Catégories : TV trans travesti sissy
Ce récit est la suite de : Je suis la chose de M. Christian
il y a 3 ans
Oui, je suis la chose de Mr Christian, cela aurait pu se limiter à une sucette dans un WC public mais depuis ma vie à basculée.
Je dois dire qu’appartenir vraiment à un homme, cela ne m’était jamais arrivé, bien sûr j’avais déjà eu des relations sexuelles, mais ce n’était que des rencontres rapides, de parking, ou de pissotière. Je suppose que vous devinez que j’étais un de ces homos qui ne s’assumaient pas vraiment, mais comme beaucoup je ne pouvais résister à l’appel du sexe.
Voir à coté de moi une bite sortie dans un urinoir me troublait et je ne pouvais m’empêcher de la regarder, de tendre la main, de la caresser. Vous devinez, vous connaissez la suite, j’étais la Lope et c’est moi qui me mettait à genoux (souvent dans l’urine) et suçais le mec.
C’était, fort heureusement, la douce époque qui ne connaissait pas le VIH et je pouvais sans crainte boire des litres de spermes ; son plaisir assouvit, l’homme se rhabillait et me laissait là, me jetait comme un vieux Kleenex. J’aurai aimé un peu de tendresse, voir un bisou, mais qui aurait eu envie de m’embrasser après la pipe, de mettre sa langue dans ma bouche remplie de son sperme ?
Alors, je ressortais, avec un peu de chance un autre attendait son tour, mais le plus souvent je devais traîner, prendre des poses. Heureusement j’étais encore jeune et beau, enfin dans la mesure, ou les pédés présents, ne recherchaient pas qu’une bouche à pipe, sans tenir compte de mon physique.
Il faisait nuit, ils étaient pressés, voir honteux, ils se vidaient dans ma bouche et adieu ! J’étais insatisfait de cette situation, bien sûr je commençais à être connu et à défaut de ‘tendresse’ je pouvais faire dix voir vingt fellations, les bons soirs, mais après lorsque je me retrouvais seul, si seul dans ma petite chambre…
Je ne garde pas un mauvais souvenir de cette période de ma vie, dans ma petite ville, il régnait une certaine tolérance et ‘le coin des pédés’, n’était pas beaucoup surveillé par la police et quand on voyait les lumières bleues, nous avions le temps de reprendre une allure normale.
J’avais mes habitués et je garde une certaine tendresse pour un vieil arabe qui, si je faisais abstraction d’un manque de lavage évident, avait une belle et grosse verge, un peu fatiguée soit, mais cela n’était pas un vrai problème, j’avais appris à le faire bander vraiment, en le masturbant, en faisant glisser mes ongles sur son membre qui prenait souvent une belle dimension.
Il aimait s’exciter en me caressant les fesses, la poitrine, il me disait des choses que je ne comprenais pas, sauf peut être ‘Aïcha’. Il me prenait pour une fille ?
Surtout je crois un moyen de se mettre en condition. Quand je le sentais prêt, il me disait un truc, et je savais que je pouvais me mettre à genoux et lécher, puis avaler sa bite. C’était une bite comme les autres, comme toutes celles que j’avalais, mais sa pré-jouissance, puis son miel était merveilleux, chaud, parfumé, il avait un arrière gout d’épice orientales, et surtout il ne venait pas vite, je pouvais m’amuser avec, faire glisser ma langue sur la grosse veine, engloutir son sexe tout entier, pour le faire ressortir et resserrant mes lèvres autour du gland.
Je me disais parfois en repensant à lui, qu’il me faisait apprendre à devenir ‘une bonne suceuse’. Enfin suceuse, plutôt suceur de bite, si ma bouche était un sexe, c’était le plus souvent celle d’un petit pédé.
Toujours est-il que j’apprenais mon ‘travail’ et lorsque cela devenait trop long, que j’avais des crampes aux jambes, mais aussi à la mâchoire, j’avais trouvé un le truc pour le faire éjaculer, je l’aspirais fort, je le pompais et la plupart du temps il m’éjaculait enfin dans la gorge. Je lui suis reconnaissant de cet ‘apprentissage’ car mes autres ‘relations’ appréciaient et j’avais ma petite renommée, qui m’assurait mon bon litre de sperme, en moins de deux heures.
En me retrouvant seul dans ma petite chambre, je regrettais quand même que les conditions ne me donnent pas la possibilité de me faire enculer. J’en rêvais mais je n’osais pas aller plus loin sur une place, sombre bien sur, mais pas assez, et surtout sans bosquets. J’en étais réduit à me masturber le cul avec un gode, un légume, voir une bouteille de champagne.
