Surprise dans un selfbondage punitif 2

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Ce récit est la suite de : Surprise dans un selfbondage punitif
il y a 8 ans

Le matin suivant, j'attendis tremblant le lever de ma sœur. Cette fois, je dus patienter plus longtemps car ce fut le réveil-matin qui se chargea de faire émerger celle-ci de sa torpeur. Furieuse d'avoir dormi trop tard, elle fit irruption hors de la chambre, les cheveux en bataille. En quelques cinq minutes, elle expédia sa toilette, puis elle enfila quelques vêtements et quitta le logement sans avoir déjeuné.

Encore une fois, j'attendis pour être certain qu'elle n'allait pas revenir à l'improviste, puis je me suis levé à mon tour. Machinalement, je me suis dirigé vers la chambre de Claire. Était-ce parce que je croyais pouvoir enfin découvrir quelque chose ? Je n'aurais pu le dire. Je poussai la porte, trouvant le lit encore défait à cause de la précipitation de ma sœur. Nulle-part il n'y avait aucun des accessoires entrevus au cours des deux nuits précédentes et mes regards se dirigèrent vers la fameuse commode.

Tout à coup, mon sang se glaça et à ma stupéfaction, je sentis mon membre se dresser. Je n'y avais pas fait attention en entrant, mais le moniteur du pc de Claire n'était pas éteint. Une fenêtre en quart d'écran montrait ma propre image, tout nu, le sexe en main en train d'éjaculer par terre. Ce n'est qu'à ce moment que j'ai remarqué la petite caméra numérique qui pointait vers la porte de la chambre. Pris de panique, j'ai fait demi-tour et je suis allé me réfugier dans le salon, me demandant ce qui avait bien pu se passer.

Mon cerveau tournait à cent à l'heure, cherchant à comprendre. Je me suis habillé lentement, puis je suis passé à la cuisine me préparer un «autre» sandwich au jambon, puis j'ai tenté de reprendre mon calme. Claire n'avait peut-être rien vu, mais je devais en être certain. J'allais devoir mettre le reste de la journée à profit pour m'en assurer.

Je suis retourné m'asseoir devant le pc de Claire et au prix de quelques efforts, j'ai réussi à comprendre le fonctionnement de la caméra et du logiciel qui lui était couplé. J'ai pu sans trop de peine avoir accès au répertoire des petits enregistrements vidéo de ma sœur. Ils étaient au nombre d'une vingtaine en tout et pour tout.

La majeure partie des films montraient Claire affairée à expérimenter ses instruments de t o r t u r e personnels. J'en conclue que sa fascination pour les succions était un phénomène assez récent, datant d'au plus un an, si je me basais sur la transformation de sa chevelure et de son apparence physique assez peu marquée.

Après avoir épuisé ces premiers films, je suis passé à la dernière portion dont les deux derniers achevèrent de me stupéfier. Si je m'attendais à apparaître sur le dernier extrait, je fus quelque peu surpris de me reconnaître également sur l'avant-dernier. Sur ce clip, je n'apparaissais qu'indistinctement dans l’entre-bâillement de la porte. Claire devait l'avoir vu puisqu'elle avait pris la peine de changer l'orientation de la caméra pour capter la scène ultime. Alors pourquoi ne m'avait-elle pas confronté le matin suivant au lieu de me tendre ce qui semblait être un piège ? Qu'espérait-elle, me faire chanter ?

Je n'avais rien qui puisse l'intéresser, ni argent, ni bien personnel. Peut-être voulait-elle se venger de mon absence auprès de nos pauvres parents infirmes ? Leur présenter de telles images risqueraient de les achever, me sembla-t-il. Je ne savais que faire sur le moment ; devrais-je effacer les fichiers incriminants avant de confronter Claire ? Contre toute attente, je n'en fis rien, préférant jouer les idiots encore un moment. Je pris la peine de laisser l'écran tel que je l'avais trouvé au cas où Claire l'eut voulu pour me confondre. Ensuite, j'ai refermé la porte derrière moi avant de m'occuper à d'autres tâches en attendant son retour en fin d'après- midi.

