Catégories : Femmes fessées Hommes fessés
Ce récit est la suite de : Accréditation fessée 5
il y a 4 ans
La classe est finie, nous sortons pour aller déjeuner sur la grande terrasse en teck. Quel soulagement cette pause repas après les multiples corrections. Après le déjeuner, nous allons nous changer en tenue de ski. Tante Magda et Peter nous accompagnent en voiture jusqu’à la station. Nous prenons le téléphérique qui nous emmène en haut des pistes. Arrivés en haut, nous descendons à vive allure les pentes de neige. C’est un bon moment de détente et nous profitons des magnifiques paysages des Alpes. 16H30, nous arrivons en bas des pistes pour déchausser. C’est fini la journée de ski et pas de fessée distribuée, à croire qu’elles n’ont jamais eu lieu.
17h, retour au chalet pour une collation bien méritée. Nous avons le droit d’aller nous reposer dans la chambre. Tante Magda et Peter eux font une sieste dans leur suite parentale. Des bruits de gémissements nous parviennent qui nous indique que la sieste est en fait un prétexte au coït. Marie, Emilie et Henri sont montés faire une partie de carte dans la salle de jeu. Charlène et moi sommes dans la chambre. Quand Marie redescend dans la chambre 15 minutes plus tard, je suis allongé nu sur mon lit, la belle Charlène est sur moi. J’ai les mains posées sur ses gros seins et nous faisons l’amour. Marie nous surprend en plein acte et elle est si choquée qu’elle part sans dire un mot. Surpris, nous nous rhabillons en vitesse et sortons rejoindre les autres dans la salle de jeu. Marie a disparue.
Je ne vais pas prétendre que je l’ai beaucoup cherché car j’étais en faute et je repoussais le moment où je devrais m’expliquer. J’espérai qu’elle ne ferait pas un scandale devant nous tous révélant mes infidélités. Dès que j’ai vu la belle Charlène, elle m’a obsédée. Quand je l’ai vu se faire déculotter, j’ai admiré ses belles courbes, ses jambes longues et fines. Je n’ai pas pu résister et elle a aussi bien flashé sur moi et mon large torse velu, mes bras musclés, mes cheveux bruns, mes yeux bleus. Bref cela devait arriver j’espérais que les conséquences ne seraient pas trop lourdes.
Le temps de pause est un formidable moment de détente, en plus nous sommes entre nous pas de Miss Jane, Stick ou Crumble, ni de tante Magda à portée. Nous passons deux heures à jouer aux cartes tous les 4. Il manque ma Marie. Mais que peux t’elle bien faire ? Je commence à être inquiet, j’espère qu’elle n’a pas quitté le chalet seule dans la pénombre. Je me mets à regretter mon flirt mal venu avec la belle Charlène. Elle semble le remarquer. Depuis qu’on nous a surpris, elle me fait la tête. Peut-être sent-elle que quelque chose de dramatique va arriver. Qu’arriverais-t-il à nous deux si tante Magda était au courant. Je commence à me dire que cela explique peut-être l’absence de Marie. Je sens une boule dans mon ventre. J’appréhende la fin de la journée.
18H30, l’heure de la toilette.
