Catégories : Femmes soumises SM camisole Homme soumis, Femdom Domination féminine
Ce récit est la suite de : INITIATION AU SADO-MASOCHISME SOUVENIR DE JEUNESSE
il y a 9 ans
_ Si tel est ton désir, alors je vais être ton maître. Ecarte les cuisses et prends tes chevilles dans tes mains. Elle s’exécute immédiatement. Dans cette position, la tête renversée en arrière, elle s’offre totalement. Ses reins cambrés mettent en avant son ventre plat et sa poitrine aux pointes déjà dressées. Entre ses cuisses écartées, au milieu de sa toison brune, je devine les replis rosés de son sexe. Je passe derrière elle, et posant mon sexe sur son visage, empoigne ses seins sans douceur. _ Es-tu prête à m’obéir, esclave ?
_ Oui, maître, articule-t-elle tandis que je pince vicieusement ses tétons durcis. _ Bien. Lève-toi. Les mains dans le dos.
Elle obéit et je lui attache rapidement les poignets à l’aide de la corde passée autour de la poutre. Puis, je tire, jusqu’à ce que ses bras se retrouvent tendus à la verticale, et noue le tout solidement au pied du lit. Courbée en deux, les jambes écartées pour conserver son équilibre, elle offre à mes yeux les rondeurs parfaites de ses fesses musclées. Je passe ma main entre ses cuisses et remonte lentement jusqu’à son sexe. Mes doigts ouvrent délicatement les tendres lèvres et viennent effleurer son clitoris.
Emmanuelle gémit de plaisir alors que mon index s’infiltre dans son vagin déjà trempé. Elle s’agite dans ses liens et donne de légers coup de reins, tandis que je le fais lentement aller et venir en elle. Quand je le trouve suffisamment excitée, je retire mon doigt souillé de mouille et viens lui présenter. Goulûment, elle le prend en bouche et suce avec délice ses propres sécrétions. _ Tu es une bonne chienne. _ Merci, maître. _ Mais tu t’excites trop vite... _ Je suis désolée, maître. _ Tu peux l’être... Mais j’ai un moyen pour te calmer.
Je vais prendre un instrument sur le lit et reviens me placer devant elle. Je lis l’appréhension dans son regard quand elle découvre le large ceinturon de cuir que je tiens en main. Cependant, docilement, elle baisse la tête et dépose un baiser sur l’instrument qui va la châtier. _ Bien, comme tu es obéissante, tu peux choisir le nombre de coups. Elle réfléchit un instant, puis se décide. _ Huit, murmure-t-elle en levant les yeux. Je secoue la tête. _ Tu viens de commettre deux erreurs, esclave... Tu as oublié de dire s’il vous plaît maître et tu m’as regardé dans les yeux... Cela multipliera ton châtiment par quatre... Cela fera donc trente-deux coups de ceinturon sur tes jolies fesses...
Je me poste derrière elle, fais une boucle autour de ma main avec le ceinturon, pour assurer ma prise, et ajuste ma cible. _ N’oublie pas de compter, esclave... Si tu oublies ou si tu te trompes, nous recommencerons à zéro... C’est bien compris ?
_ Oui, maître.
_ Bien, commençons. A ces mots, tout le corps d’Emmanuelle se raidit, se préparant à supporter la cuisante douleur. J’arme mon bras, le cuir siffle dans l’air. La tête baissée, les épaules rentrées, elle est prête au pire. Au dernier moment, je retiens mon bras et le ceinturon s’arrête en vol, sans la toucher. Surprise qu’il ne se passe rien, elle relève la tête et se détend. C’est à ce moment précis que je frappe, alors qu’elle ne s’y attend plus. Le cuir cingle sa croupe offerte. Elle pousse un hurlement de surprise et se tord dans ses liens. Toutefois, malgré la douleur qui la transperce, elle garde assez de lucidité pour compter le premier coup.