Claire ne dit rien à son retour, continuant peut-être à me jouer la comédie pour je ne sais quelle raison. Elle rentra assez tard et elle ne m'adressa la parole que pour me rappeler que nous allions quitter assez tôt le lendemain matin pour aller voir nos parents.

Au moment de se coucher, j'étais bien résolu à priver Claire d'une autre exhibition scabreuse, mais l'excitation me gagna encore une fois et vers une heure du matin, je fis une nouvelle excursion jusqu'à sa chambre. Je ne pris pas la peine de vérifier l'orientation de la caméra tellement j'étais persuadé qu'elle pointait toujours vers la porte.

Cette fois-ci, Claire avait choisi d'utiliser toutes ses pompes à la fois. Alternativement, ses seins, ses mamelons, sa vulve ainsi que le clitoris subissaient des succions que je devinais douloureuses à en juger par la crispation de son visage.

Évidemment, j'ai renouvelé ma branlette à ses côtés, souillant sans guère m'en soucier cette fois, les draps du lit de ma sœur. Cela fait, j'ai réintégré mes quartiers, satisfait de mon orgasme occasionné probablement autant par la certitude que Claire savait très bien ce que je faisais que de son propre spectacle scabreux.

Le lendemain matin, je me suis levé avant Claire, expédiant en vitesse mon petit déjeuner et m'occupant de faire mon maigre bagage tandis qu'elle se préparait à son tour. A tout moment, je m'attendais à ce qu'elle aborde le sujet qui nous liait en silence, mais elle n'en fit rien.

Nous avons quitté la résidence de Claire vers 9 heures du matin pour nous diriger vers le village où habitaient nos parents. Le trajet devrait nécessiter deux bonnes heures, d'abord par l'autoroute, puis par une succession de petites routes moins importantes. J'interrogeai Claire sur l'endroit où résidaient nos parents, mais elle répondit d'une voix agacée que je verrai bien ce qu'il en était lorsque nous serions arrivés. J'en conclue qu'elle ne souhaitait guère faire la conversation et je me suis enfermé dans un mutisme prudent.

La voiture quitta l'autoroute au bout d'une heure et par la suite, un chapelet de routes tranquilles, mal pavées, se succéda pendant près d'une autre heure environ. Nous avons finalement atteint le village, sommes passés sans nous arrêter devant la vieille maison familiale où je n'ai noté nulle présence humaine, ni véhicule, puis Claire a obliqué à gauche dans un chemin étroit, ce qui me fit tiquer car j'en connaissais la destination finale principale. J'étais étonné qu'on ait pu construire une maison de retraite de ce côté et je m'apprêtais à faire un commentaire désabusé à ma sœur lorsqu'elle s'arrêta devant un large portail bordé de murs de briques, sans que je ne puisse pourtant apercevoir nulle-part quelque bâtiment ressemblant de près ou de loin à un centre d'accueil.

J'ai tourné la tête vers Claire juste au moment où elle me disait, d'un air fataliste :

  • Nous sommes arrivés.

Les yeux me sont presque sortis de la tête car j'ai soudain compris que la réalité se voulait fort différente de ce que m'avait laissé entendre ma sœur jusque-là. En effet, nous nous trouvions à l'entrée du cimetière paroissial…

Chapitre 5

Le cimetière

Sans grand enthousiasme, j'avais emboîté le pas à Claire qui était descendue de véhicule pour s'engager dans le portail d'entrée du cimetière. Elle ne semblait guère se soucier du fait que je la suive ou non, mais elle ne devait pas douter que je le fasse de toutes façons.

Nous avons cheminé durant cinq ou six minutes, l'un derrière l'autre, d'abord sur le chemin d'accès pavé, puis entre les pierres tombales et ce, jusqu'à ce que Claire se fut arrêtée devant un monument de granit rose de taille moyenne. Je la rejoignis aussitôt et je suivis la direction de son regard trouble. Sur la pierre, nous pouvions lire l'épitaphe suivante:

«Arthur Lachance - 1931 - 1993»

«Antoinette Lachance - 1936 - 1993»

«Que ceux qui se souviennent prennent actes de leurs péchés»