Comme la veille, nous sommes entièrement pris en charge comme des petits e n f a n t s par Miss Jane et Miss Stick qui veille à bien nous laver, nous savonner, nous rincer sous la douche. Gare au retardataire, désobéissant, les claques sur les fesses nues peuvent tomber à tout moment. Miss Stick s’occupe des garçons et Miss Jane des filles. Toujours pas de nouvelles de Marie. En me faisant frictionner énergiquement par Miss Stick, un sentiment de honte m’envahi. Je suis à deux doigts d’aller en parler à tante Magda mais connaissant sa sévérité, les conséquences pourraient être dramatiques pour mon postérieur. Miss Stick nous met en pyjama, je le trouve toujours aussi petit et serré. Miss Jane a dû sévir sur Emilie qui ne voulait pas mettre son pyjama assez vite ; la pauvre elle a pris 30 coups de règles sur les fesses. On l’entendait danser à chaque coup, poussant des « ail aïe, aïe, stop, pardon, je vous en prie… »
20H l’heure du dîner. Nous sommes réunis dans la cuisine, attablés tous les six et soudain
Marie réapparaît. Je suis soulagé d’apprendre qu’elle va bien. A la différence de nous, elle porte toujours son survêt alors que nous sommes tous les quatre en pyjama bleu et blanc. Tante Magda prend la parole
« Excusez Marie pour son retard, elle était retenue dans ma chambre pour raisons personnelles. Bien sur la petite chérie n’a pas pu prendre sa douche. Miss Jane s’occupera de sa toilette après le repas. »
Je repense aux mots prononcés par tante Magda « pour raisons personnelles ». Mon s a n g bat dans mes tempes, tante Magda est probablement au courant. Que faire, lui en parler ou attendre qu’elle m’en parle au risque d’aggraver la situation ? J’avoue avoir passé un mauvais moment pendant ce diner. Tante Magda s’inquiétant pour moi.
« Mon petit Vincent, tu n’as pas faim, es-tu malade ? »
« Non tante Magda, tout va bien »
« C’est l’absence de Marie qui t’inquiétait ? »
A cette phrase, je ne peux m’empêcher de rougir. Je me sens en fautes, je serai prêt à tout avouer sur le champ pour être débarrasser de ce poids. Mais je n’ai pas le courage, repoussant les explications à plus tard. J’observe Charlène qui regarde son assiette. Le repas terminé, nous avons droit à un temps libre jusqu’à 22H, au moment où je m’apprête à quitter la cuisine tante Magda nous appelle
« Vincent, Marie et Charlène, j’ai deux mots à vous dire venez avec moi dans ma chambre. Les autres, vous pouvez aller dans la salle de jeu »
Mince, moi qui pensais pouvoir me détendre avec les camarades, je suis convoqué avec Marie et Charlène, Tout cela ne me dit rien qui vaille. On arrive dans la chambre. Tante Magda ferme la porte. Elle se tient debout devant nous, nous sommes assis tous les trois, Charlène et moi en pyjama, Marie en survêt.
« Je voudrais éclaircir deux trois choses avec vous. J’ai trouvé Marie en pleurs dans le salon. Elle était très contrariée. Je voudrais savoir ce qui l’a mise dans cet état ? Vincent tu as une explication »
« Heu…non je ne vois pas tante Magda, on la cherchait part.. » Je suis interrompu par une gifle de tante Magda
« Tu mens jeune homme, je sais pourquoi Marie pleurait, elle t’a surpris avec Charlène »
Je rougis, me tourne vers Charline qui détourne le regard
« Continue à me mentir et tu aggraveras ton cas, de toute les façons on m’a tout raconté »
« Non ce n’est pas vrai, il ne faut pas croire ce que dit Marie elle… » Nouvelle claque sur ma joue.
« Tu continues tes mensonges, sache que ce n’est pas Marie qui m’a raconté, c’est Charlène »
Je me tourne vers Charlène, je n’ose y croire, elle nous a dénoncé alors qu’elle connaissait le risque encouru.
« Il a fallu lui tirer les vers du nez mais quand j’ai menacé de la renvoyez, elle a tout dit sur toi et elle »
Je me décompose, je comprends à ce moment, la terrible erreur qui va me coûter cher.