Le ceinturon s’abatte sans répit sur ses fesses et le haut de ses cuisses, laissant de cuisantes marques sur sa chair tendre. J’alterne mes coups, gauche, droite. Parfois ils se succèdent rapidement, comme en rafale, d’autres fois j’attends plusieurs secondes avant de frapper. Pour Emmanuelle, c’est un véritable supplice. Elle ne sait pas ce qui l’attend, le rythme n’a rien de régulier, elle ne peut pas anticiper la suite. Cela la rend totalement impuissante et vulnérable. Elle ne peut que subir. Le visage grimaçant de douleur, elle hurle sa douleur à pleins poumons, essayant de se soustraire au cuir qui la tanne. Mais c’est en vain, les liens la maintienne fermement.
De grosses larmes roulent le long de ses joues et s’écrasent sur le plancher. Cependant, elle continue à compter, sans se tromper. Je suis fière d’elle, malgré ses souffrances, elle obéit.
C’est bien. Depuis le quinzième coup, ses cris ne sont plus qu’une longue plainte, mais je continue inlassablement. Avant les trois derniers coups, je m’arrête une bonne minute, la laissant reprendre son souffle. Ses jambes la supportent à peine et elle a du mal à rester debout. Cela la force à écarter encore plus les cuisses, offrant à ma vue les replis rosés de son sexe trempé. Mon bras se lève et le ceinturon siffle lugubrement dans la chambre. Le cuir s’écrase v i o l e m me n t sur son entre-cuisse.
Prise au dépourvu, Emmanuelle relève brusquement la tête. Un râle de douleur et de plaisir mélangé jaillit de sa gorge alors que l’instrument s’abat trois fois de suite sur son sexe offert. Au dernier coup, c’est l’explosion. L’orgasme la terrasse. Ses jambes l’abandonnent et elle se laisse aller, seulement supporter par les liens qui lui maintiennent les bras en l’air.
_ T-Trente... Deux, parvient-elle à murmurer au milieu de son délire de douleur et de plaisir.
Je détache la corde, et Emmanuelle s’effondre sur le plancher, son corps encore secoué de spasmes de jouissance. Ses fesses et ses cuisses ont à présent une belle teinte rosée. Tandis qu’elle reprend lentement ses esprits, je la libère et la fais asseoir. Puis, rapidement, je lui attache les chevilles et les poignets aux pieds de la chaise.
Elle se laisse faire sans un mot. Ses grands yeux verts sont baignés de larmes, mais elle me sourit quand je la f o r c e à lever la tête et à me regarder.
_ Ceci n’était qu’un échauffement, esclave. Ton éducation est loin d’être terminée. Es-tu prête à continuer ?
Elle acquiesce d’un hochement de tête.
_ Oui, maître.
_ Bien... Comme tu as oublié de me remercier de t’avoir fouettée, je vais devoir être sévère avec toi, tu comprends ?
_ Oui, maître, pardonnez-moi.
_ Non, je ne te pardonne pas... Je vais te punir.
_ Je suis votre objet, maître, dit-elle en baissant la tête. Faites de moi ce que bon vous semble.
_ C’est exactement ce que je vais faire, esclave.
Je m’agenouille devant elle et commence à caresser sa poitrine. Au contact de mes mains, ses jeunes seins sensibles réagissent immédiatement. Ils se gonflent et se dressent entre mes doigts. Progressivement, les tétons se durcissent et s’allongent alors que je joue avec. Je les prends dans ma bouche, les fais rouler entre mes dents, les mordille légèrement. Emmanuelle sent une chaleur familière remonter de son bas-ventre tandis qu’elle se cambre en avant pour s’offrir encore plus à cette caresse apaisante.
Elle se met à gémir doucement alors que ma langue joue avec ses jeunes tétons. Quand je me relève, sa poitrine est fièrement dressée, la pointe de ses seins durcies à lui faire mal. Je les prends entre mes doigts et les étire lentement. Puis, m’emparant des pinces, je les referme sur les tétons tendus. Emmanuelle pousse un petit cri de surprise quand les mâchoires d’acier écrasent ses tendres chairs. Je lui présente ensuite la chaîne reliant les pinces. Docilement, Emmanuelle ouvre la bouche et la prend entre ses dents. Tendue à l’extrême, la chaînette tire vicieusement ses jeunes seins vers le haut, la faisant grimacer de douleur. Je m’écarte d’un pas et l’observe.
