La soumission de Sophie 05

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Ce récit est la suite de : La soumission de Sophie 04
il y a 3 ans

Ce roman BDSM de grande qualité sera posté en plusieurs chapitres.

Le début de ce roman est ici

CHAPITRE CINQ

Sur le chemin du retour, je commence à me demander dans quoi je me suis lancée, surtout après avoir passé une demi-heure à mentir à mes proches. J’ai honte. Le bus arrive et je vois toujours la voiture de ma maîtresse, je suis donc dans les temps. Elle arrive quelques minutes plus tard avec un grand sourire. Elle ouvre le véhicule et, une fois entrée, elle me dit :

  • Je me suis arrangée pour t’obtenir un rendez-vous immédiat, on va directement chez l’esthéticienne pour ton épilation. Dès ce soir, ton sexe et tes aisselles seront dignes d’une esclave.

Le voyage est long, surtout lorsque ma maîtresse ne parle pas, et je sais qu’elle ne souhaite pas m’entendre lorsqu’elle conduit. Alors que je pense à l’épilation que je ne vais pas tarder à subir, je commence à descendre ma main au bas de mon ventre. Je la passe sous mes habits pour atteindre mon pubis, pas parfaitement lisse je l’avoue. Je me touche pour sentir une dernière fois cette zone encore naturelle, bien que fréquemment épilée. Avant même d’y être, je reçois une gifle douloureuse et j’entends :

  • Tu te caresses le sexe sans autorisation maintenant ? Tu penses que c’est un comportement d’esclave ?

  • Non Maîtresse Claire, je ne me caressais pas, je voulais sentir une dernière fois mon pubis avant l’épilation Maîtresse Claire, je suis désolée.

  • Si nous avions le temps je te l’aurais fait sentir à coup de martinet.

  • Désolée Maîtresse Claire, je m’excuse.

  • Et ne te préoccupes pas, tu auras encore l’occasion de caresser un vrai sexe, un sexe magnifique et naturel lorsque tu me donneras du plaisir. Et pourquoi pas celui d’autres femmes ou esclaves de temps en temps.

  • Oui Maîtresse Claire, merci.

Nous nous arrêtons enfin et nous sortons de la voiture. Après quelques mètres, nous entrons dans le bâtiment alors que je suis en train d’imaginer comment cela va se passer. Je suis sortie de mes pensées lorsque l’esthéticienne nous accueille de façon très directe :

  • Bonjour Mesdames. J’ai du annuler plusieurs rendez-vous pour vous alors dépêchez-vous.

Celle-ci nous conduit rapidement dans une autre salle et m’invite à m’installer. Elle commence par me passer une pommade froide sur les zones à épiler, donc mon sexe et mes aisselles. L’opération au laser commence ensuite, la sensation est étrange mais pas si désagréable, cela mêle la chaleur du laser au froid de la pommade.

L’opération est vite terminée et elle ajoute :

  • C’est tout pour aujourd’hui, il faudra faire plusieurs séances pour que l’épilation soit parfaite. Et la prochaine, ne prenez pas rendez-vous aussi tardivement.

À peine habillée, j’ai pour consigne de remettre mes lentilles. Cela faisait quelques temps que je n’avais plus eu besoin de les porter, et cela ne manquait pas. Cela semble facile quand on n’a jamais essayé, mais cela devient très vite difficile psychologiquement de ne jamais voir le monde autour de soi. Mais j’ai accepté cette vie, j’obéi donc et remercie ma maîtresse pour ce traitement. Elle ne manque pas de répondre un petit « de rien ma chère » pour me narguer. Une fois dans la voiture, j’essaie tout de même de lancer une discussion pour que le trajet soit plus agréable :

  • Cela fait longtemps que vous pensiez à l’esclavage plutôt qu’à la soumission Maîtresse Claire ?

J’entends un soupir avant qu’elle réponde :

  • Tu penses que le voyage sera moins pénible pour toi avec un bâillon bien serré ?

  • Non Maîtresse Claire, je m’excuse.

Le reste du voyage se passe en silence, comme elle l’apprécie. De mon côté, j’essaie d’imaginer ce que vont penser les gens qui verront mon sexe lisse à l’avenir.

Une fois arrivées, après avoir enfin retrouvé ma vue, elle me demande immédiatement de l’attendre nue à la cave. Elle me rejoint quelques minutes plus tard avec une paire de ciseaux, un rasoir électrique et un rasoir classique accompagné de mousse à raser. Elle reprend :

  • J’espère que tu n’es pas particulièrement attachée à ta coiffure Sophie ? Tu vas commencer à te couper les cheveux aux ciseaux. Tu continueras au rasoir électrique et je t’aiderai à finir avec l’autre rasoir.

Étonnée, je réponds :

  • Vous souhaitez que je coupe tous mes cheveux Maîtresse Claire.

  • Oui, et tout de suite

  • Euh bien Maîtresse Claire, merci.

Je commence à me couper les cheveux assez près de leur racine, larmes aux yeux. Elle reprend la parole, pour me consoler j’espère :

  • Tu sais, c’est difficile pour moi aussi. Je sais que tu ne penses qu’à toi mais comment je ferai moi pour te tirer par les cheveux maintenant.

  • Je ne sais pas Maîtresse Claire, je suis désolée.

Ma tonte, oui je pense que l’on peut appeler ça comme ça, avance et ma maîtresse vient m’aider pour terminer. Elle me rince (intégralement) au jet d’eau, eau qui est glaciale comme d’habitude. Une fois propre, elle reprend :

  • Il faut que tu te voies, restes là je vais te chercher un miroir.

Pendant sa courte absence, je passe ma main dans mes cheveux, enfin là où ils auraient dû être, et j’y trouve un crane parfaitement lisse. Je suis presque dégoûtée par cette sensation. De retour, elle me place la glace en face de mon visage. En me voyant, j’explose en larmes :

  • Mais je suis affreuse comme ça, pourquoi m’avoir fait ça maîtresse… Maîtresse Claire.

