Récits
Découverte des cages de chasteté
il y a 2 ans

Des filles joueuses. Et des garçons qui finissent encagés.

Ils avaient dix-huit ans tous les quatre. Ils s’étaient connus aux cours de code. Et ils avaient sympathisé. Si bien sympathisé que, quand ils avaient passé et réussi le permis, ils avaient décidé de fêter ça tous ensemble. Le soir même. Chez Silvia dont les parents étaient absents. - Apportez de quoi dormir. Duvets. Sacs de couchage. Que vous ayez pas les voitures à reprendre. Qu’on puisse boire un peu. Ils avaient effectivement bu. Mais pas trop. Juste ce qu’il fallait pour se sentir bien. Ils avaient parlé. Ils avaient plaisanté. Ils avaient ri. Et c’est sur le coup de minuit que Silvia les avait sorties. - C’est quoi, ces trucs ? - Des cages de chasteté. Lionel avait levé un sourcil, perplexe. - Et ça sert à quoi ? - À enfermer dedans la queue des messieurs quand on veut pas qu’ils s’en servent pour aller voir ailleurs. - Et d’où t’as ça, toi ? - Une copine, à mon anniversaire. Pour déconner. Une copine qui a précisé : « Et deux, je t’en ai pris, tant qu’à faire...
Les jeux BDSM d’un couple gay DL
il y a 2 ans

Adeptes de couche bien pleines et parfumées associées à du BDSM ils s’en donnent à coeur joie.

Tom et Max se sont connus sur Abkingdom mais rencontrés lors d’une grande rencontre organisée par Fessestivites. S’écrire, partager leurs fétichismes et fantasmes les plus fous, a été pour eux un premiers pas. En effet, oser dire que l’on est adepte des couches n’est pas facile et dévoiler ses petits jeux solitaires est une étape. Passer au réel lors de la grande rencontre chez Fessestivites a été pour eux assez difficile. Qu’allait-on penser d’eux en les voyant en couche ? Le premier jour de cette grande rencontre, au début ils étaient si timides et réservés qu’ils osaient à peine parler. En voyant que les participants de cette rencontre se moquaient royalement qu’ils portent ou non une couche, les a aidé à se décontracter. En les voyant assumer et délirer sans aucune pudeur, ils ont commencé à se rapprocher des gens avec prudence. Pire encore comme déclencheur d’envies perverses, l’un des membres a demandé à l’organisateur de lui faire un bondage. Ce dernier lui a fait un shibari...
Une éducation dans les années cinquante (4)
il y a 2 ans

Ça mérite une fessée de regarder par le trou de la serrure de la salle de bains.

Début juillet ma grand-mère, la mère de maman, est tombée malade. Très gravement malade. Et mes parents se sont précipités à son chevet. Après m’avoir confié à la garde de tante Milena. - On n’a pas besoin de lui par les pieds. - D’autant que ça risque d’être particulièrement éprouvant. - Bon, mais on compte sur toi, hein, Herbert ! Tu seras raisonnable. J’ai promis. Tante Milena était tchèque. Elle avait épousé, juste avant la guerre, Gontran, le frère aîné de maman, qui avait été tué dès les premiers combats, en juin 1940. Elle était, après tout un périple de plusieurs années, retournée vivre dans son pays et n’était que depuis quelques mois revenue s’installer en France, du côté de Guéret, dans une maison que lui avait léguée son époux. Je ne l’avais donc jamais vue et c’est habité par un peu de curiosité et beaucoup d’appréhension que je suis monté dans le train qui devait m’emporter jusque chez elle. Elle m’attendait à la gare. C’était une grande femme blonde à la quar...
Pour le plaisir de ma Maîtresse
il y a 2 ans

Où l'on apprend qu'un corps peut être travaillé...

S. me faire asseoir dans un fauteuil qui s’apparente à celui d’un dentiste. Elle m’y attache les poignets et les chevilles. Je ne comprends pas pourquoi, comme je ne comprends pas en quoi consiste le travail sur mon corps, mais je me tais. S. prend un rasoir et me tond, pubis, queue et testicules. Elle le fait assez sèchement si bien que plusieurs éraflures me font saigner. J’ai l’impression que ça lui plait. Elle vient à chaque fois lécher le sang. S. m’explique ensuite que c’est la première phase du travail de transformation souhaitée par Maîtresse. Elle revient avec des aiguilles et sans prévenance me perce un, puis deux tétons. Je hurle : rien n’y fait. S. continue consciencieusement son travail. A mes cris, Maîtresse vient assister au spectacle. Mais elle reste dans l’ombre… A chaque téton, S. fixe un anneau. Puis, elle s’attache aux testicules et au prépuce dont elle transperce la peau… Aux testicules, elle attache des anneaux auxquels pendent des poids en forme de boule… Un troi...
Pour le plaisir de ma Maîtresse (3)
il y a 2 ans

Où il est dit que les chaussures se nettoient d'une certaine façon...

