Les déculottées du confinement

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il y a 3 ans

Philippe et Aurélie viennent passer la période de confinement chez la mère de cette dernière. Mais chez Maman Marianne c'est la fessée à chaque bêtise. Ils vont découvrir comment l'obéissance et un comportement irréprochable sont des obligations et comment l'éducation qui leur est donnée par leur entourage va changer leur vie. La fessée déculottée, malgré leurs trente ans passés, balisera chacun de leurs écarts.

« Je te dis qu’ils vont nous confiner, tous ! Avec interdiction de sortir ! »

Aurélie, ma compagne, insistait. Moi, je n’y croyais pas trop. Pourtant, dans la journée, la rumeur a enflé. Tout le monde, voisins, amis et même la boulangère semblait d’accord.

« C’est sûr, ça va être annoncé la semaine prochaine ! »

Il m’avait fallu me rendre à l’évidence. C’est le courriel que j’ai reçu de mon employeur qui m’a définitivement convaincu. Notre directrice nous informait de la mise en place d’un télétravail obligatoire, jusqu’à plus ample informé. Il nous était interdit de nous rendre à notre bureau le lundi suivant et les détails de la nouvelle organisation de travail seraient annoncés au cours d’une réunion le lundi après-midi, réunion par visioconférence, bien évidemment.

Ma première réaction fut de considérer que, pour moi, ça ne changeait pas grand-chose. J’étais chargé de mettre à jour le site de l’entreprise et d’assurer sa présence constante sur les réseaux sociaux. Tout cela pouvait se faire de chez moi, depuis mon ordinateur de boulot, un portable que je trimballais toujours avec moi.

Puis du regard, je fis le tour du studio dans lequel Aurélie et moi nous habitions. Du provisoire, avait-on dit quand nous y avions emménagé, il y avait maintenant plus de six ans. Du provisoire, peut-être, mais du provisoire qui durait. Tout était si cher à Paris que nous n’avions pas les moyens, malgré nos deux salaires d’un niveau correct, de louer autre chose : trente-deux mètres carrés. Pas plus ! Un lit, une cuisine des plus élémentaires, une table et quatre chaises, c’est tout ce qui tenait dans l’unique pièce. A peine si nous avions pu y caser une étagère. Une salle de bains qui servait aussi de toilette et nous avions fait le tour de notre royaume.

« Combien de temps ça va durer ? »

Personne, évidemment, n’avait de réponse à cette question. Une semaine ? Deux ?

– Peut-être plus longtemps !

Cette simple réponse d’Aurélie me cassa le moral. Plus de deux semaines coincés à deux dans cette pièce ? Aurélie serait, elle aussi, en télétravail. Bosser à deux sur notre table, enfermés dans nos trente mètres carrés pendant plusieurs semaines ? Impossible ! De quoi tourner chèvre et nous engueuler au bout de deux jours. Non, il fallait trouver une solution. C’est moi qui eus la brillante idée.

« On ne peut pas rester là !

– Et on va où ?

– Chez ta mère ! »

Ma proposition ne souleva pas l’enthousiasme des foules. Aurélie fit même une grimace.

« Chez ma mère, répéta-t-elle d’un ton incrédule ? »

Ce n’est pas que nous avions des relations de proximité avec la mère de ma compagne, mais elle habitait un château. Un château ? Ce serait sans doute un mot un peu exagéré pour qualifier la grande maison bourgeoise entourée d’un vaste jardin. Divorcée de son mari que je n’avais jamais rencontré, elle y habitait seule si on excepte le couple de voisins qui, habitait dans ce qui avait dû être la maison du gardien, il y a fort longtemps. Monsieur Antoine et Madame Bernadette, comme les appelait Aurélie, assuraient, pour l’un l’entretien du parc et du potager qui nourrissait la maisonnée, et pour l’autre la cuisine et tout ce dont il y avait besoin pour faire tourner une aussi grande baraque.

« Il y a bien de la place pour nous deux pour quelques semaines ! »

Pour ce qui était de la place, il n’y avait pas de souci. Il devait bien y avoir six ou sept chambres qui ne servaient à personne. Pas de souci non plus côté tranquillité. La propriété de trouvait à La Tout Haute sur Horto, six cent quatre-vingts habitants, une mairie, une boulangerie et un café restaurant superette. C’était tout. La « grande ville » du coin, à une dizaine de kilomètres, c’était La Villeneuve sur Horto, c’est dire. Un trou perdu au milieu de nulle part.

Deux heures plus tard, nous étions en route. Je ne sentais pas qu’Aurélie avait retrouvé sa sérénité. J’avais dû la convaincre que c’était la meilleure solution et elle avait fini par passer le coup de fil à sa mère qui avait accueilli cette demande avec une chaleur qui contrastait avec le peu d’entrain de ma compagne.

« Mais bien sûr, mes chéris, vous êtes les bienvenus. Tu sais quelles sont les règles en vigueur dans ma maison et tous les e n f a n t s qui y séjournent y sont soumis. Philippe devra les respecter comme toi. »

Philippe, c’est moi. J’avais vu passer un furtif éclair d’inquiétude dans les yeux d’Aurélie à la mention des règles à suivre, mais je ne trouvais pas déplacé que venant habiter chez sa mère, nous acceptions quelques contraintes. J’imaginais qu’il nous serait demandé de participer au train de la maison, de faire notre part de son entretien, peut-être même d’y participer financièrement, bien que ma belle-mère fût bien plus à l’aise financièrement que nous et c’était peu dire. La propriété dans laquelle elle habitait en était une preuve évidente/

Je n’y avais séjourné que brièvement. Deux repas dominicaux pour lesquels nous avions fait, Aurélie et moi, l’aller-retour dans la journée. Malgré un cadre enchanteur et reposant, Aurélie ne semblait pas désireuse d’y retourner plus souvent. Je l’avais interrogée sur ce sujet, mais je n’avais obtenu qu’une fin de non-recevoir. Je n’avais pas insisté.

Pas plus que je n’avais abordé avec elle le changement de comportement qui avait été le sien en présence de sa mère. J’avais eu l’impression qu’elle était redevenue une petite fille cherchant à plaire à sa mère sur tous les plans. Elle devançait les désirs de sa génitrice, soucieuse d’obtenir son approbation. Ce n’était pas l’Aurélie dont j’avais l’habitude. Je n’y avais pas prêté une plus grande attention. Les relations mère filles sont souvent complexes et il devait y avoir des réminiscences de l’e n f a n c e qu’Aurélie me décrivait comme ayant été heureuse.

Nous étions arrivés en début de soirée. L’accueil avait été bref.