  • En tant qu’esclave tu n’es pas là pour être belle ou séduire, donc la présence d’une chevelure n’est pas essentielle. Je n’ai pas encore décidé si tu serais tondue régulièrement ou pas, mais si tu ne souhaites pas être tondue régulièrement, tu ferais mieux de te calmer. Plus tu seras attachée à ton esthétique, plus il sera maltraité pour que tu n’y prêtes plus attention.

  • Mais vous au moins, Maîtresse Claire, vous me trouvez belle comme ça ?

Son ton change et elle commence à s’énerver :

  • Je ne pensais pas avoir à te rappeler ça, mais apparemment tu ne me laisses pas le choix. Tu n’es pas mon amante, tu es mon esclave. Tu es là pour me servir, pas pour me plaire. Maintenant nettoies cette cave, c’est dégoûtant et ça sent mauvais. Je reviens dans un moment, tu as intérêt à ce que ce soit propre.

Je reste seule avec mes restes de cheveux, sexe et crâne lisses. Ne sachant pas quand elle sera de retour, je nettoie rapidement à grands coups de jet. Je me place à genoux à l’entrée de la cave pour l’attendre.

Elle revient, je ne sais pas combien de temps après être partie puisqu’il n’y a ni horloge ni fenêtre, mais cela doit être environ 30 minutes après que j’aie commencé à l’attendre. Elle reprend directement la parole :

  • Je ne sais pas si tu as réellement compris ce que je te demande. Puisque tu es de nature dissipée, je vais m’assurer que tu réfléchisses bien au contrat que tu as accepté. Lève-toi maintenant.

  • Bien Maîtresse Claire.

À peine debout, elle commence à m’attacher avec une longue corde. Pas de fantaisie dans la façon de faire, simplement de nombreux passages autour de mon corps, bien serrés. J’ai l’impression d’être momifiée. Elle reprend avant d’avoir terminé son travail :

  • En tant qu’esclave, tu dois accepter toutes mes décisions concernant ta vie, en particulier celles concernant ton physique, et t’exécuter immédiatement, sans penser aux conséquences ou aux raisons. Je peux te rendre obèse ou extrêmement maigre, te faire subir une augmentation de la poitrine ou une réduction, te refaire ton nez, tes lèvres, … tu n’es pas là pour être belle ou pour que je sois amoureuse de toi, tu es là pour subir mes envies, mes caprices et me faire plaisir. Si un jour je veux te prostituer, tu le feras avec plaisir car c’est mon souhait. Si tu t’attends à ce que je tombe amoureuse de toi, il vaut mieux arrêter avant que tu sois marquée.

Je ne comprends pas vraiment ce changement soudain. Je sais que je suis son esclave et pas son amante, mais j’avais l’impression qu’elle aussi était en train de développer des sentiments à mon égard. Son bondage étant terminé, elle m’allonge sur le sol et s’éloigne de moi. Elle revient rapidement et ajoute :

  • Tu vas avoir un bon moment pour penser au contrat que tu as signé. Lorsque je reviendrai te libérer, ce sera pour aller te marquer alors tu feras mieux d’être sûre de toi.

Elle me colle des électrodes au cou et reprend :

  • Des décharges à intervalle irrégulier vont éviter que tu ne t’endormes au lieu de réfléchir. Si tu sens un tube dans ta bouche, ça sera pour te nourrir ou boire. Si tu as besoin de faire tes besoins, je te conseille de ne pas te retenir. Je ne sais pas encore dans combien de temps j’estimerai que tu auras assez médité. Tout compris ?

  • Oui Maîtresse Claire.

  • Tu veux relire le contrat encore une fois ?

  • Non merci Maîtresse Claire, je le connais.

Elle insère ensuite des écouteurs dans mes oreilles et me fixe une cagoule. Elle vient ensuite fixer un ajout à la cagoule qui couvre les ouvertures des yeux. Un gros bâillon boule vient finalement s’ajouter au tout. Quelques secondes plus tard, j’entends par les écouteurs la voix de ma maîtresse lisant notre contrat. Les premières décharges électriques ne tardent pas et engendrent un mouvement brusque et incontrôlable de mon cou. Pendant la deuxième lecture du contrat, ma tête est relevée et je sens un gros collier se fixer autour de mon cou. Il se serre peu à peu puis je reçois une décharge, plus importante que les précédentes. Mon mouvement est nettement plus limité. Un doigt se glisse entre mon collier et mon cou, se retire et le collier se resserre encore un peu plus. Je reçois immédiatement une autre décharge qui n’engendre aucun mouvement de ma part malgré sa forte intensité.

Des décharges, plus faibles heureusement, reprennent périodiquement. J’ai peu à peu perdu le compte du nombre de lectures du contrat. Je profite tout de même de la situation pour y réfléchir comme demandé. Je dois avouer que je l’ai peut-être tout de même sous-estimé et que j’ai là une chance de bien évaluer les choses, surtout avant d’être marquée. Je pense à différentes choses comme être affichée publiquement comme esclave, ce que cela me ferait si je devais me montrer en soumission devant mes amies, voire ma famille. Je pense aussi à mon corps, je me pensais assez belle, je pourrai sans problème choisir un bel homme pour passer ma vie avec lui, ou une belle femme. Je me vois enlaidie par de nombreuses chirurgies effectuées juste pour le plaisir de ma maîtresse, avec une poitrine extravagante et des lèvres trop pulpeuses, le corps tatoué de motifs dégradants…

