Accréditation fessée 5

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Ce récit est la suite de : Accréditation fessée 4
il y a 4 ans

17h, nous sommes de retour au chalet pour prendre une collation qui est plus un goûter vu qu’il est composé de tartines de confitures et de chocolat chaud. Nous finissons de manger et nous nous rendons dans la salle de jeu ou Tante Magda a sorti des boites de jeux de société. Nous profitons de ce temps calme pour nous détendre en jouant aux dames, aux échecs et pour finir au Trivial-Pursuit. 18h30 l’heure de la toilette.

Je redoute ce moment car nous sommes intégralement pris en charge comme des petits par miss Stick et Miss Jane qui prennent soin de nous déshabiller entièrement. Miss Jane s’occupe des garçons et Miss Stick des filles. Chacun notre tour, nous sommes savonnés, frottés et rincés sous la douche dans le moindre recoin (on a laissé notre pudeur au vestiaire). Douche fini, les deux miss nous conduisent dans le dortoir pour nous enfiler nos pyjamas. Miss Jane vient de finir de mettre le pyjama à Henri et s’occupe maintenant de moi pendant que miss Stick finit d’habiller Charlène et Emilie. Mais où est passé Marie ? Elle n’est pas dans le dortoir. Miss Stick l’appelle deux fois pas de réponse. Au bout de dix minutes, Marie en collant et chaussettes arrive avec un livre à la main.

« Ou étiez-vous passée jeune fille ? »

« J’étais en haut en train de lire »

« Et la douche, vous compter la prendre quand, vos camarades sont déjà en pyjama !»

« Heu j’y cours Miss Stick »

« Oui je viens avec vous »

Elle saisit Marie par le poignet et se dirige vers la salle de bain en lui claquant les fesses. J’entends la pauvre Marie qui crie « aïe, aïe, aïe, pardon je me dépêche » sous les claques insistantes de miss Stick données à chaque pas jusqu’à la salle de bain. Cinq minutes plus tard, elle revient avec Marie enrobée dans une grande serviette. Nous sommes assis sagement en pyjama deux pièces bleu et blanc. Miss Stick frictionne Marie et lui met son pyjama. A ce moment on se dit que quelque chose va arriver. Miss Jane a placé deux coussins en travers du lit de Marie et l’invite à coucher son ventre dessus. Cela permet de surélever la partie postérieure de Marie qui comprend à ce moment ce qui l’attend. Elle tourne son visage vers miss Jane en l’implorant.

« Non je vous en prie Miss Jane, pas la fessée »

« Oh si Marie, la fessée cul nu pour avoir oublié la douche et pour ton retard »

« S’il vous plait Miss Jane, non, je promets de ne plus recomme… »

Pas le temps de finir sa phrase, Miss Jane bien positionnée à côté du lit à commencer à distribuer les claques sur les fesses de la pauvre Marie. Cinq à gauche, cinq à droite puis alternativement une dizaine sur chaque fesse. Marie est en pleurs quand deux mains expertes se saisissent de son bas de pyjama et le font glisser sous les cuisses révélant le très beau postérieur de Marie.

J’apprécie le spectacle d’autant que je connais bien ce fessier « l’un des plus beaux culs de Lyon » que j’ai vu rougi plus d’une fois. La pauvre marie se prend une fessée déculottée des plus salée, Miss Jane est une sacrée fesseuse et elle y met toute son expertise. La correction dure dix minutes, Marie a reçue plus de 200 claques, ses fesses sont rouge tomate, elle pleure à chaude larme tapant des pieds sur le lit. Et bien voilà chacun son tour me dis-je en mon fort intérieur. Marie seule rescapée de la fessée sur les pistes s’est pris une bonne raclée devant nous tous.

La correction de Marie est finie, elle est conduite fesses nue au coin de la chambre pour réfléchir à sa faute, les bras au-dessus de la tête. Ce fut comme d’habitude une fessée spectaculaire et humiliante pour Marie mais un beau spectacle pour nous, ne nous le cachons pas. Tante Magda a choisi exprès pour nous des pyjamas d’e n f a n t une taille en dessous de notre taille. Ainsi moi qui porte du M me retrouve avec une taille S ce qui fait que mon pyjama est trop petit et il me colle au corps. Tante Magda nous a interdit de porter des culottes sous le pyjama pour deux raisons. La première c’est pour nous déculotter plus vite, les fesses étant rapidement accessibles.