« Bernadette a préparé une petite collation. Elle est dans le réfrigérateur. Je dois filer, j’ai une réunion à la Mairie. »

Ma belle-mère était Maire de son village.

« Je rentrerai tard. Ne m’attendez pas. Votre lit est prêt dans la chambre bleue. Vous devez être fatigués. »

Ce n’était, en effet pas la porte à côté et il y avait eu quelques embouteillages à la sortie de Paris.

« Dormez bien et à demain ! »

Elle était revenue sur ses pas pour préciser :

« Le petit-déjeuner, c’est à sept heures trente. Demain matin. Soyez à l’heure ! »

J’avais dormi d’un sommeil profond et d’une seule traite. C’est Aurélie qui me réveilla en me secouant fermement par l’épaule. J’émergeais difficilement de mon sommeil.

« Philippe, dépêche-toi ! On est en retard ! »

Je regardais mon téléphone.

« Sept heures vingt ! Tu es folle ! Je ne vais pas me lever maintenant ! Surtout un dimanche ! »

Je me tournais de l’autre côté, bien décidé à me rendormir pour deux bonnes heures encore.

« Maman a dit que le petit déjeuner, c’était à sept heures trente. Nous avons tout juste le temps d’y aller !

– Sept heures trente… un dimanche matin ? Bien trop tôt pour moi ! »

Je m’allongeais sur le ventre, mis l’oreiller sur ma tête et restais sourd aux supplications et aux admonestations de ma compagne. De guerre lasse, elle finit par me laisser et elle quitta la chambre sur un dernier :

« Je t’aurais prévenu ! »

Le silence était revenu. Je savourais ce moment de calme et je tombais dans un demi-sommeil dans lequel je me laissais aller. Je me serai rendormi si la couette qui me recouvrait n’avait pas été brusquement tirée vers le pied de mon lit, me découvrant et m’exposant au froid relatif qui régnait dans la chambre.

« Mais arrête tes conneries, m e r d e ! Je t’ai dit que je ne me levais pas tout de suite !

– Tu rajoutes des gros-mots à ton retard ? Cela aussi, c’est une habitude qui va devoir te passer ! Fais-moi confiance, cela ne durera pas ! »

Ce n’était pas la voix d’Aurélie. Je n’eus pas le temps de me retourner avant d’être attrapé par le bras et tiré du lit par une main à la poigne certaine. Je manquais de m’étaler sur le sol, au pied du lit, mais je fus rattrapé par la main qui me tenait et qui me mit sur mes pieds. Je n’y restais pas longtemps. Une impulsion sèche sur mon bras et je pivotais pour me retrouver face à ma belle-mère qui avait pris place assise sur le lit. Elle me tira vers elle et malgré une courte résistance, je perdis l’équilibre et je tombais à plat vente sur sa cuisse gauche.

Je n’avais toujours pas compris ce qui m’arrivait, tant mon déplacement avait été rapide et sans aucun moment pour me laisser retrouver mes esprits. Je sentis un parfum inconnu quand mon nez se retrouva enfoui dans la robe de ma belle-mère, là où elle recouvrait son flanc. Je sentis son bras me ceinturer le torse et se refermer en un étau qui me laissait à peine la place à respirer.

Je ne comprenais toujours pas ce se passait, mais je poussais sur mes bras d’un côté et sur mes pieds de l’autre pour me défaire de cette étreinte bien inhabituelle et de la proximité physique à laquelle cela m’amenait. C’était la première fois que j’avais un contact, corps à corps avec ma belle-mère, qui plus est sans que je l’ai choisi. Les deux épaisseurs de tissu qui nous séparaient me semblaient inexistante et je rejetais le sentiment d’intimité que cela provoquait.

Mes pieds glissèrent sur le sol et un coude posé entre mes omoplates mirent fin à ma tentative pour me libérer. Elle me plaqua contre son bassin et ses genoux se refermèrent sur mes cuisses. J’étais immobilisé. J’eus une seconde de répit durant laquelle j’éprouvais le sentiment d’être à la merci de ma belle-mère et c’est à ce moment-là que je compris que c’étaient surtout mes fesses qui étaient à portée de sa main.

Je n’arrivais pas à y croire. Elle n’avait tout de même pas l’intention de… Elle n’oserait pas ! Un doigt glissé sous l’élastique de mon pantalon de pyjama mit fin à mes derniers espoirs. Je sentis le vêtement qui recouvrait mes fesses glisser inexorablement le long de mes cuisses.

« C’est la dernière fois, mon garçon, que tu arrives en retard au petit-déjeuner ! »

La brûlure qu’imprima la main qui avait claqué mes fesse, m’obligea à pousser un cri sans retenue. Je n’eus pas le temps de me remettre que l’autre côté de mes fesses subissait le même sort. Puis ce fut une avalanche de claques qui s’abattit sur mon postérieur. Ma belle-mère me fessait alternativement d’un côté, puis de l’autre.

« Quand je dis sept heures et demie, c’est sept heures et demie. Tu vas apprendre à être ponctuel et à obéir scrupuleusement quand je t’ordonne quelque chose ! »

La fessée reprit, inexorable, rajoutant à chaque fois à la cuisson qui embrasait m

es fesses. Cela ne pouvait pas faire aussi mal, je n’étais plus un e n f a n t , je pouvais endurer la douleur d’une fessée.

« Tu peux compter sur moi pour t’administrer toutes les fessées dont tu vas avoir besoin tant que tu séjourneras chez moi. Si tu n’es pas plus obéissant, crois-moi, tu finiras les fesses toutes rouges très souvent. »

Ma belle-mère avait fait une pause, le temps de me gronder. C’est à ce moment-là que je visualisais le tableau qu’elle devait avoir sous les yeux : ma culotte de pyjama baissée à mi-cuisses, mes fesses qui, si j’en jugeais par les sensations que j’éprouvais, devaient avoir largement commencé à rougir.

« Au moindre reproche que j’aurai à te faire, ce sera de nouveau la fessée déculottée. Je n’hésiterai pas. Je me rends bien compte que tu as besoin d’une main ferme pour te reprendre en mains ! »

La fessée reprit. J’avais espéré qu’elle fût arrivée à sa fin, mais il n’en était rien. Une claque plus forte ? La main appliquée sur un endroit encore vierge de fessée ? Je tentais une ruade bien vite maîtrisée par ma terrible fesseuse et je couvris mes fesses de ma main libre. La fessée s’arrêta.

