Les déculottées du confinement 2

Catégories : Femmes fessées Hommes fessés
Ce récit est la suite de : Les déculottées du confinement
il y a 3 ans

J’avais une tendance très étudiée à refuser toutes les formes d’autorité. Je savais jouer avec les personnes qui en étaient dépositaires, toujours en restant à l’intérieur de ce qui était permis. Sans compter la facilité avec laquelle je me mettais en colère à la moindre contrariété. Cela me donnait la réputation de ne pas savoir faire les concessions nécessaires, ce qui m’avait nuit à plusieurs reprises que ce soit dans ma vie personnelle ou professionnelle. Ici, ce ne serait tolérées ni l’une, ni l’autre.

J’étais conscient de ces travers, mais cela m’aurait demandé un trop gros effort que de changer de comportement. Je continuais mon chemin, comptant sur ma chance et sur ma capacité à saisir des opportunités pour m’en sortir. Quelles sont celles dont je pourrais m’empare aujourd’hui ? Quand on est au coin, elles sont peu nombreuses.

A moins que mon séjour chez ma belle-mère soit une chance qui se présentait ? Je rejetais cette idée. Recevoir la fessée ne pouvait être une chance pour un adulte comme moi. C’était, au contraire, consternant, un a b u s d’autorité. Oui, mais je ne voyais pas comment faire autrement.

Je tournais ce problème dans ma tête sans y trouver de solution. Je verrai plus tard, je trouverai bien comment me sortir de ce mauvais pas. Pour l’instant, il fallait faire profil bas et éviter toutes les situations qui pourraient me valoir une nouvelle correction. C’était ça ! Eviter de donner un prétexte à ma belle-mère pour sévir. Pas facile, mais faisable. Mon moral remonta en flèche. J’avais le sentiment d’avoir trouvé la solution.

Ces minutes d’introspection avaient totalement focalisé mon attention et j’avais presque oublié où j’étais. C’était en reprenant contact avec la réalité que je réalisais que l’engourdissement, provoqué par mon immobilité, me gagnait. Les muscles de mes bras s’ankylosaient, ceux de mes cuisses devaient f o r c e r pour que j’arrive à rester immobile. J’avais une envie furieuse de bouger.

Oui, mais cela m’était interdit !

Depuis combien de temps étais-je là ? Je n’avais rien qui pouvait m’indiquer l’heure, mais c’était plus d’une demi-heure. Certain ! Proche de trois quarts d’heure, probablement. Combien de temps encore devrais-je rester là ? C’était long, particulièrement quand on ne savait pas quel en serait le terme. Il dépendait de ma belle-mère et je n’avais aucune influence sur cette question.

J’écoutais attentivement les bruits que je percevais de la maison. Ils n’étaient pas identifiables et je ne parvenais pas à savoir d’où ils étaient émis. Cela ne semblait pas proche de la cuisine où je me tenais. Maman Marianne ne devait pas être tout près.

J’avais certainement le temps de bouger un peu mes bras, juste pour en soulager la tension. Et mes jambes aussi. Après tout j’avais bien le droit… le droit, oui, à condition de ne pas être pris. Je savais ce que je risquais.

Il fallait être discret et ne pas vraiment quitter la position. Bouger un peu les bras, me dégourdir les jambes, rien de spectaculaire. Ne pas me déplacer, pas beaucoup, de façon à retrouver la position voulue par ma belle-mère en une fraction de seconde, dès que j’entendrais un bruit suspect.

Et si elle arrivait sans que je l’entende ? Je n’avais aucune envie de prendre une autre fessée ! Si je me souvenais bien, Maman Marianne n’avait pas fermé la porte de la cuisine en sortant. Si elle avait fait pareil avec la pièce dans laquelle elle se trouvait, je ne l’entendrais pas arriver. C’était bien du carrelage qu’il y avait au sol ? Dans la cuisine oui, mais dans le couloir ? Est-ce que ses chaussures faisaient du bruit en marchant sur le sol ? Je ne savais plus. Je n’avais pas été assez attentif à tous ces détails.

En faisant vite, il n’y avait pas de risque… ou si peu. D’abord les jambes. L’une après l’autre. Je rassemblais mon courage.

« Alors, mes chéris, le coin vous a fait du bien ? »

Mon cœur fit un bon dans ma poitrine. Une poignée de secondes plus tard et elle me surprenait en pleine désobéissance. Je ne l’avais pas entendu arriver. Je l’avais échappé belle. J’en eus des sueurs froides rétrospectivement. Quelles auraient été les conséquences si ma belle-mère m’avait surpris alors que je prenais des libertés alors que c’était la première fois qu’elle me mettait au coin. J’aurais pu m’attendre à une belle fessée.

« Je n’ai pas le temps de vous y laisser plus longtemps, mais un quart d’heure, ça laisse le temps de réfléchir. »

Un quart d’heure ? Cela ne faisait qu’un quart d’heure qu’elle m’avait mis en pénitence le nez fourré dans l’angle que le placard faisait avec le mur ? Ce n’était pas possible, cela devait faire bien plus de temps !

« Il est l’heure d’aller faire sa toilette et de s’habiller. Philippe, remonte ta culotte de pyjama et on file dans votre chambre ! »

Je m’empressais d’obéir avant qu’Aurélie ait pu me voir en une aussi peu glorieuse situation. Il me fut difficile de croiser son regard lorsque je me détournais et le sien fuyait la mien. Pas simple de se recomposer une attitude, comme si de rien n’était, après un tel début de matinée.

« Allez, en route ! »

Une petite claque chacun sur les fesses nous encouragea à avancer.

Dès que nous entrâmes dans notre chambre, Maman Marianne prit les choses en mains. Elle plaça sa fille, debout devant elle et elle saisit le bas de la chemise de nuit qu’elle releva et fit passer par-dessus la tête d’Aurélie. Je lus un éclair d’effroi dans les yeux de ma compagne qui croisa ses bras devant sa poitrine tout en cherchant à dissimuler son pubis. Une main sur ses fesses vint sanctionner cette réticence.

« Attention, prévint sa mère, pas de comédie. Ce n’est pas la première fois que je te vois toute nue et je suppose que Philippe non plus ! Plie plutôt ta chemise et range-la ! »

Il fallait pour ça qu’Aurélie fasse fi de sa nudité. Elle regarda sa mère, la suppliant des yeux. Face au regard noir qui lui fut renvoyé et à une main menaçante, elle rougit, mais se résigna. Elle se détourna tout en pliant son vêtement de nuit. Elle avait ôté la relative protection que lui fournissait ses bras.

« Philippe, viens ici ! »

Je n’avais pas réalisé que je subirais le même sort tout de suite après ma compagne. Je mis un peu de temps à obéir.

« Philippe, c’est tout de suite ! »

Cela suffit pour que je fasse les deux mètres qui me séparaient d’elle. Sans plus de cérémonie, elle baissa prestement ma culotte de pyjama à mi-cuisses et elle m’asséna une claque sur la fesse qui était à sa portée.

« La prochaine fois que je te vois hésiter quand je te dis de faire quelque chose, ce sera autre chose qu’une petite claque sur la fesse ! »

Elle fit passer ma veste de pyjama par-dessus ma tête et elle acheva d’en baisser la culotte.

