Récits
Pour le plaisir de ma Maîtrise (8)
il y a 2 ans

Où l'on apprend comment servir un apéritif...

A l’heure dite, ponctuelles, chacune des invitées est arrivée chez Maîtresse. Elles portaient toutes de longues robes sous une veste légère. Maîtresse m’a ordonné de rester à l’entrée, de recevoir leur carton d’invitation, d’indiquer leur nom fort et intelligiblement et de les débarrasser de leur veste. Toutes, absolument toute, ont une robe dégagée sur le devant, laissant leur poitrine nue, à l’image des anciennes prêtresses crétoises. Les amies de Madame se sont ensuite égaillées dans la jardin. Elles ont alors félicité Maîtresse de ses goûts en matières d’ornementation, décoration et de choix de ses objets. Elles s’extasiaient devant les charmes du jardin. On sentait à les entendre et à les voir qu’elles avaient plaisir à être présentes, entre-elles, au cœur du domaine de Maîtresse. Ce n’est que plusieurs minutes après les avoir introduites dans le jardin, charmées de leurs discussions communes, que Maîtresse fit un claquement de doigt à mon adresse. Le moment de servir l’apéritif m...
Métamorphose
il y a 2 ans

Une histoire érotique de domination féminine par une lesbienne

Je m’appelle Colette C*. J’ai 53 ans. J’ai divorcée il y a plusieurs années d’un mariage accepté par convenances sociales. Il y a trente ans, malgré l’éclosion des mouvements de libération de la femme, ou peut-être à cause d’eux, l’homosexualité féminine était encore confinée au sous-entendu et au demi-mot. D’ailleurs, cela a-t-il vraiment changé aujourd’hui ? J’avais donc convolé « en justes noces », pour éviter que mes préférences amoureuses ne deviennent un sujet de critique et de rejet. Sans être ouvertement discriminante, la qualification de « goudou » ne promettait pas un avenir radieux en dehors des cercles militants et de certains couvents… J’ai supporté mon état de femme mariée pendant dix ans. Le travail, les sorties, les amis – et surtout les amies – rendaient la chose acceptable. J’ai même admis presque avec plaisir l’obligation du « devoir conjugal ». Je n’ai pas eu d’enfant. Était-ce une réaction inconsciente de mon corps, une forme de dénégation ? Quoi qu’il en soi...
Métamorphose 2
il y a 2 ans

Avilissement

En se dirigeant vers l’atelier de retouche, les vendeuses invitèrent ma Maîtresse et ses amies à terminer tranquillement leurs emplettes ou à patienter dans le salon du fond. Ces dames s’y rendirent en papotant, comparant dessous chics désirés et coups de cœur inespérés, se promettant d’en faire de nouveaux essayages en toute franchise réciproque. Je restais hésitante et nue devant la banque. La voix sèche de Maître L* mit fin à mon indécision. - Eh bien, Colette ? Ne restez pas plantée là comme une souche, on n’attend plus que vous ! Je m’empressai de les rejoindre. Les autres continuaient à examiner mutuellement leurs divers achats et quelques-unes ôtaient jupe ou chemisier pour tester l’effet qu’aurait donné sur elles-mêmes tel ou tel modèle qu’elles n’avaient pas choisi. Hésitations, regrets, doutes et certitudes s’échangeaient dans un pépiement de voix croisées. Ève m’installa mains dans le dos face à la glace en m’intimant l’ordre de n’en pas bouger et de me taire. Penda...
Le psychopathe de la nuit
il y a 2 ans

Lorsque deux femmes rencontrent un monstre cruel assoiffé de sexe, elles savent, l’une après l’autre, que cela va être l’enfer.

Une histoire particulièrement hard .................... Carole regagne son appartement après une journée harassante. Cadre commercial d’une chaîne de distribution de matériel informatique, elle vient de préparer le lancement d’une nouvelle ligne d’imprimante. Les ordres sont passés, la campagne publicitaire prête. Elle repasse encore dans sa tête les quelques décisions qu’elle a prises tout au long de la journée. Elle est satisfaite. A vingt huit ans, elle est la plus jeune mais la mieux payée des cadres de son entreprise. Une réussite reconnue de tous dans un monde pourtant machiste. Célibataire, elle vit à deux pas de son travail et profite de ces quelques mètres à pieds pour aérer son esprit et relâcher la tension nerveuse accumulée par onze heures de course contre la montre. Il fait nuit. Ses pas rapides résonnent sur les murs gris de la capitale, les talons hauts de ses chaussures martelant en rythme le pavé humide et glissant. Au détour d’une ruelle, elle croise...
Pour le plaisir de ma Maîtresse (7)
il y a 2 ans

De l'autorité de Maîtresse sur son petit monde...