Ah ma bouteille de champagne ! Ma mère n’a jamais compris pourquoi je la gardais dans ma chambre, je la rentrais presque jusqu’au corps évasé.
Triste !
Surtout que je me sentais prêt, je voyais la chose s’enfoncer profondément en moi, et j’adorais cette sensation enivrante, en me disant que ce serait surement bien mieux si j’avais un vrai sexe en moi.
Ainsi donc passa ma jeunesse, jusqu’au jour où tout changea.
J’avais enfin trouvé un travail, je pus enfin avoir un petit appartement rien qu’à moi. Mais cela ne changea pas grand-chose, je ne ramenais jamais personne entre mes draps roses. Mais quand même, il y avait du neuf, j’avais trouvé en me promenant dans les bois, (je cherchais une bite, bien sur) une valise en carton, dans laquelle je découvris des vêtements, sous vêtements de femme, plutôt de très jeune fille, roses ou bleus clair, mais en coton.
Je les regardais posés sur mon lit, et puis presque sans le vouloir, je passais un petit slip (sage) et le soutien-gorge assortis, je sais maintenant que ce n’était pas d’un sexy terrible, mais cette sensation… Puis la jupe, un chemisier, et lorsque je me vis dans la glace, je fus éblouis, je savais ce que j’aimais, une sensation de bien être m’envahis, je me sentais belle, et surtout bien dans ma peau.
Cela devient mon rituel, dés que j’étais seul à la maison, je les passais. C’était si bon de porter ces douceurs, que je ne pouvais m’en séparer, même lorsque j’allais draguer place Carnot. Je l’ai dit, certains reconnaîtrons la ville.
Cela ne posait pas de problèmes, car la plupart de mes ‘partenaires’ ne me touchaient pas, se contentant de se servir de moi, comme d’une bouche à pipe. Seul Ahmed mon arabe, au sexe mou, appréciait, je rentrais dans son fantasme… Il avait l’impression de se faire sucer par ‘Aïcha’…
Je m’habituais à porter ces sous vêtements et j’en achetais même de nouveaux, bien sûr par correspondance, je n’aurai jamais osé croiser le regard des vendeuses et ce :
- Mais Monsieur !!!
Avec je le craignais un regard choqué. Triste époque, enfin plutôt triste Moi. Il y avait une publicité pour Dim, "le soutien-gorge invisible" et sa petite culotte insoupçonnable sous le pantalon le plus serré. C’était vrai, enfin je le croyais et je pris l’habitude de les porter sous mes vêtements masculins. Avec une chemise un peu épaisse, une veste, en me tenant très droit, je ne craignais rien, du moins je le pensais. Mais dans l’Est, il fait froid en hiver, très chaud en été, et bien sûr on ne connaissait pas l’air conditionné. Il faisait chaud, si chaud, dans ce bureau, j’avais tombé la veste, mon soutien-gorge étant devenu pour moi une habitude, une seconde peau, je n’y pensais plus, surtout que j’avais un travail important à finir. Je sentis une main se poser sur mon dos.
- Tenez-vous droit mon vieux !
C’était mon chef de bureau, Mr Christian, mais il m’avait touché, presque caressé, et s’il avait découvert mon secret ?
Je me précipitais aux toilettes et je compris, j’étais couvert de transpiration, et le soutien-gorge se voyait nettement. Zut de zut, que faire ? Rien sinon faire profil bas, enlever ce truc et retourner à mon poste et remettre ma veste, me tenir droit… La journée se termina, rien ne se passa, le lendemain aussi, mais je n’avais plus osé m’habiller en fille. J’ai du faire une crise d’angoisse injustifiée, ouf !
Le vendredi, arrive enfin, je rentrais chez moi, dînais rapidement et je filais chercher ma ration de sperme, je voudrais parfois, ne pas céder, mais c’est plus fort que moi, et puis j’étais passé au travers des gouttes au bureau, et je reprenais confiance. Je retrouvais mes marques, dans cet univers où je me trouvais si bien, tellement à ma place, des hommes en chasse, des hommes qui cherchent à se faire sucer, et moi qui justement cherchais des bites à boire, qui voulais être le gibier choisi. J’allais près de ma pissotière préférée, un édicule en fer, à l’ancienne, un regard circulaire, un sourire complice à celui qui traîne, qui attends de jouir, je me sentais bien, mes habitués viennent me rejoindre dans l’obscurité et les odeurs d’urines, j’adore ! Je suçais une verge après une autre, je sais comment leur faire plaisir et leur jouissance est aussi la mienne. Après trois éjaculations je n’avais plus aucun mal à ranger ma pauvre petite chose fatiguée dans ma culotte, après.