« Mais je…je vous assure que… »
« Tais-toi mon e n f a n t . Je t’avais dit pas de zizi pan pan chez moi, mais je n’imagine pas que tu puisses désobéir en le faisant avec Charlène. Ta conduite est inqualifiable. Tu as fait beaucoup de tort à Marie. Tu te conduis comme un gougeât, tu n’oses pas me l’avouer et en plus tu me mens. Mon garçon tu dépasses les bornes. Saches que j’étais au courant depuis 18h de tes agissements et que j’avais prévu de te punir en espérant que tu oserais venir m’en parler. Et tu n’as rien fait. Tout cela a de fâcheuses conséquences qui vont te coûter cher. Ton postérieur va rougir en ma présence ! »
Je suis rouge de honte de me faire sermonner de la sorte. Je crains la suite des événements que je devine une terrible raclée fesses nues.
« Compte tenu de la gravité de la faute, et j’inclus Charlène dans le lot, vous allez être très sévèrement corrigés dans le dortoir devant vos petits camarades et la fessée va être exemplaire. Présentez-vous à 22h tapantes tous les deux dans le dortoir, vous allez voir comment je corrige les vilains e n f a n t s, Allez ouste du balai. Je ne veux plus vous voir »
Je repars bredouillant des excuses que tante Magda n’écoute pas. Je monte dans la salle de jeu retrouver mes camarades qui me demandent ce que faisions avec tante Magda. Je ne réponds pas. Charlène est mutique et Marie me fait la gueule. Drôle d’ambiance. Je repense aux menaces explicites de Tante Magda. Je connais sa sévérité et je crains ses corrections qui font si mal. En plus je vais subir la honte d’être puni avec Charlène devant mes camarades. Je passe un très mauvais moment.
22h. C’est l’heure du conseil familial dans le dortoir. Nous sommes tous les cinq assis bien sagement en pyjama sur nos lits respectifs devant tante Magda, Miss Jane et miss Crumble. Tante Magda a un regard très sévère. Personne n’ose la fixer, encore moins moi. Charlène est recroquevillée sur elle-même, elle cherche à se cacher tellement elle a peur.
« Mes e n f a n t s, c’est un conseil de famille exceptionnel compte tenu de l’incident regrettable qui est arrivé. Je ne rentrerai pas dans les détails, mais sachez que Vincent et Charlène ont eu une attitude inadmissible qu’il convient de sanctionner le plus durement. Marie, Henri et Emilie, vous échappez au conseil de famille (ouf de soulagement des trois e n f a n t s) je dois m’occuper des postérieurs de nos deux fautifs. Vincent et Charlène levez-vous face à moi »
Deux jeunes adultes régressés au stade d’e n f a n t se lève.
« Charlène, ta conduite est inqualifiable pour toi c’est la fessée déculottée et 50 coups de martinet ! »
Charlène supplie « oh non tante Magda, pas le martinet »
« Tais-toi ou je double la correction et pour que cela fasse bien mal on commencera par la fessée ! »
Il est vrai pour l’avoir souvent testé que le martinet cingle les fesses et que la fessée qui suit est un soulagement qui atténue la douleur, l’inverse est pire.
« Vincent, pour toi je vais être très sévère. Tu as eu une conduite inacceptable, tu n’as pas eu le courage de l’avouer et en plus tu m’as menti effrontément. Tu Mérites une……triple……fessée et 50 coups de martinet. Crois-moi mon e n f a n t je vais bien m’appliquer tu dormiras sur le ventre et tes fesses font te chauffer pendant toute la nuit ! »
J’en ai reçu des corrections, j’en ai fait des allers retour sur les cuisses féminines mais je redoute la prochaine car connaissant bien Tante Magda qui dit exemple dit fessée longue, cuisante et insupportable. Je n’ai pas le choix et je me dis en mon fort intérieur tu la bien cherché, tu la mérites.
« Charlène, viens ici que je m’occupe de tes fesses ma chère e n f a n t ! »
Tante Magda s’assoie sur le lit de Charlène. A peine a sa portée, tante Magda la précipite en travers de ses genoux et lui baisse le pyjama. Les jolies fesses de la belle anglaise sont à la vue de tous. Elle lève la main bien haute et imprime un large cercle claquant à toute volée le postérieur de Charlène. Elle lui donne une retentissante fessée qui faut sautiller la pauvre fille.