Mes pensées sont interrompues par le retrait de mon bâillon. Je n’ai pas le temps de comprendre ce qui se passe alors qu’un tube de deux ou trois centimètres de diamètre entre dans ma bouche. Je commence à sucer le contenu du tube, un liquide épais et chaud. Je soupçonne des petits morceaux de pain dans de l’urine. Je n’ai pas vraiment faim ni soif, j’arrête donc. Deux décharges bien plus fortes que les précédentes me rappellent à l’ordre. Je reprends immédiatement. Après en avoir avalé une certaine quantité, quantité que j’estime suffisante, je m’arrête à nouveau ce qui engendre deux décharges supplémentaires. Je comprends que je m’arrêterai lorsqu’il n’y aura plus rien, ce qui arrive un peu plus tard. Le tube est retiré de ma bouche et le bâillon rapidement remis en place. Les décharges d’intensité « normales » reprennent et je recommence à penser à ce qu’aurait pu être ma vie, mon travail, ma nourriture…

Ce petit jeu continue un certain temps, j’ai déjà été nourrie 6 ou 7 fois, toujours de la même façon, mais avec des quantités plus faibles, je crois. Mon repas est identique aussi, sauf qu’il est froid contrairement à la première fois. Je me suis déjà urinée dessus deux fois, j’essaie toujours de me retenir le plus longtemps possible, mais je finis par ne plus avoir le choix. Je commence également à bien sentir la fatigue, normal vu que je dois avoir passé la journée complète et la nuit comme ça. À f o r c e d’écouter le contrat en boucle, je le connais par cœur et je pense avoir imaginé l’intégralité de ma vie d’esclave plusieurs fois.

Je commence à sentir des mains sur ma cagoule. Certainement le moment de ma libération dans la mesure où je pense avoir passé suffisamment de temps à réfléchir. Le bandeau qui rend ma cagoule aveuglante commence à se lever d’un côté et « libère » mon œil droit. J’ai la surprise de voir Alicia et non pas ma maîtresse. Elle me fait un petit sourire et me dessine du doigt les lettres C L A I R E dans l’air. Elle indique ensuite qu’elle dort en inclinant son visage sur ses deux mains. Je n’ai donc pas passé plus qu’une partie de la journée dans cette situation et c’est déjà insupportable. Elle me montre ensuite l’appareil m’envoyant des décharges et le lecteur de musique en débranchant respectivement le câble de l’électrode et des écouteurs. Mes oreilles se reposent enfin, j’avais l’impression que j’allais devenir folle. Je réalise seulement d’une fois que c’est terminé à quel point c’était une t o r t u r e . Cela me fait tellement bizarre de ne plus avoir de son dans mes oreilles, c’est tellement agréable. Elle me fait signe de rester silencieuse en mettant son doigt devant sa bouche et me retire le bâillon. Je lui chuchote immédiatement :

  • Desserre le collier s’il te plait, c’est vraiment désagréable.

Elle me colle immédiatement sa main sur ma bouche et me refait signe de rester silencieuse. Elle me montre le collier et me fait un signe négatif de la tête. Elle me regarde ensuite d’un air triste et me dit, ou plutôt bouge ses lèvres comme si elle me disait :

  • Désolée.

Elle me montre un grand verre dans lequel elle met le tube et place l’autre extrémité dans ma bouche. Je commence à en boire un peu, mais je n’en peux plus de cette mixture alors je m’arrête à la moitié de verre. Elle me regarde en me demandant toujours sans bruit de terminer le verre. Je lui fais comprendre que je peux plus, mais elle commence à me supplier, toujours avec des gestes seulement. À ce moment, elle regarde autour d’elle, retire le tube de ma bouche pour le mettre dans la sienne et termine le verre. Elle se montre dégoûtée mais sans que cela ne l’ait vraiment gênée. Elle me refixe le bâillon et me fait signe de me reposer. Je ne tarde pas à m’endormir.

Je suis soudainement réveillée par la voix de ma maîtresse et les décharges. Je suis à nouveau aveugle. Quelques minutes plus tard, mon bâillon s’ouvre et le tube revient. Je refuse une fois de plus de boire, mais les v i o l entes décharges me rappellent à l’ordre, comme hier. C’est probablement le matin et c’est de nouveau ma maîtresse. Je m’exécute donc avec dégoût. Le bâillon est remis en place et je retourne à ma réflexion. Ce n’est qu’après trois « repas » aujourd’hui que les choses changent. Le bâillon s’ouvre à nouveau, mais il est suivi par mon bandeau et mon collier. Ma maîtresse m’enlève les électrodes , ma cagoule et les écouteurs. Elle me dit :

  • Tu as suffisamment réfléchi ?

  • Oui Maîtresse Claire. Je veux devenir votre esclave Maîtresse Claire. Merci de vous occuper de moi. Je veux vivre pour vous et par vous.

  • C’est bien. Et ne sois pas triste que ce soit déjà fini, tu subiras d’autres isolements, sûrement bien plus durs.

  • Merci Maîtresse Claire, tout ce qui vous fera plaisir.

  • De rien Sophie, c’est toujours un plaisir de te faire souffrir.

Je conçois que mon acceptation peut sembler bizarre, surtout après avoir réalisé que les traitements allaient devenir toujours plus durs et qu’elle n’avait pas l’intention de partager les sentiments que j’ai pour elle, mais je ressens ce besoin profondément en moins de lui faire plaisir, de la servir. Je commence à regarder autour de moi et découvre Alicia attachée mains au plafond. Ma maîtresse reprend :

  • Alicia s’est occupée de toi cette nuit, mais pas correctement alors elle est punie. D’ailleurs tu n’as pas quelque chose à m’avouer ?

  • Non Maîtresse Claire, je ne vois pas.

  • Ok très bien. Je lui ai fait boire 3 litres d’eau hier soir pour qu’elle te fasse boire son urine cette nuit, mais elle m’assure avoir essayé sans y parvenir. Je lui ai donc promis une belle punition si elle finissait par uriner avant le retour de sa maîtresse.