Deux heures plus tard et beaucoup de bites après, la soirée avançant, je profitais d’un moment de calme pour aller faire un tour dehors, cette odeur d’amour et d’urine me faisait un peu tourner la tête, et puis de trop faire de pipes ne m’amenait plus rien de trop bon, question plaisir. Je me sentais un peu comme une machine faire des pipes ! Je ne pensais plus trop j’étais parti dans uns sorte de folie, de délire, je suçais… J’avais ma dose, mais je ne rentrais pas tout de suite, je fis un tour sur la place, je regardais ces ombres qui tournaient, qui marchaient beaucoup.
Je me suis toujours demandé pourquoi, sur les lieux de rendez-vous homos, les mecs marchaient autant, st surtout si vite, ils étaient en chasse, c’est sûr, mais on dirait qu’ils ne veulent pas de rencontre, accepter ce merveilleux moment où deux hommes, se rencontrent, un sourire, l’un se met en route, mais doucement, se retourne pour voir si l’autre le suit. Arrêt dans un coin sombre, sortir sa bite faire semblant d’uriner, se tourner montrer sa bite… et puis après deviner qui est qui, le chasseur ou le chassé. Avec un peu de chance, un ou deux voyeurs… Le plus souvent hélas, après une branlette, une pipe le couple se sépare vite, presque honteux. Pourquoi, est il si rare, que la conversation se continue, marcher un peu ensemble, une main sur le cul de l’autre, voire un baiser… pas se raconter sa vie, non, juste admettre que l’on est pédé, et que l’on aime cela. Sans honte, sans regrets, ne plus se sentir seul. C’est peu fréquent, si rare !
Ceux qui connaissent la place en question, savent qu’il y avait aussi un grand WC souterrain, plus ou moins à l’abandon, je ne le fréquentais guère, c’était vraiment trop sale, les stalles sans porte, ouvertes sur des monceaux de crotte… Pas ou peu de lumière, juste les lampes de secours. Des va-et-vient dans l’escalier, et si j’allais voir, cela faisait longtemps, juste par curiosité, j’avais eu ma dose, enfin peut-être pour trouver un nouvel amant, du s a n g , enfin une bite neuve. Cette odeur, je reculais, dans la nuit des couples… Nul ne faisait attention à moi, des habitués sans doutes, je n’étais pas sur mon territoire. Tant pis, je remonte. Au milieu de l’escalier, une ombre en manteau de cuir me prend par la taille.
- Viens !
Un homme décidé, j’aime son ton autoritaire, alors je le suis, il m’entraîne dans le noir, me pousse dans une stalle.
Beurk, je crois que je marche sur une m e r d e ! Je veux me dégager, mais je prends une claque sèche.
- Suces, salope !
Je ne sais pas pourquoi, c’était le lieu, l’atmosphère, son ton volontaire, et surtout aussi, il avait raison, j’étais une suceuse de bites !
Alors en essayant de ne pas trop me salir, je me penche et avale la bite qu’il avait libérée. Elle n’était pas en complète érection, je prends une claque sur la tête.
- Applique-toi, tu travailles mieux d’ordinaire.
D'ordinaire ? Sans doute une de mes ‘relations’ mais je ne croyais pas reconnaître ce membre, j’en voyais tant passer. Je m’appliquais, libérais ses couilles, les caressais en embrassant la tige, en passant la langue doucement de la base vers le gland. Et puis cette voix, me disait quelque chose. Mais qui ?
Il ne tarda pas à bander comme un cerf, à mouiller, je crois avoir une bonne mémoire, surtout des verges, mais elle ne me disait rien. Pas grave, comme à chaque fois que j’avais en bouche une jolie bite, j’étais dans un état second, sa mouille était bonne, sa verge longue et grosse, son miel fut bon.
Oui, son sperme était bon, épais, parfumé à je ne savais quoi, mais bon. Par contre, il me cracha dans la bouche deux énormes giclées, que j’eus beaucoup de mal à avaler, sans que cela ne s’échappe de ma bouche.
Je connaissais ‘la technique’, faire glisser au maximum dans la gorge, ne garder en bouche que le strict nécessaire, juste ce qu’il faut, pour mâcher, faire tourner dans la bouche, apprécier quoi !
Les mecs prennent leur plaisir en éjaculant, pourquoi, les lopes, ne se régalerait pas aussi ?