J'ai écarquillé les yeux comme pour mieux prendre le poids de ce que je constatais. Évidemment, je commençais à comprendre que j'avais été plus ou moins berné par ma sœur, mais je n'arrivais pas à ouvrir la bouche pour formuler mes questions. Comme si elle avait pu lire en moi, ce fut Claire qui parla alors :

  • Il est temps que tu apprennes la vérité, Antoine!… Maman et papa sont morts dans cet accident dont je t'ai parlé. Mais le pire, c'est que c'est moi qui conduisais la voiture et j'étais sous l'emprise de l'alcool. Pourtant, le sac gonflable m'a sauvé la vie et j'ai à peine eu quelques ecchymoses! Toutefois, tu te souviendras à quel point maman et papa avaient horreur des ceintures de sécurité. Ce jour-là, ils ne s'étaient pas attachés et ils furent éjectés au moment de l'impact avec l'autre véhicule… Ils sont morts sur le coup!

  • Mais, voyons, Claire, ai-je réussi à haleter. Ce n'est pas possible ce que tu racontes là, j'ai pourtant bien reçu une lettre de maman en Afrique…

  • Non, Antoine, cette fameuse lettre, c'est moi qui l'ai écrite en imitant l'écriture de maman…

Je me suis éloigné d'elle de quelques pas pour réfléchir, puis je me suis tourné vers elle :

  • Mais pourquoi tout ce cinéma, Claire? Pourquoi?

  • Parce qu'il le fallait, Antoine! Depuis la mort de maman et papa, je vis un enfer perpétuel…

  • Un enfer? Que veux-tu insinuer par là, Claire? Tu as sans doute touché les primes d'assurance-vie de nos parents et tu as un travail qui te fait vivre, non?

  • L'argent de l'assurance est maudit, Antoine! Je n'y ai jamais touché et il se trouve dans un compte en fidéicommis à ton nom dans une compagnie de fiducie.

  • Je ne te comprends pas, Claire! Où veux-tu en venir, Claire? De quel enfer parles-tu alors?

  • Chaque fois que je me regarde dans une glace, je ne peux voir qu'une meurtrière, Antoine! C'est par ma faute que maman et papa sont morts, tu comprends ?

  • Tu exagères, voyons! Il y a des accidents mortels tous les jours…

  • Non, Antoine, tais-toi, je t'en pris… Je sais ce que j'ai fait, j'étais ivre lorsque j'ai pris le volant ce jour-là où je les ai entraînés dans cette mort atroce…

Je suis demeuré silencieux, ignorant toujours où elle souhaitait m'amener. Au bout de quelques minutes, Claire a repris :

  • J'ai décidé qu'il me fallait expier ma faute, Antoine! Rien ne pourra me convaincre d'y renoncer, même pas toi mon frère aîné !

  • Qu'est-ce que tu vas encore inventer, Claire?

  • J'ai décidé que mon sort devra être cent fois pire que ce qu'ils ont souffert tous les deux ce jour-là. J'ai beaucoup réfléchi et je sais maintenant que tu m'y aideras…

  • Je te suis de moins en moins, Claire… Tu parles par énigmes!

Claire se tourna de mon côté, un sourire étrange peint sur son visage. Soudain, ce n'était plus ma sœur colérique et distante que j'avais sous les yeux, mais la femme nocturne aux pompes.

  • Je sais bien que tu es au courant de mes pratiques, Antoine! me dit-elle. Il n'en tient qu'à toi d'en être le maître absolu… Je n'aurai rien à te refuser et tu auras tous les droits sur moi! Sans aucune limite possible !

  • Tu fabules, Claire! Qu'est-ce qui te fait croire que je pourrais accepter une telle chose de ta part ?

  • Parce que je suis la seule à détenir les informations relatives au compte en fidéicommis qui t'est destiné et qui t'assurera un avenir à l'abri de toute contrainte financière. Il y a là plus de 500 000$ qui t'attendent. Avec un bon conseiller financier, tu pourras aisément en tirer 10% par année, ce qui est sans doute plus que ce que tu pouvais gagner en Afrique…

Une somme de 50 000$ par année représentait effectivement un bon pactole pour quelqu'un qui, comme moi, vivait sans grand luxe.

  • Je pourrais t'obliger à me donner ces renseignements, Claire!