Attachée sur cette chaise, contrainte de s’infliger elle-même la douleur, elle est ravissante. Ses seins ronds, gonflés de plaisir se soulèvent régulièrement au rythme de sa respiration qui se fait de plus en plus rapide à cause de la souffrance. Emmanuelle écarquille les yeux et une lueur d’angoisse passe dans son regard quand elle me voit revenir, le martinet à la main.
Un frisson glacé lui parcourt l’échine et de petites gouttes de sueur perlent sur ses tempes et à la naissance de ses seins. Je me dresse devant elle et, sans un mot, fais tournoyer le martinet devant elle. Dans un sifflement continu, les fines lanières de cuir cinglent sa poitrine dressée. Par réflexe, Emmanuelle renverse la tête en arrière pour protéger son visage. Et ce faisant, elle tire un peu plus sur la chaîne, causant à ses seins une douleur supplémentaire.
Des larmes se remettent à couler le long de ses joues et des petits cris étouffés s’échappent de ses lèvres. Impitoyablement, le cuir souple du martinet fustige sa poitrine et son ventre. Les tétons, torturés par les pinces, ne sont pas épargnés par les coups. Emmanuelle tremble dans ses liens. Elle voudrait hurler, mais elle ne peut pas.
Elle sait trop bien ce qui arriverait si elle lâchait la chaîne. Son châtiment serait pire encore. Alors elle résiste, vaillamment. La douleur est intenable, elle a l’impression que des millions d’aiguilles chauffées à blanc s’enfoncent dans sa poitrine. A travers les larmes, j’aperçois son regard me suppliant d’arrêter. Elle est à bout de f o r c e s.
Je lui réponds d’un sourire. Un mouvement sec du poignet et le martinet claque contre ses seins. Les lanières de cuir arrachent brutalement les pinces accrochées à ses tétons. Le cri d’Emmanuelle résonne dans la chambre. Telle une décharge électrique, la douleur la foudroie et sa tête retombe lourdement sur sa poitrine. La chaînette pend toujours entre ses dents. Sans lui laisser le temps de reprendre son souffle, je la libère et la porte jusqu’à la table. Elle est haletante. Son corps tremblant de douleur, baigné de sueur, luit dans la lumière. Elle est magnifique. Je l’allonge sur le dos et attache ses poignets et ses chevilles aux montants de la table. Je passe ma main entre ses cuisses.
Son sexe trempé me donne une idée. Après tout, ce serait un juste retour des choses... Mais pas tout de suite. Avant, j’ai une autre idée. Je descends au salon chercher ce dont j’ai besoin et je remonte. A mon retour, Emmanuelle a repris ses esprits et me lance un regard interrogateur.
_ J’ai une surprise pour toi, esclave... Tu vas adorer.
Son visage se fige dans une expression de terreur, quand elle me voit allumer une longue bougie.
_ Pas ça, maître... Je vous en supplie !
_ Oh si... ça va te plaire, j’en suis sûr.
Je fais danser la flamme au-dessus d’elle, allant et venant le long de son corps.
Bientôt, les premières gouttes de cire s’écoulent et s’écrasent sur son ventre. La brûlure soudaine la fait sursauter en hurlant. Elle se débat dans ses liens, tentant d’échapper à cette pluie de feu. En vain. Les gouttelettes s’éparpillent sur son ventre, ses seins, son sexe. Lui arrachant à chaque fois un cri et un soubresaut de douleur. J’arrête brusquement de verser la cire.
_ Tes cris m’importunent, esclave !
_ P-Pardonnez-moi, maître, halète-t-elle. C’est trop dur... Je ne peux pas m’en empêcher.
_ Nous allons voir, j’ai une autre idée pour utiliser tes lèvres.
J’approche mon sexe dressé de son visage. Soumise, elle ouvre la bouche et l’avale goulûment.
_ Maintenant, je ne veux plus t’entendre. Ton supplice durera jusqu’à ce que j’ai joui. Mais si jamais tu me mords, je te promets des heures de souffrances. Tu as compris ?
Elle acquiesce en baissant lentement les yeux et en passant sa langue sur mon gland.
_ Bien, reprenons.