Une fois qu’il eut jouit, il se retira et me laissa seul, dans le noir, je me redressais, voulut remettre un peu d’ordre à ma tenue, ranger ma petite bite, mais je n’en eus pas l’occasion, un type posa sa main sur ma verge et m’embrassa. Ce ne sont pas des choses que l’on refuse.
Il prit ma main, la posa sur sa verge, et naturellement je me remis ‘au travail’, je ne voyais pas grand-chose, juste un pantalon ouvert dans l’obscurité, mais je sus que c’était un black, je reconnaissais cette forme, cette odeur. Par contre pris dans mon ouvrage et mon plaisir, il me sembla entendre de drôles de bruit, des ‘clics’, mais je n’y prêtais pas attention, j’avais bien mieux à faire !
Je ne m’étais pas trompé, c’était bien un africain, son sperme était parfumé par ces épices qui donnent un goût si particulier à leur miel. Par contre il eut une exigence que je ne pouvais lui refuser, il voulut éjaculer sur ma langue, tendue, sortie de ma bouche.
Ce n’était pas la première fois, je n’étais pas contre, mais il fallut juste faire attention à ne pas me couvrir de sperme ! Dans ces cas là, je mets mes mains en réceptacle juste en dessous, pas de ‘fuites’ et surtout après je peux lécher mes paumes, il faut que rien de se perde ! Par contre, lui était gentil, après cette pipe express, il m’offrit un bisou, avec main au cul. Cela peut sembler peu de chose, mais c’était une délicate attention. J’aime bien les blacks, ils sont souvent hyper ‘macho’, mais savent souvent donner un peu de romantisme à leur plaisir.
Je vous en parlerais peut être, une autre fois. Mais là, j’étais fatigué et je rentrais chez moi.
Le lendemain, weekend en famille, je n’eus que le dimanche soir, tard, pour faire un tour sur la place. Rien de particulier, si ce n’est que vu l’heure, à peine trois bites… Le lundi matin, je trouvais une enveloppe sur mon bureau. J’ouvris, et… Un jeu de clichés, me montrant en pleine action avec le dernier, d’hier soir, le black. Les photos étaient sombres, mais on me reconnaissait bien, surtout celles où j’avais la langue tendue, la langue couverte de sperme !
Panique !
C’était quoi, cela ? Quelqu’un du bureau, je repensais immédiatement à mon chef à sa caresse sur mon dos, à mon soutien-gorge ! La matinée fut effroyable, j’avais du mal à me concentrer sur mon travail, puis à midi à l’heure de la pose, une main sur mon dos. J’étais tétanisé, je n’osais pas me retourner, mais je doutais que cela n’était pas bon pour moi. La caresse se fit insistante, heureusement que je n’avais rien mis !
- Vous devenez prudent, ou devrais dire ‘prudente’ ? Vous devriez l’être aussi le soir, vous avez aimé les photos ?
C’était lui Christian R. mon chef de service, j’étais pivoine et ne sus que dire, que faire.
- Allons remettez vous, cela n’est pas bien grave, disons plutôt que cela PEUT n’être pas grave, venez dans mon bureau.
Je le suivis la tête basse, pleines de pensées plus alarmistes les unes que les autres. Sur son bureau, un jeu complet de photos, d’hier soir, moi avec le black, mais aussi d’autres, moi dans ma pissotière favorite. Je comprenais, ces ‘clics’, ces bruits, je n’y avais pas prêté attention, et pourtant, j’aurai du.
J’étais mal.
La porte refermée, il me jeta un paquet sur la table, un sac ‘Barbara frivolités’, je reconnaissais, une boutique de sous-vêtements féminins, dont j’admirais souvent la devanture. De si jolies choses.
- Tu connais, bien sur.
Et il posa devant moi, un instantané me montrant en admiration devant toutes ces merveilles.
- Vois tu, j’aime me faire sucer la bite, par expérience, je sais aussi que les femmes répugnent un peu et surtout elles le font moins bien que les pédés. Et je n’aime pas les hommes, alors tu vas devenir une sorte ‘d’entre deux’. Ouvres le paquet !
Que faire sinon, ouvrir et découvrir un ensemble slip, soutien-gorge et porte-jarretelles noir.
- Ne prends pas un air si surpris, les soutiens-gorge, tu connais, tu en mets même au bureau ! je pense que c’est ta taille, alors à poils et habilles toi en salope !
Il va trop loin, je dois me sortir de ce piège. Je me dirige vers la porte.
