Accréditation fessée 7

Catégories : Femmes fessées Hommes fessés
Ce récit est la suite de : Accréditation fessée 6
il y a 4 ans

Trois mois se sont écoulés depuis le fameux séjour à la montagne chez tante Magda. Nous sommes en avril, le printemps est arrivé emportant avec lui le beau temps. Inga, la deuxième fille de Magda âgée de 20 ans, rentre pour les vacances de Pâques d’Angleterre ou elle étudie à la prestigieuse Cambridge University. Elle a invité pour le week-end ses copines de fac Charlotte et Mao. Tante Magda les accueille dans sa belle propriété normande.

« Bonjour Maman »

« Bonjour Madame »

« Bonjour ma chérie, bonjour les filles, soyez les bienvenues à la maison. Vous avez l’air en pleine forme, vous verrez l’air de la campagne c’est parfait pour prendre un bon bol d’air ».

Tante Magda est toujours aussi belle. Elle porte une robe en coton avec de jolis imprimés fleuris, des baskets montantes, une veste en daim, sa tête est coiffée d’un joli chapeau de paille. Elle est toujours aussi grande, 1m 90, toute élancée avec des seins lourds bien maintenus dans un soutien-gorge de sport.

« Mao et Charlotte, je suis ravi de vous accueillir, Inga m’a souvent parlé de vous. Vous êtes ici comme mes e n f a n t s. Vous faites comme chez vous. Vous pouvez profiter de la piscine, jouer au tennis ou au basket et vous avez une grande bibliothèque remplie de bons livres pour vous distraire. Si vous aimer le cinéma, nous avons un home cinéma dernier cri à l’étage. Profitez bien de votre week-end. Au fait Inga a dû vous parler de mes règles familiales »

« Quelles règles ? » (Réponds du tac au tac Mao)

« On dit quelles règles Madame, ou vous pouvez m’appeler tante Magda c’est plus simple, c’est bien compris les filles ? »

« Oui tante Magda » (en cœur)

« Ma chère Mao, ma chère Charlotte, la vie en communauté familiale impose des règles à respecter pour que les choses se passent bien. Le temps d’un week-end, je vous considère comme mes e n f a n t s, j’en ai quatre, Inga est ma deuxième fille. Vous devrez m’appeler "Tante Magda », me dire « vous » et de me répondre poliment par « oui Tante Magda » ou « Non Tante Magda ». Chaque manquement sera puni d’une gifle, c’est bien compris ? »

« D’une gifle ?......Oui tante Magda » (tous en cœur)

« Je suis disposée à ce que vous passiez un bon séjour chez moi. Je peux être très cool mais je suis stricte et intransigeante en ce qui concerne l’éducation et le savoir-vivre Je vous préviens mes chers petites, toutes les mauvaises habitudes que vous avez prises, vont devoir disparaître. Il n'est plus question de désobéir ».

A ce mot Charlotte et Mao se tournent vers Inga d’un air perplexe. Elle ne s’attendait pas à autant de fermeté de la part de la mère de leur copine.

« Je vais reprendre votre éducation là ou vos parents l’ont laissée. Je considère que le temps du séjour, vous avez perdu vos privilèges d’adulte. Vous êtes un peu comme mes e n f a n t s, des tendres chérubins qui ont parfois besoin d’être recadrer pour mieux obéir »

« Madame qu’entendez-vous par recadrer ? » demande Charlotte

« Inga, tu ne leur as pas dit ? »

« Non Maman, je n’osais pas de peur que… » (Réponds Inga l’air confus)

« Disons que je ne transige jamais sur les punitions en cas de désobéissance. Nous allons passer deux jours au cours desquels je vais surveiller votre comportement. Si je dois sévir c’est la fessée immédiate les filles ! »

« La fessée, vous plaisantez Madame, nous ne sommes plus des petites filles ! » (Répond Charlotte sure d’elle)

Charlotte se prend une gifle magistrale qui stoppe net son effronterie.

« On dit tante Magda, ma fille. Tu crois que je plaisante, demande à ma fille » (se tournant vers Inga)

Charlotte se tourne vers Inga.

« C’est vrai Inga »

« Oui maman peut être très sévère »

Tante Magda poursuit son sermon.