« Lève ton pied ! L’autre ! »

Un croisement de regard pour vérifier qu’il n’y avait pas signe d’une protestation dans le mien. Totalement nu devant elle, je ne me sentais pas en position de montrer mon mécontentement.

« Range ton pyjama ! »

La consigne suivante nous envoya dans la salle de bains, tous les deux ensembles. Il fallait parcourir le couloir du premier étage sur presque toute sa longueur, mais notre nudité n’était pas un obstacle, aux yeux de ma belle-mère.

La porte fermée de la salle de bains nous laissa un peu de répit. Aurélie et moi, nous nous regardions, incertains sur l’attitude à adopter. Je n’étais pas à l’aise de me trouver nu devant elle et, visiblement, elle éprouvait la même gêne. Dans la salle de bains de notre studio, nous avions l’habitude de faire notre toilette l’un après l’autre et nous ne circulions jamais dans une tenue aussi dénudée.

« Je… je… »

Le silence s’installa. Aurélie regarda la porte. Impossible de sortir de là sans avoir fait notre toilette.

« Comment on fait, demanda-t-elle au bout de longues secondes ?

– Tu commences ?

– Non, toi ! »

Je fis un pas vers le lavabo.

« Tu crois qu’il faut qu’on prenne une douche ?

– Oui sûrement ! Maman risque de vérifier si nous sommes propres. Et si ce n’est pas le cas… »

Il n’y avait pas besoin d’en dire plus. Les conséquences d’une telle négligence étaient évidentes. Un nouveau temps silence s’installa. J’essayais d’imaginer comment pourrait se dérouler ce temps de toilette à deux dans la même pièce, même si celle-ci était bien plus grande que celle que nous avions à Paris.

« On peut, peut-être lui demander de faire notre toilette l’un après l’autre, comme d’habitude ? »

La moue d’Aurélie en disait long sur la pertinence de ma suggestion. En réalité je n’y croyais pas moi-même. Il était certain que le premier qui sortirait de cet endroit sans s’être lavé, serait taxé de désobéissance. Une fessée s’en suivrait. L’autre ne serait très probablement pas mieux loti. Nous nous regardions, les bras ballants, ne sachant toujours pas comment faire. La porte s’ouvrit et Maman Marianne entra.

« Mais qu’est-ce que c’est que ça ? Vous n’avez pas commencé votre toilette ? Je crois qu’il faut que je vous l’explique autrement ! »

Elle attrapa la main d’Aurélie, qui était la plus proche d’elle et elle l’amena près d’elle.

« Non, Maman, j’y vais tout de suite ! »

Nous avions compris tous les deux ce qui se préparait. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, Aurélie était courbée sous le bras de sa mère, les fesses à disposition de la main maternelle qui commença son office sur les rondeurs de sa fille. Le bruit des claques était amplifié par un léger écho et bien vite les cris d’Aurélie accentuèrent cette impression de tumulte. Ce ne fut pas une grosse fessée, mais elle suffit pour colorer abondamment les fesses de ma compagne.

« A ton tour, annonça ma belle-mère en relâchant sa fille. »

J’étais résigné à mon sort. Quoi de plus normal, pour la même bêtise commise ensemble, qu’Aurélie et moi soyons punis de la même façon ? Je vins me placer de moi-même sous le bras de Maman Marianne qui l’avait écarté pour me laisser la place de passer ma tête et mon buste dans l’espace qu’elle m’avait préparé. Elle me serra contre son bassin de son bras entourant ma taille et je reçus la première claque.

Ce ne fut pas une correction comparable à la précédente que j’avais reçue. Loin de là ! Mais l’échauffement sur mes fesses était bien réel. Je commençais à danser d’un pied sur l’autre au rythme que me donnait la fessée quand elle cessa.

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« Est-ce suffisant pour que vous vous y mettiez tout de suite ? Je peux insister un peu si vous le souhaitez ? »

Nous nous tournâmes tous les deux vers le lavabo où il n’y avait pas de place pour deux. La bousculade qui s’en suivit fut stoppée net par la claque que nous reçûmes chacun sur les fesses.

« Aurélie, tu prends ta douche ! Philippe, pendant ce temps-là, tu vas te raser. Allez, c’est parti ! »

Je ne me rappelais plus quand était la dernière fois où j’avais fait ma toilette sous la supervision d’une autre personne. Maman Marianne nous surveillait et une claque sur les fesses signalait au contrevenant quand elle n’était pas satisfaite de la propreté obtenue.

Maman Marianne n’hésitait pas à laver elle-même les « petits coins oubliés » comme elle les appelait. Elle portait une attention particulière derrière les oreilles, entre les doigts de pied et aux fesses. C’est elle-même qui prit le gant de toilette des mains d’Aurélie et qui nettoya la raie des fesses et le pubis tout en lui faisant des recommandations sur la propreté nécessaire de cet endroit intime.

Quand elle fut satisfaite du résultat obtenu, elle nous ordonna de changer de position. Je passais à la douche et Aurélie se retrouva devant le lavabo. J’avais du mal à faire ma toilette sous le regard inquisiteur de ma belle-mère qui se tenait à moins d’un mètre de moi. Je me lavais rapidement le visage, passais au buste, mais je ne descendis pas au-dessous du nombril. J’en vins rapidement aux jambes, en passant le plus vite possible mon gant sur le haut de mes cuisses.

Je savais que cela ne satisferait pas ma belle-mère, mais je n’arrivais pas à me décider à me laver les fesses, à manipuler mon sexe, fusse avec un gant de toilette devant elle. J’évitais son regard et j’entrepris de me rincer.

« Dis-moi, mon garçon, crois-tu que ta toilette soit finie ? Depuis quand on ne se lave pas les fesses ? »

Elle m’ôta le gant de toilette de la main, le savonna abondamment, puis elle me mit de profil en me tenant par un bras. Elle repartit du haut de mon dos. Elle frottait énergétiquement en effectuant des petits cercles et en descendant peu à peu. Je me crispais quand elle arriva en bas de mon dos.

« Philippe, laisse-moi laver entre tes fesses. Là aussi ça doit être propre. »

Elle fit une nouvelle tentative pour glisser le gant dans la raie de mes fesses. Je les serrais instinctivement, résistant à l’intrusion dans cette partie intime.

« Ça suffit, maintenant. Tu vas cesser cette comédie immédiatement ! »

Elle ôta le gant de toilette et tout en raffermissant sa prise sur mon bras, elle me claqua les fesses très vigoureusement. Elle attendit mes premières plaintes pour s’arrêter.

« Vas-tu me laisser faire ou veux-tu que je te donne une vraie fessée ? »

Je trouvais que ce que je venais de recevoir, si ce n’était pas une vraie fessée, c’était pas mal imité. Ma belle-mère reprit son gant et elle ne dut pas insister beaucoup pour avoir accès à la totalité de la raie de mes fesses jusqu’à mon anus.

Elle me fit faire un demi-tour et elle recommença par le devant. Mon buste, mon ventre… je

savais ce qui allait venir et j’étais déjà contracté pour résister à l’envie de me dérober. Je ne pus y arriver quand elle inséra le gant entre mes jambes. Je serrais les cuisses.

« Non, s’il vous plait, non ! Je vais le faire !

