Piégée pendant le confinement en plein selfbondage dans un camp déserté SUITE

Catégories : Femmes soumises SM camisole Selfbondage auto bondage
il y a 4 ans

Il est fort possible que vous connaissiez ce qu’est l’appel des sens et le plaisir de l’interdit, ce moment où l’on sait que l’on va faire une bêtise. J’ai beau peser le pour et le contre, me dire que cela n’est pas raisonnable d’aller à nouveau m’offrir de la pire des façons et comme une esclave sexuelle à un inconnu, je suis comme aimantée.

Dans les « pour » il y a le plaisir, le fait qu’il m’ait respectée et ne m’ait pas réellement v i o l é e, qu’il ne m’a fait aucun mal. Dans les « contre » il n’y a que cela n’est pas raisonnable ! Au plus je réfléchis, au plus je suis excitée, c’est ça le pire. Pour en être sûre, j’ai glissé ma main dans ma culotte, ne rigolez pas s’il vous plait, le constat a été que je devrai mettre une petite serviette ! ! ! Et si je me faisais un petit selfbondage tranquille, peinarde à la maison au lieu d’aller me jeter dans les griffes du loup ?

« Et m e r d e, on ne vit qu’une fois » a été la conclusion de mes deux heures de réflexions, de lutte entre la morale et la monstrueuse envie me taraudant ! J’ai donc récupéré mon ice-timer, mon sac de jouets coquins puis mes entraves et j’y suis allée. Je suis entrée comme la dernière fois, par le grillage découpé avec la peur d’être surprise par la police. Connaissant les lieux à présent, j’ai encore escaladé le lavabo pour passer par le trou masqué par de la laine de verre et entrer dans cette réserve. La porte de la salle de sport était ouverte, voir tous ces instruments m’a encore perturbée. Sur lequel aller ?

Soudain, des anneaux de sport ont attiré mon attention. Une chaise été posée dessous avec un papier indiquant : « ici serait génial mais à vous de décider ». L’enfoiré, il devait être convaincu que je reviendrai pour avoir préparé ça ! Qu’allait-il encore me faire ?

J’ai posé mon sac sur la chaise pour sortir quelques sextoys que j’aime beaucoup comme le magic wand massager qui est une machine à jouir. Rien que de le toucher.... j’ai eu envie de le faire fonctionner un peu au dessus de ma culotte. Ce fut le déclic de mon inconscience. Je me suis dévêtue pour ne garder que ma culotte. Après avoir comblé mon chaton gourmand avec un vibro puis mon plug vibrant, j’ai attrapé une corde pour me faire une culotte supplémentaire qui maintiendrait le magic et mes jouets. J’ai attaché la ficelle du ice-timer à un des anneaux ou j’ai mis les menottes en équilibre. Une paire de pince à linge a trouvé sa place sur mes tétons avant que je mette ma cagoule BDSM aveuglante.

A tâtons et en me traitant de folle, j’ai allumé mes trois copains vibrants avant de lever les mains pour chercher les menottes. J’ai vérifié que je pouvais attraper la ficelle du ice-timer avant de fermer les menottes avec la même impression que de sauter dans le vide, dans l’inconnu total que représentait ma soumission à cet inconnu pervers. Pourquoi pervers ? Parce qu’il n’a pas respecté l’heure ! Monsieur m’a laissée attendre. Je ne sais pas si c’était pour que mon excitation monte encore, pour me laisser jouir un peu avant de devenir sa proie.

Mon imagination de malade mentale a du être titillée par les vibrations de mes trois copains..... Dans ma tête, j’ai eu comme des images de gens assis autour de moi sur des chaises. Ils m’observaient et discutaient, j’étais dans une vente aux esclaves, on allait m’acheter, j’allai devenir le jouet sexuel d’un homme sadique, sans foi ni loi. Sous la t o r t u r e des jouets vibrants en moi, j’essayais en bougeant mes jambes de leur échapper. Une vague de chaleur a commencé à m’envahir le ventre et la tête. Il m’était impossible d’y résister je n’ai pas eu d’autres choix que de jouir honteusement devant tous ces gens.

Mes jouets vibrants se sont arrêtés un après l’autre. Cela ne pouvait qu’être lui, mes jouets ne s’arrêtent pas tout seul sauf quand je m’endors avec et que les batteries sont vidées. Depuis combien de temps était-il là à regarder la folle impudique se donner du plaisir.

  • Vous avez été condamnée au fouet pour haute trahison, l’heure de la sentence à sonné ! A dit froidement mon inconnu derrière moi.

Le fouet ? Mais j’en voulais pas moi de ça, cela ne pouvait qu’être horrible ! Je ne voulais plus jouer et faisait « non » de la tête en espérant qu’il comprenne que je voulais tout arrêter. Il devait être illettré du langage du corps car mes « non » désespérés ne l’ont pas arrêté ! ! ! Des lanières se sont abattues sur mes fesses et m’ont faite bondir. Elles ont continué de s’abattre sur mon dos et quand j’ai essayé de lui donner un coup de pied à l’aveugle, les lanières ont heurté mon sexe. L’enfoiré ! Son bras m’a saisie au vol ou presque pour me plaquer contre lui. Il m’a murmurée à l’oreille par dessus la cagoule que je faisais du cinéma et que je n’avais pas mal.