« Sachez jeunes filles que la fessée je ne la donne pas sur la culotte »

« Oh non, vous voulez dire sur les fesses nues ? »

« Quand vous me désobéissez, je vous gronde et je vous donne la fessée. Et je déculotte toujours la punie ! »

Les deux Jeunes filles n’en reviennent pas de ce qu’elles ont entendus. Les mots raisonnent dans leur tête (e n f a n t , désobéissance, règles, fessées et le plus fort le mot « déculottée »). Elles pensent toujours à une plaisanterie.

Les quatre filles sont réunies dans le grand salon, assis sagement et confortablement dans le large canapé en cuir rouge. Les filles se sont changées en tenue d’équitation ; Jodhpur kaki, bottes noires montantes, Polo manche longue en coton. Inga est une belle blonde qui dépasse le 1,80m, elle tient sa stature de sa mère. Elle a une grosse poitrine, dessinée sous son polo blanc. Charlotte et Mao sont beaucoup plus petites. Mao (1,66m) est une jolie brune portant une queue de cheval, fine et musclée, ses jolis petits seins sont comprimés sous son polo rose. Charlotte, est un petit bout de femme (1,55m) cheveux châtains. Elle porte un chignon retenu par une belle pince en bois. Les deux copines de par leur différence de taille ont l’air d’être les petites sœurs de la grande Inga. C’est sûr qu’à côté de la grande tante Magda, on dirait de petites filles.

Madame VanRieskem (que nous appellerons Tante Magda pour plus de facilité) se tient debout et fixe les trois jeunes femmes avec son regard sévère. Personne n’ose bouger, ni prononcer le moindre mot sous peine d’être puni. Il faut dire qu’assis dans le canapé, cette grande femme les impressionne physiquement, elle dépasse chacune d’eux et elle est entourée de trois redoutables correctrices les Miss brandissant martinet, strappe et règle en bois.

« Mes chers petites, nous avons en permanence avec nous trois employées : Miss Jane, la gouvernante (1,72,57 kg), Miss Crumble, notre bonne cuisinière (1,80 m 75 kg) et Miss Stick (1m62, 50 kg) chargée du ménage, repassage et intendance de la maison, tous de sexe féminin. Je dirige cette maison et je suis intransigeante sur les règles familiales à suivre. Je dois faire attention à ce que votre comportement corresponde à mes exigences. Avec moi pas de discours, pas de plaintes, je n’élève jamais la voix, je ne crie pas non plus. Pas besoin je sais me faire respecter. Si vous désobéissez, pas d’avertissement, c’est la sanction qui tombe. Pour être plus clair, c’est la fessée immédiate quel que soit l’endroit et les personnes présentes. Quelques secondes me suffisent pour vous allonger fesses nues sur mes genoux, Mes mains sont larges et redoutables et je ne me fatigue jamais quand je claque vos petites fesses, c’est bien compris ? »

Charlotte ne comprend pas, elle se tourne toute intimidée vers tante Magda.

« Mais tante Magda, nous sommes trop grandes pour la fessée ».

« Pour moi, la fessée, est un châtiment qui est réservé aux e n f a n t s pas sages. Donc si je dois vous fesser, cela vous ramène au statut d’e n f a n t . Pour faire une analogie, prenons un exemple. Quand tu as de la fièvre Charlotte, ta maman te donne un médicament pour aller mieux et pour éviter de retomber malade n’est-ce pas ? »

« Oui tante Magda »

« Et bien c’est pareil quand tu me désobéi. Il faut bien corriger ton mauvais comportement pour éviter qu’il ne se reproduise. Dans ce cas le médicament le plus efficace c’est une bonne fessée en travers de mes genoux. Je peux te garantir que ça marche. »

Charlotte et Mao font une drôle de tête.

« Je suis une tante Magda aimante mais stricte. A la maison, vous pouvez profiter pleinement des activités de loisirs, que ce soit la piscine, le tennis, les chevaux…, vous passerez un séjour très agréable. Mais si vous n’êtes pas sages. En ce qui me concerne (elle sort une carte de son sac à main et nous la montre) j’ai un permis de « FESSER » et comme promis je peux vous flanquer de bonnes déculottées. J’ai habitude de corriger à tout moment de la journée. Une fessée donnée dans la journée est doublée au moment d’aller au lit. Je délègue parfois aussi au personnel féminin la tâche de vous claquer les fesses et de vous mettre au coin fesses nues pour réfléchir »

Mao s’insurge, elle se lève et se met à invectiver tante Magda

« Mais tante Magda, ce n’est pas possible, je refuse qu’on me traite comme un e n f a n t ! »

Tante Magda, prend un air sévère.