– Ça, c’était tout à l’heure. Maintenant c’est moi qui m’en charge puisque tu ne sais pas le faire tout seul ! »

Sa nouvelle tentative fut tout aussi infructueuse.

« Bon, comme tu voudras ! »

Elle posa son pied sur un petit tabouret bas puis elle prit une serviette de toilette qu’elle étala sur sa cuisse. Elle m’attira vers elle et sans me laisser mettre un pied en dehors du bac à douche, elle me plaça à plat ventre sur son genou. Cette fois-ci, même selon les critères de Maman Marianne, ce fut une vraie fessée. Elle ne se contenta pas des quelques gémissements que j’émis très vite. La fessée continua jusqu’à ce que mes cris et mes s a n g lots lui confirment que j’étais en bonne voie d’obéissance. Je battais des pieds dans l’air depuis un bon moment, au risque de nous déséquilibrer, quand elle marqua une pause.

« As-tu besoin de quelque chose de plus sérieux ou ma main te suffit-elle pour apprendre à obéir ? »

Elle reprit la correction avec encore un peu plus de vigueur qu’avant, sans attendre ma réponse.

« Es-tu maintenant décidé à rester sage pendant que je te lave ou faut-il que je finisse cette fessée avec la brosse de bain ? »

La main continua son travail pendant une bonne vingtaine de secondes avant de s’arrêter. Elle me remit au centre du bac à douche, puis elle reprit le gant de toilette.

« Voyons voir si cette fessée t’a appris quelque chose ! »

J’écartais les jambes, lui laissant le champ libre. Malgré ma désobéissance et l’énergie qu’elle avait dû mobiliser pour me punir, ses gestes étaient tout en douceur. Elle lava mes bourses et mon entrejambe, s’emparant de mon pénis et le savonnant, le décalottant pour en laver l’extrémité. Je ne fis plus une difficulté quand elle me rinça, ni quand elle me sécha.

Finalement, j’apprenais assez vite.

Aurélie et moi étions maintenant habillés. C’est Maman Marianne qui avait choisi les vêtements que nous portions et elle s’était chargée de nous les passer. Les sous-vêtements un peu frivoles de ma compagne avaient été écartés, mais ma belle-mère avait trouvé ce qui lui convenait.

Aurélie portait maintenant une jupe large sur des jambes nues, si on ne comptait pas les socquettes. Moi, elle m’avait mis un survêtement, tenu par une taille élastique.

« Avec ça, je n’aurai pas de mal à vous déculotter quand il faudra vous corriger. »

Ce programme annonçait une journée difficile, mais il était clair que c’était Maman Marianne qui en décidait.

« Nous allons d’ailleurs voir cela tout de suite. Philippe, tu n’as pas oublié que nous devons nous occuper de cette bouche qui est pleine de gros-mots et des fesses du jeune homme qui les prononce ? »

Non, je n’avais pas oublié, mais, je le constaterai souvent par la suite, tant que la fessée n’est pas imminente, j’espérais toujours y échapper. Un miracle et Maman Marianne aurait pu oublier qu’elle me l’avait promise. Nous n’en étions pas là.

« Commençons par cette bouche ! Allons, dans la salle de bains ! »

Maman Marianne me prit par l’oreille et c’est courbé en deux, le cou tordu pour diminuer la pression de son pinçon que je la suivis. Si ce n’était pas une fessée, à quelle punition allais-je avoir droit ?

Elle me planta devant le lavabo, puis elle prit un savon qu’elle passa sous un mince filet d’eau.

« Ouvre la bouche, en grand ! »

Voulait-elle vérifier si je m’étais bien lavé les dents ? J’étais tranquille de ce côté-là. Mais pourquoi le savon ? Je compris quand elle l’approcha de ma bouche que je réussis à fermer avant qu’elle puisse l’y introduire.

« Philippe, je t’ai demandé d’ouvrir la bouche ! »

Je restais les lèvres pincées.

« Encore une désobéissance ? Eh bien je sais comment m’en occuper ! »

En un tour de main elle m’avait fait passer sous son bras. Elle prit mon survêtement par la taille et elle le baissa. Puis ce fut le tour de ma culotte. Même quand on sait ce que provoque une fessée et qu’on s’y attend, c’est toujours une surprise quand vient la première claque. Je l’accompagnais d’une ruade et d’un cri bref.

Je crois qu’avec ce refus, j’avais réellement exaspéré Maman Marianne. Elle me le fit savoir en transformant mes fesses en une fournaise. Sa main tombait sur mes fesses quatre ou cinq fois au même endroit. Mes cris devenaient de plus en plus aigus. Alors elle passait de l’autre côté et elle répétait la manœuvre. Elle appliquait sa main sur mes fesses sans laisser d’intervalle entre deux claques. L’échauffement qui en résultait était considérable.

La fessée fut longue et vigoureuse. Mes cris et mes pleurs n’attendrirent pas ma belle-mère. Mes désobéissances répétés devaient cesser. Elle en avait le projet et cela passait par une correction dont il fallait que je me souvienne.

Elle estima, enfin, qu’elle avait fait suffisamment forte impression. Sans me laisser le temps de reprendre mon souffle, elle s’assit sur une chaise et me fit mettre à genoux entre ses pieds. Ses genoux se refermèrent sur mon buste et dans mon dos, coinçant mes bras le long de mon corps. Elle me pinça le nez et ramena ma tête en arrière.

« Je te conseille, cette fois, d’ouvrir la bouche ! »

Elle présenta de nouveau le savon devant mon visage. A regret, j’écartais mes mâchoires. Elle y introduisit le savon et le frotta contre tout ce qui se trouvait sur son chemin. Je tentais de repousser le savon avec ma langue, mais elle n’était pas de taille à lutter. Je n’arrivais pas à avaler la salive qui s’accumulait dans ma bouche, le goût astringent était trop fort. Je n’eus bientôt plus d’autre choix que de cracher, ce qui ne fut pas du goût de Maman Marianne.

« Petit malappris ! Je vais t’apprendre à cracher par terre ! Et en plus dans la maison ! »

Elle modifia la position que j’avais entre ses jambes pour mettre mes fesses à disposition. Un quart de tour suffit. Elle s’empara de la brosse qui était sur la tablette près du lavabo.

« Crache encore une fois et je te promets que tu ne pourras plus t’asseoir pendant une semaine ! »

Elle me courba sur sa cuisse et le ballet de la brosse sur mes fesses commença. Je ne sus pas si c’était l’accumulation des fessées reçues depuis le début de la matinée ou si la brosse suffisait à elle seule. Une dizaine de fois de chaque côté et l’incandescence était à son paroxysme. Je hurlais ma douleur et mon repentir. Si seulement elle m’avait laissé la possibilité de parler je lui aurais promis… promis… tout ce qu’elle voulait pourvu que la fessée cessât. Mais je n’avais pas le loisir de sortir un seul mot articulé entre deux cris qui suivaient de près l’arrivée de la brosse sur mes fesses. Elle marqua une courte pause.