« Philippe, tu m’enlèves cette main tout de suite. Quand je te donne une fessée, c’est que tu en as besoin. Je ne veux pas que tu tentes d’y résister. Tu verras comme ce seront des punitions salutaires. Elles te feront du bien. »

Il y eut quatre ou cinq claques sur le haut de mes cuisses, ce qui relança mes plaintes.

« Tu vas ôter cette main de là immédiatement. Si c’est moi qui dois le faire, tu auras une autre fessée après le petit-déjeuner. Ton ardoise va s’allonger, mon garçon, mais sois bien persuadé que je t’en épargnerai ? aucune ! »

Je me surpris à reconnaître la juste logique des propos de ma belle-mère. J’aurais bien enlevé ma main qui protégeait une petite partie de mes fesses, mais la fessée allait reprendre sur le champ et non plus tard dans la matinée comme elle me le proposait. Je choisis l’instant présent.

Mon poignet fut enfermé dans une main de fer et il fut remonté jusque dans le milieu de mon dos.

« Bien, c’est toi qui as choisi. Il y aura donc une troisième fessée ce matin ! »

Je ne cherchais plus à me défendre. Je n’en avais plus ni les moyens, ni l’énergie. La main de ma belle-mère s’abattit sur mes fesses, d’un côté, puis de l’autre. La cuisson était maintenant devenue une fournaise. Je n’en pouvais plus.

Je ne fis rien pour retenir le premier s a n g lot qui monta de ma gorge. Les autres suivirent pour ne plus s’arrêter. j’inondais le drap du lit d’un torrent de larmes, tandis que la fessée continuait. N’aurait-elle donc pas de fin ? J’étais persuadé de ne plus pouvoir en supporter plus quand la punition prit fin.

« J’espère, mon garçon, que tu as bien compris la leçon. Dire qu’il va falloir que je recommence deux fois ce matin ! »

L’étreinte qui me maintenait en place se desserra et ma belle-mère me remit sur mes pieds. Ma culotte de pyjama tomba sur mes mollets. Mon sexe était à la hauteur de ses yeux. Elle ne semblait pas en faire cas, alors qu’elle s’emparait du paquet de mouchoirs en papier posé sur la table de nuit. Avoir son gendre devant elle, la culotte baissée ne lui provoquait aucune réaction visible. Si m’administrer une fessée était une situation normale, il en était sans doute de même pour la tenue dans laquelle je me trouvais.

Pourtant, je ressentais un malaise à me trouver debout devant elle, culotte baissée. La pudeur naturelle d’un adulte le poussant à dissimuler ses fesses, reprenait le dessus. Je me baissais avec la ferme intention de retrouver une tenue plus décente.

« Non ! Tu laisses ce pyjama là où il est ! T’ai-je autorisé à le remonter ?

– Non, Madame.

– Alors il reste comme ça. Attention à la prochaine désobéissance ! »

Une claque sur le haut de la cuisse vint souligner cette menace. Elle n’avait pas besoin d’en dire plus. Une main derrière ma nuque, elle présenta le mouchoir devant mon nez.

« Souffle ! »

Je m’exécutais.

« Encore ! »

Puis elle essuya les larmes qui roulaient encore sur mes joues. Enfin, elle remonta mon pantalon.

« Il est temps d’aller prendre le petit-déjeuner. Mets tes chaussons et en route ! »

La claque sur le fond de mon pyjama n’avait plus rien d’une fessée, mais ma peau était toujours aussi sensible et puis, j'avais eu peur que la fessée ne reprît. Je ne pus retenir un petit cri. Ma belle-mère me prit par la main et je la suivis sans aucune résistance.

En entrant dans la cuisine, je compris tout de suite qu’Aurélie savait ce qui venait de m’arriver. Comment aurait-il pu en être autrement ? Ma belle-mère me tenait par la main sans que je montre de réticence et mes yeux devaient encore être gonflés des larmes, que j’avais laissées abondamment couler, bien que le plus gros en ait été essuyé. Je rougis jusqu’à la racine de mes cheveux.

Ce n’était pas un regard moqueur ou condescendant que je croisais dans les yeux d’Aurélie, mais plutôt une sympathie qui me fit comprendre tout de suite la situation dans laquelle, à cause de mon insistance à venir passer le confinement chez ma belle-mère, je nous avais plongés. Aurélie savait ce qui m’était arrivé pour l’avoir éprouvé avant moi. Si j’en étais à ma première fessée, son compteur affichait un chiffre bien plus grand. Je comprenais maintenant sa réticence à parler des relations qu’elle avait avec sa mère. J’étais maintenant dans la même situation qu’elle.

« Assieds-toi là ! »

Je pris place. Je n’avais aucune envie de faire valoir mon droit à décider moi-même. Je connaissais le prix de toute protestation. Mes fesses dont l’assise de la chaise sur laquelle j’étais assis augmentait l’inconfort, s’échauffèrent au premier contact. Je pensais à me relever pour en faire diminuer la cuisson, mais un regard à ma belle-mère m’en dissuada.

« Je réchauffe le chocolat et je te le sers. »

Mon avis n’était pas demandé. Je me gardais bien de l’émettre. Le chocolat pour déjeuner, ce n’était pas ce que je préférais, mais la fessée était encore trop récente et mes fesses trop brûlantes pour que j’exprime quoi que ce soit qui aurait pu passer pour une contestation de l’autorité de ma belle-mère. Une fois m’avait suffi. Je n’étais pas prêt à recommencer tout de suite.

Une bouffée d’angoisse. Recommencer. Oui, elle m’avait promis deux autres fessées. Comment était-ce possible ? Comment était-ce surtout possible que j’envisage de les recevoir sans me révolter contre ce traitement qui n’était vraiment pas de mon âge ? Et la culotte baissée. Comment avait-elle osé ? J’étais son gendre, pas son fils ! Certes, j’étais le compagnon de sa fille depuis six ans maintenant, mais je ne la connaissais presque pas. Je n’arrivais pourtant pas à me convaincre que la tenue qu’elle m’avait imposée et la correction qu’elle m’avait infligée, avaient la plus petite once d’une connotation sexuelle. C’était une punition qu’elle m’avait administrée parce que je l’avais méritée.

Comment pouvais-je penser cela ? Un adulte peut-il avoir besoin d’une fessée quand il désobéit ? Il n’y avait pas de doute que ma belle-mère le pensait et elle prenait son rôle de Maman très au sérieux. Cela signifiait qu’il fallait corriger son e n f a n t quand il l’avait mérité. Et j’étais maintenant l’un des deux e n f a n t s qu’elle avait sous sa responsabilité.