« Alors ne te comporte pas comme tel ! Sous mon toit, c’est moi qui décide. Tu peux partir si tu veux, rien ne te retiens. Mais sache que si tu restes ton éducation commence maintenant et tu devras m’obéir »

Inga, gênée par la situation de conflit essaye de rassurer son amie.

« S’il te plait Mao, reste. On va passer un bon séjour entre copines »

Mao hésite. D’un côté elle a envie de quitter cette maison car elle craint maintenant la sévérité de la maman d’Inga. D’un autre côté, elle a bien envie d’un week-end entre amies dans un cadre idyllique. Elle se dit que ce ne sont que des mots et elle n’imagine pas tante Magda passer à l’acte.

« Non tante Magda, je veux bien rester chez v… »

Tante Magda la coupe

« Et je promets… »

« …de vous obéir, promis tante Magda »

« A la bonne heure, c’est bien Mao, tu verras je peux être une tante très cool quand on respecte les règles. Dans dix minutes, vous pourrez aller dans votre chambre déposer soigneusement vos affaires dans l’armoire. Ensuite vous pourrez monter Galopin, Caprice et Bêtise, mes trois juments dans le près. Bonne ballade les filles. Prenez bien soin des affaires que je vous prêtes »

« A propos de bêtise, je dois punir ma fille Inga qui a séché son dernier cours de littérature anglaise ! ça commence bien, à peine rentrée ma fille et j’apprends que tu n’es pas sérieuse à l’Université. La sanction est claire, la fessée va tomber ma chère e n f a n t ».

« Vous allez assister à la correction maternelle que je donne à ma fille quand elle n’est pas sage. Ainsi vous saurez à quoi vous attendre si vous me désobéissez. Viens ici tout de suite Inga, que je montre à tes copines ce que c’est qu’une bonne fessée ! »

Quelle surprise pour Charlotte et Mao, elles ne s’attendaient pas à être témoin d’une raclée maternelle dès leur arrivée. Elle découvre que la maman d’Inga est très sévère et qu’elles pourraient très bien se retrouver dans la même situation. En attendant, la pauvre Inga est rouge de honte par rapport à la terrible raclée qui va suivre devant ses amies. Elle est tellement habituée aux corrections maternelles qu’elle prend l’initiative de baisser elle-même son jodhpur, révélant une jolie petite culotte en coton bleu nuit. On ne peut qu’admirer sa magnifique silhouette, de belles cuisses, des jambes longues et fines, une croupe magnifique. Comme un automate, elle s’allonge en travers des cuisses de sa maman, tendant bien les bras.

« Voyez jeunes filles ma fille connaît la position à adopter pour une bonne correction de maman »

« Inga, Qu’est-ce qu’on dit à maman ? »

« J’ai été une vilaine petite fille, je mérite une bonne fessée sur les genoux de maman… »

« Oui ma fille tu la mérite cette bonne fessée. Dit à tes copines comment Maman te punie ma chérie ! »

« La culotte baissée, maman »

Et joignant le geste à la parole, Inga se déculotte elle-même. Deux magnifiques globes fessiers bien ronds apparaissent. Les deux copines sont estomaquées de voir leur chère Inga, allongée fesses nues sur les genoux de tante Magda prête à être corrigée comme une petite fille. Tante Magda relève sa manche d’un geste rapide et maintient le bras de sa fille bien immobilisé dans le dos.

« Première fessée du week-end, je suis sûre que cela ne sera pas la dernière »

Ses mains sont si larges qu’elle peut claquer les deux fesses en même temps, terribles claques qui tombent sur les jolies fesses de sa fille. La fessée fait vite mal, tante Magda est une grande fesseuse, elle alterne les petites et les grandes claques prolongeant la correction. Elle sait doser, ralentir puis accélérer. Inga ne fait qu’encaisser les terribles claques en poussant des « aïe, aïe, aïe, non pardon Maman, je ne recommencerai plus. » Tante Magda donne une grosse fessée déculottée à Inga devant ses copines de classe et le personnel féminin. Elle a si honte. Sa mère sait prolonger la longue fessée qui se termine par de fortes claques sur ses fesses qui sont déjà bien rouges.

Après la fessée, la pauvre Inga est conduite en punition au coin du salon culotte baissée, fesses bien rouges. Charlotte et Mao comprenne maintenant que les fessées de Tante Magda font si mal qu’il vaut mieux les éviter. Elle enchaîne le refrain qu’elle connaît par cœur.

