Récits
Retard fatal
il y a 2 ans

Une bien fâcheuse habitude qui fait mal aux fesses

Lorsque, tout essoufflé, je toquai à la porte de ma classe, j’avais la gorge nouée, l’estomac retourné et le cœur sur les talons. La leçon avait commencé depuis huit minutes et une fois de plus, pour la 3ème et fatidique fois, j’étais en retard ! En retard ! Une bien fâcheuse habitude… Et ce, malgré ma mère qui, chaque matin, me houspille en me réveille du plat de mon chausson. Le mal semblait inguérissable, plus fort que les menaces. « C’est mon dernier avertissement. La prochaine fois, ce sera chez Madame la Directrice ! », m’avait prévenu Mlle Roselyne, notre professeur principale, tout en chauffant mes mains d’une bonne dizaine de coups de férule suivis de cinq minutes de pénitence à genoux à côté de son bureau. Ce matin n’est pas comme les autres. A peine suis-je réveillé qu’une pensée lancinante comme des coups d’aiguille m’a jeté bas du lit. Désormais, une crainte folle gouverne tous mes gestes. Vite ! Débarbouillage exprès sous la douche, petit déjeuner sur le pouce, et...
Dévergondage total en Afrique (Texte hard)
il y a 2 ans

Un changement de sexualité la transforme en reine de la nuit

C’était au temps d’Houphouët-Boigny. La Côte d’Ivoire vivait dans le calme et l’indolence qu’assument plus ou moins la prospérité économique et la quiétude intérieure savamment ordonnée. - Tour de contrôle ? Ici le vol Air Afrique numéro 2-3-2… posé ! Couvrant le sifflement des réacteurs, la voix nasillarde venait de briser le silence qui règne généralement en phase finale d’atterrissage. Simple erreur de commutation dont la vertu fut d’apaiser le brave pachyderme qui lui avait gentiment empoisonné le vol. Vanessa se sentait libérée de ce rôle de nounou improvisée qu’elle avait accepté de bon gré pour décharger un peu le personnel de bord. Après tout, on ne peut pas reprocher à quelqu’un d’avoir peur en avion, ni d’être démesurément large. - Ben vous voyez… le vol s'est bien passé, dit-elle en réprimant un bâillement. Car tenter un flirt avec Morphée quand on est coincée dans un demi-siège, c’est se brancher en mode « essayé-pas-pu ». Libérée, mais pas soulagée. Son dernier...
Les fessées de Morgane (4)
il y a 2 ans

Une fouettée, réclamée comme punition, en apothéose.

Elle s’est agenouillée. Et a attendu le premier coup. - Tu n’as rien à me dire ? - Non. Rien. Pourquoi ? - Bien sûr que si ! Réfléchis bien. - Je… - Oui ? - Je leur fais croire aux hommes sur Internet. - Tu leur fais croire quoi ? - Que j’en suis une. - Une quoi ? -  Une pute. J’ai lancé un premier coup. En travers des omoplates. - Enfin, pas vraiment une pute sur le trottoir, avec la mini-jupe et tout et tout, mais une petite étudiante qu’a besoin de sous. Un second coup. Un peu plus bas. - Aïe ! Qu’a pas vraiment besoin en fait, mais qu’a envie de pouvoir s’acheter toutes les fringues qu’elle veut. Trois autres, très rapprochés. En plein milieu du dos. - Hou, la vache ! Ceux-là ! Comment ça les excite en attendant, les types, derrière leur écran. Et moi aussi, de sentir que ça les excite, ça m’excite. J’ai accentué encore l’intensité des coups. Et les mots se sont précipités sur ses lèvres, entrecoupés de gémissements et de cris de douleur, tandis qu...
Carolyn rougit
il y a 2 ans

Jeune timide et déjà coquine

Elle semblait si petite, si fragile ! Lorsque Tom, mon coloc, m’a présenté sa nouvelle petite amie, je n’ai pu m’empêcher de rire. Franchement, elle devait mesurer à peine un mètre cinquante et à la façon dont elle se tenait les bras croisés, les yeux rivés au sol, je l’aurais imaginé plus petite encore ! - Mark, je te présente Carolyn . Je lui ai tendu ma main et elle a regardé Tom avant de la serrer comme si elle voulait lui demander la permission. Elle était assez jolie. Elle avait les cheveux châtain clair raides et mi-longs, des yeux marron sans charme et la peau blanche clairsemée de taches de rousseurs. Elle portait encore les rondeurs de l’e n f a n c e , en particulier au niveau du ventre et des fesses. Elle n’avait pas vraiment de style, vêtue d’une jupe longue et d’une triple couche de hauts sur lesquels elle tirait comme pour cacher sa poitrine, au demeurant plutôt attirante. Je pense qu’elle remarqua que je fixais sa poitrine car elle croisa ses bras dessus e...
La duchesse est une perverse de haut niveau
il y a 2 ans

