Récits
Ce week-end tu joueras le rôle de la femme
il y a 2 ans

Une femme découvre que son mari la fait passer pour une Maîtresse tyrannique dans ses histoires érotiques. Elle découvre ensuite qu’il se travestit et joue seul.

André et Laure sont, aux yeux de tous, un couple conventionnel. Comme beaucoup, après 15 ans de mariage, leur vie sexuelle s’est étiolée. André, ayant des envies de BDSM et de soumission, a souhaité que sa femme gère les clés de sa cage de chasteté achetée sur ABCplaisir et qu’elle joue le rôle de dominatrice. Cela n’a pas amusé Laure qui, pour lui faire plaisir, a accepté de garder « des clés ». En clair, dominer son mari et faire la maîtresse ne l’amusait pas, mais alors pas du tout. Elle était même un peu inquiète et se posait des questions sur la masculinité de son mari. Keyholder, elle ne l’est pas, les clés sont restées sur leur table de nuit. Certes, lorsqu’elle le libérait de sa cage de chasteté, après de longs préliminaires comme elle aime, sous réserve qu’il soit « bon » il redevenait l’amant qu’elle a toujours connu au lit. Laure a fini par s’accommoder des frasques sexuelles de son mari. Elle le trouvait même « attendrissant » quand il lui quémandait un câlin. Cette rel...
Alyssia, ma femme (6)
il y a 2 ans

Vacances entre mari, amant absent et nouvelles conquêtes.

Elle a voulu qu’on s’arrête boire un coup. Au même café que d’habitude. - Ça devient une tradition, dis donc! - Je l’aime bien, moi, ce café. Je lui trouve beaucoup de charme. - Au café ou au serveur ? - Faut reconnaître qu’il est pas désagréable à regarder non plus. - Et qu’il te plaît bien. Ce qui est réciproque d’ailleurs. - Tu crois ? - Je crois pas. Je suis sûr. Bon, mais on s’installe à l’intérieur, je suppose. Que tu puisses le regarder tout à loisir s’affairer derrière son bar. On avait à peine pris place que son portable a sonné. - Qu’est-ce que c’est que ça ? Zut ! Benjamin ! C’est bien le moment. Elle n’a pas décroché. - Il rappellera. Je me suis levé. - Tu vas où ? - Chercher le journal. Et faire un loto. Passe la commande ! J’ai pris tout mon temps. Qu’elle ait le sien. Qu’ils aient le leur. 2 - Je crois bien que t’as raison. On attendait qu’il soit l’heure de passer à table, sur la petite terrasse, derrière l’hôtel. - À quel prop...
martine et le sulky part 3
il y a 2 ans

Apres les deux premiers épisodes, je vous raconte la poursuite de la soumission de plus en plus poussée de ma femme

MARTINE – PARTIE 3 – PONYGIRL La préparation Comme je l’avais annoncé à l’issue de mon deuxième récit, une nouvelle soirée avait été prévue. Cette soirée a eu lieu le 20 Janvier 2020 dernier un peu avant le confinement que je n’avais évidemment pas anticipé - et je vais maintenant vous la raconter le plus en détail possible. Lors de notre première soirée nous avions convenu que c’était Jean qui devait organiser cette seconde soirée et nous proposer un scénario. Comme Martine avait regretté la présence de préservatifs nous avions convenu que celui qui nous présenterait un résultat récent de test VIH se verrait alors dispensé de mettre une capote lors de notre soirée suivante. Très rapidement Jean nous envoya par mail le scénario qu’il avait imaginé. Il proposait de nous recevoir chez lui ou plutôt dans son garage (il est concessionnaire automobile)Il me dit ensuite disposer d’un petit sulky, modèle réduit de celui utilisé lors de courses de trotteurs et qu’il avait...
Une nuit coquine avec une cochonne à fister
il y a 2 ans

Un récit érotique croustillant et très « humide »... mené de main de maître

Les directeurs de notre bureau de Beauvais m’ont envoyé à notre usine de Mâcon pour travailler avec les gens sur un problème de production. Ce n’est qu’une semaine, m’ont dit les gérants, peut-être deux au plus, mais un mois plus tard, je suis là, et je suis en train de mettre les choses au point et de me préparer à rentrer à la maison. L’usine de Mâcon n’était pas vraiment à Mâcon…, mais dans une petite ville au nord de la ville elle-même. J’y ai pris un petit appartement de location temporaire, et quelques nuits par semaine, j’ai pris l’habitude de m’arrêter dans un petit salon qui se trouve entre l’usine et mon appartement. Je prends une bonne Guinness bien fraîche, ou parfois un whisky, je bavarde avec le barman, puis je me rends chez moi. J’ai vite remarqué qu’il y a un ou deux habitués de cet endroit, et qu’à une table, il y a habituellement trois filles, peut-être dans la vingtaine, qui font la même chose que moi, c’est-à-dire prendre un verre sur le chemin du retour. Ell...
Une épouse sodomise son mari
il y a 2 ans

L’exquise écriture de cette histoire ne vous laissera pas de marbre ! La sodomie d’un homme présentée par un artiste de la plume.