« Autant que je te donne ta fessée pour avoir dit des gros-mots maintenant, ce sera ça de fait ! »

La fessée repartit de plus belle. De longues minutes, avec le dos de la brosse à cheveux. Quand elle arrêta, je ne sentais plus mes fesses, ce qui ne dura pas. Quelques secondes après que j’avais été remis sur pied, c’est une douleur lancinante qui s’empara de mes fesses. Je n’y portais pas les mains, j’avais l’impression que ma peau ne l’aurait pas supporté.

Maman Marianne me prit par l’oreille et nous remontâmes le couloir dans l’autre sens. Les larmes me brouillaient la vue. J’avançais dans un brouillard, suivant ma belle-mère sans me poser de question. Un arrêt devant la porte de la chambre.

« Aurélie, tu fais le lit et tu ranges la chambre, puis tu descends me voir. J’aurai du travail à te donner. J’emmène celui-là au coin dans la cuisine. Il va y prendre ses habitudes. »

Descendre les escaliers tenu par une oreille, le pantalon et la culotte baissés, relève d’un exercice d’équilibrisme. C’est grâce à la présence de ma belle-mère, attentive à ce que je faisais, que je ne m’étalais pas de tout mon long.

J’avais un tout petit peu retrouvé de lucidité quand nous arrivâmes dans la cuisine. Un détail me sauta aux yeux immédiatement. Je ne l’avais pas remarqué lors de mon précédent passage, mais il faisait encore à demi-nuit. Maintenant que le jour était levé, c’était criant. Tout le haut de la porte de la cuisine était vitré. Elle donnait directement dehors, sur le jardin et l’endroit où j’avais passé de longues minutes au coin était tout juste dans l’alignement de l’allée qui menait à cette entrée de service. Qui que ce soit qui passait par là ne pourrait manquer mes fesses nues et moi, dos tourné, je n’en saurais rien si ce passant ne se manifestait pas.

Était-ce un passage fréquenté ? Qui l’utilisait à part ma belle-mère ? Attendait-on quelqu’un ce matin ? Je n’eus pas le temps de pousser plus avant mes investigations. Maman Marianne me replaça exactement là où elle m’avait mis après la fessée reçue à la fin du petit déjeuner. C’était pile, face à la porte.

« Pourvu que personne… »

Mais qu’y pouvais-je en fait ? Demander à changer de lieu pour ma pénitence ? Maman Marianne me poussa dans le coin. Ce n’était plus le moment de négocier.

« Tu te rappelles ce que je t’ai promis si je te vois bouger ou faire le moindre bruit quand tu es au coin ?

– Oui, Maman Marianne.

– Alors j’espère que tu vas être sage, car tu es là pour un bon moment ! »

Elle sortit. J’étais seul dans la pièce, mais je ne pouvais pas savoir si quelqu’un arrivait par la porte de la cuisine. J’avais une boule dans la gorge à la pensée qu’une personne inconnue puisse me voir dans cette tenue, mais je ne pouvais prendre le risque de bouger de là.

Je ne savais plus depuis combien de temps je me tenais au coin. J’avais perdu toute notion de temps. J’étais là depuis longtemps, plus longtemps sans doute que lors de mon précédent séjour au coin, mais je n’en étais pas sûr.

J’avais l’impression que le temps s’étirait. J’entendais de temps en temps un bruit que faisait Maman Marianne, mais pas tout le temps. Parfois je l’entendais entrer dans la cuisine, parfois non. Je croyais alors entendre le frôlement d’un tissu contre un meuble ou le petit couinement du cuir d’une chaussure d’une personne qui se déplaçait. Je n’en étais pas certain. Comment l’être ? Tout ce qui me l’aurait permis, m’était interdit.

J’en avais pourtant été sûr à une occasion. Je ne l’avais pas entendu entrer mais j’avais cru percevoir un bruit derrière moi. Puis quelqu’un ouvrit un tiroir et y prit un ustensile. Je ne l’entendis pas plus sortir de la pièce. Maman Marianne pouvait être derrière moi à tout moment sans que je le sache. Je ne pouvais relâcher ma vigilance quant à la position que je tenais.

Deux fois, ce fut Aurélie qui vint chercher un ustensile dans la cuisine. Bien qu’elle n’ait pas dit un mot, je l’avais reconnue. Elle était bien moins discrète que sa mère. On entrait et sortait de la cuisine sans me parler, en m’ignorant, comme si j’étais un meuble inutile posé dans un coin de la pièce.

Un meuble, peut-être, mais un meuble dont le dos s’engourdissait et dont les jambes se raidissaient et je n’évoquais pas mes bras que je ne sentais presque plus. Combien de temps encore ?

« Ah, voilà un grand jeune homme qui n’a pas été sage ! Madame Marianne a dû lui donner la fessée ! »

Je sursautais. C’était une voix que je ne connaissais pas. J’avais bien entendu un bruit nouveau, mais je n’avais pas réussi à l’identifier. Je savais maintenant ce que c’était : la porte de la cuisine, celle qui donnait sur le jardin, qui avait été ouverte.

Panique ! Mon cœur fit un bon dans ma poitrine. Qui était-ce ? Une voix féminine appartenant à une personne que je ne connaissais pas. Je ne pouvais pas rester comme ça ! Je me baissais et je remontais ma culotte et mon pantalon.

« Mais qu’est-ce que c’est que ça ? »

Cette voix-là, je la connaissais. C’était celle de Maman Marianne. Elle m’attrapa par le bras et elle me plaça dans la position qui commençait à me devenir familière : courbé sous son bras qu’elle avait passé autour de ma taille.

« Mais où te crois-tu ? T’ai-je autorisé à bouger du coin ? Une nouvelle désobéissance ? »

Elle avait remis mon pantalon et ma culotte là où ils auraient dû rester. Mes fesses, maintenant dénudées, étaient tournées vers la femme qui venait d’entrer dans la cuisine dont je n’avais toujours pas aperçu le visage. La fessée commença aussitôt. Je croyais, depuis le temps que j’étais au coin, que mes fesses avaient récupéré des précédentes corrections. Je n’en sentais presque plus les conséquences qui ne se manifestaient que par un picotement résiduel. La dizaine de claques sur chaque hémisphère de mon derrière raviva la douleur.

« Tu… restes… au coin… sans bouger… sans faire… de bruit… quelque… soit…. ce qui… se passe… derrière toi ! »

A chaque syllabe qu’elle prononçait, ma belle-mère claquait mes fesses de sa main, en les détachant bien les unes des autres. Puis, le rythme normal de la fessée reprit.

« Que Bernadette arrive n’est pas un motif suffisant pour que tu oublies d’obéir. Ne te fais pas d’illusion, il y aura d’autres personnes à passer dans cette cuisine pendant que tu seras au coin. »

La fessée se poursuivait et je n’arrivais plus à maintenir une discrétion, même relative. Je pouvais encore supplier, demander pardon, mais je sentais que cela ne durerait pas si la fessée continuait.

« Pardon, Maman Marianne, pardon, aïe…je ne le ferai plus, aïe…

– J’espère bien que c’est la dernière fois que je te surprends à prendre des libertés avec la position que j’exige quand je te mets au coin. Tu ne crois quand même pas que je vais garder secrètes les fessées que je te donne ? Tu en recevras plus d’une en présence d’autres personnes. A chaque fois que tu feras une bêtise en public ! »

Toutes ces nouvelles informations avaient du mal à entrer dans ma tête. J’étais surtout préoccupé par la fessée que je recevais et par la brûlure qui gagnait tout mon épiderme fessier. Bernadette, le coin alors qu’il y aurait des spectateurs, la fessée en public… je laissais tout cela de côté pour le moment. Quand Maman Marianne estimerait-elle que j’eusse été assez puni ?