Elle va jusqu’à envoyer une rivale en enfer

Lorsqu’elle entend la sonnette de la porte d’entrée retentir, Diane du Plessis-Verneuil sursaute et manque de laisser tomber le verre qu’elle est en train de laver. Ayant une vue directe sur l’entrée extérieure à partir de la fenêtre de la cuisine où elle officie, elle peut apercevoir deux hommes qui se tiennent devant la porte. Ils se frottent les mains pour se les réchauffer, un ciel gris acier fait pleuvoir un crachin glacial. Diane fait tout de suite le rapprochement avec l’intervention qu’elle a demandée hier auprès de la société qui a en charge l’entretien de la chaudière de sa maison. Elle habite un quartier huppé de Saint-Germain-en-Laye, non loin de Paris. La duchesse Diane du Plessis-Verneuil est âgée de trente-cinq ans. Elle a passé son e n f a n c e à Versailles où son père était notaire. Elle a reçu une éducation chrétienne traditionnelle comme tous les e n f a n t s issus de la noblesse française. Son nom de jeune fille était Diane de Fressignac. C’est à la faculté...
Sadique et pervers rencontre une soumise maso
il y a 2 ans

Quand deux êtres de ce type font une rencontre BDSM cela ne peut qu’être chaud.

SP, Sadique et Pervers dans le texte, est un Maître attentif, respectueux mais extrêmement gourmand des plaisirs de la vie. Le BDSM et le sexe compte autant pour lui que de manger., c’est dire.... Moi c’est Karine, j’ai 27 ans, physiquement je me trouve pas trop mal, disons que les hommes ne détournent pas leurs yeux lorsqu’ils me voient et que, parfois, ils me regardent ailleurs que dans les seins. Lorsque j’ai rencontré SP, ce fut le coup de foudre, la communion totale des sens et du BDSM. J’ai de suite senti qu’avec lui, je pourrai vivre ma soumission à 100 % mais aussi mes penchants masochistes. Lors de cette rencontre BDSM organisée par Fessestivites, il était seul et moi, je m’étais faite « planter » par un mémaître. La tante du cousin, de son demi-frère, vivant dans le nord de la France l’avait retenu.... pour des funérailles gérées, je suppose, par sa main droite devant un écran sans jamais passer au réel... Lors de cette rencontre j’ai, malencontreusement, renversé...
Sadique et pervers rencontre une soumise maso 2
il y a 2 ans

La suite de l'histoire sera en gratuit puisque vous avez mis des commentaires.

CHAPITRE deux A ce fameux ballon de baudruche il a attaché un bout de ficelle à rôti avant de fixer une pince à linge à l’autre extrémité de la ficelle. Il s’est accroupi derrière moi toujours penchée en avant sur la table pour farfouiller ma tendre intimité et faire émerger mon clitoris. Après lui avoir fait quelques caresses, il y a fixé la pince à linge derrière le clito étiré. Lorsque j’ai crié, il m’a simplement répondue que j’allais m’y habituer et que ce n’était que le début de ma punition. Il m’a dit d’attendre parce qu’il fallait qu’il aille au garage. Il m’a, à nouveau abandonnée à mes questionnements avec en prime la douleur générée par mon clito pincé, A son retour, j’ai pu voir qu’il avait apporté le ventilateur. J’en ai déduis qu’il allait me fesser si fortement que nous en aurions besoin. Non, non, il a fait pire ! Il a branché le ventilateur posé sur le sol. Et là j’ai compris ma douleur et que ma punition allait être rude. En effet, le ballon propulsé sous la t...
Les nouvelles Souveraines
il y a 2 ans

Entre les griffes des lesbiennes souveraines

Jenny à 26 ans, elle est blonde, plutôt jolie. Elle est photo-reporter free-lance. Elle a tout fait, l'Iran, l'Irak, la Somalie, même la Corée du Nord. Là où il y a un dictateur, ou le peuple est tyrannisé, elle se rend au péril de sa vie pour prendre des images. Pour afficher à la face du monde les horreurs perpétrées par leur régime barbare. Pourtant c'est ici, sur le sol américain, qu'elle est sur le point de percer à jour l'existence d'une secte tentaculaire qui s'étendrait dans tout le nord de l'Etat de Virginie. Après deux années d'investigations intensives, elle est parvenue à localiser l'une des hautes dirigeantes de cette organisation souterraine, Becky Lowell, surnommée "La Duchesse de Richmond". Et c'est avec l'intention d'en apprendre plus qu'elle s'introduit dans sa propriété isolée au nord de la ville. Entrée en pleine journée, après le départ de sa cible, elle fouille un bureau et découvre des documents sur le réseau de cette organisation. C'est encore plus importa...
Les fessées de Morgane (3)
il y a 2 ans

Cette fois Morgane se prépare, avec tout autant d'appréhension que de fascination, à goûter du fouet. Après une petite mise en condition préalable.

