« Clac » ! La porte se ferma dans le dos d’Hélène. Deux jours, enfin deux jours de liberté. Sa colloc était en vacance à l'autre bout du monde et ses parents occupés pour le week-end ne viendrait pas la déranger. Elle ôta sa veste, posa son sac dans l'entrée et alla se servir un verre de vin. Elle y avait pensé toute la journée et en tremblait d'excitation. Son verre à la main elle fila dans la chambre et sortit le carton sous son lit. La se trouvait toute une collection de cordes, baillons et toute sorte d'attaches, des menottes en passant par les ziptied ainsi que le simple rouleau de gros scotch. Elle ferma les volet de la chambre et après avoir posé son verre sur la table de nuit alluma quelques bougies qu'elle disposa dans la pièce. Puis, sa jupe glissa à terre, son chemisier la rejoignit ainsi que ses talons, sa culotte et son soutient gorge. D'un coup de télécommande et alluma la chaîne hifi qui débuta une playlist de musique langoureuse qui lui faisait un certains e...

Mon bateau est à l’ancre, balancé par une légère houle. Autour de nous, d’autres embarcations de pêche, à l’ancre, comme nous, ou bien allant et venant à petite vitesse, traînant leurs lignes. Tout près, de petites vagues montent à l’assaut des rochers blanchis de guano. En face de moi, Jordan est assis, les mains à plat sur le banc de tribord. Nos cannes sont bien installées, à l’arrière. Il n’y a plus qu’à attendre que ça morde… Qu’il est beau, mon jeune pêcheur, avec sa casquette blanche sur la tête, presque nu, juste vêtu d’un short court que j’apporte à chaque fois pour qu’il ne salisse pas ses vêtements, laissant apercevoir, lorsqu’il écarte les jambes, l’extrémité rosée de son gland, un peu de ses bourses gorgées de sève. Jordan sait que j’aime le regarder, et comme il est un peu exhibitionniste malgré son jeune âge, il fait tout pour que je puisse admirer son corps en pleine croissance, retirant de lui-même ses vêtements dès que le temps le permet ! Plusieurs fois, iso...

##### Ce texte que j’ai adoré est évidement publié avec l’aimable autorisation de [Lutécia Cendrelle](https://www.atramenta.net/authors/lutecia-cendrelle/96080) Jets en pleine face. Et gratuits ! Eh toi ! Oui, toi ! Toi qui lis ici et viens t’abreuver d’histoires à durcir le jonc ou couler des fontaines. Toi qui dans tes songes tiens la laisse de Sonia ou la prends attachée au radiateur, toi qui mates Juliette léchant l’abricot glabre de sa bombasse Chloé. Toi qui me scrutes à genoux, deux glands sur la langue et une bite dans le cul. Tu lis, tu passes, tu télécharges et tu trépasses. Pas une trace d’amour laissée sous nos textes, même pas une goutte de ton vit chaud ou une pampille de joie de ton vagin trempé. Des textes lus 16000 fois, un commentaire… Sans commentaire ! Je suis une chieuse depuis toujours. Depuis l’école où j’entraînais les autres dans des révoltes ; au boulot dans les débrayages et combats justes. Là, je vais contacter toutes les autrices-actrices...

La salle était sombre, et le ciel couvert n’apportait pas beaucoup de lumière, participant à l’atmosphère lugubre des lieux. Les murs de pierre étaient décorés de tentures aux couleurs des différents vassaux de la duchesse. Derrière son trône, qui était posé sur une estrade, c’était ses armes qui dominaient la salle sur toute la hauteur du mur, de sorte qu’elle apparaissait assise et majestueuse au dessus de tous et tranchant se sa robe rouge le jaune de son blason. Sur chacun de ses côtés, ses deux principaux conseillés avaient droit à des chaises. Leur taille ne compensait pas tout à fait leur assise plus basse. A droite de ce trio, sur un tabouret, se tenait la fille de la duchesse, qui s’instruisait. En symétrique à gauche la dame de compagnie de celle qui dirigeait cette cérémonie presque quotidienne. Un peu à l’écart sur la droite un clerc, face à un pupitre prenait note de tout ce qui se disait ici, tandis qu’à gauche, un autre annonçait les sujets qui devaient être abordés....