  • C'est bien ce que j'espère te voir faire, mon cher frère! répliqua-t-elle en me souriant de nouveau de cet air étrangement malicieux.

  • Vraiment ?

Je commençais à voir un peu plus clair dans ses intentions perverses. J'ai alors ajouté :

  • Tu veux que je t'arrache ces informations, si je comprends bien…

  • Oui et surtout, sois sans aucune pitié!

Elle avait gagné, bien sûr! Je me suis approchée d'elle et sans attendre, je l'ai giflée à pleine figure, à trois ou quatre reprises, juste pour voir sa réaction. Elle est devenue rouge de honte et elle a baissé les yeux. J'ai regardé autour de nous, mais le cimetière était désert et personne ne nous avait vu y pénétrer. Était-ce ici que Claire souhaitait me voir l'humilier et la punir, devant la tombe d'Arthur et d'Antoinette? Pour ma part, je ne pouvais m'y résoudre. Je l'interrogeai alors :

  • Notre maison du village, elle nous appartient toujours, je suppose?

  • La maison? demanda Claire. Mais oui, pourquoi ?

  • Tu as la clé sur toi ?

  • Oui, évidemment…

Claire fourragea dans son sac à main, puis elle en tira un petit trousseau de clé qui devait avoir appartenu à notre mère et elle me le tendit. Je m'en suis saisi, puis j'ai montré le portail du cimetière en disant :

  • Allons-y !

Chapitre 6 Expiation

Nous avons roulé en silence jusqu'à la vieille maison de mes parents. Une fois arrivés, j'ai déverrouillé la porte d'entrée et j'ai laissé le passage à Claire qui s'y est engouffrée. Nous avons été accueillis par une odeur de maison trop longtemps fermée, vaguement humide et insuffisamment ventilée. J'en ai fait le tour rapidement comme pour faire rejaillir certains souvenirs enfouis au fond de ma mémoire. Je reconnus sans trop de peine les vieilles photos de famille accrochées aux murs ainsi que quelques tableaux sans aucune valeur.

Pendant que je procédais à un inventaire rapide, Claire est restée plantée au milieu du hall d'entrée, en attente de dieu-sait-quoi. Peut-être craignait-elle de réveiller quelque fantôme assoupi ou ne voulait-elle pas souiller de sa présence cette demeure qui nous avait vu grandir sous les yeux bienveillants d'Arthur et Antoinette.

Après avoir fait le tour du propriétaire, je suis retourné quérir Claire dans le hall et je lui ai fait signe d'avancer vers la cuisine. Elle fit montre d'un peu de réticence, mais elle finit par obtempérer quand même.

  • Pourquoi m'amènes-tu ici, Antoine? demanda-t-elle.

Je n'ai pas répondu immédiatement car je préférais la laisser dans l'expectative, ce qui m'apparaissait l'attitude appropriée dans sa condition.

  • Tu m'as dit que tu voulais payer pour tes torts, n'est- ce pas, Claire? finis-je par lâcher. Eh bien! quel meilleur endroit que cette maison, notre maison, pour t'y punir?

  • Oh! mon Dieu, Antoine, tu n'y penses pas?

  • Oh! que si, Claire! Puisque c'est toi qui a décidé de me conduire jusqu'à la sépulture de nos parents pour révéler ton méfait, tu devais sans doute te douter que je n'allais pas te punir au beau milieu du cimetière !

Claire roula des yeux égarés et suppliants avant d'ajouter :

  • Enfin, oui, bien sûr! Mais pourquoi ici?

  • Pour qu'à chaque coup que tu recevras de ma part, tu revois dans ta tête celles de nos parents éjectés de l'automobile.

  • Quelle horreur, Antoine!… Je t'en supplie, rentrons à la maison et… je ferai tout ce que tu voudras, je te le jure !

Pour toute réponse, je lui ai décoché une taloche qui la fit valser à trois mètres de distance au moins. Elle se frotta la joue rougie en me regardant d'un œil suppliant, mais tout en demeurant coite. Certains qu'elle allait demeurer tranquille, j'ai fait quelques pas et j'ai ouvert la porte qui donnait de la cuisine vers la cave. Une odeur encore plus fétide, sans doute occasionnée par la chaleur estivale, nous prit à la gorge. J'ai désigné le rectangle obscur à Claire en disant :

  • Allez, descends !