Quand la fessée cessa, ma belle-mère me remit aussitôt au coin sans que je n’aie eu le temps de balayer la pièce du regard. Je ne savais pas si Bernadette, Madame Bernadette comme l’appelait Aurélie, avait pu apercevoir mes traits, mais moi je n’avais pas vu les siens.

« Dites-moi, Madame Marianne, qui est ce jeune homme dont les fesses ont une belle couleur uniforme ? Je ne crois pas que je le connaisse.

– Non, vous ne le connaissez pas, même s’il a fait de brefs passages ici. C’est Philippe, mon gendre enfin pas exactement, mais comme c’est le compagnon attitré d’Aurélie, c’est tout comme.

– Ah, Aurélie est là aussi ?

– Oui, bien sûr. Je vais vous l’envoyer, dès qu’elle aura fini le travail que je lui ai donné. Vous pourrez l’occuper. Elle vous aidera à préparer le repas.

– Je vous remercie. Je saurai quoi lui donner à faire. Il y a des légumes à éplucher et si elle a encore le temps, elle fera un peu de ménage. J’espère qu’elle n’a pas oublié ce que je lui ai appris , depuis le temps…

– Il n’y a pas de raison qu’elle l’ait oublié. Si elle le prétend, je compte sur vous pour intervenir énergiquement, comme vous le faisiez il y a six ans.

– Vous parlez d’une bonne fessée ?

– Exactement. Comme Philippe, Aurélie a besoin d’une fessée de temps en temps. D’ailleurs, elle en a pris une ce matin, suite à un caprice. J’espère que vous n’avez pas oublié comment on fait ? »

Cette supposition déclencha un bref rire de Madame Bernadette.

« Non, je ne crois pas, même si je n’ai pas eu l’occasion de déculotter qui que ce soit depuis le départ d’Aurélie.

  • Eh bien, je compte sur vous, durant ce confinement, pour reprendre vos anciennes habitudes. Je tiens à ce que ces e n f a n t s soient bien surveillés et punis à chaque fois que cela sera nécessaire.

– Ces e n f a n t s… vous voulez dire… qu’il n’y a pas qu’Aurélie ? »

Tel que la conversation s’orientait, je craignais la réponse de Maman Marianne.

« Non, bien sûr. Philippe aussi ! J’espère que vous n’hésiterez pas ni à déculotter, ni à fesser aussi bien Aurélie que Philippe. Je sais qu’Aurélie craignait vos punitions, je compte bien que ce sera pareil pour Philippe très bientôt.

– Si vous me le demandez, il n’y a pas de raison.

– Alors, c’est d’accord. Quand ils l’auront mérité, je compte sur vous pour donner la fessée aussi bien à Philippe qu’à Aurélie. »

J’étais consterné… mais je restais silencieux et immobile. Ce n’était pas l’envie qui me manquait de protester, mais il aurait fallu enfreindre une nouvelle fois les règles de comportement quand on était au coin. Je n’avais nulle envie d’une nouvelle fessée qui, à n’en pas douter, serait bien plus sévère que celle que je venais de recevoir.

« Je laisse Philippe sous votre surveillance et je vous envoie Aurélie dès qu’elle a fini. »

L’animation qui régnait maintenant dans la cuisine me rappelait en permanence qu’il y avait une personne dans la pièce dont je ne connaissais que le prénom et à qui j’exposais mes fesses nues. J’étais bien incapable de dire qu’elle était sa réaction, mais elle ne semblait pas troublée par ma présence. Elle se livrait à ses activité habituelles, comme si je n’étais pas là. De mon côté, je ne pouvais pas en dire autant. J’avais honte de la situation dans laquelle je me présentais à elle et du statut que j’occupais dans cette maison, que cela révélait.

Si j’avais bien compris, dans un passé récent, elle avait l’habitude de fesser Aurélie et Maman Marianne lui avait demandé que cela continuât, m’incluant dans le périmètre de ceux sur lesquels elle avait autorité. Ce n’était plus une personne susceptible de me déculotter et de me fesser quand elle le jugeait bon, mais deux. J’allais de déconvenue en déconvenue sans rien pouvoir y faire.

Au moins, je devais savoir à quoi elle ressemblait. Il me semblait que ma déchéance serait moins grande si j’avais affaire à une personne qui aurait approximativement l’âge de mes parents ou de ma belle-mère.

« Ce n’est quand même pas trop demander, pensais-je ! »

Oui, sans doute, mais il fallait que je sois discret. De là où j’étais, je ne pouvais rien voir.

« Sans doute qu’en pivotant doucement je pourrai l’apercevoir du coin de l’œil. »

Le cœur battant, conscient de la transgression à laquelle je me préparais, je commençais à tourner lentement sur moi-même. J’avais décidé de pivoter de quelques degrés, puis de faire une pause et de recommencer. C’était un mélange de peur des conséquences et d’excitation. Le risque que je prenais, était stimulant et me distrayait de la monotonie et de l’ennui du coin.

« Tout va bien ! Faisons une pause. »

Je venais de réussir la première phase sans que Madame Bernadette s’en fût aperçue.

« Bon, je recommence ! »

Je rencontrais le même succès. Par contre, je n’étais pas près de pouvoir apercevoir ma nouvelle gardienne. Il fallait aller un peu plus vite. Je fis une troisième tentative, en allant un peu plus vite. Aucune réaction de Madame Bernadette.

« Peut-être puis-je y aller un peu plus franchement ? »

C’est ce qui causa ma perte.

« Tu ne crois pas qu’il soit temps de mettre fin à ton petit manège ? »

J’entendis des pas se rapprocher de moi.

« T’imagines-tu que je ne t’ai pas vu ? Je suis aussi stricte que Madame Marianne sur le comportement au coin. Il est évident que s’y trémousser comme tu le fais et de chercher à regarder derrière toi, ne fait pas partie de ce qui y est autorisé. Tu sais ce qui arrive aux garçons qui ne savent pas se tenir au coin ? »

Elle m’avait attrapé et courbé sous son bras. Oui, je savais ce qui arrivait quand on faisait fi des règles du coin. Madame Bernadette et moi en avions la même idée. La main claquant mes fesses le confirma. Elle savait donner la fessée aussi bien que Maman Marianne. J’en avais une courte expérience, mais, en peu de temps, la cuisson que je ressentais sur le haut de mes cuisses auquel elle porta son attention, équivalait à celle que j’avais ressenti quand ma belle-mère avait utilisé sa main nue pour me fesser.

Elle n’insista pas trop longtemps, mais je compris qu’avec elle, il n’était pas plus question de provocation qu’avec Maman Marianne. Elle saurait me faire regretter mes excentricités. Sa main me faisait la démonstration qu’elle en avait largement les moyens.