Nous assistons en tant que spectateur à une démonstration de correction familiale. La fessée cela fait mal mais la fessée d’une femme d1,90 m, ancienne championne de basket, qui frappe les deux fesses comme si c’était un ballon c’est encore pire ! ! !
Une fessée magistrale longue et progressive. Charlène supplie, se tortille, demande pardon et pleure comme une e n f a n t . Elle a laissé sa pudeur au vestiaire se faisant corriger comme une petite fille. Après 15 minutes de correction la fessée est finie et la pauvre Charlène est conduite au piquet mains sur la tête à genoux sur son lit. Je crains l’épisode suivant.
« Mon cher Vincent, à ton tour, je vais te corriger comme un e n f a n t , viens que je te déculotte »
Je fais quelques pas hésitant. Je suis saisi par la poigne de tante Magda. Elle me couche en vitesse sur son jeans moulant, je sens ses cuisses musclées sous mon ventre. Elle me baisse le pyjama. J’ai les fesses à l’air devant toute la chambrée. Elle me gronde, me menace de ses grandes mains. J’entends « la fessée va tomber mon e n f a n t » au moment où la première claque atterrie sur mon postérieur. Pas le temps de souffler les claques enchaînent de plus en plus vite, de plus en plus fort. C’est terrible de se faire corriger comme un e n f a n t devant mes camarades qui ne perdent pas une miette du spectacle. Je reçois une fessée retentissante, interminable et cuisante. Je crie, je supplie, je demande pardon et au bout de longues minutes, je suis en s a n g lots alors tante Magda accélère le rythme de ses claques, la fessée devient plus forte, elle fait encore plus mal. Elle fait une pause sans doute pour reposer sa main et constater la couleur rouge de mes fesses.
Elle me bascule sur sa cuisse gauche et m’emprisonne les jambes avec sa jambe droite. Elle me bloque le bras droit dans le dos avec sa main gauche. C’est le signe que la prochaine fessée va être mémorable. Position idéale pour ses mains et pour moi impossible de me libérer. Mes fesses sont bien tendues, les claques font encore plus mal. Elle m’annonce « deuxième fessée » et levant la main bien haut elle me donne une centaine de claques alternant gauche, droite, en haut, en bas.
Elle sait bien viser et c’est une experte en correction. J’en ai souvent eu la preuve ce week-end. La deuxième fessée donnée sur des fesses bien rouges c’est encore plus douloureux. A la vingtième claque je pleure déjà à chaude larmes. A la centième je crie, ‘stop, s'il vous plait, stop j’ai trop mal ». Alors elle en rajoute 20 très fortes me demandant de les compter à haute voix.
Je me relève mes fesses me brûlent, je rougis d'être puni de cette façon Jamais je n’avais reçu de fessée aussi forte et longue, Je me sens honteux. Je n’attends pas qu’on me le demande, je me rends au coin à genoux sur mon lit. Tante Magda ne m’autorise pas à me reculotter. Je jette un coup d’œil dans le coin des filles pour comparer les rougeurs de mon postérieur avec celui de Charlène, les miennes sont beaucoup plus rouges.
« Je vous avais promis 50 coups de martinet, Miss Jane va vous les administrer. Miss Jane ne soyez pas clémente »
Miss Jane revient avec le martinet aux neuf lanières à bout carrés, celui qui fait le plus mal. Elle lève la main brandissant l’instrument derrière les fesses de Charlène et lui cingle les fesses en demandant de compter les coups. Après dix coups, la pauvre Charlène a tellement mal qu’elle se trompe ce qui lui vaut 10 coups en plus. Après 60 coups, elle demande pardon en larmes. Quelle raclée elle a reçu. Elle finit par une formidable fessée, courbé sous son bras et sa main se calme. Charlène se couche sur le ventre fesses nues rouge tomate en pleurs. A mon tour.