« Si la faute est plus grave, les filles, je fesse avec mon martinet familial. Quand j'annonce la correction, vous devez vous présenter debout devant moi, je vous déculotte et ma raclée est immédiate sans possibilité de l'éviter. Cela ne vous servira à rien de supplier, te tortiller, ni vos pleurs, ni vos supplications ne m’arrêterons. Quand je fesse c’est moi qui décide quand la FESSEE démarre et quand la FESSEE s’arrête. »

A ce moment le téléphone sonne. Tante Magda se lève pour répondre.

« Bonjour Marie, comment vas-tu ? Oui non tu ne me déranges pas, j’étais en train de corriger ma fille Inga…. Oui tu me connais, elle s’est prise une bonne fessée maternelle comme tu en as reçue, tu te souviens non ? Oui qu’as-t-il encore fait ce cher Vincent……Oui je comprends, le mieux c’est qu’il vienne chez moi pour s’expliquer. D’accord tu lui dis que je l’attends cet après-midi, Miss Jane ira le récupérer à la gare. Oh si, il a intérêt à venir si c’est moi qui vient le chercher il va le regretter…OK C’est bien noté. Bonne journée Marie et sois bien sévère avec Vincent…. Je t’embrasse »

Au même moment à l’autre bout du fil, Marie raccroche le téléphone. Nous sommes dans notre confortable studio. Marie m’appelle.

« Vincent, viens ici toute de suite »

« Qu’est-ce qu’il y a ma douce ? »

« J’ai parlé à tante Magda de ton comportement, elle veut que tu viennes t’expliquer chez elle cet après-midi »

« Oh non tu n’as pas fait ça, tu n’as pas osé, tu sais ci qui m’attend ? »

« Oh oui, je sais ce qui t’attend, une sévère correction de Tante Magda et probablement le martinet en plus. Bien fait pour toi »

« Tu es une vraie cafteuse »

Je suis interrompu par une bonne paire de claque qui me rougie la joue.

« Et toi tu te comportes comme un sale gosse mal éduqué. Tu mérites ma main sur tes fesses, viens ici »

« Oh non ça suffit, je ne veux plus de tes corrections »

« Je compte jusqu’à trois et si tu n’es pas devant moi je téléphone à tante Magda 1…2… »

« D’accord je viens, je t’en prie ne téléphone pas, je t’en supplie ma douce ».

« Tant que tu te comportes comme un sage gosse, je te punirai comme tel »

Joignant le geste à la parole elle déboucle ma ceinture et me baisse le pantalon. Je me tiens tout honteux devant ma copine, pantalon à mes pieds, en culotte de coton blanche. Elle s’assoit sur une chaise devant la fenêtre des voisins et me couche en travers de ses belles cuisses. Mes mains touchent le sol pour prendre appui. Mon ventre est bien collé à ses bas noirs en résille, ce qui provoque une érection assez gênante tout de suite calmée par deux claques sur mon séant. Elle me déculotte en même temps qu’elle appui bien mon ventre contre ses cuisses.

« Mon amour, cela ne sert à rien de te débattre, cela risque de doubler ta fessée. Qu’arrive-t-il quand tu te comportes comme un sale gosse ?»

« Une…une… fessée » je réponds à Marie rouge de honte

Elle commence sa fessée, d’abord légère c’est assez agréable. Après une vingtaine de claques, elle stoppe la correction

« Oui mon chéri, tu mérites une bonne fessée cul nu comme un sale petit garnement » (ton autoritaire)

Marie a un eu un bon professeur avec tante Magda, désormais sa main est plus experte. Elle fesse vite et fort avec régularité. Ce qui compte pour faire bien mal, ce n’est pas la f o r c e mais la vitesse et la position de la main. Marie me corrige très sérieusement. Bien sûr elle fesse moins fort que tante Magda mais qui peut fesser comme une femme athlétique aux mains si larges qu’elle peut claquer deux fesses en même temps. J’ai la culotte baissée, je suis à plat ventre devant la fenêtre des voisins qui peuvent sans doute me voir et Marie me fesse avec méthode. Mes fesses sont toutes rouges et j'ai honte d'être traité ainsi. La fessée se termine, je dois m’agenouiller fesses rouges et nues sur le canapé en pénitence, mains sur la tête.

Au même moment en Normandie, tante Magda sort du salon laissant la pauvre Inga en pleurs les fesses rougies par la terrible correction maternelle.