La deuxième c’est qu’avant de se coucher nous allons être proprement langés dans la nurserie. Cela offre l’avantage de souligner les courbes et en particulier celles de mes amies. Ainsi difficile de cacher la poitrine en forme d’obus de Charlène, celle plus petite et resserré d’Emilie et la courbe des hanches et des fesses de la belle Marie. Pas beaucoup de pudeur entre nous, après toutes les multiples fessées reçues nous on permit de dévoiler une partie de nos anatomies respectives. Assis sur le lit, je me dis que décidément on nous traite comme des petits e n f a n t s et que nous sommes sous la coupe d’un personnel féminin qui sait sévir pour punir les vilains petits garçons et filles. Tante Magda nous appelle.

« Les e n f a n t s il est l’heure de dîner. Descendez en silence, je vous attends dans la cuisine. »

Cinq jeunes adultes réduits au statut d’e n f a n t s bien sages dans leur pyjama ajusté se présentent devant tante Magda. Miss Crumble a préparé un bon repas montagnard composé de lard, de choux, de saucisses et d’un assortiment de légumes. Nous dinons tous les 7 avec Peter et Magda pendant que les trois miss s’affairent pour le service. Pendant le repas, seul Peter et Magda parlent. Peter, bien que témoin de nos fessées reçues, n’en parlent jamais, comme s’il était neutre et laisser la tache de punir les mauvais comportements à sa chère épouse. Un époux fidèle et légèrement soumis ? Tante Magda porte une tenue composée d’un jeans serré avec une large ceinture en cuir, d’un chemisier en soie beige déboutonné de deux boutons laissant apparaître le haut magnifique de ses beaux seins. Elle revient sur les divers épisodes de la journée en précisant que l’on ferait un point précis lors du conseil familial prévu avant de dormir. Conseil familial, je frémis devant ce mot, j’avais oublié ce rendez-vous prévu dans le planning. Qui dit conseil familial dit reproches et explications et surement punition des e n f a n t s.

Tante Magda nous propose de projeter un film dans la salle de jeu. Enfin un peu de détente nous fera du bien après cette journée riche en exposition de lunes pourpres. Nous sommes confortablement installés tous les cinq sur le canapé. Tante Magda nous lance le film « Un bon petit diable » un film dans la thématique du week-end avec une Folcoche en mère fouettarde. Je ne peux m’empêcher de faire le parallèle avec tante Magda qui sait sévir et punir les mauvais comportements. J’aurai préféré un autre film car il nous rappelle des épisodes cuisants du week-end comme si tante Magda ne voulait pas qu’on échappe au thème « week-end d’éducation et de recadrage ».

22h, heure du conseil de famille. Nous avons regagné le dortoir. Nous sommes alignés bien sagement devant nos lits respectifs devant Tante Magda, Miss Jane et Miss Crumble. Tante Magda prend la parole.

« Mes chers e n f a n t s, c’est l’heure du conseil familial, moment propice à passer en revue la journée et de revenir sur les divers incidents. Dans l’ensemble, vous n’avez pas été sages, c’est un euphémisme et j’ai dû vous flanquer de bonnes fessées pour sanctionner vos mauvais agissements. A l’appel de votre prénom, vous devez vous présenter en vitesse devant moi afin que je fasse le point. Si c’est moi qui doit aller vous chercher…. Non il ne vaut mieux pas que cela arrive »

« Emilie, tu es la première »

Emilie s’avance toute hésitante devant tante Magda.