« Vincent tend bien tes fesses que je te corrige comme il faut »
Elle lève la main brandissant l’instrument derrière mes fesses, je sens sa présence, mes fesses rouges à sa portée. J’entends un sifflement d’air et les lanières du martinet frappe mes fesses, je hurle c’est difficilement supportable, j’encaisse coup après coup, fesse gauche qui brule, fesse droite qui démange. Miss Jane me fesse en demandant de compter les coups. Après dix coups, je pleure, à 30 je tremble comme une feuille. Après 50 coups, je demande pardon en larmes. J’ai reçu une double fessée et le martinet la correction a durée 30 minutes. J’ai les fesses en feu. Miss Jane stoppe sa raclée et me couche sur le ventre je pleure dans mon oreiller. Quelle correction, quel week-end, je ne compte plus les fessées reçues.
« Mon Vincent je t’avais promis trois fessées mais vu l’état de tes fesses nous allons en finir pour ce soir. Tu patienteras bien jusqu’à demain allez hop Miss Jane et Miss Crumble je vous laisse les langer. Bonne nuit les e n f a n t s »
Je ne me souviens plus de la fin de la soirée. J’avais les fesses tellement rouges que je suis laissé sagement mettre en couche pour aller le plus vite retrouver mon lit. Mettre une couche après de bonnes fessées c’est très cuisant tant les fesses sont comprimées dans le plastique. J’ai passé une nuit assez agitée tentant de soulager mon postérieur très chaud. De loin j’entendais les mêmes bruits de claques sonores provenant de la chambre de tante Magda. Elle devait fesser son petit mari. Décidemment infatigable correctrice tante Magda.
Le lendemain, le week-end se termine, tante Magda nous raccompagne tous les quatre à la gare. Le trajet dure une bonne heure. Oublié notre condition d’e n f a n t à corriger, nous sommes à nouveau des jeunes adultes. C’est soulageant du coup, dans la voiture nous plaisantons, nous sommes devenus amis ; nous échangeons nos impressions ; tante Magda est d’humeur joviale, nous la redécouvrons beaucoup plus chaleureuse et cool comme à notre arrivée. Assez à l’aise pendant le trajet, nous continuons à partager des bonnes blagues à l’arrière du véhicule. Tante Magda nous remercie pour avoir bien joué le jeu.
Tante Magda s’arrête à une station-service pour faire le plein.
« Descend Vincent, toi aussi Marie »
Je ne comprends pas ce qui se passe
« Je t’avais promis une autre fessée n’est-ce pas mon cher ?»
« Oui mais bon c’est fini le week-end, vous ne pouvez plus me fesser »
« Tu n’es pas encore à la gare… mais bon tu as raison je n’ai plus envie »
Je sens un grand soulagement j’ai évité une probable déculottée dans la station-service.
« En revanche j’en connais une qui en a très envie… n’est-ce pas Marie ?»
« Oh oui Tante Magda, cela me démange depuis hier. »
« Non Marie tu ne peux pas faire ça, pas toi ! »
« Tu m’as trompé Vincent, je veux bien te pardonner mais tu mérites une bonne fessée. Sache que je suis déjà entraînée sur les fesses de Charlène, elle a dégusté n’est-ce pas ma chère ? »
Marie s’assoie sur un banc devant les pompes à essence et me fait signe d’approcher. A peine arrivé, elle me déboucle la ceinture et me baisse le jeans. Je me retrouve, avec mon anorak bien chaud, en slip, pantalon au niveau des genoux, en pleine station-service. Je sens tout de suite la température extérieure, il fait un froid de canard. Quelles tapes sur le slip pour se faire la main et me voilà allongé en travers de ses cuisses.