Son train était arrivé le premier. Et elle m’attendait. Du plus loin qu’elle m’a aperçu, elle a fendu la foule des voyageurs pour se précipiter à ma rencontre. Elle m’a tendu la joue. - Ça va, toi ? - Oh, alors là, vous pensez bien que oui. Un jour comme aujourd’hui… D’un coup d’épaule, elle a fait glisser son sac à dos à terre, l’a entrouvert, les yeux brillants. - Regardez ! Moi aussi, j’en ai apporté un ! - Un quoi ? - Ben, un fouet, tiens ! Je me suis penché. J’ai souri. - Sors-le ! Je le vois pas bien. - Parce que ? Vous croyez que je suis pas cap ? Ben alors là, vous avez tout faux ! Et elle l’a extirpé de son sac, me l’a tendu. J’ai pris tout mon temps pour l’examiner. - Pas mal ! Pas mal du tout ! Et très certainement redoutablement efficace. Avant de le lui rendre. Elle l’a rangé. - Ben, ça attaque fort. Vous avez vu ? Non ? Le type qu’a ralenti, là, le vieux, il a compris. Il se marrait. Et les deux filles de mon âge aussi. Sauf que elles, ça avait plutôt l’air...
L'amour en cage
il y a 2 ans

Dialogue de femmes sur la chasteté masculine

Décidément, dans les salons feutrés de Glendale House, les réunions du club du jeudi ont beau se suivre, chaque mois apporte son lot d’imprévus. Il est vrai que Lady Alexandra n’a pas son pareil pour créer l’événement. Il suffit de se reposer sur ses talents d’improvisatrice. Elle excelle dans l’art de tenir son public en haleine. Il y a peu, l’épisode du French Cancan et le concours de la meilleure suceuse ont reçu une véritable ovation. Ses amies en ont encore le rouge aux joues. De plaisir ou de confusion. Béatrice ressert le champagne. Les flûtes pétillent. Comme les yeux. Coupes de fraises WimB l e d on. Le bout des langues titille les volutes blanches Chantilly. Les lèvres se referment avec gourmandise sur les fruits rouge vermeil. Avant de se séparer, il reste à ces dames à se répartir les gagnants. Un exercice inspiré de l’antique marché aux esclaves, qui ne devrait pas en l’espèce soulever de difficultés. Car la sélection s’est révélée excellente. Il suffit simplement de se...
12 minutes de plaisir
il y a 2 ans

Quand l'envie reprend le pas sur la raison

Bonjour à toutes et à tous, Je me permets de vous conter mon récit bien que la forme ainsi que le fond ne donnent pas lieu à moult fantasmes... Fort de ma relation avec ma copine du moment, qui a su se laisser tenter par un chéri attaché à sa merci sur la table basse, j'ai eu envie de reprendre mes sessions de selfbondage. En ce 2/05/2022, j'en ai eu l'occasion et je remercie [abcplaisir](https://abcplaisir.com/fr/) pour la fourniture des outils adéquates. Je me suis laissé à la situation suivante: Attaché sur une chaise Ceinture textile x2 pour attacher les pieds pinces à seins vibrantes 1 cockring plug vibrant 1 harnais ball bag 2 bracelet bondages 4 mini cadenas (2 harnais + 2 bracelets) et 1 cadenas timer. Une fois le harnais ball gag fixé, j'ai fait le nécessaire pour insérer le plug et atteler le cockring. (ce fut long et hésitant car 1ere fois) Des que cela était fait, j'ai rapproché tout au mieux pour que je ne bouge plus mon cul rempli de la chais...
L’enfer pour un jeune étudiant en colocation
il y a 2 ans

Après avoir été transformé en bonne, la question était : est-ce que la bonne et bonne ?

Je ne la sentais pas cette colocation, les trois mecs étaient ce que l’on appelle de bas quartier, plutôt primaires, avec comme loisir, le foot, les bières, et beaucoup de grasses discussions sur les nanas. Cet appartement mutualisé comptait quatre chambres individuelles, mes parents l’avait trouvé sur un site internet. Pour me soutenir dans mes études, ils l’avaient loué pour moi sans même le visiter. Dès le premier soir, ils avaient été à la limite du manque de respect avec moi, et, quand j’ai pu rejoindre ma chambre, elle est devenue comme un refuge. Un refuge anti primates ! Seul dans mon univers d’étudiant, après avoir bossé mess cours, il m’arrivait de jouer un peu avec mon corps. Rien de bien compliqué, ma main droit, la ceinture de mon pantalon et un plug anal que j’avais trouvé à côté d’une poubelle. Des coquins l’avaient sûrement jeté en le laissant bien visible pour rigoler un peu en s’imaginant la tête des éboueurs. Une cordelette complétait mon attirail de fantasme...
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