« Ma chère e n f a n t , si l’on fait le bilan de la journée, je note deux fessées reçues. Cela vous donne droit à une fessée de Miss Crumble et 40 coups de martinet avant d’aller dormir. Au suivant… »

« Mon cher Vincent, deux fessées, mais celle donnée sur les pistes compte double. Voyons cela donne une double fessée de la part de Miss Jane et moi-même et 40 coups de martinet. Au suivant… »

Et ainsi de suite à tour de rôle défilent les trois autres e n f a n t s. Tante Magda annonce les punitions respectives de Marie (2 fessées), Charlène (une fessée) et Henri (deux fessées).

L’heure des sanctions a sonné. Nous sommes debout alignés face au mur, nous tournons le dos à tante Magda et aux deux miss. Miss Jane, nous baisse à tour de rôle en le retournant au niveau des cuisses, notre bas de pyjama. Apparaissent cinq paires de fesses bien blanches. Se faire déculotter c’est assez honteux mais le fait de voir mes camarades se faire baisser la culotte de pyjama provoque en moi un sentiment très fort. Nous sommes tous des sales gosses attendant une bonne correction maternelle.

« Miss Crumble et Miss Jane, je compte sur vous pour sévir, ils méritent tous les cinq de bonnes fessées »

Tante Magda s’assoie sur une chaise, en face de nous pendant que Miss Crumble couche Marie sur ses genoux. A l’autre bout du canapé, Miss Jane a couché Emilie sur ses cuisses. A ce moment je détaille la tenue des deux miss qui portent une nuisette en coton et soie sous une robe de chambre en laine légère. Impossible de ne pas apercevoir la jolie poitrine de Miss Jane et les très gros seins de la charpentée miss Crumble. Cela provoque quelques raideurs chez les garçons. Elles commencent leur fessée. J’entends le bruit de leurs mains qui claquent des fesses. Un concert de claques en mode fessée. Marie et Emilie trépignent et encaissent les claques les unes après les autres ne sachant pas quand la fessée s’arrête, si elle va être plus rapide, plus forte, plus appuyée.

Elles fessent pendant de longues minutes. Cette fessée avant d’aller dormir est très cuisante. Je constate que les deux Miss sont de sacrées fesseuses, elle gronde les deux filles en leur filant leur raclée. La fessée se termine pas 30 grosses claques pour lesquelles elles demandent de compter. Les deux filles sont conduites au coin fesses nues pour faire pénitence. Cela va être mon tour. Je ne me fais pas d’illusion sur le moment qui m’attend. Miss Jane me fait signe d’approcher.

« A ton tour Vincent »

Pendant que je m’exécute j’entends Miss Crumble qui appelle à son tour Henri. Je n’ai qu’une hâte, que la correction se termine. Miss Jane me saisit par le bras debout et avec beaucoup de fermeté elle m’allonge en travers de sa cuisse gauche et rajuste bien la culotte de pyjama retournée sous mon séant. J’attends fesses nues ma raclée. J’observe Henri dans la même position, allongé sur les genoux de Miss Crumble. Les Deux Miss se regardent et se font un signe. Que la fessée commence. Et quelle fessée, une fessée longue, appuyée sur des fesses bien rouges. La fessée a durée cinq minutes, je n’ai pas compté les claques mais j’ai très mal aux fesses. Je rejoins mes trois camarades au coin en punition mains sur la tête, bien collé au mur.

Nous devons méditer en silence et subir un sermon des deux jeunes femmes. Nous devons présenter des excuses pour toutes les fautes commises pendant la journée. Pendant que nous sommes debout au coin, tour à tour tante Magda nous donne à chacun les 40 coups de martinet prévus. Une fessée avec le terrible instrument suffisamment forte pour nous punir. Bien sûr Charlène a aussi reçu sa fessée réglementaire ainsi que les 40 coups de martinet. Quant à moi comme promis, ma deuxième fessée je l’ai prise allongé en travers des cuisses de tante Magda. Une correction méthodique, longue et marquante à tout point de vue. La correction finie, nous sommes autorisés à nous reculotter en massant nos fessiers endoloris assis bien sagement sur nos lits. Nous avons les joues bien rouges d’avoir tant pleurés comme des petits e n f a n t s. Quelles corrections nous avons reçue. Plus d’une dizaine de fessées distribuées sans compter les coups de martinet qui cingle le postérieur. Tante Magda nous prend tour à tour dans ses bras pour nous consoler. J’avoue que ce moment est bien réconfortant après la double correction reçue.

