Camille III - La malade imaginaire

Catégories : Femmes fessées
Ce récit est la suite de : Camille II - Les partiels
il y a 2 ans

Ce matin-là Camille n'avait pas envie de se lever. C'était un beau samedi matin du mois de Mai, Camille et Nicolas étaient invités à déjeuner chez un ami d'enfance de Nicolas et sa femme. Camille s'entendait très bien avec eux et Constance était même devenue une bonne amie mais Camille avait passé une semaine difficile au boulot et ce matin elle n'avait pas envie de bouger…

  • "Allez lève-toi Camille, il est presque 10h et j'aimerais bien aller acheter une bouteille pour ramener chez Marc."

  • "Huuum, chuis pas bien j'ai mal à la tête" dit Camille la tête à moitié enfouie dans son oreiller.

  • "Allez fais un effort, viens prendre l'air ça te fera du bien !"

  • "Maaaaaaaaaaaaaaaaaais heuuuuuu, chuis pas bien!"

  • "Bien, je n'insiste pas... je te laisse te reposer, je reviens vers 15h."

  • "Mouuiii"

Nicolas lui déposa un baiser dans les cheveux, sa seule partie émergente de la couette, et partit.

Camille toute contente de son stratagème esquissa un large sourire et se rendormit. Lorsque ses paupières se rouvrirent le radio-réveil indiquait 11h20. Elle s'étira, jeta un œil sur son iPhone, lut ses trois SMS sans y répondre puis se leva d'un bond.

  • "Première chose, manger !!!" s'écria-t-elle.

Elle se dirigea vers la cuisine, se prépara quelques tartines et décida d'aller déjeuner et de traîner devant MTV. Elle mit en route le home cinéma et se dirigea vers la salle de bain. Elle adorait écouter la musique à fond dans son bain mais depuis qu'elle vivait avec Nicolas elle ne le faisait que rarement.

Ses ablutions terminées, elle enfila juste un short et un débardeur, retourna dans le salon tout en se brossant les cheveux. Puis elle se lança dans une impro sur Gossip qui passait sur la TV, la brosse en guise de micro. Au moment où elle allait commencer le refrain, le son se coupa net, elle sursauta, se retourna et aperçut Nicolas. Hébétée et prenant conscience qu'elle s'était mise dans de beaux draps, Camille rougit et baissa les yeux comme une gamine prise en faute…

  • "Ben… Ben t'es déjà rentré ?" dit-elle d'une petite voix timide, n'osant croiser le regard de Nicolas tellement elle était embarrassée.

  • "Je commençais à m'inquiéter tu ne répondais pas à mes messages, je suis revenu pour m'occuper de toi."

Le ton calme et peiné de Nicolas accentua encore sa gêne, une larme coula le long de sa joue.

  • "Économise tes larmes je vais te donner une bonne raison de pleurer… Qu'est-ce-que je vais pouvoir faire de toi ?" dit-il en soupirant, fixant la brosse que Camille tenait toujours dans ses mains.

  • "Tu vas me punir" murmura-t-elle cachant la brosse derrière son dos.

  • "Je crois que tu le mérites...Et comment tu vas être punie ?"

  • "Je vais recevoir une fessée." Dit-elle d'une voix à peine audible.

Elle savait qu'elle avait mérité cette fessée, elle avait menti et s'était faite pincée et le pire pour elle c'est qu'elle avait de la peine à son chéri.

Mais à 26 ans avouer que l'on mérite une fessée, la remplissait de honte.

Il s'approcha d'elle, la courba sous son bras et lui donna une dizaine de fortes claques. Camille, surprise, laissa tomber la brosse puis elle sentit les doigts de Nicolas attraper l'élastique de son short.

  • "Non." s'écria-t-elle.

  • "Oh que si !"

Le short glissa jusqu'à ses chevilles, il la saisit fermement par le bras et l'entraîna vers le canapé puis dans un même geste il s'assit et la fit basculer en travers de ses genoux.

La fessée reprit comme elle avait commencé, rapide et sévère. Les mains de métronome de Nicolas lui firent rapidement pousser de petits cris, ses jambes commençaient à s'agiter frénétiquement et sa croupe essayait de se dérober aux coups. Les claques étaient piquantes et chacune d'entre elles irradiait un peu plus ses fesses.

Camille tenta de mettre sa main afin de se protéger, Nicolas lui saisit le poignet et arrêta net la correction.

  • "Mademoiselle, quand à vingt-six ans on reçoit encore la fessée comme une gamine on a au moins l'élégance de l'encaisser comme une grande. Va me ramasser ta brosse, car on n'a pas fini…"

  • "S'il te plaît…"

  • "Ne m'oblige pas à aller la chercher moi-même…"

Camille, résignée, se leva, ramassa la brosse et la présenta à Nicolas. C'était une belle brosse ronde en bois clair, ni trop lourde ni trop légère, bref parfaite pour la fessée.

  • "Allez c'est bientôt fini, installe-toi."

Elle s'allongea sur ses genoux, il passa une jambe au-dessus des siennes et la saisit fermement par la taille, dégageant ainsi la cible et l'empêchant de bouger. Le premier coup sur ses chairs déjà malmenées lui arracha un cri. Il frappait méthodiquement alternant les zones et la forces des coups, s'attardant sur la zone si tendre de la jonction des fesses et des cuisses. Il ne fallut pas longtemps pour que Camille commence à sangloter ce qui en temps normal aurait fait cesser la punition mais là elle avait dépassé les bornes…

Nicolas marqua une pose, déposa la brosse, resserra son étreinte, caressa les fesses brûlantes de Camille qui poussa un petit soupir et la fessée reprit. L'avalanche de claques qui s'abattait eut vite raison de la dernière once de fierté qui lui restait, elle pleurait maintenant sans retenue, comme vaincue. La correction cessa, Camille épuisée pour ne pas dire calmée resta un long moment à pleurer sur les genoux de Nicolas qui lui passait affectueusement la main dans les cheveux et sur la nuque. Au bout de cinq bonnes minutes les pleurs cessèrent.

  • "Allez , va te reposer un peu dans la chambre, tu sais j'avais bien deviné ton petit manège" dit-il en souriant. Les yeux encore embués de larmes elle lui sourit aussi.

  • "Merci" dit-elle simplement en lui déposant un baiser sur la joue.

Elle s'arrêta devant le grand miroir du couloir, impressionnée par le rouge cardinal de ses fesses contrastant fortement avec son top blanc. Elle le retira et s'allongea sur le lit. Nicolas vint la rejoindre quelques minutes plus tard avec du baume apaisant et massa longuement ses deux planètes rouges. Camille, totalement apaisée, s'endormit...

Lire la suite : Camille IV - Le Pan
Ce n'est pas bien de jouer les malades imaginaires en temps normal, cela fait mal aux fesses! Merci du partage
Une très jolie histoire, merci beaucoup
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