Cela ne se pouvait pas ! Il fallait que ça cesse. Hors de question que je la laisse m’administrer les deux fessées qu’elle avait programmées ! Fort de cette résolution, je relevais la tête… et je croisais le regard de ma belle-mère.

« Ne crois-tu pas, Philippe, qu’il est temps de boire ton chocolat ? Qu’es-tu en train de faire ? Ce ne serait pas une bouderie suite à la fessée que je t’ai donnée ? Ou un caprice ? Je sais comment m’occuper de l’une ou de l’autre. Si tu ne sais pas comment, je peux te montrer. »

La cuisson sur mes fesses me sembla immédiatement plus forte. La menace était bien réelle. Je baissais les yeux et je portais mon bol à mes lèvres, espérant que cette marque de soumission éloignerait le spectre de la punition.

Un torrent d’émotion me submergeait. Cela allait du soulagement à la révolte. J’étais satisfait de constater que ma belle-mère n’envisageait pas de recourir tout de suite à la fessée. J’avais gagné un peu de répit. J’avais, par contre, raté une occasion de mettre les choses au point, d’affirmer qu’il n’était plus question que je reçoive une nouvelle correction. Je me rassurais en me disant que je le ferai la prochaine fois. Une petite voix en moi émettait des doutes. Agacé contre moi-même, je la chassais de mes pensées.

« Et toi, Aurélie, depuis combien de temps es-tu devant ton bol sans l’avoir touché ?

– Mais, Maman, c’est le chocolat.

– Le chocolat ? Qu’est-ce qu’il a le chocolat ?

– Je n’aime pas le chocolat. Je voudrais du café, comme d’habitude.

– Ce n’est pas parce que tu as pris de mauvaises habitudes depuis que tu es partie de chez moi, qu’elles doivent continuer. Un bon bol de chocolat au petit-déjeuner, c’est parfait pour les e n f a n t s. Pas le café. Tant que tu seras ici, je n’admettrai pas les manies que tu as prises chez toi. Est-ce compris ?

– Oui, Maman ! »

Aurélie baissa la tête sur son bol. Elle faisait la moue. Je ne connaissais pas cette Aurélie-là. Celle avec qui j’habitais à Paris aurait envoyer promener toute personne qui se serait opposée à sa volonté. Elle n’aurait demandé son avis à personne avant de jeter dans l’évier le chocolat et aller se servir en café. J’avais devant moi une petite fille boudeuse, une petite fille de trente-deux ans, mais qui se comportait comme une gamine. Sa mère revint à la charge moins d’une minute plus tard.

« Aurélie, tu finis ton bol ! C’est la dernière fois que je te le dis ! »

Aurélie regarda le liquide qu’elle devait avaler avec un air dégoutté.

« Mais c’est froid !

– Si c’est froid, c’est parce que tu as mis trop de temps pour le boire. »

Sa mère se leva et elle prit le bol qu’elle enfourna dans le microondes.

« Pendant qu’il chauffe, je vais m’occuper de te faire passer l’envie de faire des caprices !

– Non, Maman, non ! »

La prenant par la main, sa mère l’avait obligée à se mettre debout. D’un geste ferme, elle courba Aurélie sous son bras, la maintenant fermement contre son flanc.

« Non, Maman, pas la fessée ! »

Aurélie savait ce qui l’attendait. Ce n’était visiblement pas la première fois qu’elle se trouvait dans cette position. Elle ne fit cependant pas un geste pour arrêter le cours des événements, pas même quand sa mère releva la chemise de nuit dans son dos, dévoilant les fesses qui se crispaient.

Aurélie avait passé son bras gauche derrière le dos de sa mère et de sa main droite, elle avait pris le bas de la robe maternelle qu’elle froissait dans son poing. Ma belle-mère serra sa fille contre elle. Chacune savait son rôle par cœur et s’y tenait au plus près.

« Non, Maman, je ne le ferai plus, je vais le boire !

– Bien entendu que tu vas le boire, mais ce sera après ceci. »

La main tomba sur les fesses nues. Aurélie gigotait, se trémoussait, mais sans gêner l’administration de la punition. Ses inutiles supplications laissèrent rapidement place à des cris inarticulés, entrecoupés de vagues promesses, interrompues à chaque claque qui déclenchait immanquablement une nouvelle clameur aigue. Tout cela finit en une longue plainte qui ne laissait place à aucune incertitude sur l’effectivité de la punition. Malgré cela, Aurélie laissait sa mère aller au bout de son ouvrage, sans faire aucune ébauche de geste susceptible de la sortir de ce mauvais pas.

« C’est ce que ma belle-mère attend de moi, se dit Philippe. »

La situation qui l’avait brièvement interloqué au début, lui semblait maintenant parfaitement normale. L’opposition entre l’âge d’Aurélie et la fessée déculottée qu’elle recevait, ne lui paraissait plus aussi évident.

« Elle l’a bien cherché, se dit-il ! »

Il ressentait peu de compassion pour sa compagne. Il était même plutôt satisfait de pouvoir constater qu’ils étaient traités de la même façon. La justice maternelle s’appliquait avec la même rigueur pour tous les deux. C’était rassurant. La fessée déculottée sanctionnait pareillement leurs comportements coupables. C’était équitable, il n’y avait rien à dire.

Il devait admettre qu’Aurélie se comportait, durant sa punition, bien mieux que lui ne l’avait fait durant la sienne. Si, comme lui, elle laissait ses plaintes s’extérioriser sans frein, elle ne cherchait en rien à se libérer pour mettre fin prématurément à la correction. Elle prenait une fessée comme juste rétribution de son comportement. Philippe se demandait s’il en serait capable un jour.

Il resta ébahi de son propre cheminement de pensée. Il n’en était plus à l’indignation suscitée par un traitement inadapté à sa condition d’adulte, mais à savoir comment il pourrait faire pour subir un juste châtiment sans mériter une nouvelle correction. L’impérieuse nécessité de se révolter à la prochaine fessée que sa belle-mère aurait décidé de lui administrer, était loin dans ses pensées. Il sentit fléchir sa détermination à se rebeller.

Le signal sonore du micro-ondes qui annonçait que le bol avait atteint la température voulue, mit également fin à la fessée. Deux bonnes claques, une sur chaque fesse et ce fut fini. Relâchée par sa mère, Aurélie se redressa.

Des s a n g lots soulevaient encore sa poitrine. Elle se frottait les yeux pour en évacuer les larmes qui ne cessaient de couler. Sa chemise de nuit n’était qu’imparfaitement retombée, laissant ses fesses et son pubis à moitié découverts, mais Aurélie ne fit rien pour retrouver une tenue plus décente. Non, ce n’était pas cela, sa tenue n’avait rien d’indécent. L’exposition de ses fesses était en décalage avec la toison pubienne qui était exposée, mais tout le reste était parfaitement cohérent. C’étaient les conséquences d’une légitime fessée qu’Aurélie avait reçue. Ni elle, mi moi et encore moins ma belle-mère n’avions rien à y redire.