« Mes chers e n f a n t s, Tante Magda vous aiment et c’est pour votre bien qu’elle doit se fâcher. Voilà c’est fini, oublié. Miss Jane et Miss Crumble je vous charge de les langer dans la nursery »

Elles nous accompagnent Henri et moi dans la pièce attenante à la salle de bain, la nursery. En arrivant nous distinguons deux tables à langer de taille adulte recouverte d’alèses jetables avec sur le côté un bac contenant crème, savon, gant et lingettes. Je n’en reviens pas, une salle aménagée comme pour changer les bébés sauf que tout est adapté pour des grands e n f a n t s. Miss Jane a disposé une large couche en plastique sur chaque table à langer, je me tourne vers Henri. Il a compris comme moi la deuxième raison pour laquelle nous ne portons pas de culotte sous nos petits pyjamas c’est parce que nous allons porter des couches, quelle honte. En nous tapotant légèrement les fesses, Miss Jane et Miss Crumble nous prennent en charge comme de petits e n f a n t s, Miss Jane me fait gravir l’échelle qui permet d’accéder au plateau de la table à langer.

« Mais Miss Jane, on ne va pas porter de couche » une terrible gifle me cingle la joue.

« Tais-toi Vincent, tante Magda insiste pour que je vous mette en couche avant d’aller dormir, cela vous évitera de mouiller votre lit, les toilettes sont en bas, le plancher grince et tante Magda ne veux pas d’aller et venus pendant la nuit pour aller faire pipi. »

Pas de résistance possible, le suis allongé dos sur le plateau, Miss Jane avec une grande maîtrise fait glisser mon bas de pyjama révélant mon sexe en érection. Une tape sur la cuisse me fait tout de suite débander. Elle me soulève les jambes, glisse le plastique sous mes fesses et rabat la couche qu’elle ferme avec les attaches en scratch. Miss Crumble a fait de même avec mon copain Henri. Miss Crumble prend la suite dans la nursery pour s’occuper des trois filles. Dix minutes plus tard, nous sommes tous les cinq en couche sous nos pyjamas serrés. Si la couche est confortable et enveloppante, elle est si épaisse que le pyjama a du mal à la recouvrir. De dos, pas de doute on voit bien qu’on porte des couches. Le sentiment de honte est partagé par nous tous. Hier, Marie et moi étions en train de boire un verre de vin conversant entre adulte responsables et ce soir je suis en couche sous mon pyjama d’e n f a n t , les fesses encore chaudes de mes fessées reçues.

Quelle régression nous avons subie. Tante Magda ferme la séparation entre garçons et filles et nous dépose à chacun un baiser sur le front et nous fait un câlin qui réconforte après les terribles déculottées données.

« Avant de dormir je vous ai promis que la fessée serait doublée au moment du coucher c’est le règlement familial qui l’impose. Vous êtes fatigués après cette journée de ski et avez besoin de bien dormir. Je vous fais un câlin à chacun en vous bordant et je vous dis bonne nuit mes e n f a n t s »

« Bonne nuit tante Magda »

« Je ne veux pas d’aller et retour dans les couloirs. Vous dormez. Le premier que je choppe à quitter son lit sera puni d’une double fessée au petit déjeuner. Les planchers grincent, j’entends tout de ma chambre donc ne jouez pas avec moi ou gare à vos jolies petites fesses. Demain réveil à 8h et petit déjeuner à 8h15, nous vérifierons l’état de propreté de vos couches gare à vous si elles sont mouillées ! Dormez bien »

Tante Magda s’approche de mon lit et me murmure à l’oreille « Et pas d’indiscrétion dans ma chambre Vincent, souviens toi ce que cela t’as coûté mon cher e n f a n t ». Comment ne pas oublier la sévère correction reçue pour voir oser mater Magda en petite tenue dans sa chambre. Résultat : une déculotté des plus cinglantes qui m’a chauffé le postérieur pendant plusieurs heures.