« Seulement une petite fessée parce que c’est la première ! La prochaine fois que tu essayes de jouer avec moi, je te montrerai ce que c’est qu’une véritable correction. »

Une petite fessée, c’était vite dit. Certes, elle n’avait pas été très longue, mais sa vigueur n’avait rien à envier à celles de Maman Marianne. Comme pour les précédentes, j’avais dansé d’un pied sur l’autre sur un tempo que me donnait la main de Madame Bernadette. Il fallait également tenir compte de celles que j’avais reçues depuis mon réveil et il était évident que ce ne serait pas la dernière de la journée. Madame Bernadette me remit dans le coin d’où je venais.

« Recommence ton petit jeu, qu’on voit si je suis capable de t’administrer une fessée plus démonstrative ! »

Je replaçais mon nez dans le coin et mes bras dans mon dos. Ce n’était pas le moment de me faire de nouveau remarquer. C’est alors que je réalisais que je n’avais toujours pas aperçu son visage.

Madame Bernadette avait raison. Quelques courtes minutes après avoir été remis au coin, il ne ressentait plus les effets de la fessée. Cela n’avait été qu’une petite correction, un avertissement en quelque sorte, mais qui avait parfaitement porté son message. Avec Madame Bernadette également, il allait falloir être sage et obéissant. Il commençait à avoir une image assez nette de ce que serait sa vie pendant ce confinement. Elle serait faite d’exigences de la part de sa belle-mère, relayée par Madame Bernadette et ponctuée de fessées, données par l’une ou par l’autre, à chaque fois qu’il sortirait du cadre fixé.

Même dans ses cauchemars les plus délirants, il n’avait jamais imaginé se trouver dans une situation telle que celle qui lui avait été imposée depuis… depuis moins de deux heures ! il avait pourtant l’impression que cela faisait une éternité que la fessée déculottée sanctionnait ses écarts. Sa belle-mère y recourrait avec tellement de naturel et il se doutait que Madame Bernadette ne serait pas en reste.

C’était humiliant de se voir baisser la culotte ou de rester passif quand on le mettait en position pour recevoir la fessée. C’était encore plus humiliant de se dire que ces deux femmes pensaient que c’était un remède particulièrement adapté à sa situation et à son comportement.

Et puis, il n’y avait pas à dire, avec la douleur qu’elles imprimaient sur ses fesses suite à une fessée, il n’avait aucune envie de recommencer ce qui avait amené ses deux fesseuses à le punir. Il devait reconnaître, à regret, que la méthode qu’elles utilisaient était très efficace.

En moins de deux heures, elles avaient obtenu son obéissance, y compris quand elles le déculottaient, quand la cuisson sur ses fesses devenait intolérable ou quand elles exposaient ses fesses nues en public. Si on lui avait dit ça la veille… il n’en revenait toujours pas.

« Si seulement j’avais pu résister à la première fessée que m’a donnée ma belle-mère… »

Il était tiraillé entre deux impressions antagonistes. D’un côté l’indignation face au traitement auquel Aurélie et lui étaient soumis : pas adapté à leur âge, les amenant contre leur gré à des situations proches de l’exhibitionnisme et négligeant une pudeur plutôt ordinaire chez un adulte… Et de l’autre le sentiment de normalité, comme si le recours à la fessée était légitime.

Il n’avait pourtant pas eu le temps de prendre l’habitude d’être fessée, ce n’était pas comme s’il était habituellement puni de cette façon, un peu comme Aurélie l’était. Tout était allé trop vite. Oui, c’était cela, il avait besoin de temps pour savoir où il en était.

En attendant de réussir à prendre une décision, devait-il rester ou partir, il fallait faire profil bas et se mouler dans les habitudes de la maison, même si elles passaient par quelques bonnes fessées déculottées. A commencer par se tenir correctement au coin, puisqu’il y avait été mis en pénitence. Depuis le temps qu’il y était, c’était devenu difficile et très pénible. A la pensée que Madame Bernadette lui donnerait une nouvelle fessée, il raffermit sa volonté. Il devait y arriver.

« Décidemment, se dit-il, c’est une méthode vraiment efficace ! »

Madame Bernadette avait repris ses occupations habituelles. Philippe entendait des bruits de vaisselle qu’on déplaçait, de casseroles dans lesquels serait préparé le repas de midi. C’était étrange d’être à la fois au cœur de l’activité de la cuisine et d’en être totalement exclu. Madame Bernadette ne s’occupait pas de sa présence au coin. Cela donnait un sentiment de normalité qui contrastait avec l’étrangeté de la situation que ressentait Philippe. Compte tenu de sa tenue, il avait du mal à admettre qu’il n’était pas au centre de l’attention générale. D’un autre côté, c’était plutôt mieux qu’on l’oublie un peu. Il n’était pas vraiment dans une situation où il était à son avantage.

Maman Marianne arriva sur ces entrefaites. Elle tenait Aurélie par la main.

« Regardez, Bernadette, qui je vous amène ! Aurélie, va dire bonjour ! »

Maman Marianne donna une petite claque sur les fesses de sa fille pour l’envoyer vers Madame Bernadette qui attendait la jeune femme les bras ouverts.

« Mon petit ange, comme ça fait longtemps que je ne t’ai pas vue ! »

Madame Bernadette entoura Aurélie de ses bras dans lesquels elle la serra.

« Un ange, peut-être, mais pas toujours, intervint sa mère ! Elle n’a pas perdu l’habitude des caprices et des désobéissances. Tenez, rien que ce matin, j’ai dû la fesser deux fois.

– Maman, protesta Aurélie en tapant du pied par terre !

– Qu’est-ce que c’est que ces manières ? »

Madame Bernadette lui donna une sérieuse claque sur les fesses d’Aurélie, mais c’était par-dessus la jupe que portait la jeune femme. Cela ne lui fit pas grand mal, mais l’avertissement était clair.

« Ne te rappelles-tu pas ce qui arrive aux demoiselles qui tapent du pied par terre quand elles ne sont pas contentes ? »

Philippe reconnaissait bien là une des habitudes d’Aurélie quand elle était contrariée. Elle le faisait très souvent. Aurélie cacha son visage dans le sein de Madame Bernadette.

« Oui, c’est cela, essaye de t’en sortir avec un câlin. Je te promets que la prochaine fois, ce ne sera pas si simple ! »

Maman Marianne abhorrait un grand sourire. Les habitudes, même si elles dataient de plus de six ans, n’étaient pas obsolètes. L’autorité de Bernadette sur Aurélie était intacte et celle sur Philippe était en bonne voie, à supposer que ce ne fût pas déjà réglé. Maman Marianne avait entendu le bruit de la main de Bernadette sur les fesses de son gendre. A voir ce dernier immobile dans son coin, on pouvait supposer que la future relation entre Bernadette et Philippe était définitivement installée.

« Je suis contente, Bernadette, que vous ayez conservé votre sévérité légendaire. Elle vous sera utile durant toute la période de confinement. Aurélie et Philippe vont la passer avec nous. Vous aurez donc certainement beaucoup d’occasion de sévir.

– Madame Marianne, vous savez que, sur ce sujet, vous pourrez compter sur moi. »

Il y avait quelques problématiques domestiques à régler, ce à quoi s’attelèrent les deux femmes.