Le bol de chocolat retrouva sa place devant Aurélie.

« Tu finis ton bol ! »

Aurélie regarda sa mère d’un air interrogateur. Celle-ci lui vint en aide.

« Tu restes debout. Tu en as pour une minute et après tu vas au coin en attendant que nous ayons fini de manger. Tu ne te rappelles plus que les caprices ne sont pas de mise ici ? »

Cette fois-ci Aurélie ne fit aucune difficulté pour avaler rapidement le contenu de son bol. Elle le reposa sur la table et regarda sa mère.

« Mets ce que tu as utilisé dans le lave-vaisselle, puis va au coin ! »

Aurélie n’eut pas besoin d’autre indication. Elle plaça son nez dans l’angle vide de la pièce. Elle avait tout juste la place de s’y glisser, comme s’il avait été exactement prévu pour cet usage. Elle croisa ses bras dans son dos, remontant au passage son vêtement de nuit, dégageant parfaitement les fesses encore bien rouges. Elle s’immobilisa, nous laissant la vue sur son postérieur dénudé. J’eus, une nouvelle fois, la sensation d’assister à une scène qui s’était produite des dizaines de fois auparavant. Rien n’était nouveau pour Aurélie, pas plus que pour sa mère. J’étais le seul à découvrir ce que signifiait qu’habiter sous le même toit que ma belle-mère.

Elle avait suivi sa fille des yeux, probablement pour vérifier qu’aucune des obligations liées à la mise en pénitence, n’avait été oubliée. Elle hocha la tête, visiblement satisfaite, puis elle se retourna vers moi.

« Regarde bien comment il faudra te tenir quand je t’enverrai au coin. Tu feras comme Aurélie ! C’est bien compris ?

– Oui, Madame.

– Tu vas y aller tout à l’heure, après que je t’aurai donné l’une des deux fessées que je t’ai promises. Observe bien comment s’y comporte Aurélie. J’attends de toi que tu t’y tiennes aussi parfaitement qu’elle. J’espère que je n’aurai pas à te le redire, sinon…

– Oui Madame.

– Cesse donc de m’appeler Madame. C’est bien trop apprêté pour quelqu’un à qui je donne la fessée quand il l’a méritée. Par mon prénom, ce serait trop familier. Voyons un peu… « Maman Marianne », ça devrait convenir. Après tout, maintenant que j’ai pris en charge ton éducation et les punitions qui vont avec, je suis encore un peu plus qu’avant ta deuxième Maman et avec mon prénom au bout, cela me différentie de ta mère biologique. C’est décidé, tu m’appelleras comme cela : Maman Marianne.

– Oui Madame… euh… Maman Marianne. »

Elle me regarda avec des yeux noirs.

« Fais attention à ne plus te tromper, me dit ma belle-mère en fronçant les sourcils. Il pourrait t’en cuire les fesses ! »

Je fourrais mon nez dans mon bol et je fus très occupé, dans les minutes qui suivirent, à boire mon chocolat. Je pestais intérieurement contre moi. J’avais fait un pas de plus vers le renoncement à faire valoir mon âge en acceptant d’envisager d’aller au coin. Je n’étais pas sur le bon chemin, mais je m’y trouvais entraîné sans pouvoir revenir en arrière. Ma prochaine fessée semblait inéluctable. Il était temps que je me reprenne.

La fin du petit-déjeuner arrivait et je n’avais pas trouvé de solution à mon problème. Aurélie était au coin depuis plus de cinq minutes et les s a n g lots silencieux qui soulevaient sa poitrine s’étaient calmés. Ses fesses avaient encore une couleur rose foncé. Je la contemplais furtivement, sachant que je me dirigeais tout droit vers la même situation qu’elle si je ne trouvais pas comment me sortir de ce mauvais pas.

Recevoir une autre fessée déculottée, ce n’était pas possible. Je ne savais plus si c’était d’avoir la culotte baissée par ma belle-mère lui exposant mon intimité ou bien la rigueur de la fessée ou encore la longue station au coin à montrer mes fesses qui m’effrayaient le plus.

Je ne savais plus quel comportement adopter et plus l’heure de ma prochaine fessée annoncée approchait, moins j’arrivais à réfléchir. M’opposer par la f o r c e ? Je n’étais pas convaincu d’arriver à me défendre si je contraignais ma belle-mère à me déculotter de f o r c e . Y arriverait-elle ? Elle était un peu plus petite que moi et nous devions peser approximativement le même poids, mais sa détermination était bien plus grande que la mienne.

Et c’était la mère d’Aurélie. En venant ici, j’avais accepté ses règles. Sans savoir en quoi elles consistaient, mais je les avais acceptées. Et je n’arrivais pas à m’ôter de la tête que si ma compagne recevait la fessée pour un petit caprice, il n’y avait aucune raison que je ne sois pas puni de la même façon, compte tenu de mon comportement au cours de ma première fessée. Ce ne serait pas juste.

Je ne voyais pas lutter contre ma belle-mère. Je n’imaginais pas les conséquences d’un tel acte. Je ne me sentais pas le droit de le faire alors qu’en me donnant une fessée, puis en corrigeant Aurélie, elle avait acquis un statut d’autorité que je ne saurai contester. Elle avait vingt-cinq ans de plus que moi, elle était chez elle, peut-être était-ce légitime qu’elle m’administrât la fessée quand je la méritais ?

Il n’y avait qu’une solution acceptable : c’était qu’elle renonce d’elle-même à me punir de cette façon. Sans doute y avait-il d’autres moyens de me faire comprendre que mon attitude était inqualifiable ? Oui, décidément, la fessée n’était pas adaptée à mon âge. La vue d’Aurélie, née la même année que moi, dans son coin, venait contredire ce dernier argument.

Il fallait que je discute, que j’argumente, que je la convainque… C’est cela, c’est ce que j’allais faire.

« As-tu fini de déjeuner, Philippe ? »

Même en cherchant au fond du bol, il ne restait plus une goûte à boire et j’avais fini de manger la dernière miette de pain qui traînait à ma portée.

« Oui, Mad… euh Maman Marianne.