Maîtresse m’indique que la soirée qu’elle envisage doit lui rendre honneur. Pour cela, je dois être digne de présentation. Elle ne voit qu’une solution : que mon corps soit travaillé selon ses souhaits. Ainsi, elle trouve que je me suis trop laissé aller. Elle estime que j’ai pris de l’embonpoint. La cravache claque à nouveau. Cette fois sur mon dos. Je gémis. J’entends par un murmure à peine audible, mais qui a quelque chose de carnassier, la satisfaction de ma voisine. Jusqu’à la soirée, je devrais demeurer ici en pension et suivre mon régime. Maîtresse sent aussitôt ma satisfaction : « détrompe-toi tout de suite : ton régime sera sévère et n’aura rien d’agréable. Mais pour l’heure, je te laisse entre les douces mains de S. Elle saura travailler ton corps à ma convenance. Maîtresse se lève et vient présenter ses souliers. Je sais qu’il me faut les essuyer de la langue. Une fois lassée, elle s’écarte : la conversation est close. Alors que je tente de me lever, S. m’ordonne de rester c...
Découvert par sa femme en étant travesti et attaché
il y a 2 ans

Un selfbondage qui ne se passe pas comme prévu

Je me demande pourquoi je ne lui ai pas dit. Ne devrions-nous pas pouvoir parler de n'importe quoi. Ou peut-être que je devrais juste y renoncer. Je descends dans la chambre supplémentaire et regarde dans le placard. J'ai apporté des choses avec moi - une longueur de chaîne, un collier de chien et un bâillon-boule. Pourquoi est-ce si important ? Nous possédons un bâillon pour l'amour de Dieu. Nous sommes probablement plus aventureux que la plupart des couples, du moins la plupart des couples du Midwest. Quand j'ai dit à ma femme que j'aimerais essayer un bâillon-boule, elle est sortie et en a acheté un, quoique bon marché. C'était plutôt cool. Mais le travestissement est tout simplement trop embarrassant pour en parler. Je regarde dans le placard et trouve ce que je cherche. Rien que de le voir, je deviens dur. C'est une mini-robe en velours vert. Elle l'a depuis le lycée, j'en suis sûr, et ne l'a probablement pas porté depuis. C'est indécemment court. J'essaie d'imaginer ma femme l...
Retenues au château des perversions.
il y a 2 ans

Une histoire érotique hard à savourer sans modération.

La pluie battait fort dans cette soirée d'été sur cette route isolée. La pluie était cependant chaude. Mes deux filles et moi étions épuisées car on s'était perdue au cours de cette randonnée en montagne. Enfin j'aperçus les phares d'une voiture. Je me levais toute mouillée pour faire signe,mon tee-shirt me collait et devait dessiner mes courbes et mes seins aux tétons dressés par la fraîcheur, ma petite jupe me collait aux fesses. Le conducteur allait avoir une surprise de trouver en ce lieu trois femmes épuisées demandant du secours. C'était en fait une camionnette conduite par une femme qui s'arrêtât aussitôt en nous voyant. Nous ne devions pas être trop belles à voir toutes les trois avec cette pluie qui nous avait surpris et mouillées nos vêtements légers. Une blonde très jolie sortit aussitôt pour ouvrir les portes du véhicule. Je remarquais dans son dégagement gracieux de son siége ses jambes superbement galbées ,elle portait des hauts talons vernis noirs avec un tailleur...
Le châtiment de Madame
il y a 2 ans

Madame a des faiblesses pour Guillaume, son chauffeur, le mari de sa servante. Faiblesses dont celle-ci compte bien la punir comme elle le mérite.

- Madame est satisfaite ? - Satisfaite ? Et de quoi donc devrais-je être satisfaite, Jeanne ? - Des services de Guillaume. Qui est un excellent amant. Non ? Madame ne trouve pas ? - Qu’est-ce que vous racontez ? Vous perdez la tête, Jeanne. - Faut dire que monté comme il est ! - Sortez ! Sortez immédiatement ! - Ah, ça, quand il pilonne, lui, on met pas trois jours à venir. Madame en sait quelque chose, à ce qu’il m’a dit. Même qu’elle criait comme une perdue. Qu’elle lui a griffé le dos. Et qu’elle l’a supplié de le lui renfiler, son truc. Trois fois. - Écoutez, Jeanne… - Madame compte aller y remettre le nez, j’imagine ? Oh, mais qu’elle se rassure ! Je suis partageuse. Et puis Guillaume trouve l’idée de se taper sa maîtresse extrêmement savoureuse. C’est un plaisir dont, vous en serez bien d’accord avec moi, il serait cruel d’envisager de le priver. Monsieur, lui, par contre, prendrait certainement fort mal d’apprendre que son épouse… - Il ne le saura pas. Jurez-le moi, Jea...
Pour le plaisir de ma Maîtresse (2)
il y a 2 ans

Où l'on rencontre un trône et une porteuse de cravache...