Elle marque une pause et reprend plus fort :

  • En plus elle aime tellement quand c’est moi qui la puni, n’est-ce pas Alicia ?

  • S’il vous plaît Maîtresse Claire, ne me punissez pas. Ça fait trop mal.

Son envie d’uriner est très visible vu comme elle se tortille, mais ce qui est encore plus apparent c’est la peur sur son visage. Ma maîtresse reprend :

  • Sophie, vu que c’est pour toi qu’elle souffre, va te mettre à genoux devant elle et rester là.

Pendant que je m’installe devant Alicia, ma maîtresse sort. Alicia profite de me dire :

  • Ne dis rien pour cette nuit, ça sera pire pour nous deux.

Vu que ma maîtresse n’est toujours pas là, elle continue :

  • Et pourquoi tu t’es rasée la tête ? Tu avais des cheveux magnifiques.

  • Sur demande de Maîtresse Claire, pour débuter mon esclavage. Je crois qu’elle veut que je reste comme ça.

  • Elle joue avec toi pour te faire peur, elle adore tourmenter et t o r t u r e r psychologiquement. Elle fait…

Elle arrête de parler alors que maîtresse Claire revient avec une bouteille d’eau et un serre-taille. Elle commence à lui appuyer sur le bas du ventre en ajoutant :

  • Ça fait du bien quand j’appuie ici n’est-ce pas Alicia ?

Sans même lui laisser répondre, elle ouvre une bouteille d’eau, la pose au sol avec un tube. Elle lui bouche le nez d’une main et tient le tube dans sa bouche avec l’autre, le tout en ajoutant :

  • Bois si tu veux respirer.

Elle lui a permis un bref instant de respiration au milieu de la bouteille, bouteille qui s’est très vite vidée. Elle pose le tube au sol et prend le serre-taille qu’elle a amené. Elle le frotte sur le visage d’Alicia avant de le passer autour de sa taille. Alicia ajoute en s a n g lots :

  • S’il vous plait Maîtresse Claire, non pas ça, je ferai n’importe quoi s’il vous plait.

Ma maîtresse s’approche de son oreille, lui caresse le visage et lui chuchote, juste assez fort pour que j’entende :

  • Si tu ne pisses pas de l’urine ça sera du s a n g qui va sortir tellement je vais serrer fort ce serre-taille. Tu dois déjà tellement souffrir, tu ne t’imagines même pas ce que ça va être avec ça.

Elle pleure de plus en plus et répond :

  • Maîtresse Claire, s’il vous plait, je vous en supplie, je suis désolée. Ne me punissez pas, je ferai tout ce que vous souhaiterez.

  • Vu que tu n’as pas besoin d’uriner, tu n’as pas de soucis à te faire de toute façon.

Elle commence à attacher le serre-taille tout en tirant de plus en plus sur les lacets. À chaque fois qu’elle serre un peu plus en appuyant son genou sur le bas du dos d’Alicia, le visage de celle-ci se marque de douleur. Lorsqu’elle n’arrive plus à serrer, elle reprend en regardant sa montre :

  • J’ai oublié de te dire, ta maîtresse ne vient plus te chercher à 14h mais à 23h, je l’ai appelée et je l’ai convaincue de sortir un peu ce soir pour que tu puisses rester avec nous un peu plus longtemps.

  • Non ce n’est pas vrai, je suis sûre que ce n’est pas vrai. Ce n’est pas possible. Vous jouez avec moi.

  • C’est vrai que ce n’est pas mon genre de demander à profiter plus longtemps de toi. Tu te souviens la dernière fois où on était seules toutes les deux comme on s’était bien amusées ?

À ce moment elle recommence à pleurer encore plus fort et un peu d’urine commence à lui couler sur la cuisse. Cela n’échappe pas à ma maîtresse qui reprend :

  • Oh mais qu’est-ce que c’est ? Ça ne serait pas ton urine par hasard ? C’est bon, tu peux te détendre maintenant, de toute façon tu vas y passer.

  • Non Maîtresse Claire, s’il vous plait, je ne voulais pas.

Elle continue à se soulager, involontairement je suppose, tout en disant cette dernière phrase. À voir son visage, on dirait qu’elle va mourir de peur. Dès qu’Alicia semble s’être vidée, elle est rapidement arrosée au jet par ma maîtresse qui la détache ensuite pour lui lier les mains dans le dos. Elle la tire sur une table et l’attache à celle-ci, les deux jambes écartées. Elle commence à me parler :

  • Tu vas pouvoir assister à une punition pour que tu sois vraiment sure de vouloir être mon esclave. Ça aurait très bien pu être toi sur cette table.

  • Oui Maîtresse Claire.

Elle s’éloigne quelques secondes et revient avec un martinet. Elle s’adresse à Alicia :

  • Tu n’as vraiment pas intérêt à me pisser dessus pendant que je te punis ou je te ferai vraiment regretter de vivre.

Toujours en pleurs, elle répond :

  • S’il vous plait Maîtresse Claire, ne me punissez pas, je vous en supplie.

Sans même répondre, elle fait glisser son martinet le long du corps d’Alicia, en partant du visage jusqu’à son sexe. Je constate d’ailleurs que celui-ci est également complètement épilé. Elle commence directement à lui envoyer des coups puissants et peu espacés sur le sexe. Après quelques minutes, et probablement plus d’une trentaine de coups, le sexe d’Alicia affiche une couleur très rouge. Ma maîtresse s’arrête et s’adresse à sa victime qui n’a cessé de hurler et de pleurer :

  • Alors Alicia, tu vas encore me désobéir ?

  • Non Maîtresse Claire, je vous promets.

  • Dis-moi que tu m’aimes.

  • Je vous aime Maîtresse Claire.