« Bonjour Madame Marianne ! Maman, comme tu me l’as demandé, je t’ai ramené… oh ! »

Philippe serra les dents et on vit très nettement tous ses muscles se crisper. Une nouvelle voix qu’il ne connaissait pas. Il mourrait d’envie de remonter sa culotte et son pantalon et de partir en courant, mais il savait qu’il n’irait pas très loin. Il ne se sentait pas de taille à affronter une nouvelle fessée, qui plus est, en public, comme ce serait certainement le cas.

« Annette ! Quel plaisir de te voir ! Cela fait longtemps que je ne t’avais pas vu ! »

Si Philippe ne connaissait pas la personne qui venait d’entrer, elle était parfaitement connue des autres personnes présentes.

« Moi aussi, Madame Marianne. Mais que se passe-t-il ici ? Et qui est-ce ?

– Là ? C’est Philippe, mon gendre. Tu as eu l’air étonnée en le voyant. J’espère que tu n’es pas offusquée de le voir dans cette tenue. Ta mère vient de lui donner une fessée. il est bien normal qu’il passe un bon moment au coin.

– Non, ce n’est pas ça, mais j’ai été surprise. Si ça avait été Aurélie, j’ai plus l’habitude.

– Oui, reprit sa mère, tu l’as bien souvent vue au piquet et même quand je lui donnais la fessée. Ça a bien souvent été en ta présence.

– Madame Bernadette ! C’est gênant, intervint Aurélie. Rappeler tout cela… «

Comme à son habitude en de pareilles circonstances, Aurélie tapa du pied par terre. La réplique ne tarda pas. Madame Bernadette, qui la tenait toujours serrée contre sa poitrine, remonta la jupe de la jeune femme, découvrant une fesse. Cinq claques fortes et sonores, malgré la culotte qui recouvrait la peau.

« Qu’est-ce que je t’avais dit ? Taper du pied ! Je ne vais pas accepter tes colères bien longtemps ! La prochaine fois, c’est la fessée déculottée ! »

Maman Marianne regardait en souriant. Il était évident qu’elle approuvait les initiatives de Madame Bernadette.

« Bernadette, vous n’avez rien perdu de votre sévérité.

– Oh, il faut ça pour des jeunes gens comme ces deux-là.

– Moi qui me demandais comment j’allais faire pour les garder quand j’aurai des réunions, je peux peut-être voir avec vous ?

– Oui, évidemment, j’aurais grand plaisir à m’occuper de ces deux-là et je ne crois pas qu’ils me donneraient des soucis bien longtemps. Cela ne me dérange pas en journée, quand je travaille chez vous. En avoir un au coin dans ma cuisine et en fesser un de temps en temps ne me posera pas de problème. Mais vous savez que je ne suis pas disponible ni le soir, ni tôt le matin. Or, vous aurez aussi besoin d’être suppléée à ces moments-là.

– Oui, vous avez raison, cela ne me réglera qu’une partie du problème.

– Il y aurait bien une solution assez simple.

– A quoi pensez-vous ?

– Prenez Annette comme baby-sitter quand vous en avez besoin. Je suis sûre qu’elle saura bien s’occuper d’eux. Après tout, les e n f a n t s, c’est son métier. Elle est institutrice. Bon évidemment, ceux dont elle s’occupe habituellement sont plus jeunes.

– Ça doit changer quand même pas mal de choses !

– Pour mon Annette ? Je ne crois pas. Qu’en dis-tu Annette ?

– Oh, je ne crois pas qu’il y aura de souci. Et pour ma part, j’ai tout le temps qu’il faut. L’école est fermée et cela me fera un peu d’occupation.

– Mais il faudra également s’employer à maintenir la discipline.

– Madame Marianne, j’ai vu comment Maman s’y prend avec eux et si je ne me trompe pas, vous faites pareil. Si vous m’en donnez l’autorisation, je n’hésiterai pas à faire comme vous.

– La fessée déculottée quand ils en ont besoin ?

– La fessée déculottée quand ils en ont besoin !

– Annette, vous êtes exactement la personne qu’il me faut. Je vous embauche. Dès que j’ai besoin de vous, je vous fais signe. Bien entendu, je vous demande de les punir quand ils ne seront pas sages et obéissant. Vous ne manquerez jamais de baisser leur culotte et de les fesser lorsqu’ils l’auront mérité.

– Oui Madame Marianne, je m’y engage. »

Philippe n’en croyait pas ses oreilles. Il n’avait pas vu la jeune femme que l’on venait d’engager pour être leur baby-sitter, à Aurélie et à lui, mais au son de sa voix elle était jeune. Bien plus que lui. Et en plus, elle aurait le droit de recourir à la fessée ! Aurélie fit connaître directement son mécontentement.

« Non et non et non ! »

Elle tapa du pied à chaque syllabe qu’elle prononçait.

« Annette n’a pas le droit de me donner la fessée. Elle est plus jeune que moi ! »

La réaction de Madame Bernadette ne se fit pas attendre.

« Encore une colère ? Je te promets que je vais te faire passer l’envie de faire des caprices et de taper du pied par terre.

– Non, pardon, Madame Bernadette, je ne le ferai plus, je le promets ! Plus jamais ! »

Le revirement d'Aurélie était spectaculaire

« C’est bien pour ça, ma chérie, que je vais t’administrer une fessée dont tu vas te souvenir. Cela t’aidera à ne pas recommencer ! »

Tout en parlant, Madame Bernadette avait fait passer Aurélie sous son coude. Elle la maintenait en place sans trop d’effort. Aurélie n’essayait pas de s’opposer à la femme qui la mettait en bonne position pour recevoir la fessée. Madame Bernadette n’eut pas plus de souci pour relever la jupe, bien haut sur les reins d’Aurélie. Aurélie émit une longue plainte qui dura tout le temps que Madame Bernadette mit à ramener sa culotte à la hauteur de ses genoux.

« Voyons si je réussis à te faire passer l’envie de recommencer. »

La main tomba sur les fesses, lourde et cinglante à la fois. La plainte d’Aurélie fut remplacée par un cri sourd qui lui vida les poumons. Elle resta sans voix un bon moment lorsque la fessée continua. Chaque claque sur ses fesses l’empêchait de reprendre correctement son souffle. Elle finit par retrouver sa respiration dans un hoquet désespéré et le cri qu’elle poussa exprimait toute la douleur de la cuisson qui s’emparait de ses fesses.

Cela n’affecta pas Madame Bernadette. Elle avait un travail à faire et il n’en était pas encore à son terme. Arrêter maintenant aurait été contre-productif. Le souvenir de la punition qui serait resté dans la tête d’Aurélie, n’aurait été ni durable, ni dissuasif. Il fallait aller plus loin.

Aurélie se tortillait sous le bras de Madame Bernadette. Elle ne cherchait pas à se libérer de la position où l’avait placée sa fesseuse, mais elle ne contrôlait plus complètement les gestes qu’elle faisait. Ses pieds également marquaient le rythme que Madame Bernadette imprimait sur ses fesses. Celle-ci jugea que le compte n’y était pas encore.

Ce n’est qu’après une nouvelle longue série de claques sur le postérieur d’Aurélie, qu’elle s’estima satisfaite. Elle était allée au bout de cette tâche qu’elle avait tenu à accomplir jusqu’au bout. Aurélie ne réagissait plus que mollement au contact de la main de Madame Bernadette, bien que celle-ci n’eût pas relâché son effort.