Quelques jours plus tard, Maîtresse m’appelle et me demande, toute affaire cessante, de venir la rejoindre chez elle. Quand j’arrive à son domicile, je trouve la porte entrouverte. J’ose entrer. Aucune lumière. Je cherche l’interrupteur. Sa voix m’arrête rapidement. « T’ai-je demander d’allumer ? Dénude-toi ». Je m’exécute et je prends la position, la seule qui me soit autorisée en sa présence : à genoux, les mains sur les cuisses, paumes ouvertes vers le ciel. « Rampe à présent »… Je la devine devant moi. Je m’avance ainsi, en rampant. Je sens subitement la morsure d’une cravache sur mes fesses. « Plus bas ! Rampe, je t’ai dit ». Comment est-ce possible : j’entends sa voix devant moi. La cravache vient du côté gauche. Après deux ou trois autres coups, je ne réfléchis plus. Je rampe. Quand j’arrive enfin devant elle, une lumière venant du sol l’illumine par en bas. Elle se tient assise, princière, sacrée, sur un siège en forme de trône. Je perçois, à mes côtés deux talons aiguilles : l...
Une éducation dans les années cinquante (3)
il y a 2 ans

La tentation peut quelquefois être trop forte.

J’étais passé haut la main en cinquième. Mes résultats étaient plus qu’honorables. J’avais tout, par ailleurs, de l’enfant sage. On n’avait rien à me reprocher. Pas de mensonges avérés. Pas d’insolences caractérisées. Mes professeurs étaient contents de moi. Mes parents aussi. Ils soupiraient. - Pourvu que ça dure ! Madame Morlier, avec qui maman continuait à entretenir des rapports suivis, était convaincue du contraire. - Il cache son jeu, c’est tout, mais le jour où ça va le reprendre… Je ne cachais pas mon jeu, non. J’étais au contraire fermement décidé à rester dans les clous. Autant que faire se pouvait. D’abord et avant tout parce que j’avais une peur panique de ce martinet à manche rouge suspendu dans l’entrée avec lequel je n’avais pas encore eu l’occasion de faire plus ample connaissance. J’avais voulu, un jour que j’étais seul à la maison, le tester sur ma cuisse. Pour voir. Pour me faire une idée. Je n’avais pas cinglé bien fort. J’avais pourtant eu mal. Et je n’...
Pour le plaisir de ma Maîtresse (1)
il y a 2 ans

Où il est question d'une invitation insolite...

Maîtresse m’a donné rendez-vous dans un café. La chose est rare. Il était prévu que je vienne encagé et plugé. Je m’y suis bien sûr tenu. Elle est là à l’avance. Je n’ose m’asseoir sans son ordre. Je reste donc debout. Elle me laisse attendre ainsi un moment, au milieu de la terrasse. Je sens les regards tournés vers moi. Je la salue plusieurs fois, avant qu’elle daigne me regarder. Un bref « assis-toi » suivi d’un regard sévère m’autorise enfin à quitter la pause. Alors que je cherche à appeler le garçon pour commander, elle me rappelle à l’ordre « Tu ne prendras rien. Nous ne sommes pas là pour ça. Depuis quand devrais-je boire en ta compagnie ? ». Elle me fait part alors de son souhait d’organiser un apéritif dans son jardin, en compagnie de ses amies. Je serai chargé de l’organisation, du service et des prestations en tout genre. Ma tenue, la façon d’agencer mon corps seront choisis en temps voulu, selon les caprices de Maîtresse. Je lui demande combien de personnes ell...
Les mésaventures d’un fétichiste des pieds féminins
il y a 2 ans

Piégé par son fétichisme il oublie la honte et les conséquences …

Une journée de cours tout à fait banale commençait. Au programme, des maths, un peu d’histoire et d’anglais puis le repas avant de retourner en cours jusqu’à 17h. Arrivé à 8h au lycée j’ai rejoint mes amis qui étaient déjà tous présents, comme souvent en raison de mon manque de ponctualité. Nous formions une bande d’une dizaine de personnes assez mixte six garçons et quatre filles. Dans cette bande, il y avait surtout cette fille en particulier, Lilou. Depuis le premier jour où je l’ai croisée, elle m’a tapé dans l’œil. Les cheveux châtain-clair toujours joliment coiffés, de beaux yeux bleus, des joues de bébé, bien maquillée et avec de jolis petits pieds qui me faisaient rêver en tant que fétichiste. Bref je trouvais cette fille très attirante et j’essayais chaque jour de sympathiser un peu plus avec elle, en essayant de ne pas rentrer dans la fameuse « friendzone », c’est à dire le point de quasi-non retour à partir duquel on devient trop amis pour qu’une histoire d’amour puisse...
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