  • Dis-moi que tu veux que je continue à te punir.

  • Non Maîtresse Claire, s’il vous plait, pitié.

Ma maîtresse approche son martinet du visage d’Alicia et menace de lui envoyer un coup à cet endroit. Alicia reprend :

  • Maîtresse Claire, s’il vous plait, p… punissez moi… encore.

  • Supplie-moi de te faire très mal.

  • Maîtresse Claire, je vous en supplie, faites-moi très mal.

Elle prend la cagoule et le bâillon avec lesquels j’ai passé la nuit et les fixe sur sa victime :

  • Comme ça je ne te verrai pas pleurer et tu arrêteras de hurler.

Les coups recommencent, toujours aussi nombreux et v i o l ents. Le sexe d’Alicia est tellement marqué que j’ai envie d’en pleurer. Je fais peut-être une erreur, mais je dis à ma maîtresse :

  • Maîtresse Claire, est-il possible de prendre sa place, son sexe semble déjà très abîmé ?

  • Non, je vais m’arrêter là de toute façon. Et ne t’avises jamais de juger quand mes punitions sont terminées.

  • Bien Maîtresse Claire, je m’en excuse.

Elle arrête quelques secondes, puis renvoie trois coups encore plus v i o l ents que les précédents. Sous l’effet de surprise et à en voir la réaction du corps d’Alicia, ces derniers coups semblent avoir été encore plus douloureux que les autres. Ma maîtresse reprend :

  • Ça c’est pour avoir essayé de réduire sa punition.

  • Oui Maîtresse Claire, je suis désolée.

Elle retire le bâillon d’Alicia et ajoute :

  • Je te laisserai dire à ta maîtresse pourquoi tu pleureras de douleur ce soir quand elle te baisera. Qui sait, elle acceptera peut-être de ne pas te pénétrer trop v i o l emment.

  • Merci Maîtresse Claire.

  • Mais je t’en prie Alicia, tu sais que c’est toujours un plaisir pour moi. Au fait, tu vas être étonnée de savoir que j’ai menti, ta maîtresse ne va pas tarder à arriver. Je laisse Sophie te détacher, essayez d’être présentables à son arrivée.

Maîtresse Claire s’en va directement, et je me presse de détacher la pauvre Alicia. Je lui enlève la cagoule et je découvre son visage tout mouillé de larmes. Nous nous mettons toutes deux à genoux devant l’entrée de la cave. Elle commence à me parler :

  • Mon sexe est très marqué ?

  • Oui, je suis vraiment désolée.

  • Ce n’est pas ta faute, j’ai décidé par moi-même de ne pas te faire boire mon urine cette nuit.

  • Oui mais si j’avais accepté sans me plaindre cette nuit, tu n’aurais déjà pas eu à avaler cette chose immonde.

  • Quand je te vois aux pieds de Maîtresse Claire, j’ai déjà de la peine pour toi en imaginant tout ce que tu dois subir. C’était assez naturel.

  • Je m’estime chanceuse d’être à ses pieds. Toi tu es soumise ou esclave de ta maîtresse ?

  • Esclave, je lui appartiens totalement.

  • Et tu n’es pas marquée ?

  • Non ma maîtresse n’a pas souhaité me le faire subir.

  • Maîtresse Claire m’a demandée d’être son esclave.

  • Et tu as accepté vu ta nouvelle coiffure.

  • J’ai bien fait d’accepter ?

  • Vu mes relations avec ta maîtresse, je t’aurais dit oui sauf avec elle. Mais je ne suis pas objective, et apparemment elle te traite différemment, pour le moment en tout cas.

Nos deux maîtresses arrivent, nous leur embrassons les pieds immédiatement. Alicia prend ensuite les jambes de sa maîtresse dans les bras en signe d’affection alors que celle-ci lui attache une laisse à son collier et la tire hors de la cave. Pour ma part, je reçois des habits et mes lentilles, et on part me tatouer.

De retour du salon de tatouage, je dois avouer que je suis assez fière de mon acte. Ma vie sera difficile, mais je me sens particulièrement chanceuse de servir maîtresse Claire. Je l’admire comme personne, elle est parfaite, intelligente et magnifique. A peine dans le salon à la maison, les nouvelles règles apparaissent :

  • Déshabilles toi et mets-toi à genoux quand je te parle.

  • Oui Maîtresse Claire.

Elle prend mon porte-monnaie, l’ouvre et prend ma carte d’identité, mes cartes bancaires et mon permis de conduire. Elle les dépose dans une boite dans laquelle elle ajoute également quelques billets de 100 euros et mes vêtements de la journée. Elle ferme la boite avec un cadenas et reprend :

  • Cette boite est scellée avec un cadenas que tu peux couper aux ciseaux. Tu n’as le droit de l’ouvrir qu’en cas de nécessité. Tu seras évidemment punie si je juge que tu l’as ouverte sans que cela ne soit nécessaire. Donne-moi ton téléphone portable et les habits que tu avais amenés au début de ta soumission. Je garderai ceux qui me plaisent et les autres seront jetés.

Alors que je lui tends mon téléphone auquel je tenais particulièrement, elle reprend :

  • Tu as des choses que tu dois conserver sur ton téléphone ?

  • Oui Maîtresse Claire, j’aimerai conserver les photos s’il vous plait.

  • Donc rien d’important pour une esclave, je supprime tout.

  • Mais ? Oui, merci Maîtresse Claire.

En échange elle me tend un vieux téléphone. Je le regarde un peu plus en détails, même pas un écran couleur ou un appareil photo. Me voyant déçue, elle reprend :

  • Tu n’as besoin de rien de plus, il va juste te servir à m’appeler en cas d’urgence, et seulement dans ce cas. Tu peux essayer d’appeler d’autres numéros cela ne fonctionnera pas.