A quelques heures de la soirée, Maîtresse indique que je dois m’apprêter. Je sens trop le chien couché dans sa niche, estime-t-elle. S. m’amène dans une grande salle carrelée. Elle m’ordonne d’écarter les jambes et de poser les mains sur le mur. A grands coups de jet, elle me douche, tandis qu’une troisième femme, G., que je n’ai encore jamais vu me récure armée une brosse. A la suite, G. me maquille les yeux de khôl. Je me fais l’effet d’un hindou, mais ce n’est bien sûr pas de ça qu’il s’agit. Elle me peint, après cela, entièrement d’une couleur dorée. Aux anneaux de mes tétons, elle accrochent des pendentifs aux armes de Maitresse. Ma queue est ornée d’un bijou et de l’anneau du prépuce, une chaine dorée passe entre mes jambes, revient dans mon dos pour être accroché au collier. Mes cheveux sont enduits d’un enduit blanc. Mes lèvres sont peintes. Je sais alors que j’ai la ressemblance d’un esclave des temps passés. C’est d’ailleurs ainsi que je reçois les employées du traiteur. Ra...
Pour le plaisir de ma Maîtresse (6)
il y a 2 ans

Sur l'intérêt de posséder un jardin

Le jardin est orné de tentures magnifiques. Certaines flottent au vent. Des tables sont dressées un peu partout au sein d’une végétation épanouie, abondante, florissante. Le parfum des fleurs embaume. Au centre se tient une fontaine jaillissante. Ses eaux, murmurantes sortent de plusieurs figures féminines sculptées. Ces dernières, nues, présentent leur seins de leurs mains, à l’image de déesses mères vénérées. Leur sexe est source de vie d’ou se répandent les jets. Le mur qui retient le bassin est orné d’un relief complexe faisant le tour. On y voit des hommes attachés par des colliers et liés entre eux par une lourde chaîne. Mains attachées derrière le dos, ils avancent, ployant. Les premiers sont à genoux, presque en prière devant la représentation surdimensionnée d’une Déesse entouré de deux grands chiens sauvages, domptés, qu’elle tient en laisse. Quelques autres femmes sont représentées de ci, de là, le long de la chaîne d’hommes, fouet à la main, debout, impudiques et fières...
Souvenirs de déculottées et fessées cuisantes
il y a 2 ans

A cette époque, la fessée n'était pas interdite en France

Aussi étrange que cela puisse paraître, encore à 19 ans je recevais des corrections corporelles… comme on pouvait en recevoir dans sa jeunesse à cette époque. Une situation pas si extraordinaire que cela. Un jour d’été de 1959, j’étais avec mes parents dans un grand magasin et, du haut de mes 19 ans, je me mis à « gueuler » très fort contre la hausse des prix et, bien entendu, contre l’ineptie du gouvernement en place qui laissait aller les choses à vau-l’eau. Mon père m’ordonna d’une manière péremptoire de me taire, en ajoutant que je ne n’étais pas seul dans le magasin. Comme je continuais de plus belle à crier et même à tonitruer, mon père me saisit alors par le cou, et à la vitesse de l’éclair, me fit une vraie prise de bras pour m’immobiliser entre son épaule gauche et son avant-bras. Puis, sans hésiter, devant les clients curieux et médusés, il retroussa les jambes de mon short le plus haut possible et se mit à marteler l’arrière de mes cuisses dénudées d’une bonne d...
Pire que soumis dans un bordel chinois
il y a 2 ans

Une petite histoire hard bien parfumée pour adepte du facesitting

Son plaisir est le facesitting, ses fantasmes avoir plein de femmes à lécher mais réaliser ses fantasmes était impossible. Lors de son voyage d’affaire en chine, il lui vient l’idée de contacter le patron d’un bordel et de lui demander si il pourrait l’aider à réaliser son fantasme moyennant finances. L’adaptabilité et la puissance de travail des chinois n’est plus à démontrer comme va le constater Sam. Pour convaincre le patron qu’il ne veut pas baiser plein de filles, il lui annonce qu’il viendra avec une cage de chasteté et il lui donne une avance de 200 euros en indiquant son cahier des charges. « Je veux être nu, attaché sur le dos sous une sorte de chaise percée et que les filles m’obligent à les lécher toute la soirée ». Pour le patron de ce bordel, 1000 € n’est pas rien en cette période de conflit international. Entre la Chine, les Etats Unis et la France qui n’a rien trouvé de mieux que de s’en mêler, les touriste aisés se font rares. Autant profiter de ce mec soumis p...
Pour le plaisir de ma Maîtresse (5)
il y a 2 ans

Où l'on apprend comment exercer un bon régime...