- Oui, tu peux te sauver, mais j’ai bien peur que ces photos ne fassent le tour de la ville, tu te rappelles du scandale de la pissotière du marché ? Ces braves hommes qui sont passés au tribunal pour exhibition, relations homosexuelles ?
Oh oui, je me rappelais, après cette affaire, j’avais eu du mal à retourner place Carnot ! La peur du scandale dans une petite ville…
- Je ne te demande pas grand-chose, et si cela se trouve, tu ne me plairas pas en travestie ! Tu veux récupérer tes photos ou non ?
Tout cela tourne dans ma tête et je sais que je ne fais pas une fille bien convaincante, je vais sur-jouer le travelo ‘moche’, à la limite je lui ferai une pipe et tout sera dit, il faudra juste que je fasse plus attention à l’avenir !
Alors je me déshabille, je tombe la veste, la chemise, naturellement pas de soutien-gorge, puis le pantalon, mais là, je montre ma petite culotte rouge…
Clic !
Oh, non, encore !, je ne veux pas !
- Continue, tu y es presque, et regarde comme ces dentelles sont belles !
Il a raison, enfin je crois, et surtout oui, que cet ensemble de dentelle noir me plait ! Je me dis que je n’ai pas le choix, pour me donner bonne conscience.
Je tends la main saisit le petit slip si joli.
Clic ! Moi nu, bandant doucement avec un slip de femme à la main…
- Idiote, on commence par le porte-jarretelles ! Sois ‘pratique’ !
Clic, en slip échancré, et porte-jarretelles.
Clic en soutien-gorge…
Cela ne s’arrange pas pour moi, mais je suis dans un état second, en fait, je bande !
J’essaye quand même de me tenir voûté, pas jolie du tout.
- Tiens-toi droite, pas mal, il manque les bas et les chaussures, mais nous allons y remédier ! En attendant viens sucer le Monsieur !
Il s’installe bien au fond de son fauteuil écarte les jambes et me tend sa verge.
Aie, je dois lui plaire, il bande comme un cerf . Je n’ai pas le choix, et surtout j’aime les bites ! Celle là est superbe, je ne me fais plus prier. Je la prends, la lèche, lui caresses les couilles, il me guide un peu par des petites claques sur la tête, mais je n’ai pas à me f o r c e r pour lui faire une pipe ‘de classe’.
Je sens qu’il aime et c’est avec ‘amour’ que je le guide vers le plaisir, me retenant lorsque je le sens prêt à jouir. Et enfin il me fait comprendre que je dois le laisser venir, éjaculer dans ma bouche. Oui, il éjacule et bien même, encore cette impression de noyade lorsque son sperme coule dans ma gorge, c’est si bon, je lui caresse doucement les bourses pendant qu’il se vide en moi. Il se détend et me lâche la tête, et je comprends pourquoi il me caressait les oreilles.
Clic, clic…
Il a encore pris des photos, des photos de moi en sous-vêtements noirs en train de jouir en le suçant !
Je n’en sortirais jamais !
Il avait encore pris des photos, des photos de moi en sous-vêtements noirs en train de jouir en le suçant !
Je n’en sortirai jamais !
Je me redressai, et lui dis que ce n’était pas du jeu !
-
Mais ce n’est pas un jeu, c’est ta vie, et je peux en faire ce que je veux !
-
Vous aviez dit que si j’étais gentil vous me donneriez ces photos !
-
On dit tellement de choses, et puis j’ai envie de m’amuser encore un peu avec toi. Mais je me lasse assez vite, tu as de la chance, en attendant il va falloir penser à t’habiller, regarde-toi, un porte-jarretelles, sans bas !
Il avait raison, j’avais l’air ridicule comme cela, mes jarretelles qui pendaient bêtement, mais c’est lui qui m’avait f o r c é !
- Nous allons nous en occuper, habille-toi, non, tu gardes tes jolis dessous, tu n’auras qu’à fermer ta veste et surtout tiens-toi droite !
Il jouait avec mes photos en souriant, alors je me soumis. Pas facile d’être discret avec ce soutien-gorge dont la bordure de dentelle se laissait deviner, et surtout avec le volume que les bonnets ampli formes donnaient à ma poitrine !
- Tu m’attends sur le parking à 18 h, nous allons te faire belle !
Il m’attira à lui, m’enlaça, posa ses lèvres sur les miennes, et je ne refusais pas son baiser, sa langue qui se glissait dans ma bouche.
Je ne savais pas pourquoi, la situation, cette tenue ? Je me laissais fondre dans ses bras, il me caressa et j’aimais.
Je me disais aussi que j’étais prisonnier de mes C…ries, alors, essayons de l’amadouer.
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