Elle respirait profondément, son cœur battait fort et son clito palpitait. Il était penché devant elle, soumis, son cul parfait affiché pour son plaisir visuel, rose lisse et suppliant d’être léché. Elle ne pouvait pas résister, haletant légèrement, elle se pencha, courant doucement le bout de sa langue le long de la légère crête au centre de son périnée, il gémit et arqua son dos, se balançant légèrement en arrière, désireux que sa langue trouve son but, pour l’ouvrir et se détendre. Elle ralentit, souriant à son pouvoir sur lui, sa langue parcourut paresseusement le chemin vers le haut, lentement, son souffle refroidissant sa salive et le faisant se tordre d’impatience. Ses couilles contre son menton étaient tendues et elle savait sans pouvoir voir que sa bite était dure comme un roc, palpitante et ruisselante de liquide pré éjaculatoire. Elle encerclait son trou du cul, s’enfonçant de temps en temps dans le milieu, sa langue agile le rendant glissant. Juste au moment où elle le p...
Route étroite
il y a 2 ans

Quand personne ne veut céder...

Un dernier tour d’horizon. Tout avait l’air en ordre. Les compteurs coupés. Les tuyauteries purgées. Elle a fermé la maison. Ses dernières vacances. Parce qu’en mars, elle serait à la retraite et c’est en permanence qu’elle l’habiterait, son petit paradis. Il faisait beau. Les feuillages commençaient à se teinter d’automne. Dans les plates-bandes, les abeilles s’en donnaient à cœur-joie. Elle a pris la route en chantonnant. Elle se sentait bien. Détendue. Heureuse. Elle était presque arrivée en bas quand elle s’est trouvée nez à nez avec une autre voiture. Impossible, sur cette petite route étroite, de se croiser. Il fallait que l’un ou l’autre des deux véhicules recule jusqu’à l’un des décrochements qui étaient ménagés à cet effet sur les côtés, à intervalles réguliers. Des jeunes en face. C’était à eux de le faire. Et elle a attendu. En vain. Ils n’ont pas bougé. Bon. Elle a fini par descendre dans l’intention d’aller gentiment leur demander de bien vouloir lui céder le passage....
Transformé en poule mouillée
il y a 2 ans

La biographie d'une petite poule mouillée

Découvert et retranscrit par tante Claudette. A noter, le terme de « poule mouillée » n’a pas le même sens qu’en France, il ne fait en aucun cas référence à une personne sans courage. Notes et glossaire : Les robes portées sur des jupons bouffants étaient appelées "poufy", et non "gonflées" par les femmes. On disait qu'une robe ou une jupe avec suffisamment de jupons en dessous avait «beaucoup de pouf». C'était certainement le mode du printemps 1953 à environ 1960 pour les femmes et pour les filles, des tout-petits, des petites et des préa d o l e s c e n t es, jusqu'à leurs années post-pubères. Sears-Roebuck & Company, avec ses magasins dans de nombreuses villes des États-Unis et du Canada, a continué à vendre des slips bouffants pour les préa d o l e s c e n t es jusqu'en 1966. De nouvelles boutiques de vêtements vendant le style bouffant des robes et des jupes ont proliféré pendant cette «ère du jupon». offrant non seulement des robes, des jupes et de la lingerie pour fe...
Alyssia, ma femme (5)
il y a 2 ans

Un mois de vacances. Ce sera long sans l'amant.

Elle s’était occupée de tout. -  C’est pas plus mal que t’aies la surprise… Avait choisi le point de chute. - Tu verras… Au calme. En pleine campagne. Mais à proximité d’une grande ville quand même. Qu’on puisse sortir si on a envie. Aller visiter des trucs. Et préparé les valises. - On est opérationnels. Il y a plus qu’à embarquer. Demain matin. Aux aurores. Mais avant… je peux te demander quelque chose ? Seulement te sens pas obligé. Faut que tu me dises carrément. Ça t’embêterait s’il venait Benjamin ? - Avec nous ? En vacances ? - Ça, c’est pas possible, non. Il y a sa femme. Et ses enfants. Non. Ici, ce soir. Parce que faut pas trop que j’y compte qu’il réussisse à se libérer quand on sera là-bas, à ce qu’il m’a dit. Et je vais pas le voir d’un moment, du coup. - Évidemment qu’il peut venir ! Elle m’a sauté au cou. - T’es un amour ! A tapé un SMS en toute hâte. Et s’est engouffrée dans la salle de bains. On a attendu tous les deux, lui et moi, de concer...
UN ALLER RETOUR DEVIENT UN ALLER SIMPLE
il y a 2 ans

Une femme de 40 ans, LEXTIVA, a tout pour être heureuse. Mais non contente de son existence, elle entreprend un voyage à la connaissance d’elle-même.