– Va ranger ton bol, tes couverts dans le lave-vaisselle et viens me voir. »

Je savais pourquoi il fallait que je vienne la voir. Elle me désignait le sol à sa droite et elle avait écarté sa chaise de la table pour me laisser de la place. C’était le moment de commencer à négocier. Je devais avant tout être irréprochable. Je rangeais la vaisselle comme elle me l’avait ordonné.

« Maman Marianne, je voulais d’abord…

– Je t’ai dit de venir ici, non ? Alors qu’attends-tu ? Est-ce une nouvelle désobéissance ?

– Non, non, j’arrive. »

Je me précipitais, attentif à montrer mon empressement à lui obéir. Il me restait un pas à faire pour arriver à sa portée.

« Voilà, je voulais que nous discutions…

– Nous discuterons tout à l’heure, après que tu auras passé un moment au coin. Ici, j’ai dit ! »

Le ton m’électrisa et je fis un pas vers elle, sans avoir vraiment décidé de le faire. Elle me saisit la main et m’obligea à approcher, presque à toucher sa cuisse.

« L’heure n’est pas aux palabres. Tu as tenté, tout à l’heure, de m’empêcher de te déculotter pour te fesser. Je t’avais promis une punition. C’est le moment ! »

J’esquissait un pas en arrière. Maman Marianne me ramena à ma place.

« As-tu l’intention de désobéir encore ? Je pense que j’arriverai à te déculotter et à t’allonger sur mes genoux, même si tu as décidé du contraire. Mais si c’est nécessaire, je suis persuadé qu’Antoine serait ravi de me donner un coup de main. Faut-il que je l’appelle ? Mais alors tu sais que je serai obligée de sévir une fois de plus. »

Je n’avais pas envisagé qu’elle recourût à l’aide d’une tierce personne. Et il y avait le risque d’une fessée supplémentaire. La brève hésitation que je marquais me fut fatale. Ma belle-mère saisit ma culotte de pyjama de ses deux mains et elle la tira vers le bas.

« Non, criais-je ! »

Je me baissais pour remonter mon pantalon, mais ma belle-mère profita de ma précipitation et du léger déséquilibre qu’il provoquait pour me faire basculer en travers de ses genoux. J’y atterrit presque en douceur et aussitôt je sentis Maman Marianne m’immobiliser sur place. Il fallait que je me relève. La première claque tomba sur ma fesse gauche. Je poussais un cri. La deuxième suivit aussitôt.

La main de Maman Marianne claqua une troisième fois sur mes fesses. Comment faisait-elle pour installer une telle fournaise sur mon postérieur en aussi peu de temps ? Cette pensée fugace disparut aussi vite qu’elle était venue. Je n’avais plus de place dans ma tête que pour la cuisson qui ne cessait de monter sur mon épiderme.

Je ne pus retenir ma main droite qui alla protéger mes fesses. Sans marquer une pause, la main de Maman Marianne se déplaça sur le haut de mes cuisses. Je la suivis, mais j’avais toujours un temps de retard, laissant à ma belle-mère le choix de l’endroit où elle appliquerait sa main. Ce jeu, qui n’en était pas vraiment un pour moi, dura quelques dizaines de secondes. Je perdais à tous les coups. J’avais l’impression que protéger mes fesses ne servait à rien. La main trouvait toujours un endroit dégagé où claquer la peau de mes fesses. Maman Marianne m’ayant fait la démonstration de l’inutilité de mes tentatives pour me protéger, décida de passer à du plus sérieux.

« C’est la dernière fois, que tu couvres tes fesses de ta main pour gêner l’administration d’une fessée. La prochaine fois, je finirai ta correction avec la règle. Maintenant, tu enlèves ta main et tu me laisses terminer. »

J’ignorais ce premier avertissement. Cela eut le don d’agacer ma belle-mère.

« Philippe, ça suffit ! Dernier avertissement ! Je vais aller chercher la règle ! »

Je n’avais, évidemment, jamais reçu de fessée avec une règle. Je ne savais pas combien il s’agit d’un instrument redoutable quand il est utilisé pour de donner une fessée. Mais le seul fait que Maman Marianne envisageât de s’en servir pour châtier ma désobéissance, me suffit à prendre la menace au sérieux, ce qui ne me convainquit pas de me rendre à ses arguments. Ma main ne bougea pas de là où elle était.

« Comme tu veux ! Je t’aurais averti de ce qui allait t’arriver ! »

Ma belle-mère me fit glisser de sur ses cuisses et je tombais à genoux à ses pieds.

« Tu ne bouges pas de là. Tu m’attends ! »

Je n’étais plus capable de prendre la moindre initiative tant mes fesses et mes cuisses me cuisaient. Je ne me rendais plus compte du spectacle que je donnais : à genoux au milieu de la cuisine, le pantalon et la culotte baissés, frottant mes fesses des deux mains. Il ne me venait pas à l’esprit ni que je pourrais m’enfuir, ni que je pourrais couvrir mes fesses. Mon répit fut de courte durée.

Maman Marianne revint. Elle tenait à la main une règle plate en bois. Elle reprit sa place et l’un de ses bras me ceinturant le buste et l’autre passé entre mes jambes, elle me replaça à plat ventre sur ses genoux, parfaitement disposé pour la suite de ma correction. Je la laissais faire, uniquement préoccupé de la fournaise qui embrasait mes fesses.

J’avais laissé ma main en protection, doigts écartés, couvrant le maximum de la surface. Malgré cela, la règle trouva son chemin, juste sous le bout de mes doigts, sur le haut de ma cuisse, là où elles rejoignent le fessier. Je hurlais. Avec la règle, c’était une autre histoire que simplement avec la main. J’avais cru, précédemment, atteindre l’insupportable. J’étais loin du compte.

En déplaçant ma main pour couvrir la surface dont la règle venait de s’occuper, j’en découvris une autre partie qui fut aussitôt l’objet de l’attention de Maman Marianne. La règle y claqua trois fois, m’obligeant à protéger cet endroit, ce qui en laissa un autre sans protection. La règle s’y abattit. Ma main gauche était inutile. Plaqué contre le ventre de ma belle-mère, je n’arrivais pas à ramener mon bras en arrière. J’avais pourtant désespérément besoin de ma deuxième main pour espérer mettre la totalité de mon épiderme fessier à l’abri des morsures de la règle.

Maman Marianne continua ce petit jeu pendant un bon moment. Elle arrivait à chaque fois à trouver un espace découvert et elle y appliquait la règle, renf o r ç a nt la cuisson de mes fesses. Puis, elle changea de tactique. La règle s’abattit sur mes doigts. Je laissais ma main en place quand elle recommença, mais je dus l’enlever suite la troisième fois. Cela faisait trop mal.