  • Bien Maîtresse Claire, mais je n’aurai plus le droit de voir ou d’appeler mes amies ?

  • Tu n’as plus d’amies mises à part les autres soumises que tu rencontreras grâce à moi. Les seules fois où tu sortiras d’ici ce sera avec moi ou sur ordre de ma part. Cela comprendra donc éventuellement des voyages durant lesquels tu auras la chance de m’accompagner et pourquoi pas quelques sorties si je ne souhaite pas être seule.

Donc le seul temps que je vais passer sans ma maîtresse sera dans cette maison. Me voyant penser à ma situation, elle ajoute :

  • Ne plus avoir de vie extérieure sans mon contrôle t’habitueras à ne rien avoir d’autre que mes ordres dans tes pensées. Mais rassure-toi tu auras assez à faire dans la maison. Elle est suffisamment grande et doit toujours être parfaite. Tu auras aussi à préparer les repas, t’occuper de la lessive, du repassage, du rangement. Enfin toutes ces corvées qui sont plus adaptées à une soumise qu’à une maîtresse.

  • Oui Maîtresse Claire, c’est normal.

  • D’ailleurs je te préviens, puisque tu n’as plus de vêtements, tu n’as pas intérêt à aller emprunter les miens dans mon dressing. Si on doit sortir, je te prêterai quelque chose à ce moment-là. Et tu peux aussi oublier le maquillage et les différents produits de ce type. Tu auras juste un savon pour te laver. Tu auras le droit à 5 minutes d’eau froide le matin pour te laver, ensuite c’est fini. Pour tes cheveux, si tu te comportes bien, j’ai décidé que tu ne seras pas tondue régulièrement. Par contre, si je constate que tu serais plus efficace dans ton travail rasée, ils disparaîtront à nouveau. Si tu veux des cheveux longs, suffisamment pour cacher ton tatouage à la nuque, tu auras parfois l’obligation de te faire un chignon pour qu’il soit visible.

  • Merci Maîtresse Claire, merci beaucoup.

Le fait de pouvoir avoir des cheveux me soulage beaucoup. Je me trouve vraiment laide rasée. Oui je sais, je n’ai pas vraiment compris la leçon à propos de la futilité de mon esthétique, mais ce n’est pas grave.

Après quelques jours dans ma nouvelle vie d’esclave marquée, ma maîtresse arrive vers moi avec un paquet cadeau. Elle me le donne et une fois ouvert, je découvre un magnifique collier d’esclave. Il est assez large, deux ou trois centimètres, et fait de cuir. Il possède trois petits anneaux, un devant et un de chaque côté. Ils sont suffisamment discrets tout en étant utilisables. Puisque je vais rarement le retirer, cela semble logique qu’il soit équipé d’options pour les punitions. Finalement le côté décoration, il y a des motifs dessinés dessus avec des coutures plus claires. Alors que je remercie ma maîtresse, elle me demande encore de regarder à l’intérieur du collier. J’y découvre alors une inscription :

ESCLAVE SOPHIE, PROPRIETE DE MAITRESSE CLAIRE

A peine le message lu, elle ajoute :

  • Il est assorti à ton tatouage à la nuque. Il faudra que tu en prennes soin.

  • Oui Maîtresse Claire, merci, c’est un cadeau magnifique.

Etant déjà à genoux, elle me demande de me tourner pour me le fixer. Je m’exécute immédiatement et, dès que je commence à sentir le collier contre ma peau, je ferme les yeux tellement la symbolique est forte. J’ai envie de pleurer, pas de tristesse, loin de là, mais tellement je me sens chanceuse. Si je ne l’avais pas vécu, j’aurai probablement trouvé ça stupide. Mais le fait de vivre la pose de mon collier est une expérience totalement différente, chargée en émotions. Elle le serre bien, et essaie de passer son doigt entre le collier et ma peau. Je la reconnais à ce geste qu’elle a déjà fait lorsque j’étais attachée à la cave pour réfléchir au contrat. Elle le resserre un bon coup au point que je le sente bien en avalant ma salive. En voyant ma difficulté à avaler, elle reprend :

  • Ne te préoccupe pas, tu vas t’habituer. Je le serre bien pour que tu le sentes constamment contre toi, que tu saches que tu es à moi, pour toujours. Je te rappelle quand même que tu n’as en aucun cas le droit de le retirer ou le desserrer sans mon autorisation.

  • Oui, merci Maîtresse Claire.

Elle retire sa minijupe et son string tout en conservant son chemisier puis s’assied sur le canapé en écartant les jambes. Je découvre une fois de plus son sexe magnifique et joliment épilé. Seule une petite bande de poils très courts est présente, c’est très esthétique et cela semble parfaitement entretenu. Elle me réveille d’une gifle puis tire ma tête contre son sexe avec ses deux mains. Je me mets au travail, un travail très agréable à accomplir je l’avoue, mais encore plus agréable pour elle. Parmi ces gémissements, je discerne quelques compliments, ou insultes peut-être, je ne sais pas comment les prendre :

  • Mhhhhhh oh oui ma soumise mhhhhh c’est bon mon esclave mmhhhhhhh oh oui, continue pétasse ma chérie…

Je suis un peu étonnée qu’elle m’appelle « sa chérie », mais je continue tout en variant constamment le mouvement, la vitesse, la zone… Je profite aussi pour faire quelques petites succions qu’elle apprécie et de très légères morsures. Elle reprend soudainement :

  • Oh oui c’est bon, mhh j’ai envie de te faire mal ma chérie quand tu me donnes du plaisir…

Elle repousse ma tête de son sexe, m’envoie deux fortes claques puis me ramène à ma position contre son sexe pour que je continue. Bien que sonnée par les claques, je continue à m’appliquer sur ma tâche. J’ai encore reçu quelques bonnes claques avant qu’elle atteigne l’orgasme, mais malgré la douleur je ne le prends pas comme un signe de mauvais travail puisqu’elle me semblait bien plus excitée juste après m’avoir giflée.