Je ramène la bougie au-dessus de son corps et recommence lentement à la faire goutter. Les perles de cire brûlante continuent de s’abattre vicieusement sur sa poitrine et son ventre offerts. Mais elle se contente à présent de légers sursauts, concentrée qu’elle est sur sa tâche. Avec art, elle fait aller et venir mon pénis dans entre ses lèvres, comme dans un vagin.
De temps en temps, sa langue s’enroule autour de mon membre tendu et vient chatouiller l’extrémité du gland, puis elle reprend ses mouvements de va-et-vient. Aspirant avec ferveur le Priape qui lui distend les lèvres. Je sens le plaisir monter en moi. Ne pouvant plus me retenir, j’éteins la bougie et, prenant son visage entre mes mains, imprime des coups de reins de plus en plus forts. Mon sexe s’enfonce jusqu’à sa gorge, menaçant de l’étouffer, mais, obéissante jusqu’au bout, elle me garde entre ses lèvres et se laisse guider par mes mains. Le plaisir me transperce les reins. Je sens mon gland se gonfler sous la pression, puis râle de plaisir, le sperme jaillit du sexe tendu et envahit la bouche d’Emmanuelle. Je me retire et essuie mon sexe sur sa poitrine, tandis qu’elle avale ma semence jusqu’à la dernière goutte.
_ Ah, c’était bon... Tu es une bonne suceuse, esclave.
_ Merci, maître.
Je la regarde, elle est en piteux état. Son visage est souillé de sperme, sa poitrine et son ventre couverts de cire froide. Il est peut-être temps de faire une pause. Lui laisser le temps de se remettre avant de passer aux choses sérieuses.
_ Esclave, je vais te libérer...
_ Merci, maître.
_ Ne m’interrompt pas.
_ Pardon, maître.
_ Je veux que tu ailles te laver... Je veux aussi que tu rases ton sexe. Je te veux en véritable petite fille. Ensuite, tu reviendras t’installer sur cette table et tu me demanderas d’être à nouveau ton maître. Bien compris ?
_ Oui, maître.
_ Alors va.
Je la détache et elle quitte la chambre. Emmanuelle revient une demi-heure plus tard. J’observe son corps de déesse alors qu’elle se tient debout devant moi, jambes écartées, la tête baissée et les bras derrière le dos. Je constate avec satisfaction qu’elle a remis le collier de chien autour de son cou. Elle tient la laisse entre ses dents. Mon regard s’attarde sur sa poitrine ronde aux pointes tendues qui se dresse déjà fièrement devant elle. Puis, il remonte le long de ses longues jambes, parfaitement galbées, détaillant ses mollets et ses cuisses aux muscles fins. Enfin, il s’arrête sur le triangle de son sexe à présent rasé. La fente rosée de sa vulve contraste avec le reste de sa peau mate. Je me lève et tourne autour d’elle.
Ses fesses portent les stigmates de la fessée de tout à l’heure. Les globes fermes portent une teinte rouge qu’ils garderont encore un moment. Je les tapote légèrement puis retourne m’asseoir face à elle.
_ As-tu quelque chose à me dire ?
En guise de réponse, elle se dirige vers la table et s’allonge sur le dos. L’une après l’autre, elle passe ses chevilles les nœuds coulants fixés aux montants et les resserre elle-même. Puis, elle fait la même chose avec son poignet droit, me laissant le soin d’attacher moi-même son poignet gauche.
_ Je suis votre esclave, maître, me dit-elle enfin quand j’ai terminé. Je suis à vous, corps et âme.
Je dépose un baiser sur son front et vais m’installer entre ses cuisses ouvertes. Son sexe rasé est semblable à celui d’une petite fille. Les lèvres délicates s’ouvrent lentement sous la douce caresse de ma langue.
Progressivement, le clitoris rougit et se gonfle entre mes dents. Une chaleur familière envahit Emmanuelle et elle donne de légers coups de reins, s’offrant de plus belle à cette caresse intime. Je fais aller et venir ma langue le long de sa fente nacrée, à présent baignée de cyprine. Elle gémit doucement de plaisir quand je frôle son clitoris gorgé de plaisir. Je l’excite ainsi pendant plusieurs minutes, puis mes doigts remplacent ma langue. L’index, puis le majeur.