L’avalanche de coups de règles sur mes fesses me fit hurler. Je craquais. Entre deux s a n g lots, j’émettais un salmigondis de supplications et de demande de pardon ainsi que de promesses que j’étais bien incapable de tenir.

Quand je remis main, les coups sur les doigts reprirent. Trois ou quatre fois, je recommençais le même manège auquel Maman Marianne répondait en frappant alternativement sur mes fesses ou sur mes doigts. Je n’en pouvais plus.

A part ma main qui naviguait au gré de l’endroit où Maman Marianne appliquait la règle, je ne faisais plus rien pour m’opposer à la fessée. Je restais en position, sans chercher à fuir les genoux où pourtant ma situation n’avait rien d’enviable. C’est sans doute ce qui décida ma belle-mère à suspendre la correction qu’elle me donnait. Il fallait passer à la phase suivante.

« Philippe, je veux que tu retires ta main et que tu me laisses te fesser. Si je le fais, c’est pour ton bien. Pour que tu comprennes que les punitions que je te donne te seront profitables. Tu dois l’accepter. Ce n’est que le premier jour, où tu habites chez moi, mais tu y seras soumis tant que tu seras là. Nous avons pu constater tous les deux que tu en as besoin, n’est-ce pas mon garçon ? »

Si on m’avait dit, la veille, que j’écouterai attentivement ma belle-mère m’expliquer qu’elle devait me donner la fessée, allongé en travers de ses genoux, mon pantalon de pyjama entourant mes chevilles, j’aurais cru à une plaisanterie de mauvais goût.

« Oui. »

Une claque sur les fesses me fit prendre conscience de ma désinvolture.

« Oui, qui ?

–Oui, Maman Marianne. »

Si on avait rajouté que j’abonderais alors dans son sens, j’aurais pris mon interlocuteur pour un demi-demeuré. Je ne réagis pas quand elle posa sa main sur mes fesses nues et qu’elle commença une légère caresse. L’heure n’était plus à la pudeur. Il était entendu qu’elle avait accès à mes fesses. Qu’elles soient dénudées n’importait plus à personne, et en particulier plus à moi.

« Plus jamais, quelles que soient les circonstances, et qui que ce soit qui te donnera la fessée, je ne veux plus que tu mettes ta main en protection. »

J’étais tellement obnubilé par la fessée qui était en cours, que je ne notais pas l’allusion aux autres personnes qui seraient amenées à me punir.

« Voilà ce que nous allons faire. Tu vas enlever ta main et je ne veux plus la voir là, même quand tu auras une très sévère fessée. Plus jamais ! Dis-toi bien que ce sera que tu l’as méritée et que tu en as besoin. »

Je ne trouvais rien à dire pour contrecarrer l’argument qui m’était exposé.

« Enlève ta main maintenant ! »

J’obéis avec regret, mais sans hésiter.

« Je vais reprendre la fessée avec la règle, assez longtemps pour que je sois certaine que ta main ne reviendra pas. En fait, je vais reprendre la fessée à zéro. Ce que tu as reçu jusqu’à maintenant ne compte pas. »

Je fis une grimace que Maman Marianne ne remarqua pas. J’avais encore de difficiles moments à passer.

« Ton ardoise s’est allongée. Je t’avais promis une autre fessée, en plus de celle-là, bien sûr. A cause de ce que tu viens de faire, tu en auras une de plus. Mais si je revois ta main, j’irai cueillir une badine et tu feras connaissance avec elle. Je te conseille de bien choisir avant de faire connaissance avec elle. On s’en souvient plusieurs jours, n’est-ce pas Aurélie ?

– Oui Maman, répondit ma compagne sans quitter la position qu’elle tenait.

– Allons-y ! »

Je n’eus pas le temps de serrer les dents. Ce nouveau coup de règle sur mes fesses avait ravivé toute la douleur qui s’était un peu assoupie durant le discours de ma belle-mère. Un seul coup avait suffi. Le cri que je poussais fut interrompu par la deuxième fois où la règle marquait mon postérieur. Ma main partit en arrière, mais je réussis à la retenir. La règle, une nouvelle fois. Je tenais maintenant le pied de la chaise sur laquelle siégeait ma belle-mère. Je m’y accrochais plus fortement, mais il n’y eut plus de mouvement de mon bras.

« C’est bien, mon garçon ! Nous allons pouvoir tranquillement finir cette fessée ! »

Je ne sais pas si tranquillement était un mot qui me convenait. Je n’avais pas cette impression. Mes pleurs avaient repris et je battais des pieds dans le vide et ma tête remuait de droite à gauche et inversement. Maman Marianne devait considérer que tout était normal, car elle ne me fit pas une remarque sur la façon dont je me comportais.

Quand la fessée s’arrêta, je retombais inerte sur les genoux de ma belle-mère. Je ne cessais pas de pleurer pour autant. Elle posa sa main sur le sommet de mes fesses. Je sentis un frisson remonter le long de ma colonne vertébrale. C’était à la fois douloureux et apaisant, surtout quand sa main se mit à fait des cercles concentriques, effleurant à peine ma peau.

« Là, là, c’est fini. Tu as été un vilain grand garçon et tu en as été puni. Je suis certaine que tu seras sage, maintenant. »

Elle continua son long massage quelques instants, tout en me rappelant qu’elle attendait de moi une obéissance sans faille.

« Je sais bien que ce n’est pas simple, pour un grand garçon qui a pris de mauvaises habitudes, comme toi, mais tu vas de venir bien obéissant. »

Son ton était calme. Elle parlait tout doucement. Mes s a n g lots s’étaient calmés, mais les larmes continuaient à couler de mes joues.

« Oh, je sais que ce ne sera pas du premier coup. Il faudra d’autres fessées, à commencer par celles d’aujourd’hui. J’espère pour toi qu’elles ne seront pas aussi nombreuses tous les jours. Mais s’il le faut… »

Nous étions à mi-chemin entre la consolation et la promesse de futures corrections. Je n’avais pas envie de bouger de là. Elle me traitait comme un e n f a n t , son e n f a n t et je savourais la douceur du moment, malgré mes fesses brûlantes.

« Allez, debout ! Il faut que comme Aurélie, tu ailles réfléchir au coin, maintenant. »

Ce n’était qu’un tapotement sur les fesses, mais il suffit pour raviver la douleur.

« Ah, oui, je sais ! Ça fait mal ! Mais c’est bien l’effet recherché quand on donne une fessée, non ? »

Elle m’aida à me relever et je ne pris pas garde à ce que mes attributs sexuels soient exposés à quelques dizaines de centimètres de ses yeux. Cela n’avait plus d’importance, comme si, en moins d’une heure, elle avait acquis le droit de contempler mon intimité ou que j’avais perdu celui de la dissimuler à sa vue.