Une fois son orgasme obtenu, elle se lève en laissant sa minijupe et son string sur le sol. Elle me dit :

  • C’est bien tu t’améliores, finalement tu as peut-être une chance d’atteindre un niveau de bonne esclave un jour. Surtout à f o r c e de t’entraîner, avec moi ou d’autres femmes.

  • Merci Maîtresse Claire. Si vous voulez vous installer confortablement je pourrai vous faire un massage du dos pour vous détendre Maîtresse Claire.

Son sourire disparaît immédiatement. Elle se baisse à mon niveau pour avoir son visage très proche du mien et me dit :

  • Je t’ai dit de ne pas réfléchir, de te contenter de faire ce que l’on te demande. C’est si difficile que ça ? Et tu crois que je ne remarque pas que ce n’est pas la première fois que tu veux aller plus loin ? Tu crois que je suis stupide ?

Je suis surprise par sa réponse et son changement brusque de comportement. Cela dit, c’est son droit, je m’incline :

  • Désolée Maîtresse Claire, je n’essayais pas de vous manipuler. Je sais que vous êtes très intelligente Maîtresse Claire. Je m’excuse de mon comportement.

  • Embrasse mes pieds maintenant !

Je m’exécute immédiatement mais je doute que cela suffise à la calmer. Elle ajoute :

  • Si tu veux vraiment que je te baise dis le moi, mais je te préviens je vais m’assurer pour que cela te soit vraiment désagréable, et tu peux me faire confiance.

J’essaie de me faire petite, et je reste en silence à ses pieds alors qu’elle reprend :

  • Alors, tu veux qu’on aille dans la chambre ? Tu ne réponds plus ?

  • Non je suis désolée Maîtresse Claire, vraiment, je voulais juste vous faire plaisir Maîtresse Claire.

  • Bon, je vais prendre un bain, restes là sans bouger jusqu’à mon retour.

Elle sort de la pièce d’un pas rapide, toujours habillée uniquement de son chemisier. Elle disparaît vite de ma vue et j’entends quelques secondes plus tard l’eau couler dans la baignoire. Durant son absence, j’essaie de bouger le moins possible. Vu que je l’ai mise de mauvaise humeur, je serais probablement punie même si je bouge juste de quelques centimètres.

Il a fallu un moment avant que j’entende l’eau couler à nouveau dans la douche. J’entends ensuite une porte se fermer un peu fort, mais sans être claquée. Probablement la porte de sa chambre. Elle revient quelques minutes plus tard avec de nouveaux vêtements. Elle porte un tailleur foncé très strict et très élégant qui met bien en valeur ses formes magnifiques. Je remarque seulement maintenant que sa poitrine n’est pas aussi généreuse que je le pensais. Tout est parfait chez elle, jusqu’à son tour de poitrine. Elle est suffisamment grande pour être très féminine tout en lui donnant une apparence très sérieuse. Je suis, comme toujours, en admiration devant sa beauté. Elle me sort de mes pensées en me disant :

  • Je sors me détendre. Tu as de la lessive à faire, à la main ça devrait te prendre suffisamment longtemps. Je t’ai laissé deux bacs de vêtements devant la porte de ma chambre. Si tu as fini avant que je rentre, tu m’attends sans bouger à genoux devant la porte d’entrée.

  • Oui Maîtresse Claire, merci.

Je la vois juste encore aller choisir une paire de chaussures avant de disparaître. Je me rends devant la porte de sa chambre et je trouve les deux bacs. En réalité, c’est plutôt l’équivalent de quatre tellement ils sont remplis. Pendant quelques secondes je me suis demandé comment elle utilise autant de vêtements en si peu de temps, mais je réalise rapidement qu’elle se change plusieurs fois par jour. C’est certainement l’une des choses que l’on peut se permettre lorsqu’on a une esclave.

Alors que j’exécute le travail demandé, je réalise à quel point c’est long et ennuyeux de laver à la main au lieu d’utiliser la machine. Cela m’a bien pris quelques heures pour bien faire mon travail. Probablement le manque d’habitude. Une fois terminé, je constate que mes mains sont toutes sèches et ont perdu toute leur douceur. Garder ses mains dans l’eau avec du savon et frotter pour nettoyer des habits pendant des heures n’est probablement pas l’idéal pour en prendre soin. Tout mon corps s’adapte à ma nouvelle situation, jusqu’au bout de mes doigts.

Devant la porte d’entrée, je profite de ce moment de solitude où je suis nue mise à part pour mon collier pour observer le tatouage sur mon sexe. Je suis partagée entre la peur et le bonheur. Oui, en effet, j’ai peur que s’il arrive quelque chose à notre relation, je ne pourrai pas en commencer une autre avec cette marque que je ne pourrai même pas cacher avec des poils. Mais en même temps, si cela ne fonctionne pas avec ma maîtresse, la femme que j’aime et celle pour qui je vis, je ne pense même pas avoir envie d’essayer avec quelqu’un d’autre. Pour moi, l’amour de ma vie c’est elle et il n’y en aura pas d’autre.

Je pense que cela explique aussi pourquoi j’ai accepté de me faire marquer et pourquoi je ferai tout pour rester à ses pieds. Je dois avouer qu’une seule chose me manque dans cette relation, c’est d’obtenir du plaisir sexuel, que ce soit par masturbation ou avec quelqu’un d’autre. Cela fait des mois que je n’ai fait que donner des orgasmes mais sans jamais en recevoir. Je sais que c’était mon choix mais je le regrette. J’hésite d’ailleurs à me caresser maintenant. Elle ne pourrait pas savoir que je l’ai fait et ça me ferait tellement du bien, j’en ai tellement besoin après ces journées difficiles. Mais en regardant mon sexe, je vois mon tatouage tout récent, sa marque, et je me dis que non, je ne dois pas penser à moi, mais à ce qu’elle souhaite de moi. Elle ne souhaite pas que je me caresse et je ne veux pas la décevoir. Et comme elle me le répète souvent, même si je ne comprends pas pourquoi elle me demande ou m’interdit certaines choses, il y a une raison.