Avec douceur, ils s’introduisent entre ses lèvres et s‘enfoncent sans peine dans son vagin. J’imprime alors un lent mouvement de piston. Emmanuelle roule des hanches et s’abandonne à cette délicieuse pénétration. Des râles de plaisir s’échappent de sa gorge. Elle pousse un petit cri de surprise quand un troisième doigt vient rejoindre les deux premiers, mais continue néanmoins à se lancer à la rencontre de ces charmants intrus. Son sexe est trempé, et c’est sans peine que mon auriculaire s’enfonce en elle. Son souffle se fait plus court maintenant. Elle a compris où je voulais en venir et soulève les reins pour que je la pénètre encore plus. Répondant à ses attentes, j’aligne mon pouce dans le creux de ma main et pousse puissamment.
Tel un sabre dans son fourreau, ma main entière glisse dans son vagin. Progressivement, j’accélère le mouvement de piston. Emmanuelle se met à trembler frénétiquement et à pousser des cris rauques tandis que mon poing va-et-vient jusqu’au plus profond de son intimité.
Soudain, c’est l’explosion. Une plainte bestiale s‘échappe des lèvres d‘Emmanuelle alors qu‘un plaisir primal secoue tout son être. J’attends encore quelques secondes, puis je retire ma main et viens lui présenter. Elle la lèche avidement, nettoyant un à un mes doigts souillés de sa mouille.
_ Bonne chienne. C’était bon ?
_ Oui, maître, répond-elle d’une voix rauque.
_ Bien. Mais jouir alors que ton maître n’a pas joui est une faute ici. Et une faute doit être punie, tu le sais.
_ Oui maître... Si j’ai été mauvaise, vous devez me punir.
_ Parfait. Cependant, comme tu as été très coopérative, je te laisse le choix de l’instrument et de la position pour ta punition...
Je libère Emmanuelle. Elle se lève et, soumise, s’agenouille devant moi, tête baissée, attendant mes instructions.
_ Choisis...
Emmanuelle se lève en silence et ouvre son armoire. Elle en sort une fine cravache en cuir tressé et me la présente à deux mains, la tête baissée.
_ Bon choix, dis-je en prenant l’instrument.
_ Merci, maître.
_ La position, à présent.
Emmanuelle s’empare d’une paire de menottes en cuir et s’attache elle-même les mains devant elle. Elle se place ensuite sous la poutre et accroche la chaîne des menottes à un crochet fixé dans le bois. Les bras tendus à l’extrême au-dessus de la tête, elle est obligée de se tenir sur la pointe des pieds. Ainsi écartelée, elle offre tout son corps à mes coups. J’observe à loisir ses seins fièrement dressés, ses fesses fermes et rebondies, son sexe rasé, encore dégoulinant de plaisir.
_ Voici les conditions, esclave. Comme tu as choisi la cravache, tu ne recevras que dix coups. Par contre, je ne veux pas entendre le moindre cri... A chaque cri la sentence sera doublée. D’accord ?
_ O-Oui, maître, murmure-t-elle.
_ Bien, alors commençons.
Emmanuelle retient son souffle, tout son corps se tend, se préparant à la douleur. Elle ferme les yeux, tous ses sens aux aguets. Je lève mon bras. Le sifflement de la cravache déchire le silence.
Le cuir tressé claque contre la chair. Emmanuelle relève brusquement la tête, tout son être parcouru de tremblements nerveux. Elle serre les mâchoires pour s’empêcher de hurler. Cependant, les premières larmes perlent déjà au coin de ses yeux. Je souris. Elle est courageuse, je suis fière d’elle. J’arme à nouveau et frappe. Sans relâche, les coups pleuvent sur ses fesses, ses cuisses, ses seins, son ventre, son sexe. La cravache laisse longues traces rouges sur sa peau. Malgré la souffrance qui la transperce, elle résiste pour ne pas crier.
Seul un gémissement sourd s’échappe entre ses dents serrées. Son visage n’est plus qu’une immonde grimace de douleur. Les larmes coulent à flots de ses grands yeux verts. La cravache s’abat une dernière fois en travers de son sexe offert. Sa bouche s’ouvre sur un cri muet, uniquement retenu par sa force de volonté, puis sa tête retombe lourdement sur la table. Elle sanglote de douleur et tout son corps est secoué de spasmes nerveux. Je passe doucement la main sur sa poitrine, flattant ses seins du bout des doigts.