  • A la cave, mais pourquoi ?

  • Parce que c'est là que tu expieras tes fautes !

L'énoncé de la sentence sembla suffire à enlever toute velléité de rébellion à ma chère sœur. Elle se releva de sa position inconfortable et elle marcha lentement vers la porte. Elle fut avalée aussitôt par la noirceur et je l'ai suivie. Mes yeux s'étant vite accoutumés à l'obscurité, je l'ai rejointe dans l'escalier avant qu'elle n'en atteigne la base.

Mes parents n'étant guère fortunés, ils ne s'étaient jamais donnés la peine de finir le sous-sol qui n'était qu'un débarras encombré de vieilleries démantibulées et abandonnées à leur triste sort. Je reconnus quelques vieux meubles dont ma propre commode dont une porte était arrachée.

Plantant Claire au beau milieu de l'unique pièce, je suis allé allumer une ampoule suspendue à une porcelaine de plastique pour donner un peu d'éclairage. Aussitôt après, j'ai pris soin d'obscurcir les deux soupiraux à l'aide des panneaux de contreplaqué que mon père destinait à cette fin durant l'hiver. Il craignait que la f o r c e de la neige ne fasse éclater le verre des soupiraux et qu'elle n'envahisse le sous-sol.

Quand ce fut fait, je suis revenu m'installer devant Claire pour la toiser. Je l'ai laissée attendre un long moment sans dire un seul mot. Au fur et à mesure que le temps s'écoulait, je la voyais perdre toute cette belle assurance qu'elle m'avait montrée au cimetière. Lorsque je l'ai sentie à point, j'ai décidé de débuter la séance sans lui laisser le temps de se ressaisir.

A toute volée, je me suis mis à lui gifler les deux joues qui rougirent sur le champ. Elle vacilla de plus belle et elle recula sous les coups qui pleuvaient. Ne voulant pas me priver de ce spectacle, je lui ai jeté à la figure l'ordre que je savais qu'elle attendait :

  • Fous-toi à poil !

Claire me fustigea du regard, mais elle n'eut garde de désobéir. Ma sœur commença par s'agenouiller devant moi, à même le sol de béton. Elle retira son chandail et le jeta loin d'elle. Ensuite, elle détacha sa ceinture et elle abaissa son jean jusqu'aux genoux; au prix de quelques contorsions, elle l'enleva complètement. Elle défit l'attache du soutien- gorge et le fit basculer vers l'avant en se courbant. Sans se redresser, elle retira sa culotte avant de lancer ses sous-vêtements en direction des premiers accessoires enlevés.

Ne portant plus que ses chaussettes, Claire s'est finalement redressée tout en me dévisageant d'un air étrange. J'ai feint de ne pas être étonné du spectacle qu'elle me donnait, mais c'était tout de même la première fois que je pouvais 'admirer' ces courbes transformées par l'action de ses machines sans qu'elles ne soient elles- mêmes camouflées par ces dernières.

Les seins de Claire avaient pris l'apparence de vulgaires pis de vache. Les mamelons ainsi que les aréoles étaient étirés au possible d'une manière totalement obscène.

Je me suis rapproché et j'ai empoigné les longues tétines de Claire, mimant le geste de la traire.

  • C'est ça que tu espérais, hein, salope ?

  • Non, fit-elle entre ses dents.

  • Vicieuse! lui ai-je jeté. Tu espères me faire avaler ça ?

Claire demeura silencieuse cette fois. Sans relâcher mes prises, j'ai entrepris une douloureuse torsion des deux seins qui finit par lui arracher un sanglot étouffé. J'ai souri et j'ai consenti à lâcher prise. J'ai marché vers le petit tas de ses vêtements et j'en ai extirpé la ceinture ; c'était une large lanière de cuir trouée régulièrement de chaque côté et sertie de petites ferrures. J'en ai enroulé l'extrémité du fermoir autour de ma main droite et j'ai fait claquer la ceinture par terre, produisant un bruit sec qui fit sursauter Claire. Elle se mit à me dévisager, les yeux exorbités.