J’ai finalement bien fait de ne pas le faire puisque elle est arrivée quelques minutes plus tard. A peine elle est à l’intérieur, je lui fais un baiser sur chaque pied, ou plutôt chaque chaussure. Elle lève ensuite un pied après l’autre pour que je lui retire ses chaussures. Je dois habituellement les nettoyer juste après les lui avoir retirées, mais ce soir c’est différent puisqu’elle me dit depuis le canapé :

  • Attends avant de t’occuper des chaussures, j’ai beaucoup marché et ces chaussures ne sont pas les plus confortables. Viens t’occuper de mes pieds pour le moment.

  • Oui Maîtresse Claire, tout ce que vous désirez.

Je commence à lui masser les pieds, mais elle remarque aussi l’état de mes mains :

  • C’est très désagréable, tes mains sont toutes sèches. Occupe-toi de mes pieds avec la bouche.

  • Oui Maîtresse Claire, je suis désolée.

J’approche immédiatement son pied droit vers ma bouche et je commence à lui faire des baisers. Je continue par le lécher tendrement, par moment sur le dessus, par moment dessous, en alternant avec quelques baisers. Quel plaisir de sentir l’odeur de ma maîtresse. Je ne dis pas ça ironiquement, dans cette odeur pas f o r c é ment agréable de ses pieds, il z a également son odeur à elle, odeur que je sens lorsqu’elle est très proche de moi, par exemple lorsqu’elle approche son visage du mien pour bien me faire comprendre quelque chose. C’est cette odeur que j’aime tellement, l’odeur de son corps et non pas celle de ses pieds ou celle de son sexe, bien que les deux autres ne soient pas f o r c é ment désagréables. C’est un plaisir pour moi de m’occuper de ses pieds et de pouvoir sentir son odeur à elle. Je pourrai lui faire des baisers et lui lécher le corps toute la nuit si elle le désirait. Je pense que je pourrai avoir un orgasme rien qu’en ayant mon nez contre son corps un moment pour profiter de son odeur. Malheureusement peut-être, ma maîtresse me connait trop bien et me dit :

  • Tu ne vas pas avoir un orgasme en léchant mon pied non ? Tu m’as l’air d’y prendre beaucoup de plaisir.

C’est vrai que je m’occupais de son pied avec amour, presque sexuellement. Je lui réponds :

  • Non, désolée Maîtresse Claire, je veux juste m’occuper de vous au mieux.

  • Alors occupe-toi aussi de l’autre pied !

  • Oui Maîtresse Claire, bien sûr.

Avant même d’avoir fini de répondre, l’autre pied arrive vers mon visage pour m’envoyer un petit coup, comme une claque symbolique. Je commence à m’occuper de celui-ci comme je me suis occupée du précédent, toujours avec le même plaisir. Lorsqu’elle ne souhaite plus mon travail, elle me demande d’aller nettoyer ses chaussures. Alors que je me dirige vers l’entrée, elle me rappelle :

  • Au fait, approche-toi je veux juste vérifier ton sexe.

Je sais qu’elle va voir que j’y ai pris beaucoup (trop) de plaisir, alors je m’approche en essayant de cacher mon sexe comme je peux avec l’ombre de mon corps. Mais elle ne se fait évidemment pas avoir :

  • C’est bien ce que je pensais, tu es bien excitée ma petite.

  • Je suis désolée Maîtresse Claire, j’aime m’occuper de vous.

  • Tu as le droit d’être excitée, tant que tu n’atteins pas d’orgasme. C’était ton souhait, pas de plaisir dans ta vie, juste de la douleur et de la frustration. Par ailleurs cela doit être très frustrant non ?

  • Mon corps vous appartient Maîtresse Claire, si pour vous c’est un plaisir de me frustrer, j’en suis très heureuse.

  • Très bien, tu peux aller nettoyer mes chaussures maintenant.

Je retourne m’occuper des chaussures que j’ai délaissées pour m’occuper de ma maîtresse. Ce sont de beaux escarpins à talon haut. Elle est très classe lorsqu’elle les porte. Je rêverai de porter des chaussures comme celles-ci mais je sais que j’aurai l’air d’une prostituée et qu’en plus, je n’arriverai pas à marcher avec. Je regarde sous la chaussure et je constate qu’elle n’est pas très sale, cela me fera moins de nettoyage. Je commence par lécher le dessus, puis l’intérieur, partie que je profite de sentir un instant avant de commencer à nettoyer. Je poursuis par le petit plateau pour finir sous la chaussure. J’ai failli oublier le talon, mais j’y pense juste avant de me lever et je m’en occupe comme elle le désire, en le suçant tel un sexe. Les chaussures étant nettoyées, je les lui amène pour qu’elle les contrôle. A moitié couchée sur le canapé, elle jette un coup d’œil rapide et répond :

  • Ça ira, tu peux les ranger.

  • Merci Maîtresse Claire.

Ce nettoyage a rendu ma langue toute sèche, j’avoue avoir très soif. Je me rends à la cave, là où sont déposées mes gamelles depuis quelques temps, et je constate qu’elles sont toutes les deux vides. Je remonte vers ma maîtresse et lui dit :

  • Maîtresse Claire, je suis désolée mais ma gamelle est vide.

  • Ah oui j’ai oublié de te nourrir, quelle maîtresse je fais. Amène-moi tes gamelles.

A suivre Sophie

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