« Tu as vu comment Aurélie se tient quand je la mets au coin ? Je veux que tu fasses pareil, tiens, là-bas, à l’angle du mur et de ce placard. »

Je démarrais un peu vite, oubliant mon pantalon qui entourait mes chevilles. Je rattrapais mon équilibre de justesse. C’est alors que je pris conscience de ma tenue et de son caractère déplacé en présence de ma belle-mère. Je posais mes mains devant mon sexe.

« Pas de ça, mon garçon ! D’abord, en te déculottant j’ai pu voir tout ce que tu veux me dissimuler et ensuite, je compte sur la honte que tu ressentiras quand tu seras déculotté, pour que tu te souviennes bien de la punition et de la bêtise qui l’a motivée. »

Elle appuya ses dires d’une claque sur le haut de ma cuisse. Je retirais mes mains.

« Sois certain que ce n’est que la première fois où il sera nécessaire de te déculotter pour te punir. Il y aura d’autres occasions. Tant que tu agiras comme un vilain garçon désobéissant, il n’y a aucune raison que tu ne sois pas traité comme le garnement que tu es. Il n’y a donc pas de souci à ce que tu montres tes fesses. Tout le monde saura ainsi que tu as été puni comme le méchant vaurien que tu es. »

Une autre claque me fit démarrer vers le coin. Je m’y plaçais exactement comme Aurélie l’avait fait dans le sien.

« Parfait ! Sois sage ! pas de mouvement, pas de bruit, quel que soit ce qui se passe dans la maison. Tu ne bouges pas de là avant que je t’en donne l’autorisation. »

Cela faisait bien dix minutes qu’Aurélie se tenait en pénitence. Allais-je y rester aussi longtemps ? Maman Marianne sortit de la pièce.

Les seuls bruits que j’entendais, venaient de la maison. Ils étaient lointains, dans une autre pièce. Sans doute Maman Marianne qui s’y livrait à une mystérieuse occupation et il n’était pas question que j’aille voir. Dans la cuisine le silence régnait. Je n’entendais pas Aurélie, pas même sa respiration, y compris quand j’arrêtais la mienne pour avoir un silence encore plus complet. Les élancements qui provenaient de mes fesses suffirent à m’occuper pendant les premières minutes au coin. Je ne savais pas qu’une fessée pouvait faire aussi mal.

« Il est probable que mon postérieur sera couvert de bleus demain, me disais-je. »

J’envisageais avec appréhension les deux autres fessées que je devais recevoir dans la journée.

« Mon épiderme sera-t-il en état d’en supporter autant ? »

Je ne voyais pas comment expliquer à Maman Marianne qu’elle risquait de m’abîmer durablement la peau. Elle semblait si résolue à me les administrer. Cette réflexion plomba mon moral. Que de changement en moins d’une demi-matinée ! Je ne me posais plus la question de savoir si ma belle-mère avait le droit de me punir et de me déculotter pour me fesser. Tout cela était maintenant une évidence pour elle, comme pour moi. Il était question de savoir si mon comportement durant la correction me vaudrait une autre punition et combien je pouvais en recevoir dans une journée.

Apparemment, pour Aurélie, recevoir la fessée de la main de sa mère était acquis avant qu’elle n’arrivât chez elle hier soir, pour moi, cela n’avait pris qu’une bonne heure. Je ne voyais plus comment revenir en arrière. Il me faudrait supporter les deux fessées prévues et certainement beaucoup d’autres.

Je me surprenais à ne trouver aucune indignation en moi, aucune rébellion contre le droit que ma belle-mère s’était arrogé. Je ressentais plutôt de la résignation et du fatalisme. Puisqu’elle avait jugé que j’avais besoin d’une fessée, c’était sûrement vrai. Je n’avais nullement l’intention, plus maintenant, de discuter de sa légitimité à exercer une autorité sur moi, ni des moyens qu’elle avait décidé d’employer pour y arriver.

Arriver à cette conclusion me désespéra et me tranquillisa tout en même temps. J’étais entraîné dans un engrenage et je ne savais plus comment m’en défaire mais je pouvais aussi sentir toute l’attention que ma belle-mère m’accordait et ça, à part avec Aurélie, mais ce n’était pas de même nature, cela faisait longtemps que ça ne m’était plus arrivé.

Se tenir au coin, selon les normes exigées par Maman Marianne, c’était difficile. Au début, on ne s’en rendait pas compte. Durant les premières minutes que j’y avais passé, mon esprit avait été occupé par refaire le film de ce qui venait de m’arriver et finalement, se trouver seul à quelques centimètres de l’angle que faisait le placard et le mur était plutôt facilitant. Je pus gérer les pics de douleurs qui émanaient de mes fesses, puis la honte d’avoir été déculotté et fessé, sans avoir à rencontrer le regard d’une autre personne.

Il y avait déjà Maman Marianne, bien sûr et Aurélie qui savaient quel genre de punition j’avais reçu et c’était déjà bien assez difficile à savoir, sans devoir lire dans leurs yeux mon récent statut de grand garçon à qui il fallait donner la fessée. Je n’avais pas réussi à trouver une façon de présenter la situation qui me laissait à mon avantage.

Inutile de prétendre que je m’étais laissé faire pour voir, ou que cela n’avait été qu’un jeu de rôle dont je pouvais sortir quand je le voulais. Lucidement, je constatais qu’il en serait ainsi durant tout mon séjour. Les deux fessées qu’elle m’avait annoncées ne seraient pas les seules. A chaque fois qu’elle le jugerait nécessaire, c'est-à-dire à chaque bêtise que je commettrai, elle me baisserait la culotte et me donnerait une fessée. Je n’arrivais pas à visualiser la situation, tant elle me paraissait, encore maintenant, tellement éloignée de mes certitudes d’adultes qui venaient de s’écrouler en si peu de temps.

Je ne voyais pas comment éviter ni les fessées qu’elle m’avait promises ni les suivantes. Je passais en revue toutes les situations et toutes mes habitudes qui pourraient me valoir, selon le jugement de ma belle-mère, de me retrouver à plat ventre sur ses genoux, la culotte baissée et les fesses douloureuses.

« Moi qui ne supporte pas que des règles me soient imposées ! »

A SUIVRE ICI

Combien de temps resteront-ils au coin, ? Seront-ils encore fessés ?

Auteur : JLG

Lire la suite : Les déculottées du confinement 2
Une histoire très intéressante bien rythmée, merci pour le partage
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