Après la fessée de ma copine qui m’a laissé un souvenir cuisant, je file à la gare direction la Normandie. J’ai pris le train sur l’insistance de Marie qui ne veut pas contrarier tante Magda. J’arrive à la gare, accueilli avec beaucoup de tendresse par Miss Jane.

Je suis en jeans serré avec un polo gris et des chaussures de tennis. Miss Jane est toujours aussi ravissante dans son tailleur en lin ajusté par-dessus un teeshirt échancré qui moule sa jolie poitrine (90B) avec de jolies baskets rayées.

« Bonjour Vincent, tu as fait bonne route ? »

« Bonjour Miss Jane, oui merci »

« Je suis content de te revoir. Mes bonnes fessées t’on manquées ? » (Sur un ton de plaisanterie)

« Oh c'est-à-dire que…je devrais dire non…. Mais en réalité un peu oui… »

« Marie se plaint souvent de ton mauvais comportement, il paraît que depuis le retour du week-end au ski, elle te flanque de bonnes raclées, une par semaine en moyenne, tu n’as pas honte de te comporter comme un sale gosse Vincent ? »

« Si un peu Miss Jane, surtout que Marie à f o r c e de pratique est devenue une redoutable fesseuse »

« Je n’en doute pas mon cher, c’est tant pis pour toi, et puis la fessée c’est bon pour faire circuler le s a n g ! » (En me tapotant légèrement les fesses ».

Je monte dans le coupé sport rouge que Miss Jane a emprunté à tante Magda. Un vrai bolide, cette Porsche 911 turbo. Au bout de dix minutes nous filons déjà sur l’autoroute direction Honfleur. Pendant le trajet, Miss Jane plaisante et me titille, C’est vrai qu’une vraie complicité est née entre nous surtout que nous avons presque le même âge à trois ans près. Miss Jane me trouve un peu préoccupé, sentant que quelque chose ne va pas. Elle ralenti pour prendre la sortie. Elle s’arrête sur une aire de repos et coupe le moteur. Elle se tourne vers moi assis à l’avant avec un air inquisiteur.

« Qu’est-ce que tu as encore fait d’inavouable mon Vincent ? »

« Heu c'est-à-dire que j’ai si honte de……si tante Magda l’apprend »

« Si tu me dis tout, cela restera entre nous Vincent. Bien sûr, je devrais te corriger immédiatement mais c’est mieux que cela soit moi, à moins que tu préfères les redoutables mains de tante Magda. »

« Oh non par pitié, elles font si mal… »

« Alors explique-toi »

« J’ai, j’ai été surpris par Marie en train de surfer sur des sites adultes »

« Je vois, tu matais des jolies nanas en plein actes, un sale petit vicieux, cela ne m’étonne pas de toi. Je comprends mieux tes craintes, si tante Magda l’apprend tu es bon pour une correction exemplaire. Elle déteste par-dessus tout ce genre de comportement. Le dernier pensionnaire qui a été chopé en train de mater ce genre de site a été fessé pendant une semaine trois fois par jour, il n’a pas pu s’asseoir pendant longtemps. »

« Bon tu ne me laisses pas le choix mon Vincent, je dois sévir pour ton bien »

« Oh non Miss Jane, je ne veux pas de fessée, je vous en prie »

« Pourtant tu la mérites tellement. Il faut bien que je te punisse c’est le seul moyen pour que tu comprennes. »

« La fessée restera entre nous, vous promettez miss Jane »

« Promis, personne ne saura au courant, une correction privée et discrète. »

« Heu bon je n’ai pas trop le choix, je redoute tellement de devoir m’expliquer devant tante Magda. »

Miss Jane, sort de la voiture. Elle me tire par l’oreille et me dirige vers l’avant du coupé sport. Elle me couche sur le capot encore bien chaud du bolide. Elle passe ses mains sous moi et avec beaucoup de délicatesse, elle me déboucle la ceinture, déboutonne mon jean bien séré et le fait glisser en le retournant au niveau des mollets, laissant apparaître une culotte en coton grise. Drôle de sensation d’être allongé sur la belle Porsche en train de me faire baisser le pantalon par une jeune femme sexy en douceur. Cela pourrait presque ressembler à un préliminaire amoureux sauf que la suite sera cuisante pour mes fesses. Je sens un léger courant d’air sur mes fesses nues au moment où Miss Jane me déculotte. Elle se tient derrière moi prête à sévir. Les secondes qui précédent la première claque, sont à la fois apaisante et angoissante car elle annonce la terrible dégelée. Le calme avant la tempête.