Pendant la nuit, à demi endormi, j’ai entendu des bruits provenant de la chambre de Peter et Magda, des éclats de voix, des coups, à rythme régulier mais soutenu. Le bruit caractéristique d’une main qui claque et d’un derrière qui reçoit. Je n’osais quitter ma chambre de peur de subir le même sort. Je m’endormis assez tard un peu perturbé par ce que j’avais entendu. Ce peut-il que Tante Magda soit fessé par son Peter de mari ? Plus tard, j’apprendrais que Peter le gentil mari se faisait corriger comme un e n f a n t , cul nu, sur les genoux de sa gentille femme qui terminait la longue correction par une fessée à la strappe.

La fessée donnée à son mari servait d’excitant et de préliminaires à leurs ébats amoureux. Peter se vengeait en prenant avec beaucoup d’insistance sa femme par derrière. La fessée servit d’accélérateur pour la raideur de son membre. Tout le monde était satisfait. J’avais ma réponse à la question qui tient la culotte dans le couple.

Le lendemain, Miss Jane nous tire du lit l’un après l’autre pendant que Miss Crumble réveille les filles. Elles soulèvent complètement les draps pour vérifier leur état. Miss Jane se tourne vers nous.

« Les garçons ont les draps bien secs, ce n’est pas le cas de Charlene et Emilie qui ont le pyjama trempé. Je suppose, les filles, que votre couche l’est aussi, je vais vérifier ».

Miss Jane et Miss Crumble allonge sur le dos les deux jeunes filles et défont les scratchs. Pas de doute les couches sont bien humides. La logique fut respectée, Miss Jane et Miss Crumble soulèvent bien haut les jambes des 2 grandes filles pour leur administrer la fessée jambes tendues, en position diaper. La fessée est très humiliante et très douloureuse car les fesses sont bien tendues et chaque claque fait mal. Après une retentissante fessée de 10 minutes les deux pauvres filles sont rhabillées en pyjama et sont conduites dans la cuisine ou nous avons déjà pris place autour de la table de petit déjeuner. Tante Magda prend la parole.

« Mes petites Emilie et Charlene, je suis au regret de vous annoncer que pipi au lit égale une grosse fessée au martinet de la part de tante Magda »

Tante Magda dans sa belle nuisette qui met en valeur son imposante poitrine revient brandissant le martinet, l’instrument familial de correction si redouté par les e n f a n t s. Tante Magda brandit le martinet et après avoir couché Charlene toute nue sur ses genoux et lui cingle les fesses, Elle crie, supplie, les lanières fouettent ses fesses nues. Elle doit compter à voix haute les coups, 40 en tout. Vient le tour d’Emilie, elle la fesse cul nu comme pour Charlene, devant ses petits camarades, une fessée retentissante au martinet. Les deux pleureuses sont conduites en pénitence à nouveau mains sur la tête dans le coin de la cuisine près de Miss Crumble qui avec un mouchoir essuie leurs larmes de petite fille. Comme après chaque fessée, tante Magda devient tout à coup beaucoup plus aimante, elle assoie sur ses genoux la pauvre Emilie et Charlene et les prend dans ses bras pour les consoler. Quel spectacle que cette cajolerie après la fessée, un câlin si tendre et si familial.

« Mes petites chéries, tante Magda est douce et sévère à la fois. Vous devriez avoir honte de mouiller vos lits mes e n f a n t s, cela ne me plait pas de devoir vous corriger si durement mais je dois respecter les règles familiales sinon vous ne progresserez jamais dans votre éducation. C’est bien compris les filles ?

« Oui tante Magda » (en cœur)

« Allez ouste tout le monde dans le dortoir pour l’inspection des chambres, Miss Jane vous pouvez changer les draps svp »

Nous sommes habillés avec nos survêtement de la veille debout devant nos lits respectifs.je repense à ce matin au moment de me lever. Ais je bien tout rangé dans mon armoire. Tante Magda inspecte chaque coin du dortoir, relevant la une chaussette sale qui traine d’Henri, une culotte négligemment posée d’Emilie, un drap mal fait de Charlène, un oreiller défait pour Marie et une armoire très mal rangée pour moi. Hum ça va barder, on se dirige vers une fessée collective.