Le soir, Sophie, la duchesse, était dans ses appartements aux côtés d’Irène. En face d’elles Arthur, et Charles, les ministres amants de Sophie. Irène était furieuse : « Pourquoi fais-tu le jeu de ces hommes ? » -Comment ? répondit Sophie. -Tu as condamnée à m o r t une prostituée, et enfermée une jeune fille v i o l ée. Crois-tu vraiment que nous verrons les griffures sur le chevalier de la Barre ? Tu la fais enfermer alors que tu sais qu’elle ne prouvera rien, et tu devras la faire fouetter ! -C’est elle qui l’a demandé. -Elle est sure de prouver l’improuvable. -Veux-tu qu’on la fasse venir ici. -Irène, on ne critique pas la justice Ducale dit Arthur. -Humm ! Nous sommes ici dans un cercle privé répondit Charles. Je crois que c’est à Son Altesse, de nous interdire de critiquer ses décisions si elle ne veut pas se justifier. Tant que nos critiques ne sont pas publiques je ne crois pas qu’elles soient mauvaises. Elles aident Son Altesse à prendre les décisions à venir ou ses...

C'était l'automne de ma deuxième année à l'Ohio State University. J'étais en pré-médecine, ce qui signifiait que j'étais en compétition avec une légion d'autres étudiants en chimie organique pour un "A" convoité. Tout le monde savait que le bio était le test décisif pour l'école de médecine. Faites bien dans la classe et vous aurez la voie intérieure sur une place dans une grande école de médecine. Faites mal et pesez vos options pour un transfert pour aller dans une école de médecine à l'étranger. La chimie organique était enseignée par un professeur titulaire dans une salle de conférence moderne et caverneuse qui accueillait trois cents étudiants. La classe a ensuite été divisée en plusieurs sections, chacune dirigée par un assistant d'enseignement (TA), généralement un étudiant diplômé. Après ma première conférence, je suis allée dans la section qui m'avait été assignée, dans un bâtiment des années 1950 avec des fenêtres à courants d'air, des radiateurs au sol à l'ancienne et des...

Bess et moi n'étions pas amants. Nous étions des explorateurs. Nous avons exploré les profondeurs de mes tendances soumises. Avec nos maigres économies, nous avons pu acheter une poignée de jouets : des vibromasseurs, des pinces à tétons, des menottes et une pagaie. Nous nous sommes amusés à les essayer les uns sur les autres. Il était clair que Bess n'était pas une soumise. Elle n'a pas apprécié les pinces ou la pagaie. Tout ce qui induisait de la douleur était un rebut pour elle. Mais pour moi, ces appareils n'ont fait que confirmer ce que nous savions déjà. J'étais une salope de douleur. Mon engouement pour Cole était partagé par la plupart des filles de notre classe. Sa manière confiante et sa beauté ont continué à capter notre attention (et nos cœurs). Il dégageait une vibration que moi seul semblait ressentir, une sorte de sifflement de chien à une fréquence que moi seul pouvais entendre. Qu'est-ce que c'était? Je n'ai pas pu mettre le doigt dessus. Elle était persistante et o...

Lisa est une femme très sportive et un peu casse-cou de nature. Son sport préféré est le krav maga qui n'est pas conçu comme un art mais comme une méthode de combat rapproché. Et le corps à corps, elle adore..... Lieutenant de police, Jean vient de faire un détour pour déposer son coéquipier dont la voiture est en panne. Sur le chemin du retour, au feu rouge, il repère une jeune fille particulièrement canon près des Arnavaux, un quartier chaud de Marseille. Il l’intercepte près de l’entrée du marché, fermé à cette heure de la nuit en ce samedi 2 avril. Son idée est de la draguer et voir plus si affinités, enfin façon de dire, c’est plutôt si il lui sera possible de profiter de la situation. Après le contrôle d’usage des papiers du véhicule, il lui demande de sortir de son véhicule et d’ouvrir son coffre. Lisa portant une jupe courte, il ne résiste pas à lui demander de soulever le tapis de sol du coffre et même la roue de secours pour voir si elle cache quelque chose dessous. (...