  • Mes coups sont des caresses, au lieu d’en avoir peur, apprivoise-les, ils vont de donner beaucoup de plaisir. de toute façon, tu es condamnée par le tribunal et sera châtiée pour haute trahison.

J’ai essayé de me contrôler, au départ ce fut dur ! Effectivement, les coups de martinet n’étaient pas v i o l e n t s, la douleur était dans ma tête. Au bout d’un moment, j’ai commencé à les apprécier, même si cela piquait un peu. Aucune partie de mon corps n’a été épargnée. Il a retiré mes pinces à sein pour pouvoir les fouetter avec le martinet. Quand à un moment j’ai levé la jambe, il l’a attrapée pour me donner des coups entre les jambes. Il s’amusait à le faire tourner, les lanières heurtaient mes sextoys, caressaient mon sexe. J’avais peur d’avoir mal et en même temps c’était bon. Comme j’ai dit plus haut, cela piquait un peu mais diffusait d’agréables sensations.

Il ne s’arrêtait pas de « me battre », soit avec le martinet soit avec sa main sur mes fesses. Mon corps était brûlant, à la fois ultra sensible et à la fois résistant. Je sais que cela paraît illogique et pourtant c’était le cas. On s’habitue à cette douleur, on la transcende pour lui donner du sens. Il a remis en route mes sextoys avant de reprendre la danse des lanières. En trois minutes je n’étais plus qu’un pantin de chair pris de contractions. Sous les coups, je jouissais de partout. Devant, derrière (si vous voyez ce que je veux dire) et même des seins qu’il visaient à présent. On ne jouit pas des seins au sens propre du terme, mais ses lanières me rendaient folle.

Je suis entrée dans un nuage, je planais, j’étais comme un oiseau chahuté par le vent quand un bras s’est enroulé autour de mon corps.

  • Allo, allo, on revient sur terre ! Criait l’inconnu en me maintenant debout.

Lorsque je suis revenue à moi, les sextoys ne vibraient plus. Il me serrait fortement contre lui pour m’empêcher de pendre dans mes menottes.

  • Tu viens de jouir dans la douleur et d’atteindre le subspace, c’est génial que tu y sois arrivée. C’est la première fois ?

J’ai fait « oui » de la tête avant de la poser contre la sienne. Il m’a caressée un moment comme pour me rassurer, m’apaiser sans aucun geste sexuel ni me lâcher jusqu’au moment où j’ai retrouvé mes jambes. Enfin, de la force dans mes jambes. Il m’a demandé si je voulais qu’il me retire ma cagoule pour mieux respirer. J’ai fait « non » de la tête avant de frotter mon ventre contre lui. J’avais envie de lui et il l’a compris.

SAUF QUE !

Sauf que monsieur a attaché des cordes de partout sur mon corps après avoir retiré celle qui maintenait mes sextoys et ma culotte. Je ne comprenais pas ce qu’il faisait. Pourquoi m’attacher alors que je m’offrais à lui et que j’avais encore les menottes ?

Soudain il m’a soulevée. Il bricolait ses cordes d’une main puis d’un seul coup, il m’a lâchée. Les cordes ont commencé à me faire mal, puis, au fur et à mesure qu’il les réglait et en rajoutait d’autre, la douleur est partie. J’étais suspendue comme un cochon ! ! ! Il a replié ma jambe gauche pour la lier et l’attacher à l’anneau avant de faire de même avec l’autre. Mon intimité ne pouvait pas lui être plus offerte ! ! ! ! !

LE SADIQUE !

Au lieu de profiter de sa proie, (me baiser comme j’avais envie) il a commencé par me claquer les fesses comme si elles n’avaient pas déjà eu leur dose ! A chaque claque, mon corps se balançait un peu plus, tournait un peu sur lui même. Je devenais un Punching ball !!!!

C’est sa verge qui m’a arrêtée en heurtant mon chaton. Elle n’a pas fait que le heurter..... elle a trouvé la faille ! Et là, je l’ai savourée quand elle m’a prise. La sensation de possession en étant attachée et suspendue est sublimissime. On ne peut rien faire pour échapper .... au plaisir. J’ai joui et joui et, quand comme la fois précédente il m’a prise derrière, là j’ai encore perdu connaissance dans un orgasme fulgurant, long, puissant, titanesque.

Je sais que j’ai perdu connaissance car quand je me suis réveillée, j’étais dans ses bras. Il avait mis un tapis de sport par terre, retiré toutes les cordes et ma cagoule. Lovée contre lui j’étais bien, comme un bébé dans les bras de sa mère qui le materne avec douceur. Ce v i o l e u r exceptionnel a approché sa bouche de la mienne sans la prendre, j’ai fait le chemin restant pour lui donner cette partie de moi qu’il n’avait pas encore eue.

  • Je t’ai plu ?

  • Oui tu m’as plu

  • Alors plumons-nous encore !

Et c’est ainsi que s’arrête cette histoire érotique parce qu’après c’est trop intime. Les seul témoins de la suite sont les tapis de la salle de sport mais ils ont juré de garder le silence.

FIN

TSM

Une boutique avec un rayon spécialisé sur le selfbondage avec des scénarios dans des fiches produit

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