Pendant tout la semaine qui précède la soirée, Maîtresse me tient au régime. Je reste nu à son domicile, collier au cou. Elle veille à ce que son chien soit en bonne forme et pour cela elle me fait dormir sur une paillasse. A côté, elle dispose un gobelet pour l’eau, un autre pour des croquettes. Elle aime le spectacle de son chien lapant et mangeant devant elle. De temps à autre, elle me fait lécher ses talons en signe de satisfaction. Deux jours avant, elle me donne la liste de ses invitées, puis m’ordonne de nettoyer le jardin, nu, toujours en portant le collier. Chaque heure passant, elle vient surveiller l’avancée des travaux. Je sais tout de suite quand cela ne lui convient pas : elle m’indique de sa tête un arbre. Je me mets dans la position qu’elle m’a appris lors des premières rencontres : face à l’arbre, contre lui bras et jambes étirés comme si je l’embrassais. Elle m’attache à une chaîne qui fait le tour de l’arbre et s’amuse de mon corps. Elle le griffe, serre ma que...
Une petite bombe avide de sexe rude
il y a 2 ans

Une chaude rencontre coquine avec une femme adepte du BDSM sexe

Ma nouvelle voisine est une petite nana belle comme un coeur, un véritable cachou que j’ai immédiatement rêvé de mettre dans mon lit. Autant dire que j’ai tout fait pour favoriser les relations de bon voisinage en l’aidant à finir de s’installer. Je sentais bien que je ne la laissais pas indifférente non plus. N’ayant pas de perceuse, elle m’a demandé la semaine suivante de poser un tableau au mur. Vous vous doutez bien que j’ai accepté. A ma grande surprise, ce n’était pas n’importe quel tableau et là, nous ne parlions pas d’un champ de lavande. Il représentait une fille nue attachée avec des cordes. Il n’était pas pornographique, c’était réellement de l’Art mais quand même assez troublant. - J’aime beaucoup ce tableau, c’est du BDSM élégant, de l’érotisme pur. L’artiste a su exposer son regard quémandeur plutôt que son corps. Tu aimes ? M’a demandé Manon une fois que son tableau fut accroché. - Oui, il est magnifique et ne me laisse pas indifférent du tout, je l’avoue....
Les aventures d'une femme ronde et soumise sexuelle
il y a 2 ans

L’histoire érotique d’une petite boulotte et soumise adepte de sexe rude

Je ne suis pas bien dans ma peau alors j'ai pratiquement renoncé à toute relation durable. J'ai 43 ans, je ne suis pas mince mais pas énorme non plus. Je mesure 1m57 avec du 100D en poitrine. Communément je suis une petite boulotte. Ne pensez pas que les hommes ne s'intéressent pas à moi. Mais je suis tellement fatiguée des relations non abouties que je reste seule. Je ne suis pas du genre à coucher pour une seule nuit ou avoir des amis simplement sexuels. Je fais très attention à ma réputation. Aux yeux du monde, être une salope n'est pas bien. Mais alors, pourquoi j'ai envie d'en être une. D'où cela vient-il? Je repousse cette idée dans ma tête. Et je me prépare à sortir pour faire quelques courses alimentaires pour le dîner. Je n'aime pas aller au supermarché car il y a toujours du monde et il y a toujours des files d'attente aux caisses. Donc, en espérant qu'il y ait moins de monde, je pars tôt le matin. En arrivant au magasin, je suis heureuse de voir qu'il est pratiqueme...
L'accident
il y a 2 ans

Une hospitalisation imprévue juste après une fessée

Le feu est passé au rouge. Elle s’est engagée sur le passage clouté. Sans regarder. Perdue dans ses pensées. Un crissement de pneus. Juste le temps de se dire que ce n’était vraiment pas le jour. Vraiment pas. Et elle a perdu connaissance. Quand elle est revenue à elle, elle était sur un lit d’hôpital, couchée sur le côté. Derrière la porte de la chambre il y avait des voix de femmes. Deux. - Elle dort, sûrement. Avec la dose qu’on lui a mise… - Et alors tu dis que… - Qu’elle s’est pris une sacrée fessée, oui. Oh, mais attends, tu vas voir ça… Elles sont entrées. Une femme de son âge. À peu près. La quarantaine. Et une d’au moins soixante. Sans doute aux lisières de la retraite. - Alors ça y est, on est réveillée ? Elle est allée remonter le store. La lumière a inondé la chambre. - Évitez de bouger, dans la mesure du possible. Et n’essayez pas de vous retourner. Vous avez trois côtes cassées. Et des contusions multiples. Elle lui a arrangé les oreillers. - On...
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