_ Je suis très fière de toi, tu es très courageuse.
_ Merci, maître, parvient-elle à articuler au milieu de ses sanglots.
_ Il ne te reste plus qu’une seule épreuve et ton apprentissage sera terminé. Je la libère du crochet et en bonne esclave, elle s’agenouille devant moi, la tête baissée. Je lui laisse ses menottes aux poignets.
_ Pour te récompenser de ton courage, encore une fois te faire une faveur. Je veux que tu choisisses la position dans laquelle je prendrai ton dernier pucelage.
_ Bien maître.
_ Alors choisis.
Elle se lève et se dirige vers la table. Elle commence par attacher ses jambes aux montants, prenant bien soin de lier fermement la corde autour de ses cuisses et ses chevilles. Puis, tendant les bras vers l’avant, elle fixe la chaîne des menottes à un mousqueton placé à l’autre bout de la table. Elle se retrouve ainsi courbée en deux, ses bras tendus à l’extrême, sa poitrine écrasée contre le bois rugueux, sa croupe offerte. Je me poste derrière elle. J’admire les rondeurs parfaites de ses fesses, les muscles fins des ses cuisses avec au milieu la fente rosée de son sexe rasé et au-dessus, la corolle sombre de son anus. Je m’approche d’elle, mon sexe dressé. Je prends à pleines mains ses fesses musclées et les écarte doucement, dévoilant un peu plus son intimité.
Je commence par glisser ma langue dans la raie de ses fesses, m’amusant à taquiner les chairs tendres de son petit trou. Lentement, les muscles se détendent sous l’effet de cette chaude caresse, et bientôt ma langue s‘aventure un peu plus loin en elle.
Des gémissements sourds s’échappent des lèvres d’Emmanuelle alors qu’une onde de plaisir remonte le long de sa colonne vertébrale.
Quand je me retire, son anus commence progressivement à s’ouvrir, je présente alors mon membre tendu devant cette ravissante entrée. Instinctivement, Emmanuelle tente de resserrer les fesses, mais c’est trop tard, mon gland rougi s‘appuie déjà contre sa tendre ouverture. Mes reins exercent une pression implacable. Progressivement, ma verge écarte la corolle sombre et fait céder les muscles du sphincter. Emmanuelle se met pousser des cris rauques, elle a l’impression que ce membre va la déchirer, la pourfendre tel un sabre de chair. Je pose mes mains sur ses hanches, et, dans un ultime coup de reins, mon pénis force complètement ses dernières défenses, pénétrant au plus profond de son être, et lui arrachant un cri de douleur et de plaisir mêlés.
Lentement d’abord, puis de plus en plus vite, je m’enfonce entre ses reins. Les cris de douleur d’Emmanuelle se transforment rapidement en râles de plaisir, et c’est elle qui bientôt se jette à la rencontre de mon sexe dressé pour que je la pénètre encore plus férocement. Notre union est un rut animal, primal et sauvage. Je la chevauche sans retenue, la labourant savamment. Emmanuelle est perdue dans un délire de douleur et de plaisir. Son ventre est en feu, ses seins gonflés de plaisir frottent douloureusement contre le bois rugueux, et une souffrance terrible déchire son anus. Pourtant, malgré tout cela, elle est heureuse. Le plaisir nous foudroie en même temps. Un même râle rauque s’échappe de nos gorges à l‘unisson. Emmanuelle sent un jet de sperme brûlant envahir ses intestins en même temps qu’un orgasme v i o l e n t secoue tout son être. Je m’écroule sur son dos, lourd comme un cheval mort, terrassé par la jouissance. Après quelques minutes, nous reprenons nos esprits et je libère Emmanuelle. Puis, une fois s’être lavé tous les deux, nous discutons de notre nouvelle expérience.
Emmanuelle me confie qu’elle aime bien être soumise, mais qu’elle préfère de loin dominer. Je lui réponds que personnellement, les deux positions me conviennent parfaitement. Nous décidons alors que désormais, à chaque fois que nous auront envie de faire l’amour, nous ferons un jeu d’abord pour savoir qui sera le maître.
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