« Bravo je vous félicite pour votre rangement très approximatif. Il est clair que vous méritez tous une bonne fessée pour votre désordre. Miss Crumble et Miss Stick nous ne serons pas trop de trois pour corriger les cinq petits derrières. Mesdames à vos mains !»

Que dire de cette fessée collective. Elle fut longue, intense et très cuisante. De mon côté, j’ai senti passer les claques. J’ai reçu dans la foulée la fessée sur les genoux de Miss Jane, la fessée allongée sur la cuisse de Miss Stick et pour finir une formidable fessée déculottée courbée sous le bras de tante Magda debout, sous son bras légèrement penché. Trois fessées déculottées de suite après le petit déjeuner. Je suis sur mon lit, les fesses brulantes pendant que mes autres camarades subissaient le même sort. Il me reste en mémoire l’image de la dernière fessée celle d’Henri allongé de tout son long sur les genoux de Miss Crumble pendant que Charlène avait la même position tête bèche en travers des genoux de tante Magda. Deux fessées cul nu spectaculaires, claques en cadence, à gauche, à droite, la main qui se lève et s’abat, les bustes qui font des soubresauts après chaque claque et les pleurs des deux pauvres victimes.

Après cette punition collective, nous sommes convoqués pour la deuxième matinée de classe. Nous sommes sagement assis à nos pupitres respectifs, Aujourd’hui nos professeurs sont Miss Jane et Miss Stick, tante Magda a dû s’absenter pour régler des affaires urgentes. Miss Jane nous interroge sur les verbes irréguliers en anglais à tour de rôle. A chaque faute ou mauvaise prononciation on reçoit deux coups de règles sur les doigts. Et les coups pleuvent car nous avons des lacunes. Pour ma part, je m’en tire bien avec 2 coups seulement alors que la pauvre Emilie en a reçu 8 et Henri 7. Charlene d’origine anglaise a bien sur répondu juste à toutes les questions. Je suis convoqué au tableau pour résoudre un problème d’algèbre. Au bout de cinq minutes, je n’ai toujours pas avancé, la craie en main devant le tableau noir, je vois Miss Jane me faire les gros yeux.

« Alors Vincent, tu n’as pas appris ta leçon on dirait, sais-tu ce que cela mérite mon e n f a n t ? »

« La fessée Miss Jane, vous m’avez promise la fessée déculottée »

Elle me conduit devant son grand bureau et me couche en travers les mains bien posées sur le bureau le ventre collé, le reste du corps debout. La belle Miss Jane me gronde et me claque les fesses par-dessus mon survêt. Puis elle procède à un déculottage expéditif. Je sens un léger courant d’air sur mes fesses. Elle me donne une fessée rapide et appuyée. Mais une fessée reste une correction cuisante et la chaleur qui irradie mon postérieur est là pour me le rappeler. Vient l’heure de la dictée. On la redoute cette dictée avec son barème si sévère. Illusoire de croire qu’on puisse faire moins de quatre fautes.

Le verdict tombe et il est assez équitable : 10 fautes par élève. Nouvelle séance de fessées déculottées collective au programme. Honneur aux trois filles, tour à tour couchée à plat ventre contre le bureau, elles reçoivent leur fessée cul nu et le martinet. Charlene, Marie et Emilie sont en pleurs, fesses rougies collé au coin dans la position des punis. Au tour des deux garçons dont je fais partie. Dans la même position que les filles, j’attends ma correction promise. Miss Jane prend beaucoup d’élan pour frapper ma croupe. A chaque claque, je fais des bonds. Surtout que c’est ma deuxième fessée de suite et mes fesses sont encore bien rouges, cela fait doublement mal, aïe, aïe, aïe… Mon camarade Henri subit le même sort. Il a eu tellement peur en attendant sa raclée en voyant les filles se faire corriger qu’il a mouillé son pantalon, honte suprême. Le pauvre a dû aller se changer en vitesse dans la chambre se prenant au passage une deuxième fessée de Miss Stick.

A suivre

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