Elle lève sa main droite haute et imprime un large arc de cercle de haut en bas qui frappe mes fesses me faisant pousser des « aïe, aïe, aïe, non pas la fessée, ça fait mal. » alors que le bruit des « clac, clac, clac, pan, pan, clac » résonnent sur l’aire d’autoroute. Heureusement il n’y a pas de spectateurs pour assister à la terrible fessée que me donne Miss Jane. Elle a l’habitude de me corriger. Je ne compte plus les fois où je me suis retrouvé puni par cette belle jeune femme en travers de ses cuisses, en travers du lit ou courbé sous son bras. Je me souviens à mes dépends que ces fessées font très mal, qu’elle claque très fort et fesse en cadence comme un métronome. J’ai reçu une correction autoroutière des plus cinglantes. A la fin de la fessée, elle me remonte la culotte et le jeans et me prend dans ses bras pour me consoler. J’apprécie beaucoup ce moment de tendresse ou je peux sécher mes larmes. Le pardon après la punition. Nous remontons dans la voiture, J’ai du mal à m’assoir tellement mes fesses sont chaudes. Miss Jane semble satisfaite de sa correction. Elle plaisante pendant le trajet n’hésitant pas à en rajouter

« Tu sais mon Vincent, je sais que tu es un jeune homme intelligent, de bonne famille, plutôt bien éduqué mais tu as besoin d’un cadre pour améliorer ton comportement. Parfois tu as un comportement puéril et on dirait que tu cherches les ennuis. Il est clair que tu as besoin qu’on te montre que tu dois obéir et être plus discipliné. C’est pour ça que depuis que tu es venu chez tante Magda tu as été souvent puni. Je ne compte plus les fessées que tu as reçues mais chacune d’elle était amplement mérité. Sois plus attentif à ce que l’on te dit et cela ira en s’améliorant. Je ne peux pas te promettre que tu ne recevras pas d’autres corrections car tu as encore beaucoup de progrès à faire mais à f o r c e d’être puni, on apprend vite à bien se tenir. »

Je sais au fond de moi que Miss Jane a raison. C’est ma faute si je suis puni, à moi de faire plus attention et d’arrêter de faire des bêtises. Je suis conscient que perdre ses privilèges d’adulte impose de respecter les règles familiales chez tante Magda. Je me tourne vers Miss Jane car j’ai une question qui me taraude.

« Miss Jane d’où vient cette habitude de corriger de tante Magda ? »

« Vincent, Tante Magda est l’ainée de cinq e n f a n t s. Ses parents étaient assez stricts mais souvent en voyage. C’est tante Magda qui une fois majeure en leur absence était chargé de garder ses frères et sœurs. Elle les aimait beaucoup et les aidaient à faire leurs devoirs, à s’habiller, à préparer les repas. Quand ils étaient insupportables elle leur donner la fessée et les envoyer en punition dans leur chambre. Elle a beaucoup sévi et grâce à cette discipline ils ont bien réussi dans la vie. Une fois qu’elle a eu des e n f a n t s, elle a continué à les éduquer avec beaucoup d’attention. Tante Magda est très stricte et autoritaire mais elle est bonne et juste. A ma connaissance, elle n’a jamais donné de fessée qui n’était pas méritée. »

Je comprends mieux maintenant les principes d’éducation si chers à tante Magda. Depuis que je la connais j’ai fait des progrès et je ne peux que la remercier de m’avoir si souvent corrigé. C’était toujours pour mon bien et j’avais besoin d’une autorité féminine pour améliorer mon comportement. Nous approchons de la maison, j’aperçois au loin la piscine.

Au même moment dans la maison normande, Les trois copines sont parties pour une balade à cheval. La pauvre Inga a du mal à s’asseoir sur la selle de Galopin tant ses fesses sont brûlantes et rougies. Elle pousse des « aïe, aïe, aïe, ça fait mal ». Les chevaux s’éloignent emportant les trois jolies cavalières au galop. Pendant ce temps, tante Magda inspecte la chambre des filles. En fouillant dans l’armoire, elle découvre des tenues peu appropriées aux jeunes filles de bonne famille : tanga, porte jarretelles, string et autre dessous affriolant. Furieuse, elle dépose le tas de lingerie sur le lit de Charlotte et mao. Il est accompagné d’un carton avec la mention ça va barder les filles ! » qui ne laisse aucun doute sur la punition qui attend les deux copines.

Tante Magda va devoir encore sévir !

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