un mms reçu". Elle valida pour le consulter, c’était une photo, une photo d'elle, ou plutôt de son anus bariolé de rouge à lèvres. Un SMS arriva: "n'as tu pas oublié la règle N*9? tu as 5min avant que tes parents reçoivent la vidéo complète". Julie prit peur. Le bus marqua l’arrêt, de nombreux élèves montèrent mais elle, le regard absent et le visage pale, resta sans bouger avant que le bus ne redémarre. "il faut que j'y retourne absolument" se dit-elle. Elle traversa la rue en courant, sans prêter attention aux voitures qui durent piler juste devant elle. Elle ne pensait qu'a rejoindre le lycée et éviter l’irréparable. Essoufflée par les 3 étages qu'elle venait de gravir en trombe, elle entre d...
Le lycée infernal 3
il y a 2 ans

De pire en pire

Chapitre 7 : Soumission de groupe Dix-sept jours. Le proviseur et ses complices avaient débauché une élève modèle en dix-sept jours. Une élève qui les satisfaisait de manière très docile, répondant à chacune de leur attente. Mais le pire était à venir… Le garçon qui l’avait prise dans les toilettes des filles s’était empressé de répandre la nouvelle. Et c’est la raison pour laquelle elle se trouvait au même endroit, vingt-quatre heures plus tard. Mais ils étaient trois, contrairement à la dernière fois. Trois lycéens assez costauds. Un black. Un blond. Et un type à lunettes. Elle ne se faisait pas beaucoup d’illusion quant à la raison de leur présence. Il y avait aussi cette fille - Camille - adossée au mur, les jambes croisées. Julie évitait de croiser son regard, devinant le fort sentiment de haine à son égard. Et pour cause, elle était la fille du proviseur. - Vas-tu enfin te décider à les enlever, tes putains de vêtements ? répéta le black, d’une voix autoritaire. Nous all...
Dominée par sa patronne lesbienne
il y a 2 ans

Entre les mains d’une lesbienne dominatrice

Aujourd'hui Caroline arrive à son entreprise peu après 9h30, comme tous les jours elle salue la dizaine de salariés présent dans les différents bureaux. C'est une patronne respectueuse et appréciée de ses employés. Puis elle entre dans le bureau de sa secrétaire, c'est un passage obligé pour atteindre le sien. - Bonjour Elodie. Comment tu vas aujourd'hui? - Bonjour Caro ça va et toi? J'ai mis le courrier sur ton bureau comme d'habitude, il y en a pas beaucoup ce matin. Vu leur peu de différence d'âge les deux femmes se tutoie. Elodie a répondu avec un sourire forcé, mais Caroline ne veut pas la questionner. - Ça va très bien. Ok merci pour le courrier, tant mieux si il y en a peu. A plus tard. Caroline entre dans son bureau pose sa veste et son sac à main, s'assoie à son bureau et écoute le message sur son répondeur. Le message est celui de monsieur Martin, un important client qui est très en colère. Il reproche à Caroline de ne pas être venue à deux reprises à des rendez-v...
Site de rencontres
il y a 2 ans

Tel est pris qui croyait prendre.

Jessica s’est laissée tomber sur le canapé. - Vous savez quoi, les filles ? Ben finalement, il est pas divorcé. - Ah, ben ça ! On te l’avait dit. On te l’avait pas dit ? - Oui, mais il va le faire. Il va engager la procédure. - Quand ? Il t’a dit quand ? - Bientôt. Il m’a promis. Pauline et Chloé ont éclaté de rire. - Ben, voyons ! Tu veux qu’on te dise ce qui va se passer ? On le connaît, le truc, depuis le temps. Il va te lanterner tant et plus. Jusqu’à ce que sa femme soit sortie de sa dépression nerveuse. Ça la tuerait, la pauvre ! Ou que les enfants soient grands. Qu’ils soient autonomes. Qu’ils n’aient plus besoin de lui. Ou que la maison soit finie de payer. Ça le mettrait dans une situation pas possible. Ou tout ça à la fois. Il aura toujours tout un tas de bonnes raisons. Mais il divorcera pas. Il divorcera jamais. Il n’en a jamais eu et il n’en aura jamais l’intention. - Oui, mais à ce qu’il me dit, sa femme… - Est la pire des mégères. Et lui rend la vie impo...
Le plaisir d'être cocu
il y a 2 ans

Candaulisme quand tu nous tiens

Encore cette odeur chimique qui agresse mes narines. Comme une odeur de pétrole. Depuis quelque temps déjà elle flottait dans l’appartement. J’avais fouiné partout en vain dans l’espoir d’en débusquer l’origine. Et ma femme, elle, prétendait ne rien sentir. Étais-je devenu fou ? Ce matin-là je m’étais levé vers 8 heures. J’avais très mal dormi. Depuis quelque temps il était question de divorce, or j’étais toujours très attaché à ma femme et cette perspective me faisait frémir. J’ai téléphoné à ma secrétaire pour lui dire que je ne viendrais pas aujourd’hui, qu’elle se débrouille sans moi. Ma femme dirige une petite entreprise de chaussures en gros. Elle était déjà partie travailler. Tant mieux. Je ne m’étais pas senti le courage de partager le petit déjeuner avec elle. Rien n’allait plus entre nous. J’ai préparé mon café et malgré son arôme enivrant, l’horrible effluve subsistait ! Quitte à mettre la maison sens dessus dessous j’étais décidé à en déterminer l’origine coûte que co...
La passion des couches pour une jeune fille
il y a 2 ans

L’envie d’essayer va générer pour elle une addiction

Emily a alors 18 ans. C'était une journée assez ennuyante d'automne. Dehors, il pleuvait. Tout paraissait ennuyant à ses yeux d’étudiante, alors elle faisait les cents pas dans sa maison, comme souvent ces temps-ci. Ses deux parents travaillaient tous les deux, et elle, étant déjà assez autonome, restait donc chez elle, seule. À un moment dans l'après midi, l'idée d'aller dans le grenier lui vint. Le grenier avait toujours été à ses yeux un endroit très mal entretenu, où l'ordre n'était pas roi, loin de là même. Elle n'y était allée que très peu de fois, mais elle ne gardait pas un excellent souvenirs de ces petites explorations, étant donné l'apparence lugubre de l'endroit. Elle était petite, et elle pouvait se souvenir que ces petites explorations lui avait donné une frousse pas possible à l'époque. Il y avait eu besoin de plusieurs semaine afin que ses nuits redeviennent paisible. Mais du haut de ses 18 ans, une lampe à la main et armée d'une bonne dose de courage, Emily était b...
Publicité en cours de chargement