  • Tu n'oserais pas…?

  • Pourquoi je me gênerais?

Sans attendre, je me suis lancé vers elle, brandissant la ceinture et l'abattant sur son derrière qu'elle me présentait pour se protéger l'avant, terrorisée. Le claquement la fit vaciller Claire qui se cambra sous le choc. Peu désireux de la voir se ressaisir, j'ai continué à lui cingler les fesses qui devinrent rapidement écarlates et s a n g u i n o l a n t e s, là où les ferrures avaient entaillé la peau.

Délaissant momentanément mon fouet improvisé, j'ai empoigné les menus poignets de Claire que j'ai attaché serrés à l'aide d'une corde qui traînait à proximité. Ma prisonnière ainsi arrangée, je l'ai aussitôt suspendue à une des poutres soutenant les solives du plafond. Claire s'efforçait de toucher le sol du bout des orteils, mais ses chaussettes glissaient et elle n'y parvenait guère.

J'ai aussitôt ramassé la ceinture et j'ai repris ma flagellation du fessier qui bleuissait à vue d'œil, à cause des ecchymoses. Claire s'efforçait de ne pas crier, mais la douleur devait être insoutenable. Jugeant que son postérieur avait été suffisamment puni, je suis passé de l'autre côté pour m'attaquer à la poitrine. M'aidant du long mamelon déformé pour étirer le téton gauche, j'ai entrepris d'abattre régulièrement la ceinture sur le dessus du sein qui prit à son tour une teinte cramoisie… Quant le gauche fut bien rouge, je suis passé au droit que je n'abandonnai que lorsqu'il fut bien cramoisi lui aussi.

Incrédule, Claire me regardait martyriser ses seins selon mon bon vouloir. J'étais excité du pouvoir que j'exerçais sur son corps, mais je m'efforçais de le cacher à ma sœur pour jouir du spectacle de sa propre terreur.

  • Regardes-moi ça, Claire! Tu as les seins en s a n g !

Comme si elle prenait soudain conscience de sa triste situation, Claire baissa les yeux pour considérer ses globes dégoulinant de sang brûlant. Elle suait à grosses gouttes en me regardant de ses yeux larmoyants.

  • Je t'en pris, Antoine, libères-moi !

  • Comment ? Déjà ? Mais nous ne faisons que commencer, Claire…

Je consentis tout de même à lui accorder un moment de répit avant de reprendre :

  • Et si nous parlions de ces petites instructions secrètes pour toucher l'héritage, chère sœur ?

Claire parvint à esquisser un mauvais sourire qui tenait davantage du rictus avant de dire :

  • Il t'en faudra beaucoup plus que ça pour me faire parler, Antoine…

Je compris que rien n'était encore gagné et qu'il me faudrait sans doute jouer de ruse avec Claire pour lui faire cracher le morceau. En attendant, pour bien lui faire sentir que c'était toujours moi qui dirigeais, je lui décochai quelques claques bien sonores sur les deux joues.

  • Je crois que nous allons développer des rapports assez particuliers, Claire! lui ai-je confié.

Elle me regarda sans trop comprendre. Je lui souris, avant de rétorquer:

  • Tu vois, Claire, je ne suis pas pressé du tout de te faire parler… Plus longtemps tu résisteras, plus je m'amuserai…

Ma sœur me dévisagea d'un air étrange, un peu celui qu'elle affichait plus tôt au cimetière. Je compris que même si je contrôlais la situation, en définitive, j'étais toujours son jouet qu'elle manipulait selon son bon vouloir. Elle continuerait de m'utiliser en tant que son b o u r r e a u personnel pour expier son crime. Mais je comptais profiter de l'occasion d'approfondir mes talents de tourmenteur et qui sait, de les perfectionner.

  • Tu peux garder ton petit secret, Claire, lui dis-je. Je crois que je préfère te voir souffrir très longtemps sous mes coups!

J'ai ramassé la ceinture et j'ai recommencé à frapper, encore plus fort, toujours aux mêmes endroits, les fesses, puis les seins. Et quand ces objectifs furent réduits à l'état de chairs molles, je m'attaquai au sexe....

FIN

Jay

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