Je suis encore décontenancé aujourd'hui, j'ai apprécié assez modérément ce qui est advenu chez Luce. Les marques sur le haut du dos et les cuisses sont visibles malgré qu’il y ait eu une semaine passée; mais ce ne sont pas ces "vestiges" des agissements de cette charmante-implacable (cela est chose plutôt naturelle avec Elle) mais certains procédés que je vois comme insolites. Du jamais vu depuis les dix bonnes années qu'Elle me convoquait lorsque cela lui sied, afin de sévir sur son dénommé objet, moi en l'occurrence.  Luce est de petite taille, mignonne et si l'on examine bien se devine un corps musclée au point qu'il est difficile de distinguer les pectoraux des seins. Sachant sa capacité, rare, à dominer Elle peut faire son choix parmi les hommes prêt à se placer aux pieds de Dominantes. Depuis longtemps cette élégante Femme se charge de malmener quatre hommes à la fois ni plus ni moins - qu'Elle désigne en "sa partie carrée". Et certainement pour titiller mon orgueil Elle m'a af...

Si vous me voyiez marcher dans la rue, vous penseriez que je suis magnifique, toute chaude et sexy du haut de mes dix-huit ans, et vous auriez raison. Je veux dire que j'ai cette crinière de cheveux blonds qui ne s'arrête jamais, un joli cul, de longues jambes, une bouche qui semble avoir été façonnée uniquement pour la succion, et le genre de seins qui rendent les hommes fous. Et pourtant, il te manquerait quelque chose. Il y aurait quelque chose sur moi que tu ne connaîtrais pas vraiment. Et c'est que... eh bien... laisse-moi le dire de la manière la plus simple que je connaisse. Je veux être dominée. J'adore ça ! Être humiliée ! Être malmenée ! J'ai besoin qu'on me fasse... servir d'autres femmes. Elles m'excitent plus que quiconque. Si je vois une femme sexy avec ce regard, il n'y a rien de mieux que d'aller vers elle et de lui dire, de ma voix la plus sexy, "Fais-moi me soumettre !". Vous seriez surpris de voir à quel point ça marche souvent... à quelle vitesse je peux...

Chapitre 4 Je tremblais maintenant, attaché à cette énorme chaise ! Car, là, devant moi, souriante, se trouvait ma maîtresse... et dans ses mains, une paire de ciseaux ! Mes pires craintes étaient en train de se réaliser ! Elle allait me couper les cheveux ! Mon Dieu ! Pourquoi ? Pourquoi voudrait-elle me faire une telle chose ? N'avais-je pas fait tout ce qu'elle voulait ? Ne m'étais-je pas permis de revenir avec elle ? J'étais consentant, sexy, sexuelle, docile... alors pourquoi me traitait-elle ainsi ? Je ne comprenais pas... Je ne comprenais rien de tout ça... et maintenant, je ne pouvais pas empêcher les larmes de couler sur mon visage. Oui. Des larmes. Et c'était encore mieux pour elle. Elle aimait le fait qu'elle pouvait me faire pleurer. J'adorais ça ! Et alors qu'elle attrapait la première touffe de mes cheveux, je pouvais sentir le cuir de sa tenue contre mon visage. Mes jambes étaient écartées et elle se tenait debout, tout contre le dossier de la chaise, tout près....

Malgré mon âge, je parais être encore dans l’a d o l e s c e n c e. Mince de taille et très joli garçon, homosexuel d’âme et de cœur, m’habiller de vêtements féminins est mon péché mignon. Un vrai bonheur pour moi de porter minijupes, bas et souliers à talons hauts. Lorsque je me travestis, je me maquille très peu, juste un soupçon de noir sur les cils et de rouge clair sur les lèvres. Mes souples cheveux blonds bien coiffés descendent bas sur ma nuque. J'avais pensé à prendre des hormones mais je ne me sens pas transsexuel au vrai sens du mot et étant presque imberbe de nature, je n’en ai rien fait. Ainsi en habits masculins ou féminin, je reste naturel. De mon « bled » de la Haute-Vienne, je suis venu à Paris pour y terminer mes études. J’ai loué une chambre très spacieuse et confortable dans un hôtel meublé où je paie un loyer dérisoire, car je permets au gérant de me baiser quand il le veut. Il ne le fait guère souvent. Son âge de près de 70 ans ne renouvelle pas sa viri...