C’est une Aurélie en larmes et sautillant sur place que Madame Bernadette laissa se redresser qui gronda quand la jeune femme laissa tomber sa jupe sur ses fesses.

« Crois-tu que ta punition soit terminée ? Remonte ta jupe et file au coin ! »

Il n’y avait plus de fausse pudeur à avoir. Aurélie obéit le plus vite qu’elle put et elle se dirigea vers son coin habituel, tenant sa jupe au-dessus de sa taille.

« Bernadette, je disais tout à l’heure que vous n’avez rien perdu de votre sévérité, mais j’étais en-dessous de la réalité. Cette fessée a été exemplaire. Aurélie s’en souviendra.

– Oui, peut-être, mais c’était nécessaire. Trois marques de colères en quelques minutes et une contestation évidente de nos décisions. Elle s’est également permis de nous couper la parole. Jamais elle n’aurait été aussi désobéissante quand elle vivait encore ici. Il fallait marquer le coup fin qu’elle retrouve au plus vite un comportement acceptable. J’espère que cette fessée aura aidé.

– A n’en pas douter ! Et toi, Annette, te sens-tu capable de donner des fessées aussi sévères si nécessaire ?

– Je ne sais pas, je n’ai pas la poigne de ma mère. Mais si vous m’y autorisez, une règle en bois, un martinet, une ceinture ou même une badine en bois souple et je me fais fort d’expliquer à ces deux-là quelle gravité a la faute qu’ils viennent de commettre. Je crois que je trouverai ici tout ce dont j’aurai besoin.

– Bien évidemment que tu as mon autorisation. Quand tu seras leur baby-sitter, ils seront totalement sous ta responsabilité. Il faudra juste que tu respectes deux principes : pas de bêtise sans une punition et des punitions dont la sévérité dépend de la gravité de la bêtise. Les instruments punitifs sont réservés pour les plus graves.

– C’est exactement comme cela que je conçois mon rôle.

– Alors, c’est d’accord. Je te préviendrai quand ils auront besoin d’être gardés. »

Maman Marianne regarda ses deux e n f a n t s. En à peine une demi-journée, ils avaient trouvé toutes les personnes dont ils auraient besoin pour les surveiller pendant le confinement.

« Que de chemin parcouru depuis la première fessée que j’ai donnée à Aurélie ! Leur séjour chez moi se présente sous d’heureux auspices. »

Les deux femmes regardaient les deux jeunes gens immobiles dans leur coin.

« Vous rappelez-vous, Bernadette, la première fois où nous étions côte à côte pour contempler les fesses d’Aurélie, copieusement rougies après la fessée que vous lui aviez donnée ?

– Sûr que je m’en souviens ! Quel âge pouvait-elle avoir ?

– C’était quelques temps après ses dix-huit ans. Je ne sais plus combien exactement, mais il n’y avait pas plus que quelques mois… »

Oui, c’était à ce moment-là où Aurélie avait reçu sa première fessée.

Tout s’était joué lorsque Aurélie était devenue majeure. Cela faisait plusieurs années où elle parlait du jour de ses dix-huit ans comme celui où il y aurait de grands changements dans sa vie.

Aurélie avait été une petite fille sage à qu’il suffisait de faire les gros yeux pour qu’elle obéisse. Sa mère élevait parfois la voix, mais c’était assez rare. Il n’y avait pas besoin. Elle avait un peu moins de seize ans quand son père les avait quittées. Aurélie n’avait jamais su si c’était bien comme cela que ça c’était passé ou si sa mère, lasse des frasques de son mari, l’avait mis à la porte. Ce n’était pas un bien grand changement dans la vie des deux femmes. Le père d’Aurélie était absent, autant physiquement qu’affectivement.

Aurélie avait cependant eu du mal à absorber cette séparation. Elle avait commencé à prendre de mauvaises habitudes auxquelles sa mère avait rapidement mis le hôla. Elle avait, au contraire, renf o r c é son autorité sur sa fille, la traitant de nouveau comme une petite fille et contrôlant ses moindres faits et gestes et sélectionnant impitoyablement ses fréquentations. Aurélie avait passé quelques week-ends, consignée dans sa chambre, en punition de désobéissances et d’attitudes irresponsables. Puis, tout était revenu à la normale si ce n’est qu’Aurélie ne cessait de parler de ce qu’elle ferait quand elle serait majeure. Marianne sentait bien que sa fille obéissait, mais à contrecœur.

Ce jour tant attendu était enfin arrivé et Aurélie avait annoncé à sa mère qu’elle s’affranchissait totalement de sa tutelle. Confrontée à sa dépendance financière, elle avait admis que sa mère eût un regard sur ce qu’elle faisait, mais sans concéder qu’elle se soumettrait aux avis maternels. Consciente des changements qui s'opéraient, Marianne avait distendu les règles qu'elle imposait à sa fille jusqu’à maintenant.

Il s’en était suivi une période de quelques semaines pendant lesquels Aurélie avait fait sauter toutes les règles qui encadraient sa vie jusqu’alors. Les accrochages verbaux entre les deux femmes, étaient devenus monnaie courante, Mais Marianne sentait bien que son autorité sur sa fille allait en se délitant.

La situation avait basculé un samedi soir. Il était onze heures quand le téléphone avait sonné.

« Madame le Maire ? »

La poitrine de Marianne s’était serrée quand elle avait reconnu la voix. C’était l’adjudant-chef de la gendarmerie. Marianne le connaissait bien. De par ses fonctions d’élue, elle avait assez souvent affaire à lui. Ils s’estimaient mutuellement, chacun reconnaissant dans l’autre la compétence sur laquelle il était facile de construire des relations de travail.

« C’est au sujet de votre fille. Je vous rassure tout de suite. Elle va bien. »

Marianne sentit retomber toute la tension de ces quelques secondes. Elle avait eu peur de ce que le gendarme avait à lui annoncer. Pour qu’il l’appelle, cela ne devait pas être anodin, mais la vie d’Aurélie n’était pas en jeu. Des larmes de soulagement roulèrent sur ses joues.

« Elle est ici, à la gendarmerie. »

Comme elle en avait pris l’habitude, Aurélie était sortie ce samedi soir avec une bande de copains et de copines de son âge. Marianne, au vu de l’état dans lequel était Aurélie le dimanche quand elle se levait, savait que ces soirées étaient très arrosées. Cela ne cessait de l’inquiéter et elle se demandait bien comment elle devait s’y prendre pour mettre fin à ces a b u s . Les échanges vifs qu’elle avait eu avec sa fille sur ce sujet, n’avaient rien changé à la situation.

« Elle a eu un accident sans gravité. Compte tenu de son alcoolémie, je ne peux pas la laisser rentrer seule. Voulez-vous venir la chercher ?

– Bien sûr, adjudant-chef. J’arrive tout de suite ! »

Le quart d’heure qu’il avait fallu pour effectuer le trajet jusqu’à la gendarmerie, n’avait fait qu’accroître la colère de Marianne.

« Quelle petite inconsciente ! Je vais régler ça une bonne fois pour toutes ! »

Auteur : JLG

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Lire la suite : Les déculottées du confinement 3 FIN
Merci pour ce chapitre qui donnerai presque envie de faire partie de ce groupe, presque !
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