Nous sommes en l’an de grâce 2156. Depuis longtemps déjà, notre planète a été renommée TERRAMUBO. La population y stagne à 5 milliards d’habitants du fait d’une politique démographique mondiale drastique et de la v i o l e n t e épidémie qui a décimé des centaines de millions d’êtres humains il y a 50 ans. Les grandes fortunes ont disparu ainsi que la très grande pauvreté. Il n’y a plus à travers le monde que 8 grands groupes d’humains appelés MIDDLES. Ils sont classés selon leur cursus et leur travail. Le travail, appelé PLAX, est devenu obligatoire pour toutes les personnes à la fin de leur cursus. LEXTIVA fait partie du MIDDLE 5, niveau considéré comme une bonne classe moyenne. Elle et son mari FONNOR ont tous deux 40 ans. Ils forment un couple harmonieux, sans histoire, comblé et à la sexualité épanouie. LEXTIVA et FONNOR ont un PLAX pérenne qui leur assure un avenir convenable. Leurs 2 fils, RIGU et YAKSI, sont encore étudiants mais ont déjà leur PLAX réservé... Par ailleu...
Alizée et les cages de chasteté
il y a 2 ans

Quand on part en vacances sans son petit copain, il est quand même plus prudent de le mettre en cage.

Antoine s’est blotti contre elle. - C’était bien, hein ? Elle a souri. - C’était bien, oui ! Il a soupiré. - Et dire que tu pars demain ! Un mois ! Un mois sans se voir ! Comment ça va être long ! - Oui. D’ailleurs, à ce propos… Elle s’est levée. Est allée farfouiller dans son armoire. - Tiens, je vais te mettre ça… - Qu’est-ce que c’est ? - Une cage de chasteté. - Une… Non, mais ça va pas ? - Oh, si ! Ça va même très bien. Parce que je les connais, les types ! Je sais comment ça se passe. C’est plus fort qu’eux. Dès qu’une occasion se présente, faut qu’ils aillent fourrer leur queue. Ils peuvent pas s’empêcher… - Mais non, mais… - Je sais ce que je dis. Tu vas faire quoi, toi, pendant ces vacances, quand je serai partie ? Rester terré chez toi ? Bien sûr que non ! Tu vas sortir en boîte et là, tu vas être tenté. Forcément. Sans compter que, je les connais, le reste du temps il y a tes collègues qui vont te tourner autour. Alors si je veux être tranquille…...
Alyssia, ma femme (4)
il y a 2 ans

Le mari et l'amant font connaissance.

- Tu seras là ce soir, je suppose. Dans la chambre d’à côté. - Peut-être. Sûrement. - T’aimes ça m’entendre, hein ? - De plus en plus. Ça t’ennuie ? - De moins en moins. Et même… - Oui ? - Je crois que maintenant ça me manquerait que tu sois pas là. Je l’ai prise dans mes bras. - J’aime ton plaisir. Même si c’est pas moi qui te le donne. Nos lèvres se sont brièvement effleurées. - Et moi, j’aime que tu l’aimes. Elle s’est doucement dégagée. - Faut que j’aille me préparer. Si je veux pas le faire attendre. 2- C’est moi qui ai attendu. Jusqu’à huit heures. Ils ont monté les bagages dans la chambre et ils ont décidé de descendre aussitôt dîner. - Mais avant… - Qu’est-ce tu fais ? - Ça se voit pas ? Je te déculotte. Tu sais ce qu’on avait dit. - Mais pas déjà ! Pas aujourd’hui ! - Ben, pourquoi ? - Mais parce que… - Si je t’écoute, on le fera jamais. T’auras toujours une excellente raison. Allez, route ! - Laisse-moi changer de jupe au moins. Mettre...
Découverte des plaisirs saphiques
il y a 2 ans

Les soirées entre filles dér a p e nt souvent mais pas toujours sous la couette.

Un téléphone portable a sonné “Shake It Off” de Taylor Swift lors d’une chaude journée d’été dans la Saône et Loire. Taylor chantait encore et encore des répliques de la chanson jusqu’à ce que Sandrine Famot réponde à l’appel. Sandrine se préparait pour sa dernière année de lycée et elle ne pouvait pas attendre. Elle avait été pom-pom girl tout au long de ses études secondaires, mais elle ne pouvait pas attendre le début de la dernière année pour le faire. Elle avait le béguin pour un des garçons de l’équipe universitaire de football. Ce n’est pas le capitaine comme la plupart des pom-pom girls le font. C’est le joueur vedette, Chimon Nicolas. Bref, elle a répondu au téléphone. -Salut, Coach Noiseti ! C’était Olivia Noiseti, l’entraîneur des pom-pom girls. Tout le monde aimait Mlle Noiseti. Elle enseigne l’anglais à l’école en plus de ses fonctions d’entraîneuse. -Salut, Sandrine. L’entraîneur Noiseti a dit. -Ecoute, je t’appelais juste pour te dire que tu as été cho...
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