Mon ventre frotte ses leggings noires. Me maintenant bien contre ses cuisses avec son bras gauche, elle me baisse le slip avec la droite. A ce moment la honte me saisit, je suis déculottée par ma copine et je vais prendre une fessée comme un e n f a n t . Je compte c’est ma douzième du week-end mais là c’est le comble de l’humiliation. La fessée qui s’en suivit fut douloureuse. Marie, quoique novice, s’applique à donner de grandes claques sous les encouragements de tante Magda « Plus fort ma chérie, ce n’est pas un massage, c’est une fessée et la fessée c’est fait pour faire mal ! » Alors Marie, en bonne élève, apprend vite et ses claques deviennent plus cinglantes, données à toute volée.
« Bravo Marie, quelle belle correction, il ne l’a pas volée sa bonne fessée, fesse-le, encore plus fort et plus vite »
Marie est si en colère après moi qu’elle y met beaucoup d’ardeur en me sermonnant A chaque claque sur les fesses un commentaire :
« Tiens celle-là c’est pour les seins de Charlène, celle-là pour ses fesses, et celle-là pour les baisers échangés »
Je reçois une fessée magistrale de la part de ma copine qui me fesse comme un petit garçon. Elle termine par vingt claques que je dois compter à voix haute. Quand elle me relève fesses rougies je constate qu’il y a sept personnes qui me dévisagent, ayant assisté à ma fessée cul nu. Je rougis et tente de me cacher le visage. Tante Magda renchérit.
« Mesdames, Messieurs voilà ce qui arrive quand est volage et que l’on se comporte comme un e n f a n t désobéissant, c’est la fessée cul nu immédiate. Je pense que Vincent avait mérité une bonne correction en public. Il réfléchira à deux fois avant de recommencer. N’est-ce pas Vincent ? »
« Oui tante Magda » (tout penaud)
« Tu vas demander pardon à Marie et lui faire un bisou de réconciliation »
Demander pardon fut pénible mais moins que le bisou exigé. Imaginez-vous avoir envie de faire un bisou à celle qui vous a fessée cul nu devant un public d’inconnu ? La réponse est non. Mais connaissant la sévérité de tante Magda, j’ai préféré lui obéir. Nous avons quitté tante Magda pour prendre le train du retour. Dès mon arrivée Marie m’a demandé d’envoyer un mail à Tante Magda.
Bonsoir Madame ou devrais-je dire « Tante Magda » au risque de me retrouver sur vos genoux.
Je suis parti de chez vous en étant un vrai gougeât avec Marie. Vous m’avez bien sermonné, j’ai eu bien honte et vous avez proposé à Marie de me flanquer une bonne fessée déculottée. J'ai les fesses encore rouges et me souvient avec appréhension de mes multiples passages sur vos cuisses. Mes fessées étaient toutes méritées et vous avez bien fait, je ne vous tiens pas rigueur et je vous prie de m’excusez pour mon comportement déplacé.
J'espère revenir bientôt pour un prochain week-end de recadrage.
Bises
Vincent
PS : pour la petite histoire sachez que suite au week-end Marie a repris mon éducation en main et qu’elle a dû sévir de nombreuses fois sur mon postérieur.
Quelques minutes plus tard je reçois sa réponse :
Bonsoir mon cher Vincent, merci pour ton mail. Tu es jeune homme charmant et intelligent mais tu as besoin qu’on te fixe un cadre pour ne pas dériver. J’ai aimé te fesser c'est très plaisant et tu sais mériter les bonnes corrections.
J’avoue que je me doutais un peu pour Marie, Elle a bien appris à corriger et il est souhaitable qu’elle continue à te punir pour que tu améliore ton comportement. Cela me plairait bien de vous accueillir de nouveau à la maison, je vous recevrais en toute intimité c'est-à-dire si en travers de mes genoux ! D’ici-là, tiens-toi tranquille ou je me déplace pour te déculotter !
A bientôt Madame VanRieskem
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